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Sur RTL, Jean-Pierre Pasternak, président de l'Union des Ukrainiens de France, est revenu sur la présence de 110.000 déplacés dans l'Hexagone, un an après le début de la guerre. Il a remercié "les Françaises et les Français de les accueillir". Néanmoins, il a rappelé qu'à "Paris c'était plus compliqué" qu'en province, notamment à cause des logements.
Il a également indiqué qu'il "y a un petit essoufflement" dans l'accueil de populations déplacées qui "est naturel" : "Au bout d'un an, c'est normal, c'est normal que les gens veuillent rester entre eux à la maison." Et d'ajouter : "Il y a même une association qui s'est créée de maisons dans une même ville, pour pouvoir faire tourner les familles pendant 3 à 4 mois".
Selon Jean-Pierre Pasternak, il y a trois choses bien mieux en France pour ces Ukrainiens : "Un, ils n'entendent pas les sirènes. Deux, tout est illuminé. Et ils sont bien accueillis, donc ils n'ont plus de stress".