Vous avez peut-être déjà croisé la route de publicités pour le quick commerce dans le métro : des affiches colorées et des noms de start-ups qui claquent ! Flink, Dija, Getir, Gorillas, Cajoo… On dirait des noms de super-héros : ça envoie du lourd, ça envoie du rêve ! Leur promesse : vous livrez tout ce dont vous avez besoin, du dentifrice, des glaces saveur Oreo ou encore du papier toilette, en un clic et en moins de 10 minutes ! Elle n'est pas belle la vie ?

Sauf que, derrière ce nouveau service qui a l’air génial, il y a des choses que l’on ne nous dit pas, comme les « dark stores », ces entrepôts fantômes dont le quick commerce a besoin pour fonctionner, ou encore la précarisation à marches forcée des livreurs…

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