PSF EXPRESS - Le balado du secteur postsecondaire francophone -

Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada - RCCFC

Nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant le secteur de l’éducation supérieure au pays et dans le monde. Lors de nos balados, nous discutons avec des personnes qui oeuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire en français.Nous vous proposons des entretiens avec des leaders du monde de l’éducation postsecondaire qui nous propose des innovations, des pratiques gagnantes de leur établissement ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel et leur vision. Ces émissions sont réalisées par le Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC avec le soutien du ministère du Patrimoine canadien.

Nous avons discuté dans le cadre de notre balado avec Monsieur Denis Cristol. Titulaire d’un doctorat en sciences de l’éducation de l’Université Paris Nanterre et chercheur associé à cette même université, Monsieur Cristol occupe le poste de directeur Innovation et pédagogie à l’Association pour le Progrès du Management. Créée en 1987, l’Apm est une école de questionnement des dirigeants francophones qui est présente partout dans le monde. Monsieur Cristol nous entretiendra sur la pédagogie de la joie, une approche basée sur l’imagination. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------ À propos de ce balado Avec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde. Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire. Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel. Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien. Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
Le Cégep Marie-Victorin à Montréal a fait le constat, avec ses partenaires des ministères de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur et du Service correctionnel du Canada (SCC), que des bases de formation solides ont été implantées. Les activités de formation offertes ont, en effet, généré une participation continue ayant permis de former plus de 5000 étudiants. Au fil des ans, le Cégep est donc devenu un acteur incontournable et un chef de file de l’éducation en milieu carcéral. Son expertise et ses réalisations lui ont mérité l’appui et la reconnaissance de plusieurs intervenants et chercheurs de ce domaine. Les programmes Présentement, la Direction de la formation continue du Cégep Marie-Victorin concentre ses activités en milieu carcéral dans trois établissements: le Centre fédéral de formation à Laval, l’établissement de Cowansville et celui de Joliette, le seul pénitencier pour femmes au Québec. Le Cégep offre, en français et en anglais, des formations adaptées aux besoins exprimés dans chacun d’entre eux: des attestations d’études collégiales (AEC) enInformatisation de la gestion d’une petite entreprise, enRéseautique et support technique en informatiqueet enDémarrage et gestion de son entrepriseau Centre fédéral de formation; un Diplôme d’études collégiales (DEC) enSciences humainesà l’établissement de Cowansville; une attestation d’études collégiales de spécialisation enBureautiqueà l’établissement de Joliette. Le Cégep offre aussi des programmes non formels tels que Préparation à la sortie, Vivre au masculin et Accompagnement en communauté dans les pénitenciers fédéraux du Québec. La mission particulière de l’enseignement en milieu carcéral En participant activement, grâce à son offre de formations, au développement des habiletés sociales ainsi que des compétences (savoir, savoir-faire et savoir-être) des personnes judiciarisées, le Cégep Marie-Victorin contribue à leur réinsertion sociale, entre autres en facilitant leur accès au milieu du travail. Voici ses principaux objectifs: assurerà l’étudiante ou à l’étudiant une formation polyvalente lui permettant d’acquérir des compétences visant l’amélioration de son employabilité, favoriserl’acquisition chez cette clientèle particulière d’habiletés intellectuelles, conceptuelles et méthodologiques, l’aidant à comprendre et à juger les réalités personnelles et sociales, permettre à l’étudiantes ou à l’étudiant de découvrir de nouvelles valeurs humaines, culturelles et sociales, l’amenant à une meilleure estime de soi et à une plus grande ouverture sur le monde. La qualité de la formation reçue en établissement est parfois complétée en communauté. Nous avons le plaisir de nous entretenir avec Julie Hautin, directrice adjointe formation continue et services aux entreprises chez Cégep Marie-Victorin. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------ À propos de ce balado Avec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde. Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire. Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel. Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien. Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
