“J’adore arrêter les guerres”... Ainsi s’exprime Donald Trump cette semaine, une semaine qui l’aura vu, sur la scène diplomatique et médiatique, faiseur de paix au Proche-Orient et l'espère-t-il bientôt en Ukraine.
Un indéniable succès de la méthode Trump que le président américain a défini par ces mots : la paix par la force… Mais de quelle force parle-t-on ? De la force militaire américaine brandie comme une menace permanente pour imposer la paix ? De la force de négociation de l’ancien promoteur immobilier ? Ou de la force du verbe, qui fait passer un cessez-le-feu ou une trêve pour une paix durable, voire éternelle ?
En somme, peut-on déclarer la paix comme on déclare la guerre ?
▶︎ Elie TENENBAUM Directeur du Centre des études de sécurité de l'Institut français des relations internationales, co-auteur de « Sortir de la guerre. Des guerres de Religion aux conflits asymétriques » aux éditions Passés Composés (03.09.25)
▶︎ Barbara CASSIN Philosophe, philologue, académicienne et directrice de recherche au CNRS, autrice de « La guerre des mots. Trump, Poutine et l'Europe » (08.10.25)
▶︎ Bénédicte CHÉRON Historienne, professeure à l'Institut catholique de Paris
▶︎ Benjamin OLIVENNES Philosophe, essayiste
▶︎ Stéphane AUDOIN-ROUZEAU Historien, directeur d'études à l'EHESS (modifié)
