C'est la nuit qui nous unit

L'émission nocturne de lecture à deux voix.

defense.gouv.fr/mission-liberation

defense.gouv.fr/mission-liberation

defense.gouv.fr/mission-liberation

Paroles de soldats, lettres, journaux intimes et témoignages : voici ce que les héros du 6 juin 1944 et des jours qui ont suivi nous ont laissé comme témoignages. defense.gouv.fr/mission-liberation

Avec au mi temps de cet épisode, une interview de Jean-Pierre Guéno par Valérie Thorin.

Ces « paroles de détenus » sont le fruit d'appels radiophoniques lancés sur les antennes de Radio France à la veille de l'An 2000. Les 2000 témoignages collectés à la suite de ces appels ont été complétées par un travail personnel. Ma sélection finale a permis de publier les témoignages les plus forts, les plus authentiques, les plus sincères, les plus émouvants. La condition humaine en milieu carcéral place les détenus tout au bord du gouffre de l’inhumanité. La prison qui pourrait et qui devrait leur permettre de se reconstruire et de retisser avec la société des liens qui les en ont exclus devient trop souvent pour eux la grande école du crime. Qu’ils soient sur le point d’être détruits par la prison ou qu’ils essayent de s’y reconstruire, le « long désapprentissage d’eux-mêmes » qu’ils y subissent leur y fait souvent découvrir ou redécouvrir des choses, des sentiments essentiels. Alors, dans la souffrance de la désespérance ou dans l’espoir de la « reconstruction », leur âme vibre : elle exprime la plainte d’Icare prisonnier de son labyrinthe aussi concret qu’existentiel. Elle exprime le chant de la condition humaine. Jean-Pierre Guéno

Ces « paroles de détenus » sont le fruit d'appels radiophoniques lancés sur les antennes de Radio France à la veille de l'An 2000. Les 2000 témoignages collectés à la suite de ces appels ont été complétées par un travail personnel. Ma sélection finale a permis de publier les témoignages les plus forts, les plus authentiques, les plus sincères, les plus émouvants. La condition humaine en milieu carcéral place les détenus tout au bord du gouffre de l’inhumanité. La prison qui pourrait et qui devrait leur permettre de se reconstruire et de retisser avec la société des liens qui les en ont exclus devient trop souvent pour eux la grande école du crime. Qu’ils soient sur le point d’être détruits par la prison ou qu’ils essayent de s’y reconstruire, le « long désapprentissage d’eux-mêmes » qu’ils y subissent leur y fait souvent découvrir ou redécouvrir des choses, des sentiments essentiels. Alors, dans la souffrance de la désespérance ou dans l’espoir de la « reconstruction », leur âme vibre : elle exprime la plainte d’Icare prisonnier de son labyrinthe aussi concret qu’existentiel. Elle exprime le chant de la condition humaine. Jean-Pierre Guéno

Ces « paroles de détenus » sont le fruit d'appels radiophoniques lancés sur les antennes de Radio France à la veille de l'An 2000. Les 2000 témoignages collectés à la suite de ces appels ont été complétées par un travail personnel. Ma sélection finale a permis de publier les témoignages les plus forts, les plus authentiques, les plus sincères, les plus émouvants. La condition humaine en milieu carcéral place les détenus tout au bord du gouffre de l’inhumanité. La prison qui pourrait et qui devrait leur permettre de se reconstruire et de retisser avec la société des liens qui les en ont exclus devient trop souvent pour eux la grande école du crime. Qu’ils soient sur le point d’être détruits par la prison ou qu’ils essayent de s’y reconstruire, le « long désapprentissage d’eux-mêmes » qu’ils y subissent leur y fait souvent découvrir ou redécouvrir des choses, des sentiments essentiels. Alors, dans la souffrance de la désespérance ou dans l’espoir de la « reconstruction », leur âme vibre : elle exprime la plainte d’Icare prisonnier de son labyrinthe aussi concret qu’existentiel. Elle exprime le chant de la condition humaine. Jean-Pierre Guéno

Ces « paroles de détenus » sont le fruit d'appels radiophoniques lancés sur les antennes de Radio France à la veille de l'An 2000. Les 2000 témoignages collectés à la suite de ces appels ont été complétées par un travail personnel. Ma sélection finale a permis de publier les témoignages les plus forts, les plus authentiques, les plus sincères, les plus émouvants. La condition humaine en milieu carcéral place les détenus tout au bord du gouffre de l’inhumanité. La prison qui pourrait et qui devrait leur permettre de se reconstruire et de retisser avec la société des liens qui les en ont exclus devient trop souvent pour eux la grande école du crime. Qu’ils soient sur le point d’être détruits par la prison ou qu’ils essayent de s’y reconstruire, le « long désapprentissage d’eux-mêmes » qu’ils y subissent leur y fait souvent découvrir ou redécouvrir des choses, des sentiments essentiels. Alors, dans la souffrance de la désespérance ou dans l’espoir de la « reconstruction », leur âme vibre : elle exprime la plainte d’Icare prisonnier de son labyrinthe aussi concret qu’existentiel. Elle exprime le chant de la condition humaine. Jean-Pierre Guéno

