HISTOIRE TV

Jean-Christophe Buisson reçoit Frédéric Le Moal pour « Pie XII. Le pape face au Mal » (Perrin) et Dimitri Tilloi d’Ambrosi pour « Le régime romain. Cuisine et santé dans la Rome antique » (PUF). Avec la chronique d'Eugénie Bastié consacrée au livre de Mary Beard « Imperator. Une histoire des empereurs romains » (Seuil).

Jean-Christophe Buisson reçoit Johanna Lehr pour « Au nom de la loi. La persécution quotidienne des Juifs à Paris sous l’Occupation » (Gallimard) et François-Guillaume Lorrain pour « Il fallait bien les aider. Quand les Justes sauvaient les Juifs en France » (Flammarion). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, présente le dossier du mois.

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs Stéphane Courtois, Laure Dautriche et Nicolas Chaudun pour leurs « coups de cœur ».

Jean-Christophe Buisson reçoit Robert Darnton pour « L’humeur révolutionnaire » (Gallimard) et Nicolas Chaudun, réalisateur du documentaire inédit « Et Haussmann créa Paris » à voir aux Rendez-vous de l’histoire et prochainement sur HISTOIRE TV. Avec Eugénie Bastié qui chronique « Le corps des femmes » de Stanis Perez (Perrin).

Jean-Christophe Buisson reçoit Sébastien Lapaque pour « Échec et mat au paradis » (Actes Sud) et Clémence Boulouque pour « Le sentiment des crépuscules » (Robert Laffont). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, présente le dossier du mois.

Après la mort de Jean Moulin en 1943, la France Libre du général de Gaulle à Alger, et la Résistance intérieure en métropole se mettent en ordre de bataille pour la Libération du Paris. Le coup d’envoi est lancé avec le Débarquement du 6 juin 1944 en Normandie. La capitale devient un enjeu important. Mais un enjeu plus politique que militaire. Celui qui libérera Paris bénéficiera d’un prestige immense dans la gestion de la France libérée. Gaullistes et communistes vont se livrer en coulisses une bataille acharnée pour prendre la direction de l’insurrection libératrice alors qu’ils ne sont d’accord sur rien : ni sur les modalités des combats, ni sur la forme du soulèvement anti-allemand. Récit sans fard des batailles cachées de la Libération de Paris

Jean-Christophe Buisson reçoit pour leurs « coups de cœur » les chroniqueurs Stéphane Courtois, Isabelle Schmitz et Nicolas Chaudun.

Jean-Christophe Buisson reçoit Grégoire Leménager pour « Les vacances de l’Histoire » (Flammarion – Le Nouvel Obs) et Fabien Archambault pour « Les légendes du siècle. Une histoire des Jeux en douze médailles » (Flammarion). Laure Dautriche chronique le film "Napoléon vu par Abel Gance" (1927), grande version inédite, à voir à la Cinémathèque française du 6 au 21 juillet.

Jean-Christophe Buisson reçoit Virginie Girod pour « Au cœur de l’histoire antique » (Perrin) et Pierre-Louis Lensel pour « Éloge des moches » (Perrin). Avec la chronique d’Eugénie Bastié consacrée au film « Le Comte de Monte-Cristo ».

Jean-Christophe Buisson reçoit Philippe Collin pour « Le barman du Ritz » (Albin Michel) et Laurent Guillaume pour « Les dames de guerre - Saïgon » (Robert Laffont). Avec la chronique de Laure Dautriche.

Jean-Christophe Buisson reçoit Lorraine de Meaux pour « Germaine Tillion » (Perrin) et Sylvette Dionisi pour « Libre et résistante, Marie-Madeleine Fourcade » (Les éditions du Cerf). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, présente le dossier du mois.

Jean-Christophe Buisson reçoit Sylvain Gouguenheim pour « Constantinople 1453 » (Perrin) et Sarah Gruszka pour « Le siège de Leningrad » (Tallandier). Nicolas Carreau chronique le livre « Comment nourrir un dictateur » de Witold Szabłowski « (Les éditions Noir sur Blanc).

Jean-Christophe Buisson reçoit Emmanuel Maury pour « Le roman secret de Chantilly » (Perrin) et Dominique Avart pour « Versailles intime » (Grasset). Eugénie Bastié chronique le livre « Jean Cau, l’indocile » de Ludovic Marino et Louis Michaud (Gallimard).

Jean-Christophe Buisson reçoit pour leurs « coups de cœur » les chroniqueurs Stéphane Courtois, Laure Dautriche et Nicolas Chaudun.

Jean-Christophe Buisson reçoit Estelle Paranque pour « Sang, feu et or - L'Histoire d'Elisabeth 1er et Catherine de Médicis » (Armand Colin) et Frédéric Potier pour « Jaurès en duel » (Fondation Jean Jaurès / Le Bord de l’eau). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, présente le dossier du mois.

S’il ne fait aucun doute que le roi Henri IV a été assassiné par Ravaillac le 14 mai 1610, il est clair aujourd’hui que François Ravaillac n’a été que l’instrument d’une vaste conspiration qui le dépassait. Quelles étaient les forces qui ont sciemment planifié l’assassinat du roi de France ? Réponse dans C’est un vrai complot !