Perçue comme une innovation dans les années 2000, l’internationalisation de l’enseignement supérieur est devenue une pratique courante, voire la norme, pour la plupart des établissements d'enseignement supérieur. La pandémie a certes eu des conséquences aux plans de la mobilité internationale et de l’enseignement à distance, mais quels seront ses impacts à moyen et long terme? Sébastien Linden a occupé par le passé les postes d’attaché de coopération scientifique et universitaire à l’Ambassade de France en Israël et de responsable de Sciences Po pour le Maghreb et le Moyen-Orient. Associé gérant de la firme française Linden & Swift, il œuvre désormais comme consultant en internationalisation. Auteur de l’article Internationalisation de l’enseignement supérieur: 10 tendances à scruter en 2021 publié récemment par News Tank Éducation et recherche, il a accepté de partager ses réflexions avec nous. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------ À propos de ce balado Avec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde. Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire. Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel. Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien. Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
Depuis quelques années, le marché du travail canadien est marqué par les changements technologiques, ce qui crée une demande de travailleurs possédant de nouvelles compétences. À cette situation s’ajoute la perte d’emplois causée par la pandémie. Il en résulte que souvent, les nouveaux chômeurs ne pourront pas retrouver leur ancien emploi, un grand nombre d’entre eux étant associés à des segments déjà vulnérables de la population. Le besoin de perfectionnement qui en résulte a donné naissance à une tendance de mise en place de cours de courte durée qui se concentrent sur des compétences précises exigées par les employeurs et qui mènent à ce qu’on appelle des microcertifications ou « microtitres de compétences ». Les cégeps et les collèges ont l’expérience et le savoir-faire requis pour les offrir. Le marché actuel du travail fait face à un double défi : d’une part, les employeurs doivent trouver des personnes ayant une formation appropriée pour travailler dans des lieux de travail transformés et, d’autre part, les travailleurs doivent mettre à jour leurs compétences en se perfectionnant ou en optant pour un autre type d’emploi. En raison de leur rôle important au plan du développement des compétences de la main-d’œuvre et de leurs liens étroits avec l’industrie, les cégeps et les collèges sont particulièrement bien placés pour jouer un rôle de premier plan dans la mise au point de ce genre de formation. ------------------------------------------------------------------------------------------------------------ À propos de ce balado Avec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde. Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire. Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel. Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien. Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
L’égalité entre les femmes et les hommes est loin d’être effective et l’industrie numérique n’échappe pas à cette problématique. Aujourd’hui, nous discutons de l’état de la situation et pistes de solutions.Le Conseil supérieur de l’éducation a rendu public, en décembre dernier, l’étude Le numérique : une culture genrée. Ce document fait état de la faible représentation des femmes dans les formations et les professions du numérique.Les statistiques sont éloquentes. En 2018-2019, les femmes ne représentaient que 6 % des inscriptions dans les techniques d’électronique et d’informatique au niveau collégial au Québec. Il s’agit d’une très faible hausse de 1 % par rapport à 2007-2008.Tel que mentionné dans l’étude, « au baccalauréat en informatique, bien que leurs effectifs aient plus que quadruplé en nombres absolus depuis 2007-2008, la proportion actuelle de femmes n’atteint que 19 % au Québec (10 % en 2007-2008), le plus faible pourcentage de tous les domaines des sciences pures et appliquées. Enfin, les femmes représentaient, en 2018-2019, 16 % des inscriptions au baccalauréat en génie informatique. Cette situation est similaire aux proportions observées dans le reste du Canada, tous cycles universitaires confondus, selon des chiffres datant de 2011. Dans l’ensemble des domaines des sciences et du génie, tant au Québec qu’au Canada, l’écart dans la proportion d’hommes et de femmes est le plus grand dans le génie (toutes spécialités confondues), suivi des sciences de l’informatique. »De plus, les stéréotypes associés au numérique ne sont pas les