A l'aube puis à la mi-journée, lundi 6 janvier, la Turquie et la Syrie ont été frappées par deux séismes dévastateurs. Une fois la sidération passée, une certaine colère est montée du côté de la Turquie pour reprocher au pouvoir sa gestion du drame. Alors qu'en Syrie, le contexte géopolitique a empêché la venue de secouristes internationaux. 

Pour revenir sur la gestion de cette crise :

- Jean-Francois Corty, médecin, chercheur associé à l’IRIS et porte-parole de Médecins du monde

- Didier Billion, géopolitologue, directeur adjoint de l'IRIS et spécialiste de la Turquie

- Arnaud Wilm, porte-parole de la sécurité civile