Musique aux Etoiles

Jean-Claude Mory

Nouveau «bébé» de Timeline, ce podcast est conçu spécialement pour vous (re)donner envie d’approfondir vos goûts en terme de musique classique. Que vous soyez simple amateur, même de loin, ou véritablement mélomane averti, vous aurez ici tout ce que vous avez voulu savoir sur la vie des compositeurs, leurs œuvres qui sont souvent un reflet de leur propre vie, en adéquation avec l’Histoire, sans jamais avoir osé le demander 😜 Chaque semaine, des rubriques pour vous parler musique, des interviews, des CD et livres, des manifestations à venir en France, tant dans les concerts, les festivals, les expositions, rubriques artistiques qui pourraient vous intéresser. Nous souhaitons vous inciter à les partager et les vivre comme on feuillette un journal spécialisé sur les sorties ! Expérience garantie ou certifiée, car nous serons présents à chaque fois pour mieux vous en parler, vous donner nos impressions, notre jugement, surtout en ce qui concerne la musique en général, l’opéra, les concerts et bien d’autres petites choses …. Conçu et animé par Jean-Claude Mory, ancien Régisseur général de l’Opéra de Paris ! Alors, «musique Maëstro» 🤩

Épisode 10 - 24/10/2023
Pour vous abonner, rien de plus simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-VzJHLHeL 1977, un matin d'un septembre sombre, le 16 pour être précis. Une nouvelle tragique se répand comme une onde de choc dans le monde entier : Maria Callas a rendu son dernier souffle. Son corps fragile a succombé à une crise cardiaque, mettant fin à une vie tumultueuse empreinte de passion et de drame. L'annonce de sa mort plonge le monde dans une profonde tristesse. Les médias se précipitent pour rendre hommage à cette voix qui a enchanté les foules et brisé les cœurs. Les amoureux de l'opéra se souviendront toujours de cette grande diva, dont la voix sublime et les émotions brutes ont transcendé les frontières de l'art. Le rideau s’est donc définitivement refermé sur la vie de Maria Callas, laissant derrière elle un héritage musical inégalé. Sa voix continue de résonner dans nos cœurs, rappelant l'époque dorée de l'opéra et l'immense talent de cette femme légendaire. Maria Callas, une étoile qui a brillé intensément, mais dont la lumière éternelle continuera de nous guider vers les sommets de l'art lyrique. Avec Jean-Claude Mory, nous allons vous raconter l'histoire fascinante de cette diva parmi les divas, dont la vie s'est déroulée dans l'éclat et la tragédie du XXe siècle. Nous allons voyager dans les années 1940 et 1950, une époque où l'Europe se remet encore des cicatrices de la Seconde Guerre mondiale. Au milieu de cette tourmente, va naître une voix qui allait ensorceler le monde entier. Maria Callas, née à New York en 1923, était destinée à devenir une icône de l'opéra. Avec sa voix puissante et expressive, elle évoque pour les contemporains des émotions profondes et transmet des histoires de passion, de douleur et de désir sur les plus grandes scènes du monde. Mais derrière ce talent immense se cache une âme tourmentée. Des amours tumultueuses, des rivalités brûlantes et des tragédies personnelles ont jalonné son chemin. Son mariage avec Giovanni Battista Meneghini, son amour passionné pour Aristote Onassis et leur douloureuse séparation ont nourri les tabloïds et les conversations mondaines de l'époque. Maria Callas c’était bien plus qu'une simple chanteuse d'opéra ; elle était une figure de légende. Son art a transcendé les limites de la scène pour toucher les cœurs et les esprits de millions de personnes. Elle a révolutionné l'opéra, façonnant un héritage intemporel qui continue de nous captiver aujourd'hui, la preuve, nous en faisons une émission. Préparez-vous à plonger avec nous dans le monde envoûtant de Maria Callas, où la musique, la passion et les drames se sont entremêlés pour créer une histoire, une histoire … inoubliable. Une émission commencée sur Timeline, 5.000 ans d'Histoire, avec Richard Fremder
Épisode 7 - 23/10/2023
