Amelle reçoit celui qui fait de la bienveillance une réalité et prône l’importance de donner à l’autre SON moment. Kyan Khojandi.
Le temps des sushis dans les loges du Jamel Comedy Club, y avoir fait la première partie de Stevie Wonder et déjà là à l'époque Navo au fond de la salle avec l’envie de trouver les meilleures formules de blagues. L’amour du stand up, de sa méritocratie, de la totale liberté qu’il offre en pouvant tout écrire avec l’imaginaire des gens et de l’énergie folle que procure un public heureux après la soirée. Le pouvoir de la validation, rester fragile mais ne plus avoir les symptômes de la peur, la conviction que plus on est détendu plus on détend les gens - et réciproquement, le « Et si? » qui élargit le champs des possibles. La nouveauté qui ne devient plus une nouveauté quand on s’y frotte, l’importance de respirer sur scène et d’avoir un rictus intérieur… Les souvenirs d’enfance, les souvenirs d’adulte, les bienfaits de la campagne, l’amour de la scène, la réussite, la première venue de ses parents - forcément au premier rang. Le lien entre Bercy, Matthieu Chedid, un live Facebook et une demande en mariage. Encourager les gens à parler pour aller mieux en extériorisant. L’horizon des événements, le dernier premier album auto-produit de 10 chansons avec lesquelles on conclut des cycles. Les chevaliers du Zodiac (inévitablement), un bloc note Oxford qui peut permettre de s’acheter une maison…. Mais aussi le Barbès Comedy Club, le Fridge, le Café Oscar, le Paname, le Pronzo, Navo, Chris Rock, Alain Degois aka Papy, Fabrice Éboué, Thomas Ngigol, Albert Dupontel, Patrick Timsit, les soirées Première fois de Yacine Belhousse, le podcast Un bon moment (qu’on recommande fortement)… et tellement plus encore. Bienvenue dans la Dinguerie Room d’un artiste aux milles (brillantes) idées.