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean-Manuel Roubineau pour « Le Sport » (PUF) et Cécile Grès pour « Championnes ! » (Les éditions de La Martinière). Nicolas Carreau chronique « Fabuleuses cartes au trésor » de Marie-Eve Sténuit (Les Éditions du Trésor)

Déclenchée simultanément par plusieurs pays arabes (notamment l’Égypte et la Syrie), la guerre du Kippour démarre le jour de Yom Kippour, le 6 octobre 1973. Il s’agit d’un complot prémédité, visant à profiter du jour saint des Juifs pour anéantir Israël.

Jean-Christophe Buisson reçoit Maurizio Serra pour « Munich 1938, » (Perrin) et Jean-Louis Brunaux pour « La Cité des druides » (Gallimard). La journaliste Isabelle Schmitz chronique l’exposition « Paris 1874 » au musée d'Orsay.

Révélé le 17 juin 1972, le scandale du Watergate prouve que le président des États Unis, Richard Nixon, a fait cambrioler le siège du Parti démocrate pour faire pencher l’élection en sa faveur en truffant les pièces de puces électroniques. Le président lui-même a ainsi comploté contre la démocratie.

Jean-Christophe Buisson reçoit Pierre Servent pour « Diên Biên Phu, les leçons d’un défaite » (Perrin) et Julie Duruflé pour le livre qu’elle a co-dirigé avec Etienne Manchette « 1913 vers la Grande Guerre » (Tallandier – Retronews). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée aux expositions « Dans l'appartement de Léonce Rosenberg » au Musée Picasso Paris et « Dans la Seine. Objets trouvés de la Préhistoire à nos jours » à la crypte archéologique de l'Île de la Cité (Parvis-Notre-Dame).

Le 20 aout 1944 plusieurs officiers de haut rang de l’armée allemande déclenchent un complot contre Hitler, qui se traduit par un attentat raté, suivi d’une intense répression.

Jean-Christophe Buisson reçoit Sébastien Le Fol pour le livre collectif « Les lieux du pouvoir » (Perrin) et Yannick Ripa pour le livre collectif qu'elle a co-dirigé avec Françoise Thébaud « Les féminismes. Une histoire mondiale » (Textuel). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, présente le dossier du mois.

Le 14 mars 44 avant Jésus Christ, chacun sait que Brutus poignarde César. Mais c’est un complot, ourdi par des sénateurs romains qui se font appeler les Liberatores, dont les chefs les plus renommés sont, non seulement Marcus Junius Brutus, mais encore Caius Cassius Longinus.

Jean-Christophe Buisson reçoit Éric Branca pour « La République des imposteurs » (Perrin) et Julie d’Andurain pour « Les troupes coloniales » (Passés composés). Eugénie Bastié chronique « Le temps des loups » de Harald Jähner (Actes Sud).

Commis le 22 aout 1962 par l’Organisation armée secrète (OAS), l’attentat manqué du Petit Clamart contre le général de Gaulle s’inscrit dans le cadre d’un complot visant à empêcher par tous les moyens l’indépendance de l’Algérie.

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs Stéphane Courtois, Laure Dautriche et Nicolas Carreau pour leurs « coups de cœur ».

En 2003, pour légitimer l’offensive en Irak, le gouvernement américain produit de fausses preuves, selon lesquelles le régime de Saddam Hussein disposerait d’armes de destruction massive. Cette conspiration vise à convaincre les pays alliés de le rejoindre dans la coalition militaire.

Jean-Christophe Buisson reçoit Hélène Becquet pour le livre qu’elle a dirigé, « L'Exil des monarques » (Armand Colin) et Vincent Haegele pour son livre « Vienne sous le soleil d’Austerlitz » (Passés Composés). Avec la chronique d’Isabelle Schmitz consacrée aux expositions immersives.

Après avoir exploré l’univers des théories conspirationnistes dans la série documentaire C’est un complot !, Christophe Bourseiller part à la découverte des authentiques complots de l’Histoire. En effet, si les théories du complot mettent au jour des complots imaginaires, l’Histoire, la vraie, regorge pourtant d’authentiques complots. De l’assassinat de César à celui d’Henri IV, en passant par la guerre du Kippour, les armes de destruction massive, l’opération Walkyrie, le Watergate et l’attentat du Petit Clamart, nous partons à la rencontre des grands complots de l’Histoire, pour mieux les dévoiler.

Jean-Christophe Buisson Hélène Harter pour son livre « Eisenhower » (Tallandier). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, présente le dossier du mois : « Pourquoi parlons-nous français ? 1200 ans de métamorphoses ».

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean-Marie Rouart pour « La maîtresse italienne » (Gallimard) et Éric Deroo pour « Les Derniers hommes » un film de David Oelhoffen, au cinéma le 21 février. Laure Dautriche chronique le livre « Et la pomme ne tomba pas sur la tête de Newton » d'Antoine Houlou-Garcia (Albin Michel).

