Description
Il reste l'équivalent de douze séances de bourse, en comptant les deux demi-journées des 24 et 31 décembre largement désertées par les intervenants, pour clôturer 2020. Une année qui pourra prétendre à un classement assez élevé dans le palmarès des millésimes les plus pourris de l'histoire moderne sur de nombreux critères, mais pas pour les marchés financiers, un paradoxe dont la recherche académique s'emparera probablement une fois que la poussière sera retombée.