De 113 études de littérature romantique à "Eva", en passant par "Jayne Mansfield 1967" (Prix Fémina 2011), Simon Liberati a su imposer un univers bien à lui, fait d’icônes, d’auteurs rares, de modernité et de nostalgie, de meurtres et d’amour. Aussi dandy que profondément moderne, son style en a fait un écrivain qui compte: l'écrivain était présent le 24 novembre dernier à la Gaité Lyrique pour nous parler de ses deux nouveaux livres, "Les Rameaux Noirs" et "Les Violettes de l’avenue Foch".Conférence, animée par Nelly Kapriélian