Ces « paroles de détenus » sont le fruit d'appels radiophoniques lancés sur les antennes de Radio France à la veille de l'An 2000. Les 2000 témoignages collectés à la suite de ces appels ont été complétées par un travail personnel. Ma sélection finale a permis de publier les témoignages les plus forts, les plus authentiques, les plus sincères, les plus émouvants. La condition humaine en milieu carcéral place les détenus tout au bord du gouffre de l’inhumanité. La prison qui pourrait et qui devrait leur permettre de se reconstruire et de retisser avec la société des liens qui les en ont exclus devient trop souvent pour eux la grande école du crime. Qu’ils soient sur le point d’être détruits par la prison ou qu’ils essayent de s’y reconstruire, le « long désapprentissage d’eux-mêmes » qu’ils y subissent leur y fait souvent découvrir ou redécouvrir des choses, des sentiments essentiels. Alors, dans la souffrance de la désespérance ou dans l’espoir de la « reconstruction », leur âme vibre : elle exprime la plainte d’Icare prisonnier de son labyrinthe aussi concret qu’existentiel. Elle exprime le chant de la condition humaine. Jean-Pierre Guéno

Ces « paroles de détenus » sont le fruit d'appels radiophoniques lancés sur les antennes de Radio France à la veille de l'An 2000. Les 2000 témoignages collectés à la suite de ces appels ont été complétées par un travail personnel. Ma sélection finale a permis de publier les témoignages les plus forts, les plus authentiques, les plus sincères, les plus émouvants. La condition humaine en milieu carcéral place les détenus tout au bord du gouffre de l’inhumanité. La prison qui pourrait et qui devrait leur permettre de se reconstruire et de retisser avec la société des liens qui les en ont exclus devient trop souvent pour eux la grande école du crime. Qu’ils soient sur le point d’être détruits par la prison ou qu’ils essayent de s’y reconstruire, le « long désapprentissage d’eux-mêmes » qu’ils y subissent leur y fait souvent découvrir ou redécouvrir des choses, des sentiments essentiels. Alors, dans la souffrance de la désespérance ou dans l’espoir de la « reconstruction », leur âme vibre : elle exprime la plainte d’Icare prisonnier de son labyrinthe aussi concret qu’existentiel. Elle exprime le chant de la condition humaine. Jean-Pierre Guéno

Ces « paroles de détenus » sont le fruit d'appels radiophoniques lancés sur les antennes de Radio France à la veille de l'An 2000. Les 2000 témoignages collectés à la suite de ces appels ont été complétées par un travail personnel. Ma sélection finale a permis de publier les témoignages les plus forts, les plus authentiques, les plus sincères, les plus émouvants. La condition humaine en milieu carcéral place les détenus tout au bord du gouffre de l’inhumanité. La prison qui pourrait et qui devrait leur permettre de se reconstruire et de retisser avec la société des liens qui les en ont exclus devient trop souvent pour eux la grande école du crime. Qu’ils soient sur le point d’être détruits par la prison ou qu’ils essayent de s’y reconstruire, le « long désapprentissage d’eux-mêmes » qu’ils y subissent leur y fait souvent découvrir ou redécouvrir des choses, des sentiments essentiels. Alors, dans la souffrance de la désespérance ou dans l’espoir de la « reconstruction », leur âme vibre : elle exprime la plainte d’Icare prisonnier de son labyrinthe aussi concret qu’existentiel. Elle exprime le chant de la condition humaine. Jean-Pierre Guéno

Ces « paroles de détenus » sont le fruit d'appels radiophoniques lancés sur les antennes de Radio France à la veille de l'An 2000. Les 2000 témoignages collectés à la suite de ces appels ont été complétées par un travail personnel. Ma sélection finale a permis de publier les témoignages les plus forts, les plus authentiques, les plus sincères, les plus émouvants. La condition humaine en milieu carcéral place les détenus tout au bord du gouffre de l’inhumanité. La prison qui pourrait et qui devrait leur permettre de se reconstruire et de retisser avec la société des liens qui les en ont exclus devient trop souvent pour eux la grande école du crime. Qu’ils soient sur le point d’être détruits par la prison ou qu’ils essayent de s’y reconstruire, le « long désapprentissage d’eux-mêmes » qu’ils y subissent leur y fait souvent découvrir ou redécouvrir des choses, des sentiments essentiels. Alors, dans la souffrance de la désespérance ou dans l’espoir de la « reconstruction », leur âme vibre : elle exprime la plainte d’Icare prisonnier de son labyrinthe aussi concret qu’existentiel. Elle exprime le chant de la condition humaine. Jean-Pierre Guéno

Il s’appelle Henri-Alban Fournier. Un jour « Alain-Fournier » deviendra son nom de plume malgré lui, car un coureur automobile célèbre de l’époque lui dira « Henri Fournier c’est moi. « Le dernier amour de sa vie, c’est Pauline Benda alias « Madame Simone », la seule femme qui lui permettra d’apaiser la douleur persistante de son bel amour impossible avec Yvonne de Quiévrecourt transposé dans son roman « Le Grand Meaulnes », un roman qui reste parmi les plus lus, les plus envoutants de la langue française et qui faillit décrocher le prix Goncourt en 1913. « Votre écriture est le plus beau dessin du monde » est un montage des plus belles lettres d’amour échangées entre Alain-Fournier et Pauline entre mai 1912 et septembre/octobre 1914.

