Stéphane Distinguin n'a pas 50 ans. Il est diplômé de SUP de CO paris qui a changé de nom . Après avoir été consultant et créateur de fonds d'investissement, il est devenu le fondateur et le président de l'agence d'innovation internationale Fabernovel en 2003. Faber Novel rassemble aujourd'hui 450 salariés et 17 agences sur 4 continents. Il est le président de la Grande Ecole du Numérique dont il a accompagné la création. De 2004 à 2010 il a été le Président de Silicon sentier. De 2013 à 2016 il a été membre du Conseil National du Numérique. De 2013 à 2019, il a été Président de Cap digital pôle de compétitivité et de transformation numérique réunissant plus de 1 000 entreprises et laboratoires. Il parle à l'oreille des membres du gouvernement depuis 15 ans.
Avec Fabernovel il a participé à la création de start-up telles que Digitick, Bureaux à Partager, Urban Campus. il a été à l'origine de La Cantine , premier coworking en Europe et lieu d'accueil, d'échange et de partage pour les acteurs de l'écosystème parisien et de Le Camping, un des premiers accélérateurs de start-up au monde. De par ses fonctions, il a participé au lancement en France de nouveaux formats d'événements et de rencontres tels que les BarCamps, les MobileMondays, les CleanTuesdays, TEDx Paris, ou encore les API days.
Il est devenu une éminence grise incontournable du digital, une référence pour tous les geek qui comptent bien devenir des leaders dans leur domaine. Quand cela bouge dans le Digital, il précède et il suit.
Il a publié chez JC Lattès en janvier 2022 « Et si on vendait La Joconde ? » un essai qui nous propose un voyage dans le monde de l'art, son histoire et son économie, et surtout une réflexion sur notre futur. « Et si on vendait la Joconde ? C'est la question que je me suis posée, face au Louvre, un matin du printemps 2020, alors que le monde entier s'était presque arrêté de respirer et se préparait à connaître une crise économique sans précédent. Publiée dans la presse, ma proposition a été reprise aux quatre coins du globe sous des airs de scandale.
Je venais d'ouvrir la boîte de Pandore. Pourtant, j'étais animé par une seule préoccupation : comment trouver de l'argent pour sauver le monde de la culture et permettre aux artistes de continuer à écrire notre futur. »
À partir d'une question aussi aberrante que sérieuse, il nous propose un voyage enthousiaste et curieux de la Florence des Médicis au San Francisco des start-up, de la technique du sfumato à la blockchain, de Charlemagne à Dan Brown. Il nous raconte l'histoire passionnante du marché de l'art, de son économie, de l'évolution de ses pratiques et il parvient à nous faire reconsidérer ce qui semblait être l'évidente réponse à sa question.
Il s'investit dans la vie associative en étant membre du conseil d'administration de plusieurs fonds ou associations :
· Le Fonds de Dotation ADIE qui permet à des personnes qui n'ont pas accès au système bancaire traditionnel de créer leur propre entreprise)
· L'Unicef
· Le Conseil d'administration de la Cité de la céramique – Sèvres & Limoges (depuis 2010)
Depuis juillet 2018, il est le président de l'Association ESCP Europe Alumni.
Il est chroniqueur pour Stratégies, Libération, les Echos.
En 2021, il a été nommé pour représenter la France pour le choix du design des futurs billets de l'Euro.