mêmes partout. Tel que mentionné dans l’étude, « contrairement à l’Europe de l’Ouest et aux Amériques, le nombre de femmes choisissant d’étudier les sciences pures et appliquées connaît une croissance au Moyen-Orient, en Afrique du Nord, en Asie du Sud-Ouest et en Afrique subsaharienne. Pour ce qui est des sciences informatiques, le cas de la Malaisie est bien documenté. Les femmes représentent plus de la moitié des diplômées et des diplômés dans les programmes universitaires de ce domaine. Lorsqu’elles sont interrogées sur les raisons de leurs choix, elles décrivent les professions informatiques comme convenant bien aux femmes puisqu’elles impliquent un travail sécuritaire, effectué à l’intérieur et sans exigences physiques. Plusieurs notent que leurs pères les ont incitées à choisir ce domaine. Elles ne perçoivent pas le numérique comme particulièrement masculin. »Malgré tous les efforts faits depuis des décennies pour intéresser les jeunes femmes d’ici aux sciences, il n’en demeure pas moins qu’elles se révèlent grandement minoritaires à étudier dans un secteur au sein duquel les salaires sont particulièrement élevés. Quels sont les facteurs expliquant cette situation?Pour nous entretenir sur les jeunes femmes au collégial et l’industrie du numérique, nous recevons aujourd’hui trois représentantes du Conseil supérieur de l’éducation du Québec : Madame Maryse Lassonde, présidente,Madame Hélène Gaudreau, coordonnatrice du Comité du rapport sur l’état et les besoins de l’éducation,Madame Nadine Forget-Dubois, agente de recherche et de transfert nous parle dans un premier temps de l’état de la situation.Bonne écoute!------------------------------------------------------------------------------------------------------------À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout
Qu’il s’agisse des algorithmes qui influencent nos recherches sur le web et les publicités qui nous sont proposées OU des assistants virtuels Alexa, Cortana, Siri ou Google Assistant, l’intelligence artificielle est de plus en plus présente dans nos vies.Le Collège Bois-de-Boulogne est partie prenante de cette révolution sociétale et contribue à la consolidation de la place de Montréal à titre de leader de l’intelligence artificielle dans le monde. Il se démarque non seulement par sa spécialisation technique en intelligence artificielle, mais aussi par JACOBB, son centre d'intelligence artificielle appliquée situé qu’il a mis sur pied, en collaboration avec le Cégep John Abbott. Nous avons aujourd’hui le plaisir d’accueillir :Monsieur Simon Delamarre, directeur de la formation continue et des services aux entreprises du Collège Bois-de-Boulogne,Madame Halia Ferhat, conseillère pédagogique et responsable du programme de spécialisation technique en intelligence artificielle,de même que Monsieur Charles Boisclair, directeur, Développement et partenariats chez Jacobb, le centre collégial de transfert de technologie en intelligence artificielle. ----------------------------------------------------------------------À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment  Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
L’Institution Kiuna a été mise sur pied par le Conseil en Éducation des Premières Nations. Suivant une décennie de consultations auprès des communautés autochtones du Québec et moultes exercices de représentations auprès des instances gouvernementales, ce sera finalement en novembre 2010 qu’il obtiendra l’autorisation officiel de démarrer les activités de Kiuna et, en août 2011, que les premiers étudiants y seront accueillis.L’Institution Kiuna a pour objectif de former des citoyens des Premières Nations compétents dans leur domaine respectif, fiers héritiers de leur patrimoine culturel, socialement responsables, soucieux du bien-être de leur communauté et ouverts sur le monde. De manière plus générale, sa mission est de valoriser la culture et l’identité des Autochtones et de prôner les valeurs qui leur sont propres. La sensibilisation des allochtones aux réalités des Premières Nations est aussi un aspect important de son action. C'est pourquoi Kiuna est ouverte à tous les étudiants qui souhaitent en apprendre davantage sur les Premières Nations et leurs cultures.Elle vise à démocratiser l’accès à l’enseignement postsecondaire pour les membres des Premières Nations. Ce centre d’études collégiales est aujourd’hui reconnu pour ses services éducatifs culturellement adaptés, qui se traduisent notamment par un environnement unique à l’intérieur duquel les programmes, les services aux étudiants, les ressources humaines, les méthodes d’enseignement et le matériel pédagogique tiennent compte de la culture et des traditions autochtones.Kiuna, c’est l’appropriation de l’école par les Premières Nations sans en extraire les savoirs occidentaux. Il s’agit d’un lieu de revalorisation et de revitalisation des langues et des cultures des Premières Nations où l’on apprend non seulement les perspectives et visions du monde propres aux Premières Nations, mais aussi leurs multiples contributions culturelles à la société mondialisée actuelle. Surtout, on y célèbre les manières d’être et de faire des Premières Nations.Jean Léger s'entretient avec Prudence Hannis, Directrice de l'Institut Kiuna.-----------------------------------------------------------------------À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment  Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