Il s’appelle Henri-Alban Fournier. Un jour « Alain-Fournier » deviendra son nom de plume malgré lui, car un coureur automobile célèbre de l’époque lui dira « Henri Fournier c’est moi. « Le dernier amour de sa vie, c’est Pauline Benda alias « Madame Simone », la seule femme qui lui permettra d’apaiser la douleur persistante de son bel amour impossible avec Yvonne de Quiévrecourt transposé dans son roman « Le Grand Meaulnes », un roman qui reste parmi les plus lus, les plus envoutants de la langue française et qui faillit décrocher le prix Goncourt en 1913. « Votre écriture est le plus beau dessin du monde » est un montage des plus belles lettres d’amour échangées entre Alain-Fournier et Pauline entre mai 1912 et septembre/octobre 1914.

Il s’appelle Henri-Alban Fournier. Un jour « Alain-Fournier » deviendra son nom de plume malgré lui, car un coureur automobile célèbre de l’époque lui dira « Henri Fournier c’est moi. « Le dernier amour de sa vie, c’est Pauline Benda alias « Madame Simone », la seule femme qui lui permettra d’apaiser la douleur persistante de son bel amour impossible avec Yvonne de Quiévrecourt transposé dans son roman « Le Grand Meaulnes », un roman qui reste parmi les plus lus, les plus envoutants de la langue française et qui faillit décrocher le prix Goncourt en 1913. « Votre écriture est le plus beau dessin du monde » est un montage des plus belles lettres d’amour échangées entre Alain-Fournier et Pauline entre mai 1912 et septembre/octobre 1914.

Il s’appelle Henri-Alban Fournier. Un jour « Alain-Fournier » deviendra son nom de plume malgré lui, car un coureur automobile célèbre de l’époque luidira « Henri Fournier c’est moi. « Le grand basculement de sa vie, celui qui fera qu’après rien ne sera plus comme avant, c’est le Jeudi 1er Juin 1905. Sa belle rencontre du Cours la Reine à Paris avec Yvonne de Quiévrecourt va engendrer une belle histoire d’amour impossible qu’il va transposer dans son roman « Le Grand Meaulnes », un roman qui reste parmi les plis lus, les plus envoutants de la langue française et qui faillit décrocher le prix Goncourt en 1913. J’ai reconstitué les amours impossibles d’Henri avec Yvonne puis avec Jeanne, avec les mots tirés de ses lettres de ses poèmes et de ses livres.

Il s’appelle Henri-Alban Fournier. Un jour « Alain-Fournier » deviendra son nom de plume malgré lui, car un coureur automobile célèbre de l’époque luidira « Henri Fournier c’est moi. « Le grand basculement de sa vie, celui qui fera qu’après rien ne sera plus comme avant, c’est le Jeudi 1er Juin 1905. Sa belle rencontre du Cours la Reine à Paris avec Yvonne de Quiévrecourt va engendrer une belle histoire d’amour impossible qu’il va transposer dans son roman « Le Grand Meaulnes », un roman qui reste parmi les plis lus, les plus envoutants de la langue française et qui faillit décrocher le prix Goncourt en 1913. J’ai reconstitué les amours impossibles d’Henri avec Yvonne puis avec Jeanne, avec les mots tirés de ses lettres de ses poèmes et de ses livres.

Il s’appelle Henri-Alban Fournier. Un jour « Alain-Fournier » deviendra son nom de plume malgré lui, car un coureur automobile célèbre de l’époque luidira « Henri Fournier c’est moi. « Le grand basculement de sa vie, celui qui fera qu’après rien ne sera plus comme avant, c’est le Jeudi 1er Juin 1905. Sa belle rencontre du Cours la Reine à Paris avec Yvonne de Quiévrecourt va engendrer une belle histoire d’amour impossible qu’il va transposer dans son roman « Le Grand Meaulnes », un roman qui reste parmi les plis lus, les plus envoutants de la langue française et qui faillit décrocher le prix Goncourt en 1913. J’ai reconstitué les amours impossibles d’Henri avec Yvonne puis avec Jeanne, avec les mots tirés de ses lettres de ses poèmes et de ses livres.

Il s’appelle Henri-Alban Fournier. Un jour « Alain-Fournier » deviendra son nom de plume malgré lui, car un coureur automobile célèbre de l’époque luidira « Henri Fournier c’est moi. « Le grand basculement de sa vie, celui qui fera qu’après rien ne sera plus comme avant, c’est le Jeudi 1er Juin 1905. Sa belle rencontre du Cours la Reine à Paris avec Yvonne de Quiévrecourt va engendrer une belle histoire d’amour impossible qu’il va transposer dans son roman « Le Grand Meaulnes », un roman qui reste parmi les plis lus, les plus envoutants de la langue française et qui faillit décrocher le prix Goncourt en 1913. J’ai reconstitué les amours impossibles d’Henri avec Yvonne puis avec Jeanne, avec les mots tirés de ses lettres de ses poèmes et de ses livres.

Le journal de l’Ukrainienne Marie Bashkirtseff, chanteuse contrariée et peintre précoce et surdouée, est celui d’une étoile filante qui n’a jamais fêté son 26ème anniversaire. Marie Bashkirtseff l’étoile filante met en scène les pépites de son journal intime rédigé en français dès l’âge de douze ans et qui nous permet de partager avec elle les treize dernières années de sa courte vie. Journal de vie, journal de guerre au cœur du combat et de la course contre la montre qui lui font affronter la tuberculose, et qui font de son existence une peau de chagrin qu’elle sublime par ses ambitions, par son énergie, par sa curiosité, par son génie de peintre et par l’enthousiasme de son envie de vivre ; elle y peint l’arc en ciel et les éruptions de son nomadisme, de ses sentiments, de ses désirs, de ses révoltes, de ses espoirs et de ses désespoirs, dans l’explosion permanente de ses mots. Elle voudrait pouvoir « tout voir, tout avoir, tout embrasser, se confondre avec tout. » Comme toutes les étoiles filantes, Marie Bashkirtseff semble préoccupée par la détermination de laisser une trace pour contrer la pesanteur de l’éphémère et du néant. Son journal qui la « montre trop nue pour se montrer de son vivant » est celui d’une jeune femme libre et moderne.

