Nos invités :
- Bertrand Gallicher, grand reporter, ancien correspondant en Allemagne, spécialiste des questions internationales
- Anthony Bellanger, éditorialiste, spécialiste des questions internationales
- Général Jean-Louis Palomeros, ancien chef d’état major de l’armée de l’air française, ancien commandant suprême de la transformation de OTAN
99 députés ont voté contre le soutien à l’Ukraine hier. 101 se sont abstenus. Ils dénoncent l’escalade militaire d’Emmanuel Macron. Idem en Allemagne, où le chancelier Olaf Scholz s’oppose à toute idée d’envoi de troupes au sol.
Une question qui se pose est aussi la suivante : pour que le chef de l’État tienne ces propos, est-ce à dire que La France est devenu une cible pour la Russie ? Nos invités en débattent en plateau. Si l’on parle beaucoup de guerre hybride, le général Jean-Louis Palomeros parle de rôle « pas proprement défini » et d’une démocratie, qui, en général, « a du mal à se défendre contre ce type de guerre. » En cause ? La désinformation notamment. Deuxième problème ? La difficulté de la France de passer à l'offensive. "La meilleure défense, c'est l'attaque", souligne-t-il pourtant.