Jean-Christophe Buisson reçoit Stéphane Courtois pour « Lénine » (Perrin) et Sylvain Boulouque pour « Meurtres à la Grange-aux-Belles » (Les éditions du Cerf). Jennifer Kerner chronique les livres « L'affaire Bernard Natan » de Dominique Missika (Denoël) et « Les cinéastes du diable » de Yann Calvet (Passages).

Jean-Christophe Buisson reçoit Christophe Barbier pour « Peuple de colères » (Fayard) et Marie-Hélène Baylac pour « Louise Michel » (Perrin). Nicolas Chaudun chronique l’exposition « Horace Vernet » au Château de Versailles.

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean-Robert Pitte pour « Brillat-Savarin » (Tallandier) et Catherine Bréchignac pour « La force de nos racines » (Les éditions du Cerf). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, présente le dossier du mois.

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs « coups de cœur » : Eugénie Bastié pour le livre de Julian Jackson « Le procès Pétain. Vichy face à ses juges » (Seuil) ; Nicolas Chaudun pour l’exposition « Le Paris de la modernité (1905 - 1925) » au Petit Palais jusqu’au 14 avril 2024 et Nicolas Carreau pour le livre d’Adrienne Mayor « Feu grégeois, bombe à scorpions et cochons enflammés, la guerre non conventionnelle dans l’Antiquité » (Nouveau monde éditions).

Jean-Christophe Buisson reçoit Antoine Compagnon pour « A l’ombre de Maurice Barrès » (Gallimard) et Charles-Éloi Vial pour « Marie-Antoinette » (Perrin). Laure Dautriche chronique le livre « Bernard Herrmann » de Karol Beffa (Actes Sud).

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean-Luc Barré pour « De Gaulle, une vie » (Grasset) et Flavie Leroux pour « La marquise de Verneuil » (Fayard). Avec la chronique d’Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois.

Jean-Christophe Buisson reçoit Bruno Fuligni pour « Le génie humain » (Gründ), Gwenaëlle Abolivier pour « Ella Maillart » (Paulsen) et Aurélie Clemente-Ruiz, directrice du Musée de l’Homme, à l’occasion de l’exposition « Préhistomania » à voir jusqu’au 20 mai 2024.

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs « coups de cœur » : Nicolas Chaudun pour l’exposition « Les Années folles de l’aviation » au musée de l'Air et de l'Espace ; Isabelle Schmitz pour le livre de Jean Clair « Le livre des amis » (Gallimard) et Jennifer Kerner pour l’exposition « Phénomènes. Les savants et les mystères de l’esprit » au Musée d'histoire de la médecine.

Jean-Christophe Buisson reçoit Thierry Lentz, directeur de la Fondation Napoléon, à l’occasion de la sortie du film Napoléon de Ridley Scott et Bart Van Loo pour son livre « Napoléon » (Flammarion). Avec la chronique de Laure Dautriche qui parlera de Napoléon et la musique.

Jean-Christophe Buisson reçoit Stéphane Courtois pour « De la cruauté en politique » (Perrin). Avec Eugénie Bastié qui chronique le livre « M, les derniers jours de l'Europe » d'Antonio Scurati (Les Arènes) et Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, qui présente le dossier du mois d’Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit Sylvie Anne Goldberg pour « Histoire juive de la France » (Albin Michel) et Franck Ferrand pour sa pièce « Courageuses » au Théâtre Antoine jusqu’au 29 décembre. Avec la chronique de Nicolas Carreau consacrée au livre « Le traité sur les apparitions et les vampires de Dom Augustin Calmet » (Les éditions du Cerf).

Jean-Christophe Buisson reçoit Loris Chavanette pour « Le 14 juillet de Mirabeau » (Tallandier) et Julien Hervieux pour « Un jour nous avons été vivants » (Robert Laffont). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’exposition « La Régence à Paris (1715-1723) » au Musée Carnavalet jusqu’au 25 février 2024.

Jean-Christophe Buisson reçoit Olivier Wieviorka pour « Histoire totale de la Seconde Guerre mondiale » (Perrin – Ministère des Armées) et Aubrée David-Chapy pour « Louise de Savoie » (Passés Composés). Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, chronique le dossier du mois consacré à Gustave Eiffel.

Jean-Christophe Buisson reçoit Thierry Lentz pour « Sur les bords de la Seine. Histoire et secrets du tombeau de Napoléon » (Perrin) et Taline Ter Minassian pour « Sur l’échiquier du Grand jeu (XIXe-XXIe siècles). Agents secrets et aventuriers » (Nouveau Monde éditions). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre « Maria Callas » de Jean-Jacques Groleau (Actes Sud).

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean Sévillia pour « Cette Autriche qui a dit non à Hitler » (Perrin) et Claudine Le Tourneur d'Ison pour « Les immortels. L’épopée de Christiane Desroches Noblecourt pour sauver les temples de Nubie » (Les éditions du Cerf). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’exposition « Nicolas de Staël » au Musée d'art moderne de Paris.

À l’occasion du 500e numéro de l’émission Historiquement show, Jean-Christophe Buisson et ses invités évoquent ce qui a changé depuis 15 ans dans la manière de dire et de faire l’Histoire, et de la transmettre.