Bell Canada a lancé, le 13 janvier 2021, le Fonds postsecondaire Bell Cause pour la cause afin de bonifier les services de santé mentale aux étudiantes et aux étudiants. Ce fonds comprend deux initiatives pour soutenir les établissements d’enseignement postsecondaire dans leur mise en œuvre de la nouvelle Norme nationale du Canada sur la santé mentale et le bien-être des étudiants du postsecondaire. D’abord, deux millions et demi de dollars en dons de lancement sont offerts aux établissements d’enseignement postsecondaire pour leur permettre de mettre en œuvre la Norme, alors que des fonds supplémentaires seront offerts ce printemps pour les nouveaux programmes de santé mentale pour les étudiants.Marjolaine Lachance, gestionnaire principale des investissements communautaires, nous renseigne sur la façon dont les institutions collégiales et universitaires canadiennes peuvent bénéficier de l’appui du Fonds postsecondaire Bell Cause pour la cause.Pour toute question au sujet du Fonds postsecondaire Bell Cause pour la cause, veuillez écrire à l’adresse santementalepostsecondaire@bell.caAfin d'avoir plus d'information sur le Fonds, vous rendre sur le site suivant :https://cause.bell.ca/fr/possibilites-de-financement-----------------------------------------------------------------------À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment  Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
Les premières semaines de décembre constituent un moment difficile de l’année pour les étudiantes et les étudiants. Cette période est caractérisée par le début de l’hiver et la fin de la session. En 2020, COVID-19 oblige, s’est ajoutée l’adaptation – parfois difficile - à l’enseignement à distance, malgré les présentations Powerpoint colorées des professeurs et les jeux interactifs, et pour les nouveaux venus, la transition entre le secondaire et le collégial. Le cégep de l'Abitibi-Témiscamingue innove avec une escouade du réconfort pour ses étudiants. On discute de cette belle initiative avec Kathleen Slobodian. Afin de briser l’isolement de ses étudiantes et de ses étudiants qui se retrouvent derrière un écran à faire des travaux et des examens et aussi pour favoriser leur motivation, leur persévérance et leur rétention, une « escouade réconfort » a été créée par le Cégep de l’Abitibi-Témiscamingue.  Au total, 94 étudiants et étudiantes à travers leurs trois campus, sur un total de 2800, ont donné leurs coordonnées pour recevoir la visite de l’« escouade réconfort » et, par le fait même, une petite attention de la part du collège. Coiffés d’un chapeau de Noël et affublés de guirlandes, une quinzaine d’employés du Service des Affaires étudiantes et des communications des trois campus du cégep ont participé à la distribution, en respectant les normes sanitaires en vigueur. Après Rouyn-Noranda et Amos le 7 décembre, la distribution s’est poursuivie le 14 décembre à Val-d’Or.  En plus de les encourager à bien terminer la session en cours, ils leur ont remis des petites douceurs, comme des Cup Cakes ou un bon chocolat chaud, et leur ont même fait jouer leur chanson préférée, via leur téléphone cellulaire ou la stéréo de la voiture électrique, propriété du cégep. -----------------------------------------------------------------------À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment  Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