Le journal de l’Ukrainienne Marie Bashkirtseff, chanteuse contrariée et peintre précoce et surdouée, est celui d’une étoile filante qui n’a jamais fêté son 26ème anniversaire. Marie Bashkirtseff l’étoile filante met en scène les pépites de son journal intime rédigé en français dès l’âge de douze ans et qui nous permet de partager avec elle les treize dernières années de sa courte vie. Journal de vie, journal de guerre au cœur du combat et de la course contre la montre qui lui font affronter la tuberculose, et qui font de son existence une peau de chagrin qu’elle sublime par ses ambitions, par son énergie, par sa curiosité, par son génie de peintre et par l’enthousiasme de son envie de vivre ; elle y peint l’arc en ciel et les éruptions de son nomadisme, de ses sentiments, de ses désirs, de ses révoltes, de ses espoirs et de ses désespoirs, dans l’explosion permanente de ses mots. Elle voudrait pouvoir « tout voir, tout avoir, tout embrasser, se confondre avec tout. » Comme toutes les étoiles filantes, Marie Bashkirtseff semble préoccupée par la détermination de laisser une trace pour contrer la pesanteur de l’éphémère et du néant. Son journal qui la « montre trop nue pour se montrer de son vivant » est celui d’une jeune femme libre et moderne.

Comédienne, écrivain, sculptrice de génie, metteur en scène, peintre, ambulancière, créatrice et directrice de troupe théâtrale, Sarah Bernhardt est à la fois militante, féministe avant l'heure, femme d'affaires, amante, amoureuse, et mère. Elle est la lumière de la belle époque. Au moment où nous célébrons le centième anniversaire de sa mort il était temps de mettre en voix son journal intime imaginaire extrapolé de ses mémoires et de tout ce qu’elle ne voulait pas dire.

Le 3 septembre 1939, l’Angleterre d’abord et la France ensuite déclarent la guerre à l’Allemagne. En mai et juin 1940, entre 8 et 10 millions de Français et d'étrangers se jettent sur les routes de France pour fuir l’armée allemande.

Vous êtes bien sur Fréquence Protestante. Vous allez écouter le 5ème épisode de la série « Paroles d’Exode ». En mai 1940, les armées allemandes envahissent la France par le nord. Dans les villages comme dans les villes, c’est la panique. Que faire ? Rester et attendre l’ennemi ? Fuir, mais où aller ? Pendant de longues semaines, des dizaines de milliers de Belges et des millions de Français déferlent en files interminables sur les routes de France, à pied, à vélo, en chariots. Femmes, enfants, animaux, tous progressent à pas lents, et convergent vers le sud et vers l’ouest, dans une errance qui fait penser à celle des migrants d’aujourd’hui.

Le 3 septembre 1939, l’Angleterre d’abord et la France ensuite déclarent la guerre à l’Allemagne. En mai et juin 1940, entre 8 et 10 millions de Français et d'étrangers se jettent sur les routes de France pour fuir l’armée allemande.

Le 3 septembre 1939, l’Angleterre d’abord et la France ensuite déclarent la guerre à l’Allemagne. En mai et juin 1940, entre 8 et 10 millions de Français et d'étrangers se jettent sur les routes de France pour fuir l’armée allemande.

Le 3 septembre 1939, l’Angleterre d’abord et la France ensuite déclarent la guerre à l’Allemagne. En mai et juin 1940, entre 8 et 10 millions de Français et d'étrangers se jettent sur les routes de France pour fuir l’armée allemande.

Le 3 septembre 1939, l’Angleterre d’abord et la France ensuite déclarent la guerre à l’Allemagne. En mai et juin 1940, entre 8 et 10 millions de Français et d'étrangers se jettent sur les routes de France pour fuir l’armée allemande.

Nous sommes près de soixante-huit millions de Français, et que nous soyons français d’origine ou d’adoption, nous avons tous un point commun. La plupart d’entre nous descendons de familles qui ont souvent vécu pendant des siècles dans une zone de trente kilomètres carrés, où leurs racines étaient fixées depuis des générations, et vers laquelle d’éventuelles migrations saisonnières les ramenaient invariablement. Et puis, à une date indéterminée, le plus souvent entre 1850 et avant-hier soir, certains de nos aïeux, de nos grands-parents, de nos parents et de nos enfants ont dû se déraciner. Quand il ne nous est pas arrivé à nous-mêmes de quitter un jour le «cherpays de notre enfance» pour nous lancer dans la vie.

Nous sommes près de soixante-huit millions de Français, et que nous soyons français d’origine ou d’adoption, nous avons tous un point commun. La plupart d’entre nous descendons de familles qui ont souvent vécu pendant des siècles dans une zone de trente kilomètres carrés, où leurs racines étaient fixées depuis des générations, et vers laquelle d’éventuelles migrations saisonnières les ramenaient invariablement. Et puis, à une date indéterminée, le plus souvent entre 1850 et avant-hier soir, certains de nos aïeux, de nos grands-parents, de nos parents et de nos enfants ont dû se déraciner. Quand il ne nous est pas arrivé à nous-mêmes de quitter un jour le «cherpays de notre enfance» pour nous lancer dans la vie.

