Dans l’épisode précédent je vous ai raconté comment le fait de partager des rituels avec mes proches m’a semblé essentiel et précieux.
Ce que j’ai vécu lors des funérailles de ma mère m’a énormément aidé à définir ce que je mettais derrière le métier de coach et de ritualiste, ça m’a aidé et m’aide encore tous les jours à à régler ma boussole sur une direction qui me réalise.
Pour moi le bonheur, la paix, la réalisation… appelez ça comme vous voulez, c’est de pouvoir se repasser le film de sa vie et de se dire « c’était bien, j’ai fait ce que j’avais à faire, ce que je pouvais… j’ai vécu ma vie, pas celle du voisin ».
J’ajouterais même, c’est aussi pouvoir avoir la même affection pour nos moments heureux que pour les expériences les plus douloureuses. Assurément que les funérailles de ma mère seront dans mon film, aux côté de la naissance de mes enfants et de leur baptêmes et de plein d’autres moments heureux et malheureux que j’ai eu la chance de vivre.
Aujourd’hui ma mission est d’aider les autres à pouvoir aussi aimer leur film. Pour cela la coach que je suis les accompagne à se créer la vie qui leur correspond et la ritualiste les aide à rendre les moments clé extraordinaires.
Dans cet épisode de 108 Milliards j’ai cité le livre d’André Comte Sponville, L'Esprit de l'athéisme: Introduction à une spiritualité sans Dieu
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