Jean-Christophe Buisson reçoit Bruno Dumézil pour « L’empire mérovingien » (Passés Composés) et Dimitri Tilloi-d’Ambrosi pour « La Rome antique » (Perrin).

Jean-Christophe Buisson reçoit François-Guillaume Lorrain pour « Le temps des trahisons » (XO) et Aude Terray pour « La princesse Bibesco » (Tallandier). Avec la chronique de Stéphane Courtois consacrée au livre « Ceausescu » de Traian Sandu (Perrin).

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs Laure Dautriche, Nicolas Carreau et Nicolas Chaudun pour leurs « coups de cœur » de septembre.

Jean-Christophe Buisson reçoit Antoine Sénanque pour « Croix de cendre » (Grasset) et Cécile Desprairies pour « La propagandiste » (Seuil). Avec Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier de septembre

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs « coups de cœur » : Nicolas Chaudun pour l’exposition « Paris, capitale de la gastronomie du Moyen Age à nos jours » à la Conciergerie (Paris) jusqu'au 16 juillet 2023, Stéphane Courtois pour l’exposition « Célébration Picasso, la collection prend des couleurs » au Musée Picasso-Paris jusqu'au 27 août 2023 et Isabelle Schmitz pour le livre « La chute d'un empire. L'indépendance de l'Amérique espagnole » de Gonzague Espinosa-Dassonneville (Passés composés).

Jean-Christophe Buisson reçoit Adrien Goetz pour le « Dictionnaire amoureux de la Toscane » (Plon) et Sylvain Dufraisse pour « Une histoire sportive de la guerre froide » (Nouveau Monde éditions). Avec la chronique de Jennifer Kerner consacrée au livre « Autopsie des cœurs célèbres » de Philippe Charlier et David Alliot (Tallandier).

Jean-Christophe Buisson reçoit Astrid de Laage pour son livre « De la main d'une femme » (Grasset) et Éric Baratay pour le livre qu’il a dirigé « Les Animaux dans l’histoire » (Tallandier). Avec la chronique d’Eugénie Bastié consacrée au livre « Histoire du drapeau, de France et d’ailleurs » de Bertrand Galimard Flavigny (Perrin).

Jean-Christophe Buisson reçoit Martin Aurell pour son livre « Dix idées reçues sur le Moyen Âge » (JC Lattès) et Guillaume Debré pour son livre « L’affaire XYZ. Un scandale signé Talleyrand » (Fayard). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre « Clara Schumann, une icône romantique » de Brigitte François-Sappey (Le Passeur éditeur).

Jean-Christophe Buisson reçoit Evelyne Lever pour « Les Princesses Mazarines » (Tallandier) et Olivier Rajchman pour « Le siècle des stars. 40 portraits d’icônes hollywoodiennes » (Perrin). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’exposition « La Haine des clans. Guerres de Religion, 1559 – 1610 » au Musée de l'Armée jusqu'au 30 juillet 2023.

Jean-Christophe Buisson reçoit Georges Ayache pour « Les Roosevelt » (Perrin) et Anne Viguier pour « Brève histoire de l’Inde » (Flammarion). Avec la chronique d’Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois de juin : « Les mercenaires, de l’Antiquité au groupe Wagner ».

Jean-Christophe Buisson reçoit Jennifer Lesieur pour son livre « Rose Valland, l’espionne à l’œuvre » (Robert Laffont) et Andreï Kozovoï pour son livre « Égéries rouges » (Perrin). Avec la chronique de Nicolas Carreau consacrée au livre « Histoire du Far West » de Jean-Louis Rieupeyrout (Tallandier, coll. Texto).

Jean-Christophe Buisson reçoit Hélène Daccord pour son livre « Quand la musique fait l’histoire » (Passés Composés) et Cédric Gras pour son livre « Alpinistes de Mao » (Stock). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’exposition « Pastels, de Millet à Redon » au Musée d'Orsay du 14 mars au 2 juillet 2023.

Jean-Christophe Buisson reçoit Cécile Desprairies pour son livre « Voyage à travers la France occupée. 4000 lieux familiers à redécouvrir » (PUF) et Jérôme Bimbenet pour son livre « Voyage à Berlin. Danielle Darrieux sous l’Occupation » (Tallandier). Avec Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois : « Guerre de Crimée. 1853-1856, la Russie contre le reste du monde ».

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de cœur : Stéphane Courtois pour la pièce de théâtre « La Mort de Danton » à la Comédie française, Nicolas Chaudun pour l’exposition « Sarah Bernhardt. Et la femme créa la star » au Petit Palais et Eugénie Bastié pour le livre « George Brummell » de Henri Rey-Flaud (PUF).

Jean-Christophe Buisson reçoit Gérard Araud pour « Nous étions seuls » (Tallandier) et Éric Branca pour « L’aigle et le léopard » (Perrin). Avec la chronique d’Isabelle Schmitz pour le Figaro hors-série « Blaise Pascal, le cœur et la raison ».