Nous sommes près de soixante-huit millions de Français, et que nous soyons français d’origine ou d’adoption, nous avons tous un point commun. La plupart d’entre nous descendons de familles qui ont souvent vécu pendant des siècles dans une zone de trente kilomètres carrés, où leurs racines étaient fixées depuis des générations, et vers laquelle d’éventuelles migrations saisonnières les ramenaient invariablement. Et puis, à une date indéterminée, le plus souvent entre 1850 et avant-hier soir, certains de nos aïeux, de nos grands-parents, de nos parents et de nos enfants ont dû se déraciner. Quand il ne nous est pas arrivé à nous-mêmes de quitter un jour le «cherpays de notre enfance» pour nous lancer dans la vie.

Nous sommes près de soixante-huit millions de Français, et que nous soyons français d’origine ou d’adoption, nous avons tous un point commun. La plupart d’entre nous descendons de familles qui ont souvent vécu pendant des siècles dans une zone de trente kilomètres carrés, où leurs racines étaient fixées depuis des générations, et vers laquelle d’éventuelles migrations saisonnières les ramenaient invariablement. Et puis, à une date indéterminée, le plus souvent entre 1850 et avant-hier soir, certains de nos aïeux, de nos grands-parents, de nos parents et de nos enfants ont dû se déraciner. Quand il ne nous est pas arrivé à nous-mêmes de quitter un jour le «cherpays de notre enfance» pour nous lancer dans la vie.

Nous sommes près de soixante-huit millions de Français, et que nous soyons français d’origine ou d’adoption, nous avons tous un point commun. La plupart d’entre nous descendons de familles qui ont souvent vécu pendant des siècles dans une zone de trente kilomètres carrés, où leurs racines étaient fixées depuis des générations, et vers laquelle d’éventuelles migrations saisonnières les ramenaient invariablement. Et puis, à une date indéterminée, le plus souvent entre 1850 et avant-hier soir, certains de nos aïeux, de nos grands-parents, de nos parents et de nos enfants ont dû se déraciner. Quand il ne nous est pas arrivé à nous-mêmes de quitter un jour le «cherpays de notre enfance» pour nous lancer dans la vie.

Nous sommes près de soixante-huit millions de Français, et que nous soyons français d’origine ou d’adoption, nous avons tous un point commun. La plupart d’entre nous descendons de familles qui ont souvent vécu pendant des siècles dans une zone de trente kilomètres carrés, où leurs racines étaient fixées depuis des générations, et vers laquelle d’éventuelles migrations saisonnières les ramenaient invariablement. Et puis, à une date indéterminée, le plus souvent entre 1850 et avant-hier soir, certains de nos aïeux, de nos grands-parents, de nos parents et de nos enfants ont dû se déraciner. Quand il ne nous est pas arrivé à nous-mêmes de quitter un jour le «cherpays de notre enfance» pour nous lancer dans la vie.

Nous sommes près de soixante-huit millions de Français, et que nous soyons français d’origine ou d’adoption, nous avons tous un point commun. La plupart d’entre nous descendons de familles qui ont souvent vécu pendant des siècles dans une zone de trente kilomètres carrés, où leurs racines étaient fixées depuis des générations, et vers laquelle d’éventuelles migrations saisonnières les ramenaient invariablement. Et puis, à une date indéterminée, le plus souvent entre 1850 et avant-hier soir, certains de nos aïeux, de nos grands-parents, de nos parents et de nos enfants ont dû se déraciner. Quand il ne nous est pas arrivé à nous-mêmes de quitter un jour le «cherpays de notre enfance» pour nous lancer dans la vie.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857 : il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait « son frère ». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait « son enfant » en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. « Sand et Musset : les amants du siècle » raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des « Paroles de Sand et de Musset » qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle.

