Description

Là, sur la route de la  mer, après le portail blanc, dissimulées derrière les haies de troènes,  les tilleuls et les hortensias, se trouvaient les vacances en Bretagne.  Août était le mois qui ressemblait le plus à la vie.”Après de longues  années d’absence, un jeune homme retourne dans la grande maison  familiale. Dans ce décor de toujours, au contact d’un petit cousin qui  lui ressemble, entre les après-midi à la plage et les fêtes sur le port,  il mesure avec mélancolie le temps qui a passé.Chronique d’un été en  pente douce…

Pierre Adrian, écrivain-voyageur. Que reviennent ceux qui sont loin.Gallimard