Pour vous abonner, rien de plus simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-VzJHLHeL Difficile de rentrer directement dans une simple énumération de ces femmes qui ont été pour la plupart oubliées ou ont connu un destin « d’étoile filante ». Certaines auront été le reflet de leur époque, des mœurs et la place de la femme dans celles-ci ! En compagnie de Richard Fremder, historien, nous allons revenir sur cette grande histoire, en plusieurs épisodes ... (à retrouver également sur Timeline, 5.000 ans d’Histoire). « Oublions que je suis une femme et parlons musique » s’agaçait la grande Nadia Boulanger au siècle dernier. Les femmes furent sans cesse renvoyées à leur condition, celle d’épouse, mère ou sœur, priées de disparaitre en raison des conventions sociales ou au profit d’un frère comme Maria Anna Mozart, Fanny Mendelssohn, d’un mari pour Alma Mahler ou Clara Schumann ! et bien d’autres... La présence d’une femme sur « scène » pose problème ! Au XIXe siècle, une violoniste et sa gestuelle vigoureuse donc « virile » avec l’archet font dire à certains que c'est scandaleux de voir jouer une femme du violon comme de la voir fumer en public ! Le violoncelle où la femme écarte les jambes pour tenir l’instrument et en sortir des sons graves est indécent sans oublier les instruments à vent comme flûte, trombone, trompette et autres instruments classés dans la catégorie « cuivres » ! Malgré ces interdits, les femmes ont usé de stratagèmes pour contourner les interdits, emprunter des noms d’hommes pour les compositrices ou placer les instruments d’une façon différente comme pour la harpe ou le violoncelle…. Malheureusement, en les accusant de superficialité, voire d’user de leurs charmes, en les réduisant à leur apparence, on dénigre leur talent artistique et dès la fin du XIXe siècle certaines musiciennes défendront « la cause féminine » ! Égalité de traitement, de droits divers, d’être reconnues pour leur art et leurs compétences comme les hommes. Outre les obstacles rencontrés de leur vivant, beaucoup de ces musiciennes entrées dans cette volonté, subiront le sort de ne pas rester dans la postérité et tomberont pour la plupart dans l’oubli ! Si nous pouvions par cette chronique réécrire leur histoire, non pas parce que ce sont des femmes, mais de grandes musiciennes qui ont marqué leur temps voire l’histoire de leur instrument. Nous mettons l’accent sur leurs succès mais aussi sur leurs combats, leurs parcours de vie dans toute leur complexité et leur diversité.
Épisode 6 - 23/10/2023
Pour vous abonner, rien de plus simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-VzJHLHeL Difficile de rentrer directement dans une simple énumération de ces femmes qui ont été pour la plupart oubliées ou ont connu un destin « d’étoile filante ». Certaines auront été le reflet de leur époque, des mœurs et la place de la femme dans celles-ci ! En compagnie de Richard Fremder, historien, nous allons revenir sur cette grande histoire, en plusieurs épisodes ... (à retrouver également sur Timeline, 5.000 ans d’Histoire). « Oublions que je suis une femme et parlons musique » s’agaçait la grande Nadia Boulanger au siècle dernier. Les femmes furent sans cesse renvoyées à leur condition, celle d’épouse, mère ou sœur, priées de disparaitre en raison des conventions sociales ou au profit d’un frère comme Maria Anna Mozart, Fanny Mendelssohn, d’un mari pour Alma Mahler ou Clara Schumann ! et bien d’autres... La présence d’une femme sur « scène » pose problème ! Au XIXe siècle, une violoniste et sa gestuelle vigoureuse donc « virile » avec l’archet font dire à certains que c'est scandaleux de voir jouer une femme du violon comme de la voir fumer en public ! Le violoncelle où la femme écarte les jambes pour tenir l’instrument et en sortir des sons graves est indécent sans oublier les instruments à vent comme flûte, trombone, trompette et autres instruments classés dans la catégorie « cuivres » ! Malgré ces interdits, les femmes ont usé de stratagèmes pour contourner les interdits, emprunter des noms d’hommes pour les compositrices ou placer les instruments d’une façon différente comme pour la harpe ou le violoncelle…. Malheureusement, en les accusant de superficialité, voire d’user de leurs charmes, en les réduisant à leur apparence, on dénigre leur talent artistique et dès la fin du XIXe siècle certaines musiciennes défendront « la cause féminine » ! Égalité de traitement, de droits divers, d’être reconnues pour leur art et leurs compétences comme les hommes. Outre les obstacles rencontrés de leur vivant, beaucoup de ces musiciennes entrées dans cette volonté, subiront le sort de ne pas rester dans la postérité et tomberont pour la plupart dans l’oubli ! Si nous pouvions par cette chronique réécrire leur histoire, non pas parce que ce sont des femmes, mais de grandes musiciennes qui ont marqué leur temps voire l’histoire de leur instrument. Nous mettons l’accent sur leurs succès mais aussi sur leurs combats, leurs parcours de vie dans toute leur complexité et leur diversité.