Il a 23 ans. Elle en a 29. Journaliste et romancière, elle est une femme mûre, mariée, indépendante, séparée de son Baron de mari, et mère de deux enfants. Poète et dandy, il est célibataire et grand viveur et fréquente plus facilement les demi-mondaines parisiennes et les catins d’auberges que les salons littéraires et les femmes écrivain... Ils sont pourtant amants depuis 5 mois. Ils se sont rencontrés chez leur éditeur. Alfred de Musset et George Sand vont passer 3 mois à Venise, du 31 décembre 1833 au 29 mars 1834. Ils comptent y réfugier, y protéger leurs amours, loin de leurs familles respectives, loin des échotiers et des importuns qui ne cessent de les épier et de les harceler pour repaître le tout Paris du récit de leurs vies privées. Leur séjour dans Venise la Rouge se solde par un échec. Ils tombent malades tour à tour, et Musset sombre dans la démence. George Sand le veille et le soigne jour et nuit pendant plus de trois semaines. Elle lui sauve la vie, mais elle est désespérée. Elle va tomber dans les bras du Docteur Pietro Pagello qui après avoir sauvé Musset la sauve de la tentation du suicide. Musset revient à Paris, orphelin de cette femme qui sait si bien l’aimer et le materner. Mais les deux amants continuent à correspondre et leur amour perdure, comme il perdurera encore après leur rupture définitive en mars 1835, après qu’ils aient passé ensemble compte tenu de leurs quatre périodes d’orages, un été, deux hivers et un automne… Musset mourra le 2 mai 1857: il n’aura jamais oublié George Sand, celle qu’il appelait «son frère». Pas plus que George qui retrouvera enfin celui qu’elle appelait «son enfant» en passant de vie à trépas, le 8 juin 1876. «Sand et Musset: les amants du siècle» raconte les amours volcaniques d’un poète et d’une romancière qui s’unissent et se déchirent, une histoire forte à l’image de la vie, avec sa part d’ombre et sa part de lumière, avec ses pleins de ciel et ses déliés de fange… George Sand et Alfred de Musset ont écrit ensemble ou séparément cette histoire qui aujourd’hui devient votre histoire, l’espace d’une lecture… Après avoir lu l’ensemble des correspondances qu’ils ont échangé lorsqu’ils étaient séparés, mais aussi les lettres qu’ils écrivaient à des amis lorsqu’ils étaient ensemble, mais encore les extraits des romans ou des œuvre autobiographiques dans lesquels ils se mettaient en scène, Jean-Pierre Guéno a adapté Pour Fréquence Protestante ce florilège des «Paroles de Sand et de Musset» qui illustre pour vous dans une langue sublime l’une des plus belles histoires d’amour du XIXème siècle .

Le cinéma, c’est 24 images seconde… Mais la vie, ce n’est pas vraiment du cinéma : alors en 24 images/siècle, j’ai capté pour vous l’évolution du regard des femmes au cours du siècle passé : Silence / Parole / Couleur / Musique , la saga des femmes au cours du 20ème siècle est mise en parallèle avec l’évolution du cinéma qui est d’abord muet, puis devient parlant, adopte la couleur et explose enfin à l’ère du numérique, des effets spéciaux, du son Dolby Surround, et de l’image Haute Définition.

Le cinéma, c’est 24 images seconde… Mais la vie, ce n’est pas vraiment du cinéma : alors en 24 images/siècle, j’ai capté pour vous l’évolution du regard des femmes au cours du siècle passé : Silence / Parole / Couleur / Musique , la saga des femmes au cours du 20ème siècle est mise en parallèle avec l’évolution du cinéma qui est d’abord muet, puis devient parlant, adopte la couleur et explose enfin à l’ère du numérique, des effets spéciaux, du son Dolby Surround, et de l’image Haute Définition.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles de poilus. Ce livre est paru en 2012 aux éditions Flammarion. Août 1914 : les soldats partent sous les fleurs et les encouragements du peuple français. L'heure est grave, mais chacun veut défendre son pays et en découdre avec les « Boches ». Peu de temps après commence la guerre des tranchées, qui plonge les hommes dans l'enfer de la boue, des rats, de l' angoisse et de la mort. Sur les huit millions de poilus mobilisés entre 1914 et 1918, plus de deux millions ne reverront pas leur village natal. Plus de quatre millions souffrent de graves blessures, pour la plupart irréversibles. Mais, au-delà des séquelles physiques, ils sont à jamais marqués par l'horreur de cette guerre. Huit décennies plus tard, suite à l'appel de Radio France, des milliers de personnes envoyèrent les lettres de poilus conservées par leurs familles. Cet ouvrage en présente une centaine, qui n'ont pas vieilli. Ces mots déchirants incitent les nouvelles générations au devoir de mémoire, au devoir de vigilance et à l'humanité.