La Norme nationale du Canada sur la santé mentale et le bien-être pour les étudiants du postsecondaireMichel Rodrigue est vice-président, Rendement organisationnel et affaires publiques à la Commission de la santé mentale du Canada. La Norme nationale du Canada sur la santé mentale et le bien-être pour les étudiants du postsecondaire est la première du genre au monde. Sous l’égide de la Commission de la santé mentale du Canada, en collaboration avec le Groupe CSA, elle a été élaborée à la lumière de vastes consultations, de recherches et de dialogues avec des étudiants, des administrateurs d’établissements d’enseignement postsecondaire et des personnes ayant une expérience présente ou antérieure de maladie mentale. Les études postsecondaires constituent une période effervescente pour bien des apprenants. Mais elles peuvent aussi être une source de stress, causés notamment par :le déménagement loin de la maison, le fait de devoir s’habituer à lieux inconnus, ces nouvelles relations avec lesquelles ils doivent conjuguer, de lourdes charges de travail, la pression pour réussir, la conciliation travail-études ou travail-famille-études,les soucis financiers,et autres facteurs!L’incertitude et les inquiétudes pour la santé provoquées par la COVID-19 constituent des facteurs de stress additionnels. Combinés, ces facteurs peuvent compromettre la santé mentale et le bien-être, particulièrement chez les étudiants qui présentent des conditions sous-jacentes ou qui font face à des difficultés additionnelles causées par des invalidités, des inégalités raciales ou des iniquités systémiques.Quelques statistiques justifiant le développement de la Norme :Plus de 60 % des étudiants ont affirmé avoir ressenti un stress « supérieur à la moyenne » ou « énorme » au cours de la dernière année,Près de 90 % ont dit s’être sentis dépassés à un moment ou un autre. Plus de 40 % ont affirmé que le stress avait nui à leur rendement scolaire. Environ 16 % ont sérieusement songé au suicide, et près de 3 % ont fait une tentative de suicide au cours de la dernière année.La Norme est une occasion pour les établissements postsecondaires d’affirmer leur engagement pour la santé mentale et le bien-être des étudiants tout en profitant d’une expertise et de connaissances reposant sur un ensemble de principes fondamentaux : agir d’une façon centrée sur l’étudiant, inclusive, éclairée, réduisant les préjudices, favorisant la santé, renforçant la communauté et axée sur l’amélioration continue.Une courte vidéo présente la Norme et le contexte justifiant sa pertinence. Une trousse de démarrage est aussi à la disposition des institutions postsecondaires. -----------------À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones
Conseillère pédagogique au Cégep de l’Outaouais pendant plusieurs années, Martine St-Germain est professeure et chercheuse à l’Université du Québec à Montréal.  Son sujet d’intérêt a trait à la mise en place et au maintien d’une relation pédagogique de coopération entre l’enseignant ou l’enseignante et ses apprenants au collégial. Ses travaux de recherche portent aussi sur l’accompagnement des enseignantes et des enseignants vers l'appropriation de pratiques pédagogiques innovantes centrées sur l'apprentissage et adaptées à la formation à distance. Elle s'inspire, au quotidien, des enseignantes et des enseignants qui l'entourent pour développer, au sein des institutions qu’elle côtoie, une culture pédagogique inspirée d’une approche humaniste.Établir une relation pédagogique de coopération en classe au collégial constitue, en quelque sorte, une invitation pour l’enseignante ou l’enseignant à instaurer un partenariat avec ses étudiants pour un climat de classe harmonieux. Les relations sociales dans la salle de classe sont bousculées depuis l’arrivée des ordinateurs portables, tablettes et téléphones cellulaires. Les apprenants peuvent désormais communiquer avec le monde extérieur et entre eux en temps réel et en tout temps, et ce, silencieusement.  Autrefois hermétiques, les murs de la classe ne constituent plus une barrière à la distraction, et les étudiants laissent parfois leur attention se détourner des apprentissages à effectuer. Le professeur doit, de ce fait, revoir à la fois ses pratiques pédagogiques et ses pratiques relationnelles pour s’adapter à cette nouvelle réalité, pour créer des ponts entre des situations de communications divergentes et pour mettre en place un climat propice aux apprentissages. Dans ce contexte, instaurer une relation pédagogique de coopération en classe peut s’avérer particulièrement utile, car cela lui permet d’établir, de concert avec l’ensemble de la classe, un projet commun et les moyens nécessaires à sa réalisation. Le concept de coopération installe, en effet, les divers acteurs dans une situation de dépendance mutuelle face à l’atteinte d’un but commun qu’ils établissent ensemble et qui rejoint les préoccupations de tous. À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment  Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