Jean-Christophe Buisson reçoit Dominique Bona pour « Les Partisans. Kessel et Druon, une histoire de famille » (Gallimard) et Sébastien Le Fol pour « En bande organisée. Mitterrand, le pacte secret » (Albin Michel). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre « Le vin des nazis » de Christophe Lucand (Grasset).

Jean-Christophe Buisson reçoit Edmond Dziembowski pour « La Main cachée. Une autre histoire de la Révolution française » (Perrin) et Camille Dejardin pour « Patronnes au XVIIIe siècle » (Nouveau monde éditions). Avec la chronique de Nicolas Carreau consacrée aux Trois Mousquetaires et à Alexandre Dumas.

Jean-Christophe Buisson reçoit François Heilbronn pour « Deux étés 44 » (Stock), Isabelle Duquesnoy pour « La chambre des diablesses » (Robert Laffont) et Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois d’avril : « 1954-2023, les harkis, une si longue tragédie ».

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de cœur : Nicolas Chaudun pour l’exposition « Giovanni Bellini, influences croisées » au musée Jacquemart-André ; Jennifer Kerner pour l’exposition « Arts et Préhistoire » au Musée de l’Homme et Romain Clément pour la BD « Histoire de Jérusalem » de Vincent Lemire et Christophe Gaultier (Les Arènes BD).

Jean-Christophe Buisson reçoit Charles-Éloi Vial pour « Sauver l’Empire » (Perrin) et Vincent Haegele pour « Traîtres » qu’il a dirigé avec Franck Favier (Passés Composés). Eugénie Bastié chronique « Le rendez-vous manqué » d’Annie Jourdan (Flammarion).

Jean-Christophe Buisson reçoit Joshua Rubenstein pour « Les derniers jours de Staline » (Perrin). Avec Stéphane Courtois pour une chronique consacrée à l’Holodomor, à l’occasion de la sortie du film « Holodomor, la grande famine ukrainienne » et Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois : « Les Cathares ont-ils vraiment existé ? ».

Jean-Christophe Buisson reçoit Marie Favereau pour « La Horde » (Perrin) et Pascal Dayez-Burgeon pour « Chasseurs de trône » (Tallandier). Avec la chronique de Nicolas Carreau consacrée au livre de Marie-Justine Pesnel « Les confessions de Madame Cent-kilos » (JC Lattès).

Jean-Christophe Buisson reçoit Giusto Traina pour « La guerre mondiale des Romains » (Fayard) et Cécile Berly pour « Guillotinées » (Passés Composés). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre de Reynaldo Hahn « Journal. 1890-1945 » (Gallimard).

Jean-Christophe Buisson reçoit Éric Anceau pour « Histoire mondiale des impôts » (Passés Composés) et François Malye pour « Smolensk » (Perrin). Avec la chronique d’Isabelle Schmitz consacrée au livre de Michel Bernard « Hiver 1812 » (Perrin).

Jean-Christophe Buisson reçoit Xavier Mauduit pour « Histoire des préjugés » (Les Arènes) et Marie Moutier-Bitan pour « Le pacte antisémite » (Passés Composés). Avec la chronique d’Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois de février 2023.

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs « coups de cœur » : Stéphane Courtois pour « Russie. Révolution et guerre civile 1917-1921 » d’Antony Beevor (Calmann-Lévy) , Nicolas Chaudun pour « Art déco France / Amérique du Nord » exposition jusqu’au 6/03/23 à la Cité de l'architecture et du patrimoine, Eugénie Bastié pour « Colette en guerre 1939-1945 » de Bénédicte Vergez-Chaignon (Flammarion).

Jean-Christophe Buisson reçoit Georges Vigarello pour « Une histoire des lointains » (Seuil) et Anne-Laure Béatrix pour « Dictionnaire amoureux des musées » (Plon). Avec la chronique d’Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois de janvier 2023.

Jean-Christophe Buisson reçoit Florence Quentin pour « L'Égypte ancienne » (Perrin) et Jacques-Olivier Boudon pour « Ils voulaient tuer Napoléon » (Tallandier). Avec la chronique de Romain Clément consacrée à la BD « Le match de la mort » (Les Arènes BD).

Jean-Christophe Buisson reçoit Thierry Lentz pour « Napoléon III » (Perrin – BNF) et Flavie Leroux pour « L’autre famille royale » (Passés Composés). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’exposition « Louis XV, passions d'un roi » jusqu’au 19/02/23 au Château de Versailles.

Est-il utopique de penser qu’il soit possible pour les hommes de sortir de la sexualisation du pouvoir ? Quels seraient les contours d’une telle société ? Allons-nous au contraire vers un retour du pouvoir viril avec la résurgence de régimes conservateurs ?

Jean-Christophe Buisson reçoit Cédric Michon pour « Henri VIII » (Perrin) et Fabien Archambault pour « Coups de sifflet. Une histoire du monde en 11 matchs » (Flammarion). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre « Le brassard » de Luc Briand (Éditions Plein Jour).

