Y’a des sujets dont ne ne parle pas. Et d’autres qu’on arrête pas de remettre sur le tapis.
On évite de dealer avec les choses les plus difficiles. Alors, on rabâche l’ancien et on se raconte des banalités pour se donner un semblant de consistance.
Pourtant, ce sont les vraies affaires qui vont nous faire avancer.
Bien sûr, c’est pas la chose la plus facile que de dire en face ce qu’on pense tout bas et de soulever ce qu’on a sur le coeur.
C’est pour ça que j’ai envie de parler de deuil.
Parce que, ça fait maintenant deux ans que j’ai perdu ma grand-mère Marguerite, que je l’aime énormément et que je ne laisserai pas les règles de bienséance me dicter ce qu’il faudrait dire ou pas.
Vivre, pour de vrai, c’est expérimenter tout le spectre des émotions qui est à notre portée.
Un des plus anciens textes de l’Ayurveda dit même « la compassion et la compréhension ne peuvent grandir que de la souffrance »
Ça veut dire quoi?
Simplement que c’est par la souffrance, par les épreuves que la vie nous donne, qu’on devient des êtres si exceptionnels.
Je me donne donc cette mission : parler des sujets un peu perturbants, voire même oubliés, quand c’est nécessaire.
Pour qu’on jour, peut-être, on se souvienne de revenir à l’essentiel et de mettre sur un piédestal ce qui compte vraiment.
L’Amour, avec un grand A.
C’est ce que je souhaite te partager dans l’épisode d’aujourd’hui.
Souviens-toi, laisser ta trace dans le monde, c’est ça aussi.
C’est parler avec ton cœur.
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Générique de l'émission : Drunken Wizard de Amandine Oberlin
Musique de fin : Solfeggio Love Frequency Music Healing