Épisode 5 - 23/10/2023
Pour vous abonner, rien de plus simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-VzJHLHeL Difficile de rentrer directement dans une simple énumération de ces femmes qui ont été pour la plupart oubliées ou ont connu un destin « d’étoile filante ». Certaines auront été le reflet de leur époque, des mœurs et la place de la femme dans celles-ci ! En compagnie de Richard Fremder, historien, nous allons revenir sur cette grande histoire, en plusieurs épisodes ... (à retrouver également sur Timeline, 5.000 ans d’Histoire). « Oublions que je suis une femme et parlons musique » s’agaçait la grande Nadia Boulanger au siècle dernier. Les femmes furent sans cesse renvoyées à leur condition, celle d’épouse, mère ou sœur, priées de disparaitre en raison des conventions sociales ou au profit d’un frère comme Maria Anna Mozart, Fanny Mendelssohn, d’un mari pour Alma Mahler ou Clara Schumann ! et bien d’autres... La présence d’une femme sur « scène » pose problème ! Au XIXe siècle, une violoniste et sa gestuelle vigoureuse donc « virile » avec l’archet font dire à certains que c'est scandaleux de voir jouer une femme du violon comme de la voir fumer en public ! Le violoncelle où la femme écarte les jambes pour tenir l’instrument et en sortir des sons graves est indécent sans oublier les instruments à vent comme flûte, trombone, trompette et autres instruments classés dans la catégorie « cuivres » ! Malgré ces interdits, les femmes ont usé de stratagèmes pour contourner les interdits, emprunter des noms d’hommes pour les compositrices ou placer les instruments d’une façon différente comme pour la harpe ou le violoncelle…. Malheureusement, en les accusant de superficialité, voire d’user de leurs charmes, en les réduisant à leur apparence, on dénigre leur talent artistique et dès la fin du XIXe siècle certaines musiciennes défendront « la cause féminine » ! Égalité de traitement, de droits divers, d’être reconnues pour leur art et leurs compétences comme les hommes. Outre les obstacles rencontrés de leur vivant, beaucoup de ces musiciennes entrées dans cette volonté, subiront le sort de ne pas rester dans la postérité et tomberont pour la plupart dans l’oubli ! Si nous pouvions par cette chronique réécrire leur histoire, non pas parce que ce sont des femmes, mais de grandes musiciennes qui ont marqué leur temps voire l’histoire de leur instrument. Nous mettons l’accent sur leurs succès mais aussi sur leurs combats, leurs parcours de vie dans toute leur complexité et leur diversité.
Épisode 4 - 23/10/2023
Pour vous abonner, rien de plus simple, suivez ce lien : https://m.audiomeans.fr/s/S-VzJHLHeL Difficile de rentrer directement dans une simple énumération de ces femmes qui ont été pour la plupart oubliées ou ont connu un destin « d’étoile filante ». Certaines auront été le reflet de leur époque, des mœurs et la place de la femme dans celles-ci ! En compagnie de Richard Fremder, historien, nous allons revenir sur cette grande histoire, en plusieurs épisodes ... (à retrouver également sur Timeline, 5.000 ans d’Histoire). « Oublions que je suis une femme et parlons musique » s’agaçait la grande Nadia Boulanger au siècle dernier. Les femmes furent sans cesse renvoyées à leur condition, celle d’épouse, mère ou sœur, priées de disparaitre en raison des conventions sociales ou au profit d’un frère comme Maria Anna Mozart, Fanny Mendelssohn, d’un mari pour Alma Mahler ou Clara Schumann ! et bien d’autres... La présence d’une femme sur « scène » pose problème ! Au XIXe siècle, une violoniste et sa gestuelle vigoureuse donc « virile » avec l’archet font dire à certains que c'est scandaleux de voir jouer une femme du violon comme de la voir fumer en public ! Le violoncelle où la femme écarte les jambes pour tenir l’instrument et en sortir des sons graves est indécent sans oublier les instruments à vent comme flûte, trombone, trompette et autres instruments classés dans la catégorie « cuivres » ! Malgré ces interdits, les femmes ont usé de stratagèmes pour contourner les interdits, emprunter des noms d’hommes pour les compositrices ou placer les instruments d’une façon différente comme pour la harpe ou le violoncelle…. Malheureusement, en les accusant de superficialité, voire d’user de leurs charmes, en les réduisant à leur apparence, on dénigre leur talent artistique et dès la fin du XIXe siècle certaines musiciennes défendront « la cause féminine » ! Égalité de traitement, de droits divers, d’être reconnues pour leur art et leurs compétences comme les hommes. Outre les obstacles rencontrés de leur vivant, beaucoup de ces musiciennes entrées dans cette volonté, subiront le sort de ne pas rester dans la postérité et tomberont pour la plupart dans l’oubli ! Si nous pouvions par cette chronique réécrire leur histoire, non pas parce que ce sont des femmes, mais de grandes musiciennes qui ont marqué leur temps voire l’histoire de leur instrument. Nous mettons l’accent sur leurs succès mais aussi sur leurs combats, leurs parcours de vie dans toute leur complexité et leur diversité.