Description

Quelle est la meilleure façon de s’y prendre pour se lancer dans la peinture sumi-e ou dans la peinture chinoise ? Comment choisir du matériel adapté ? Dois-je commencer ma peinture par la tige de cette fleur ou bien par ses pétals ? Pourquoi est ce que ça fait une grosse tâche dès que je pose mon pinceau sur ma feuille ? Etc etc…

J’ai commencé mon apprentissage en 2016, au Japon, et je suis passée par ces multiples phases de questionnements moi aussi.

J’ai eu la chance d’être accompagnée de mon sensei, qui était là pour répondre à une partie de toutes ces questions, mais il y a aussi des réponses que j’ai dû trouver toute seule, à force de recherches et d’expérimentations pendant les années qui ont suivi. 

Et donc, je me suis dis que cela pourrait être une bonne idée de vous donner mes conseils pour vous lancer dans la peinture sumi-e de la façon, à mon sens, la plus simple, la plus agréable, la plus douce possible. 

L’idée étant toujours de progresser suffisammant pour, le plus rapidement possible, réussir à s’amuser, et à faire passer une émotion, une atmsophère, une sensation, dans ses peintures.

Belle écoute 🌻

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Pour découvrir le sumi-e en images : www.instagram.com/morgane.boullier

Les notes de l’épisode : https://morganeboullier.com/2021/08/31/episode-3-mes-8-conseils-pour-se-lancer-en-douceur-dans-la-peinture-sumi-e-ou-la-peinture-chinoise/