Dernier épisode pour ces Paroles d'étoiles Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin. Paru en 2002 aux éditions J'ai Lu sous la direction de Jean-Pierre Guéno, Paroles d'étoiles, sous-titré Mémoires d'enfants cachés, est un livre dense. Il rassemble des témoignages authentiques, ceux de quelques-uns des 60 000 enfants juifs présents en France en 1939 et qui ont survécu aux années terribles parce que cachés. 72 000 enfants d'origine juive vivaient alors en France. Ils ont été jetés dans la guerre, marqués de l'étoile jaune, et souvent séparés de leurs parents... 12 000 ont été éliminés. À l'âge où ils n'auraient dû traverser que des petits chagrins d'enfance, il leur a fallu apprendre à ne pas exister. Ils ont enduré les heures les plus terribles de notre histoire. Leurs souvenirs sont souvent amers et douloureux, ils peuvent être aussi réconfortants, car certains ont trouvé un véritable amour auprès de ces "justes" qui les ont dissimulés en bravant tous les dangers. Plus de huit cents personnes ont répondu à l'appel de l'ensemble des stations de Radio France, grâce auxquelles ce livre a pu exister.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin, du recueil de lettres intitulé Paroles d'étoiles. Paru en 2002 aux éditions J'ai Lu sous la direction de Jean-Pierre Guéno, Paroles d'étoiles, sous-titré Mémoires d'enfants cachés, est un livre dense. Il rassemble des témoignages authentiques, ceux de quelques-uns des 60 000 enfants juifs présents en France en 1939 et qui ont survécu aux années terribles parce que cachés. 72 000 enfants d'origine juive vivaient alors en France. Ils ont été jetés dans la guerre, marqués de l'étoile jaune, et souvent séparés de leurs parents... 12 000 ont été éliminés. À l'âge où ils n'auraient dû traverser que des petits chagrins d'enfance, il leur a fallu apprendre à ne pas exister. Ils ont enduré les heures les plus terribles de notre histoire. Leurs souvenirs sont souvent amers et douloureux, ils peuvent être aussi réconfortants car certains ont trouvé un véritable amour auprès de ces "justes" qui les ont dissimulés en bravant tous les dangers. Plus de huit cents personnes ont répondu à l'appel de l'ensemble des stations de Radio France, grâce auxquelles ce livre a pu exister.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin. Paru en 2002 aux éditions J'ai Lu sous la direction de Jean-Pierre Guéno, Paroles d'étoiles, sous-titré Mémoires d'enfants cachés, est un livre dense. Il rassemble des témoignages authentiques, ceux de quelques-uns des 60 000 enfants juifs présents en France en 1939 et qui ont survécu aux années terribles parce que cachés. 72 000 enfants d'origine juive vivaient alors en France. Ils ont été jetés dans la guerre, marqués de l'étoile jaune, et souvent séparés de leurs parents... 12 000 ont été éliminés. À l'âge où ils n'auraient dû traverser que des petits chagrins d'enfance, il leur a fallu apprendre à ne pas exister. Ils ont enduré les heures les plus terribles de notre histoire. Leurs souvenirs sont souvent amers et douloureux, ils peuvent être aussi réconfortants, car certains ont trouvé un véritable amour auprès de ces "justes" qui les ont dissimulés en bravant tous les dangers. Plus de huit cents personnes ont répondu à l'appel de l'ensemble des stations de Radio France, grâce auxquelles ce livre a pu exister.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin. Paru en 2002 aux éditions J'ai Lu sous la direction de Jean-Pierre Guéno, Paroles d'étoiles, sous-titré Mémoires d'enfants cachés, est un livre dense. Il rassemble des témoignages authentiques, ceux de quelques-uns des 60 000 enfants juifs présents en France en 1939 et qui ont survécu aux années terribles parce que cachés. 72 000 enfants d'origine juive vivaient alors en France. Ils ont été jetés dans la guerre, marqués de l'étoile jaune, et souvent séparés de leurs parents... 12 000 ont été éliminés. À l'âge où ils n'auraient dû traverser que des petits chagrins d'enfance, il leur a fallu apprendre à ne pas exister. Ils ont enduré les heures les plus terribles de notre histoire. Leurs souvenirs sont souvent amers et douloureux, ils peuvent être aussi réconfortants, car certains ont trouvé un véritable amour auprès de ces "justes" qui les ont dissimulés en bravant tous les dangers. Plus de huit cents personnes ont répondu à l'appel de l'ensemble des stations de Radio France, grâce auxquelles ce livre a pu exister.

Lecture à deux voix, celle de Jean-Pierre Guéno et celle de Valérie Thorin. Paru en 2002 aux éditions J'ai Lu sous la direction de Jean-Pierre Guéno, Paroles d'étoiles, sous-titré Mémoires d'enfants cachés, est un livre dense. Il rassemble des témoignages authentiques, ceux de quelques-uns des 60 000 enfants juifs présents en France en 1939 et qui ont survécu aux années terribles parce que cachés. 72 000 enfants d'origine juive vivaient alors en France. Ils ont été jetés dans la guerre, marqués de l'étoile jaune, et souvent séparés de leurs parents... 12 000 ont été éliminés. À l'âge où ils n'auraient dû traverser que des petits chagrins d'enfance, il leur a fallu apprendre à ne pas exister. Ils ont enduré les heures les plus terribles de notre histoire. Leurs souvenirs sont souvent amers et douloureux, ils peuvent être aussi réconfortants, car certains ont trouvé un véritable amour auprès de ces "justes" qui les ont dissimulés en bravant tous les dangers. Plus de huit cents personnes ont répondu à l'appel de l'ensemble des stations de Radio France, grâce auxquelles ce livre a pu exister.

Dernier numéro présentant les nouvelles signées Jean-Pierre Guéno et lues alternativement par l'auteur et par Valérie Thorin. Au menu : Quai de gare La double vie L'assurance-vie Les amours simples La quarantaine Si tu étais revenu Plus fort que la mort

Des textes de Jean-Pierre Guéno, lus alternativement par l'auteur et par Valérie Thorin L'amant Minet La dérobade La fraternité d'écriture Radio Freedom Le fantôme Le souffle de l'océan Sens unique La tumeur

Des textes courts signés Jean-Pierre Guéno, lus alternativement par l'auteur et par Valérie Thorin L'amour chaste La dernière lettre L'espoir Sang-mêlé - L'amant américain Le Petit prince Amours de prison Le béret noir Les yeux d'Edith Le bordel Matricule 28475

Des textes courts lus par Jean-Pierre Guéno et Valérie Thorin La délaissée Alain et Lucienne Le train de nuit Mon légionnaire L'archange

Histoires lues par Jean-Pierre Guéno et Valérie Thorin, pour parler mer et océan La Pietà crucifiée Le passager clandestin Le naufrage de l'Arche Le Dieu du silence L'Arche des sans-papiers

Une série de courts textes lus alternativement par Jean-Pierre Guéno et Valérie Thorin La jeune fille inconnue La dernière lettre La fiancée du Grand Meaulnes La frustration Joli p'tit Loup Le souffle partagé La fiancée du capitaine L'oiseau-coeur Joë et Fany

Quatre textes signés Jean-Pierre Guéno : La fille sans histoire, lu par Valérie Thorin Le pain des Français, lu par Jean-Pierre Guéno L'autre histoire, texte lu par Jean-Pierre Guéno La longue marche des doudous, lu par Valérie Thorin

Un seul auteur, Jean-Pierre Guéno, pour ces courts textes illustrant des moments de vie. Lecture commune, Jean-Pierre Guéno et Valérie Thorin Pépé Bauer Le lavoir L'autodafé L'éveil Dimanche matin Le Père Noël ne passera pas La maison de poupées Le cadeau La poupée Lysiane L'homme sans secret

Lecture par Jean-Pierre Guéno et Valérie Thorin de lettres au Père Noël (authentiques). Toutes ces lettres sont tirées du livre de Jean-Pierre Guéno, Cher Père Noël, paru aux Éditions Télémaque.

