Description

En un moment historique où un libre-échange peu ou mal maîtrisé semble régner en maître, les entreprises-du moins les plus grandes- redeviennent des lieux de pouvoir alternatifs.
Édictant leur propre droit (soft law), investissant de nouveaux champs, notamment sociétaux, elles ont parfois tendance à se comporter comme de véritables puissances féodales.
Comment, dans un monde ouvert et concurrentiel, faire en sorte que les entreprises retrouvent, via un politique de nouvelle facture, le sens de l’intérêt général ? 

Anne de Guigné,
Le capitalisme wooke, Quand l’entreprise dit le bien et le mal
Ed. Presses de la Cité, coll.La Cité