Description
Les marchés financiers sont toujours englués dans leur phase cyclothymique, c’est-à-dire une alternance de périodes de hausses et de baisses aux déclencheurs plus ou moins sérieux. Comme le fond du récit est plutôt morose, les passages baissiers dominent. Mais ce n'était pas le cas hier, puisque la plupart des places occidentales ont clôturé dans le vert, tirées par les valeurs bancaires en particulier et par les secteurs liés à l'inflation sur une base plus générale. En Europe, les gains se situaient généralement entre 1 et 2% en fin de parcours.