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Découvrez RÉUNI, mon nouveau projetSuivez les aventures de RÉUNI sur Instagram I Twitter I Linkedin I Facebook Pour démarrer cette 3ème saison en beauté, nous allons à la rencontre de Emma François, elle est la fondatrice de Sessùn. Dans cet épisode, elle nous parle de son parcours, de la concurrence, du sustainable et de beaucoup d’autres sujets. J’ai adoré interviewer Emma, j’espère que vous prendrez autant de plaisir à l’écouter !SE RETROUVER DANS L’EPISODE00:56 Emma se présente et revient sur son parcours.16:17 Sa présentation au salon Who’s Next, les premières personnes qu’elles embauchent, comment elles s’entourent.26:34 Les différents milestones de Sessùn.37:31 Qu’est-ce qu’elle regarde pour s’inspirer ?44:15 Comment expliquer le fait que le chiffre d’affaires a parfois triplé, les concurrents de l’époque, pourquoi cela a fonctionné à l’époque, comment rester accessible en prix, être réellement sustainable sans faire de green washing.1:02:47 Quel rôle une marque peut avoir dans l’avancée sustainable, le showroom parisien.1:15:10 L’arrivée de ses partenaires en 2017.1:28:06 Ce qui l’anime, sa sensibilité, ses techniques d’organisation et d’équilibre.1:39:45 Ce qu’elle dirait à Emma à l’âge de 20 ans, qui souhaiterait-elle entendre dans ce podcast.KEYLEARNINGSJe ne savais pas dessiner, je n’avais aucune notion technique mais je n’étais pas effrayée du tout par les chiffres et par la construction donc je finançais, j’essayais de mener mon projet. Je pense que si je n’avais pas eu cette connaissance des chiffres, mais aussi cette culture universitaire où je prends les problèmes, je les analyse et je trouve des solutions : thèse, antithèse, synthèse, tout le temps, au quotidien, appliqué toute la journée, c’est ce qui m’a donné les armes aussi pour pouvoir mener mon business.Ce qui m’a permit d’exister et de continuer, c’est cette perception des problèmes et ne jamais me laisser envahir, il y a toujours des solutions, c’est un peu galvaudé mais c’est un peu vrai.C’est ça aussi l’entreprise : gérer les inattendus, les imprévus.Je me suis entourée très vite sur des postes quand même difficiles. La première génération, ce sont les postes où je savais que je n’avais pas de savoir-faire, c’est-à-dire une modéliste. Ça m’intéresse mais j’ai compris assez vite qu’il fallait mieux que je ne m’entoure de personnes qui avaient plus de compétences que moi que d’aller chercher des personnes à qui je transmettrais tout donc l’idée c’est de m’entourer de compétences très techniques.Je déteste regarder la concurrence, je trouve que ça nivèle vers le bas. Ce que j’aime, ça peut être regarder des marques australiennes mais je ne vais jamais aller regarder mes concurrents en France parce que j’ai l’impression aussi que ça va peut-être lisser notre créativité.Pendant toutes ces années, on a fait plein de choses sur lesquelles on n’a jamais communiqué : une fidélité incroyable à l’égard des fournisseurs, un véritable partenariat puisque j’ai les mêmes fournisseurs, certain, depuis 25 ans, essayer de résoudre les problèmes avec eux, avancer avec eux, ne jamais condamner, pardonner les écueils pour reprendre mieux avec eux, les former, avancer ensemble. Finalement, je me rends compte que des marques communiquent là-dessus pour dire pour dire qu’elles sont sustainable, pour moi ça c’est la base, le pilier, le fondement : respecter ses partenaires. On peut avoir une délocalisation intelligente, l’idée de savoir pourquoi on fabrique en Chine, comment et quoi. On fabrique en Chine de la soie parce qu’en Chine il y a un savoir-faire absolument fou, c’est un savoir-faire séculaire. On fabrique en Inde des cotons brodés, l’idée c’est de s’interroger et de savoir, le jour où je vais envoyer de la soie en Inde pour avoir un prix de façon moins cher, c’est là où je commence à m’interroger sur mon rôle.J’ai vu des marques qui communiquaient sur REACH, REACH c’est une obligation légale européenne, or REACH est obligatoire. Communiquer sur REACH pour moi, ce n’est pas un sujet.On s’est rendu compte que même nos fabricants voulaient s’engager mais ne savent même pas eux-mêmes comment commencer puisque tous les donneurs d’ordres donc les clients, les marques, ne savent même pas elles-mêmes ce qu’elles veulent.REFERENCESWho’s Next Fourty degrees à LondresBread & Butter (Berlin & Barcelone)HomecoreVanessa Bruno Etoile Isabel Marrant Le Bon Marché Marc Jacobs REACH Scandal du Label BCI La Fédération de la Maille Anti fashion Paris Good Fashion Blossom Première Vision Liberty London Experienced Capital Episode Frédéric BiousseEpisode Caroline Perdrix / Alexia Tronel d’Atelier Bartavelle Episode Youssouf Fofana See Privacy Policy at https://art19.com/privacy and California Privacy Notice at https://art19.com/privacy#do-not-sell-my-info.

Nb: TheBoldWay ou The Bold Way, anciennement connu sous le nom de Entreprendre dans la mode ou EDLM , est un podcast produit et réalisé par Adrien Garcia.