La femme peut-elle être prophète ? Le cas de Miriam. Dieu ne parle-t-il qu’aux hommes ? Une femme peut-elle guider les âmes ? Le cas de Jeanne la papesse. Il semble que la religion envisage le pouvoir féminin comme celui des femmes renonçant à l’utilisation de leur sexe. La figure de la Vierge, de Marie à Jeanne d’Arc, en passant par les amazones. Comme si le pouvoir féminin n’était pas celui temporel et séculaire, mais bien celui des mythes, des muses, du lien avec le divin. Comme si, par nature, son pouvoir était irrationnel.

Jean-Christophe Buisson reçoit Michel Pastoureau pour « Blanc. Histoire d’une couleur » (Seuil) et Barbara Necek pour « Femmes bourreaux. Gardiennes et auxiliaires des camps nazis » (Grasset). Avec la chronique d’Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois de décembre.

Longtemps en effet, le politique était avant tout un chef de guerre, laquelle était interdite aux femmes. Mais certaines femmes ont endossé le rôle de chef de guerre, sans renoncer à leur féminité. Catherine de Russie ou la Reine Victoria. Avaient-elle un rapport au pouvoir différent ? Ces deux femmes ont-elles exercé le pouvoir de la même manière ou y avait-il une culture nationale ? Plusieurs femmes, également, ont cassé les codes et ont pris le parti d’utiliser leur sexe comme arme politique. Mais les femmes sont-elles mieux loties lorsqu’une femme accède au pouvoir ? La femme est-elle un loup pour la femme ? Rien n’est moins sûr !

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean-François Colosimo pour « La crucifixion de l'Ukraine. Mille ans de guerres de religions en Europe » (Albin Michel) et Stéphane Courtois pour « Le Livre noir de Vladimir Poutine » qu’il a codirigé avec Galia Ackerman (Perrin – Robert Laffont).

Si certains pensent que le pouvoir est une affaire d’hommes, on s’étonne que le contrôle du sexe féminin, de son pouvoir de reproduction ou de son plaisir, soit, tous régimes confondus, une des obsessions des politiques. L’interdiction faite aux femmes de maitriser l’art de l’accouchement jusqu’au XVIème siècle, l’interdiction faites aux femmes de pratiquer la masturbation, au XVIIIème siècle, les politiques natalistes et celles de l’enfant unique, la question de l’avortement depuis la Rome antique jusqu’à la ‘war on women’ lancée par des sénateurs américains durant la dernière mandature.

La Pharaonne Hatshepsout, l'une des plus célèbres reines d'Egypte avec un long règne prospère de 22 ans entre -1490 et 1460 avant notre ère, passionne les historiens avec son identité androgyne, se montrant tantôt masculine, tantôt féminine et portant la barbe. Cléopâtre, au contraire, joue la carte de la féminité. Laquelle laissera son empreinte comme dirigeante ? Les femmes pour accéder au pouvoir doivent se masculiniser, effacer la dimension sexuelle de leur être : couper les cheveux, coupe rigide, sans taille, Tatcher, Merkel, H. Clinton.

Jean-Christophe Buisson reçoit Franck Ferrand pour « Nos rois de France » (Perrin - Radio Classique) et Elisabeth de Feydeau pour « Elsa Schiaparelli » (Flammarion). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à « Oscar Kokoschka. Un fauve à Vienne », exposition au Musée d'Art moderne de Paris jusqu’au 12/02/2023.

La séduction du dictateur : il travaille son image, sa virilité est son bien le plus précieux. Pour l’attaquer, on l’affuble d’impotence ou de difformité sous la ceinture. Hitler, Mao ou Franco furent accusés de monorchisme, de n’avoir qu’un seul testicule. Anecdote graveleuse ? Rien n’est moins vrai, ces accusations révèlent les liens étroits entre pouvoir et sexe. D’ailleurs, les programmes des dictateurs mettent en avant les « hommes nouveaux », les valeurs viriles et sportives en assignant des rôles définis aux sexes. Le dictateur, meilleur allié des femmes ? Etonnamment, puisqu’il a besoin des femmes pour établir son pouvoir total, le dictateur leur octroie souvent des droits. Droit de vote pour Mussolini et Saddam Hussein, droit à l’avortement pour Lénine ou accouchement sans douleur, tandis que la chrétienté et le Vatican le refusaient ailleurs en Europe. D’ailleurs, le communisme, proposait l’utopie d’un pouvoir sans sexe. Une égalité parfaite entre les sexes pour les ‘travailleurs’.

Jean-Christophe Buisson reçoit Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois de novembre, Isabelle Schmitz qui chronique « Eugène de Beauharnais, un prince européen », exposition au Château de Bois Préau à Rueil-Malmaison jusqu’au 9/01/2023 et Nicolas Carreau qui chronique les livres « Les ratés de la science » de Bruno Léandri (Les éditions du Trésor) & « Plagiats et impostures littéraires » de Philippe di Folco (Ecriture).

La réponse semble, de prime abord, évidente à tous. Le pouvoir tel que nous le connaissons en occident, a été jusqu’à l’aube du XXème siècle, l’affaire exclusive des hommes. Le pouvoir en occident a un sexe, celui des hommes. Mais le pouvoir est-il intrinsèquement masculin, est-il par essence genré, ou met-il en exergue des qualités non genrées, comme le courage, la témérité qui appartient également aux femmes ? Le leader charismatique théorisé par Max Weber peut-il être une femme ? Nous interrogerons les associations établies entre la nature et les femmes, et la culture et les hommes : la femme est-elle à l’homme ce que la nature est à la culture ?

