Description

Aujourd’hui, je cause avec Alexandre GERARD, serial entrepreneur à la tête du groupe Inov-On qui réunit 10 entreprises aux activités différentes, avec le point commun d’être toutes pilotées avec les outils de l’entreprise libérée.

Bon je vous avoue : j’ai adoré échanger avec Alexandre ! Déjà parce qu’il m’a été recommandé par Ferdinand Richter de Ecosia, d’ailleurs je vous invite à écouter cet épisode si ce n’est pas déjà fait ! Et parce qu’il fait partie de ces rencontres qui ont un petit quelque chose de magique : le fait qu’il soit situé à Pornic alors que je passais pour la première fois le weekend suivant notre échange à Pornichet, juste à côté. Le fait qu’il rentre justement dans la région le jour où j’y suis. Et puis parce que je découvre qu’il a un lieu en permaculture, moi qui suis passionnée par l’alimentation durable, et qui en ai même fait un projet citoyen, Les Ethicuriens…

Bref, vous l’aurez compris, je suis vraiment très heureuse de vous partager cet échange !

Alexandre nous raconte son parcours fou, 25 ans d’entrepreneuriat qui commencent quand il a 15 ans, un groupe qui passe de 0 à 300 personnes en une douzaine d’années, puis une crise qui fait vaciller l’entreprise sur sa pente ascendante : - 34% de chiffre d’affaires en un an, passant de 22 à 14 millions d’euros, et la nécessité de virer des gens.

Et c’est ça qui va tout changer dans la vie d’Alexandre. A partir de là, il a une quête : comment faire pour ne plus jamais avoir à virer des collaborateurs ?

Il nous raconte ainsi comment il relève l’entreprise avec ses associés grâce aux principes de l’entreprise libérée. On plonge avec lui dans cette transformation radicale de l’organisation et de la culture de l’entreprise, des méthodes mises en place, de l’importance du rôle de dirigeant, dans le fait que la performance n’est plus un objectif mais découle directement de l’épanouissement des collaborateurs.

Et ça marche pour Inov-On ! Même si Alexandre rappelle que 90% des tentatives de transformation en entreprise libérée échouent, et qu’il explique pourquoi, il a de son côté réussi collectivement à redresser la barre, avec 8 entreprises, plus de 400 salariés et 35 millions d’euros de chiffre d’affaires.