Pendant de longues années, le » leader » du Parti Communiste a séduit nombre de  Français par un parler franc, simple et imagé flirtant  avec les pires errements du  populisme. Aveugle aux déchirements de la France d’avant, sourd aux critiques qui  montaient de toutes parts, il a continué  à  défendre un modèle devenu obsolète.

Sophie Coeuré : « Georges Marchais ou la fin des Français rouges »  Ed. Payot