Deux dirigeants du Collège La Cité, à Ottawa, ont collaboré étroitement afin de développer une application d’accès au campus permettant à ses étudiants, employés et visiteurs de s’autoévaluer en répondant à des questions de santé publique relatives à la COVID-19. Grâce à cet outil Web, l’entrée est désormais facilitée et les normes de sécurité en cette période de pandémie respectées.  Frédéric Thibault-Chabot est doyen à l’Enseignement pour les secteurs des métiers spécialisés, de l’agroalimentaire, des technologies, des arts et de la communication à La Cité. Pascale Morin occupe, pour sa part, le poste de gestionnaire, Support aux systèmes corporatifs, Technologies de l’information à La Cité. Les personnes souhaitant accéder à La Cité doivent obtenir l’autorisation le jour même, et ce, via leur téléphone cellulaire ou leur ordinateur. Pas d’exception! Afin d’accéder à l’application, ils peuvent utiliser leur code QR ou, tout simplement, entrer l’URL www.collegelacite.ca/entree. Les étudiantes et les étudiants qui ont accès au campus ne sont définitivement pas ceux inscrits en techniques administratives. Ce sont plutôt celles et ceux admis dans un programme en soins paramédicaux, en cuisine, en soutien informatique ou en construction. Et, ils s’y rendent seulement pour participer à des laboratoires. Ils viennent à La Cité démonter un ordinateur ou construire une maison. D’autres actions ont été prises par La Cité pour faire face à la pandémie. L’établissement a, bien sûr, maximiser le nombre de cours à distance. Il a aussi été décidé d’espacer les postes de travail dans les classes accueillant les laboratoires, d’augmenter la ventilation commerciale (pour permettre un meilleur échange d’air), d’accroître les équipements de protection individuelle, d’obliger le port d’un masque en tout temps à La Cité et de rendre la désinfection obligatoire après chaque période de cours.  Les principaux avantages de l’application  Les personnes n’ont pas à faire la file à l’extérieur très longtemps. La carte d’étudiant ou d’employé suffit, en plus bien évidemment de l’autorisation obtenue via l’outil Web.En établissant des liens entre les horaires de travail des employés et de cours des étudiants, la base de données des personnes en auto-isolement et la liste des permissions d’accès au campus, l’outil Web permet au Collège La Cité de s’assurer que seules les activités essentielles soient maintenues sur le campus.Elle permet à l’établissement de retracer plus facilement les cas potentiels de la COVID-19 et de faire les suivis appropriés, selon les directrices de la Santé publique, et ce, grâce à un processus automatisé, développé en parallèle par La Cité. Il y aura, de plus, désinfection additionnelle des lieux fréquentés par la personne atteinte.À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment  Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou
La pandémie a inévitablement modifié les liens entre les institutions, les enseignants, les parents et les étudiants. Comment la notion de continuité pédagogique a-t-elle émergé, puis dominé l’ensemble des questions éducatives en période de confinement? L’enseignement à distance, l’école à la maison et le tournant numérique sont définitivement au cœur de la nouvelle dynamique. La continuité pédagogique étant révélatrice de plusieurs paradoxes du système éducatif, quelles sont les pistes de perspectives relatives à cette période si singulière que nous venons de vivre?La mise en œuvre de la continuité pédagogique en situation de crise interroge entre autres la capacité des institutions postsecondaires à relever le défi technopédagogique avec un recours exclusif au numérique. Comment les apprenants ont-ils vécu cette nouvelle façon de faire aux plans suivants : dimension psychoaffective (davantage éprouvée dans les relations), changement dans le processus d’apprentissage et nécessité de prendre des initiatives dans les contraintes. Dans la mesure où les étudiantes et les étudiants font l’expérience de l’autonomie et qu’ils doivent se mobiliser autour d’un projet professionnel solide pour soutenir leur engagement, pourrait-il y avoir un effet de décrochage à retardement pour celles et ceux qui n’ont pas encore décidé de leur avenir? Le rôle des réseaux, dans un monde dans lequel personne ne doit être laissé de côté, serait-il vital?Bref, quels sont les grands enseignements de la crise (notamment, la nécessité d’être connecté plus que jamais pour les institutions) et les approches de gestion de celle-ci, en lien avec leur préparation à vivre ces situations?Dans le cadre de ce balado, nous nous sommes entretenu avec Didier Paquelin, professeur titulaire à la Chaire de leadership en pédagogie de l’enseignement supérieur et directeur des programmes de 2e et 3 e cycles en technologie éducative à la Faculté des sciences de l'éducation de l’Université Laval.À propos de ce baladoAvec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui œuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous racontent leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment  Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. Ce balado est animé par Jean Léger, directeur général du RCCFC.