Jean-Christophe Buisson reçoit Christophe Bourseiller pour « Ils l’appelaient Monsieur Hitler » (Perrin) et Benoît Duteurtre pour « Dictionnaire amoureux de la Belle Époque et des Années folles » (Plon). Avec la chronique de Jennifer Kerner consacrée à l’exposition « Momies, corps préservés, corps éternels » du 22/10/22 au 22/07/23 au Muséum de Toulouse.

Jean-Christophe Buisson reçoit Guillaume Frantzwa pour « Le rêve brisé de Charles Quint » (Perrin) et Amable Sablon du Corail pour « La guerre de Cent Ans » (Passés Composés). Avec la chronique d’Eugénie Bastié consacrée au livre « Chroniques ! 50 chefs-d’œuvre de la littérature vus par la presse » (Flammarion Retronews).

Jean-Christophe Buisson reçoit Thierry Lentz pour « Les mythes de la Grande Armée » (Perrin) et Gwenaële Robert pour « Sous les feux d’artifice » (Le Cherche Midi). Avec la chronique de Romain Clément consacrée à la BD « Saboteuses » de Thomas Du Caju et Jean-Claude Rijckeghem (Éditions Paquet).

Jean-Christophe Buisson reçoit Lucie Malbos pour « Le monde viking » (Tallandier) et Bruno Fuligni pour « L’argot des manchots » (Hémisphères Éditions). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre « Le Chœur des esclaves » d’Antonin Durand (Buchet-Chastel).

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de cœur : Eugénie Bastié pour « Génération hussards » de Marc Dambre (Perrin) et Stéphane Courtois pour l’exposition « Rosa Bonheur » au Musée d’Orsay à partir du 18 octobre 2022. Avec Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois d’octobre.

Hitler s‘est-il donné la mort dans son bunker de Berlin Ie 30 avril 1945, comme le dit histoire officielle, ou bien a-t-il réussi à s’enfuir ? Dès lors, où serait-il passé ? Est-il mort au Brésil en 1984, ou vit-il encore au Pôle Sud ? On nous ment ?

Jean-Christophe Buisson reçoit Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le numéro du mois, Nicolas Chaudun pour le livre « Le duel des centaures » de Bertrand-Pierre Galey (Les éditions du Rocher) et Stéphane Courtois pour le livre « Berlin année zéro » de Giles Milton (Les éditions Noir sur Blanc).

Le chef gaulois Vercingétorix, qui fut battu par César à Alesia, n’est-il que le fruit imaginaire d’une légende urbaine, inventée par les laïcards au XIXe siècle pour occulter le rôle joué par l’Église dans la fondation de la France ? Cette thèse suscite bien des ferveurs complotistes.

Jean-Christophe Buisson reçoit Lorraine de Meaux et Sophie Brouquet, contributrices du livre « Femmes d’État. L’art du pouvoir » dir. Anne Fulda (Perrin – Le Figaro). Avec la chronique d’Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le dossier du mois de septembre.

Aux yeux des conspirationnistes, la mort accidentelle de Lady Di le 31 aout 1997 sous le tunnel de l’Alma à Paris serait un meurtre prémédité, commis à l’initiative de l’actuelle reine d'Angleterre... Mais pourquoi ?

L’épidémie de SIDA, qui a causé la mort de 25 millions de personnes entre 1981 et 2006, a-telle été sciemment provoquée ? Selon certaines théories, il s’agissait de tuer tous les Africains, puis tous les homosexuels, dans le but d’édifier un nouvel ordre mondial. Qu’en est-il ?

Le 16 juillet 1918, le tsar Nicolas II, sa femme, son fils, ses quatre filles et Ieurs domestiques sont massacrés par les Bolcheviks. Mais le tsar ou des membres de sa famille ont-ils réussi à fuir ? La dynastie des Romanov s’est-elle perpétuée dans le plus grand secret ?

Dans cet épisode, Christophe Bourseiller revient sur la théorie selon laquelle le début de la Première guerre mondiale ne serait pas lié aux événements que l’on peut apprendre à l’école… Les forces occultes ont elles sciemment plongé l’Europe dans la guerre en 1914 ? Les responsables secrets ne sont ils au fond que des marchands d’armes… juifs ?

Napoléon est mort le 5 mai 1821 sur l’île de Sainte-Hélène. Mais de quoi ? D’un cancer de l’estomac ou d’un ulcère mal soigné ? Sans attendre, on voit surgir des théories du complot : Napoléon aurait été assassiné en réalité… par les Anglais. Mieux encore, il ne reposerait pas aux Invalides, mais dans une tombe secrète située à Westminster Abbey.

Jean-Christophe Buisson reçoit Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, pour le numéro du mois, Nicolas Chaudun pour le livre « Le duel des centaures » de Bertrand-Pierre Galey (Les éditions du Rocher) et Stéphane Courtois pour le livre « Berlin année zéro » de Giles Milton (Les éditions Noir sur Blanc).