Trois textes extraits du livre de nouvelles de Jean-Pierre Guéno : - Le 5ème élément, lu par Valérie Thorin - Le souffle du diable et le soupir de Dieu, lu par l'auteur - La vierge aquatile, lu par Valérie Thorin

Trois textes et un auteur commun : Jean-Pierre Guéno L'homme consigné, lu par Valérie Thorin Le retoucheur, lu par Jean-Pierre Guéno La marque rouge, lu par Jean-Pierre Guéno

Lecture de trois textes courts de Jean-Pierre Guéno - Le prince Neige et la princesse d'Encre, lu par Valérie Thorin - Le soldat de cristal, lu par Jean-Pierre Guéno - Ceci n'est pas un conte, lu par Jean-Pierre Guéno

Les quatre textes de cet épisode ont été écrits par Jean-Pierre Guéno - Double appel, lu par Valérie Thorin - Le virus chinois, lu par Jean-Pierre Guéno - Le jardin des délices, lu par Valérie Thorin - Le retoucheur, lu par Jean-Pierre Guéno

Des textes signés Jean-Pierre Guéno, pour rêver debout... - Sacré Père Noël. Lu par Valérie Thorin - Double appel, lu par Jean-Pierre Guéno - Les oiseaux de "l'arche-monde", lu par Valérie Thorin - Le souffle du crucifié, lu par Jean-Pierre Guéno

Ces trois textes ont pour auteur Jean-Pierre Guéno. Ils nous plongent dans l'abîme de l'imagination. – Elvire et les loups. Lu par l'auteur – Le chant des papillons. Lu par Valérie Thorin – Le passeport allemand. Lu par Jean-Pierre Guéno

Deux textes seulement, pour cet épisode de C'est la nuit qui nous unit. Tous deux sont signés Jean-Pierre Guéno La peau de Léa. Lu par Valérie Thorin La réincarnation. Lu par Jean-Pierre Guéno

Les trois textes de cet épisode ont été écrits par Jean-Pierre Guéno. Le myosotis, un petit "Vergiss mein nicht", texte lu par Valérie Thorin Les corbeaux et la fée brouillard, lu par l'auteur L’étoile noire. Lu par Valérie Thorin

Les trois textes de cette lecture ont été écrits par Jean-Pierre Guéno. La truie rouge du Vatican, lu par l'auteur 1, 2, 3 soleil, lu par Valérie Thorin Le Christ et les deux casseurs, lu par Jean-Pierre Guéno

Les quatre textes ont été écrits par Jean-Pierre Guéno La Stryge parle de la Cathédrale Notre-Dame de Paris et sa fameuse flèche et surtout de l'une des statues, perchée sur une tour. Lu par Valérie Thorin L’enfant roux. Un enfant particulier. Lu parJean-Pierre Guéno. La sentinelle endormie. Lu par Jean-Pierre Guéno. La classe vide, histoire magique d'une école primaire nichée à Paris, dans le quartier juif du Marais. Lu par Valérie Thorin

Ces textes courts ont été écrits par Jean-Pierre Guéno sauf "La seconde naissance", dont l'auteur est Jacques Rivière, "Révélation", dont l'auteur est André Frossard et "Le premier homme", écrit par Jean-René Huguenin L’arme de service. Texte de Jean-Pierre Guéno lu par l'auteur La bouteille de gaz. Texte de Jean-Pierre Guéno, lu par Valérie Thorin La cicatrice. Texte de Jean-Pierre Guéno, lu par Valérie Thorin Changement de sens. Texte de Jean-Pierre Guéno, lu par l'auteur Un voyage dans le temps. Texte de Jean-Pierre Guéno, lu par l'auteur Le oui de Noémie. Texte de Jean-Pierre Guéno, lu par Valérie Thorin La libellule. Texte de Jean-Pierre Guéno, lu par Valérie Thorin La seconde naissance. Texte de Jacques Rivière, lu par Valérie Thorin Révélation. Texte d’André Frossard, lu par Jean-Pierre Guéno Le premier homme. Texte de Jean-René Huguenin, lu par Jean-Pierre Guéno

Ces textes ont été collationnés par Jean-Pierre Guéno. La lecture à deux voix leur donne vie et chaleur, pour rêver avant de dormir, se souvenir tout en rêvant. La motte de beurre. Lecture par Valérie Thorin Marie-Madeleine. Lecture par Jean-Pierre Guéno Ville 12. Lecture par Jean-Pierre Guéno Fêlure. Lecture par Jean-Pierre Guéno L’homme illisible. Lecture par Valérie Thorin Le ballon perdu. Lecture par Valérie Thorin La culotte de rechange. Lecture par Valérie Thorin