François Delwaide est technicien en environnement et développement durable au Collège Ahuntsic. Il a proposé l’été dernier, pour le bienfait des étudiantes et des étudiants, un projet pilote de pédagogie en plein air. Trois enseignants ont rapidement démontré leur intérêt pour ce projet :Julie Gauthier, enseignante en anthropologie,Hélène Jacoy, enseignante en biologie,Benoît Gaulin, enseignant en sociologie.La Direction des études et la Direction des ressources matérielles, sans oublier la Direction des affaires étudiantes, car il y avait aussi une activité du comité d’arts visuels, ont uni leurs forces pour que le projet soit réalisable très rapidement. La COVID a donné un coup d’accélérateur pour démontrer la faisabilité d’un tel projet. Les étudiants sont arrivés au boisé Saint-Sulpice, qui est situé juste à côté de l’établissement, équipés d’une chaise pliante ou tout simplement assis par terre, et ont maintenu les deux mètres règlementaires lors des cours. C’est ainsi que des étudiantes et des étudiants du cours Anthropologie des peuples autochtones ont pu échanger avec une grande cinéaste abénakise. Les biologistes en herbe ont pu, pour leur part, réaliser une classification sommaire des plantes indigènes et envahissantes prenant place dans ce magnifique parc protégé. Avec ce projet, le Collège Ahuntsic innove grâce à des techniques pédagogiques originales, mais aussi en mettant de l’avant des contenus stimulants et variés. Même en contexte de pandémie, l’institution démontre sa capacité à s’adapter, à imaginer et à proposer des alternatives enrichissantes pour ses étudiantes et ses étudiants, aux incidences positives aux plans cognitif, physique, mental et académique. Et, il s’agissait aussi d’une belle façon – enfin, j’imagine – de créer un lien pour l’enseignant avec sa classe et de permettre le développement de lien entre les étudiantes et les étudiants.Les principaux avantages de la pédagogie en plein air : Assurer la tenue des cours en présentiel de façon sécuritaire en pleine crise sanitaire,Briser l’isolement chez les jeunes qui suivent généralement les cours en ligne,Faire vivre aux étudiants, en variant le contexte d’apprentissage, une expérience pédagogique originale et novatrice bénéfique à leur motivation, à leur créativité et à leur réussite,Augmenter la concentration des étudiants et diminuer le stress,Mettre de l’avant des savoirs concrets directement à l’endroit où certains phénomènes sont observables,Contribuer à l’éducation des étudiantes et des étudiants à l’environnement et à l’écocitoyenneté.Avec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui oeuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous raconte leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.Si ce n’est déjà fait, je vous invite à vous abonner à notre balado immédiatement sur l’application que vous utilisez pour nous écouter en ce moment  Que ce soit iTunes, Podbean, Stitcher, TuneIn Radio, Spotify, Overcast, ou encore Google Podcasts ou encore sur notre site web à l’adresse rccfc.ca. 
Ancien directeur de la rédaction de l’Etudiant, ancien rédacteur en chef du Monde Etudiant. Olivier Rollot a développé de nombreuses expertises au service des communautés éducatives. Son expérience fait de lui un expert confirmé des stratégies de relation presse et des enjeux de communication et d’image pour l’enseignement supérieur. Il est également un expert reconnu des pédagogies innovantes et des nouveaux publics de l’enseignement supérieur, il est en effet l'un des experts français de la Génération Y. Olivier Rollot est directeur exécutif du pôle communication de HEADway Advisory depuis 2012 et rédacteur en chef de "l’Essentiel du Sup" (newsletter hebdomadaire) et de "l’Essentiel Prépas" (webzine mensuel).Aujourd’hui, on vous présente un entretien avec Olivier Rollot, directeur exécutif du pôle communication de HEADway Advisory. Nous discutons avec lui, sur Comment l’enseignement supérieur va-t-il résister à la crise post Covid-19 en Europe ?---Avec notre balado, nous vous présentons des nouvelles et nouveautés touchant de l’éducation supérieure au pays et dans le monde.Nous discutons avec des personnes qui oeuvrent à enrichir l’éducation postsecondaire.Nous vous proposons des entretiens avec des personnes qui parle d’innovations, de bonnes pratiques ou tout simplement nous raconte leur cheminement professionnel.Cette émission est rendue possible grâce au soutien du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada, le RCCFC qui est appuyé financièrement par le ministère du Patrimoine canadien.