Depuis plus de 10 ans, Valérie Manns s’exprime dans des documentaires où l’image et le texte se marient pour donner à voir, donner à réfléchir sur l’identité plurielle de la France, les fractures de notre société, les droits des femmes, nos libertés… Après un parcours de critique d’art et de théâtre, puis de dramaturge, VALERIE MANNS se tourne vers le cinéma comme scénariste de longs métrages. Elle écrit et réalise des films documentaires depuis plus d’une dizaine d’années, et sa filmographie est importante et remarquée: pas d’année sans qu’un de ses films ne paraisse sur le petit écran et pas d’année sans remporter un prix dans les festivals spécialisés. Au début de cet entretien, voici le rappel de quelques-uns de ses films : Simone Veil, une loi au nom des femmes en 2009, Les Enfants perdus, une histoire de la jeunesse délinquante en 2013, les séries Protestants de France et Catholiques de France en 2016 et 2018. Et son dernier film Le journal d’une bonne, projeté tout récemment à la télévision.
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