Description
« Il faut que le théâtre passe à travers les larmes », disait le metteur en scène Klaus Michaël Grüber.
Comment le théâtre peut-il donner chair à ce que des mots ont déjà de brûlant, sans pervertir leur puissance propre ? Comment nous transmettre dans le souffle le mystère intact ? Le verbe incarné ?
Elvire, Phèdre, Bérénice, le chemin qui s’exprime est celui de la passion pure. C’est ce qui fera toujours la force incantatoire et unique d’un plateau de théâtre. Sa face sacrée.