Jean-Christophe Buisson reçoit Aubrée David-Chapy pour « Anne de France » (Passés Composés) et Alexis Lacroix pour « La République assassinée. Weimar 1922 » (Les éditions du Cerf). Avec la chronique de Romain Clément consacrée à la BD « Une histoire populaire de la France » (Delcourt).

Après la défaite de 1940, la plupart des Français se résignent dans un premier temps à la politique pétainiste de collaboration avec les Allemands. Sauf une poignée de rebelles dont le premier d’entre eux : un certain général de Gaulle. Il rompt tous les ponts avec sa hiérarchie, décide de s’exiler en Angleterre pour continuer le combat. Mais pas seulement, il a aussi de grandes ambitions politiques. Il veut jouer sa carte, et prendre la tête de la France, de la France libérée lorsque les nazis en seront chassés. Pour y parvenir, il ne devra pas ferrailler uniquement contre les Allemands ; mais aussi, plus étonnant, s’opposer aux Anglais, aux Américains et en France au parti communiste. Voici le récit de cette lutte fratricide où tous les coups furent permis.

Début 1944 le général de Gaulle après une épopée pleine de rebondissements est enfin à la tête d’un gouvernement provisoire de la République française. Son destin politique qu’il a construit dans l’adversité se profile enfin : il aspire à diriger la France libérée. Mais plus la libération se rapproche, plus sa légitimité est à nouveau contestée : il est pris en étau entre les Américains qui se méfient de lui et le Parti communiste dont Charles de Gaulle craint un coup de force à Paris. Pour tenter de se tirer de ce mauvais pas, il aura recours à toutes les expédients possibles : la ruse, le coup de bluff et les manœuvres les plus audacieuses…

Jean-Christophe Buisson reçoit Bernard Bruneteau pour ses livres « Le bonheur totalitaire » (Les éditions du Cerf) & « Le vestiaire des totalitarismes » [dir. avec François Hourmant] (CNRS éditions) et Isabelle Mity pour son livre « Les actrices du IIIe Reich » (Perrin). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’exposition « Gallen-Kallela, mythe et nature » au musée Jacquemart-André jusqu’au 25 juillet.

A la fin de l’année 1940, le général de Gaulle est dans une mauvaise passe ; ses relations avec les Anglais et Winston Churchill ne font que se détériorer. Mais comme il l’avait prévu, le conflit se mondialise et il parie sur des circonstances qui lui seront plus favorables. En juin 1941 les Nazis attaquent l’Union soviétique. Et en décembre de la même année, un événement de portée internationale rebat les cartes…

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean des Cars pour son livre « Pour la reine » (Perrin) et Fanny Cosandey pour son livre « Reines et mères » (Fayard). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre « Histoires extraordinaires et insolites d'astronomes » de Jean-Pierre Luminet (Buchet-Chastel).

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean-François Solnon pour « Anne d’Autriche » (Perrin), Géraldine Lenain pour « Le dernier Maharaja d’Indore » (Seuil) et Éric Pincas d’Historia pour sa chronique mensuelle.

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de cœur : Isabelle Schmitz pour l’exposition « Gaudi » au Musée d'Orsay ; Nicolas Carreau pour les livres « La politesse » de Jean Pruvost (Tallandier) et « L'incroyable histoire de la littérature française » de Catherine Mory et Philippe Bercovici (Les Arènes BD) ; Jennifer Kerner pour le livre « Picasso sorcier » de Diana Widmaier-Ruiz-Picasso et Philippe Charlier (Gallimard).

Jean-Christophe Buisson reçoit Antoine Compagnon, conseiller scientifique de l’exposition « Marcel Proust du côté de la mère » au Musée d’Art et d’Histoire du Judaïsme et Oriane Beaufils, commissaire de l’exposition «L’art de la fête à la cour des Valois» au Château de Fontainebleau. Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’exposition «Boldini, Les plaisirs et les jours» au Petit Palais.

Jean-Christophe Buisson reçoit Philippe Collin pour « Le fantôme de Philippe Pétain » (Flammarion) et Murielle Gaude-Ferragu pour « Le trésor des rois » (Perrin). Avec la chronique de Romain Clément consacrée à la BD de Boucq & Juncker « Un général, des généraux » (Le Lombard).

Jean-Christophe Buisson reçoit Thierry Billard pour « Paul Deschanel » (Perrin) et Yannick Ripa pour « Cléo de Mérode » (Tallandier). Nicolas Chaudun présente l'exposition « Boilly, chroniques parisiennes », au Musée Cognacq-Jay jusqu’au 26 juin 2022.

Jean-Christophe Buisson reçoit Benoît Heimermann pour « Le mystère Lindbergh » (Stock) et Ellen Hampton pour « Les Rochambelles » (Tallandier). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’ouverture du nouveau musée départemental Albert-Kahn.

Jean-Christophe Buisson reçoit Maxime Michelet pour « L'invention de la présidence de la République » (Passés Composés) et Maxime Tandonnet pour « Georges Bidault » (Perrin). Avec la chronique d’Isabelle Schmitz consacrée au livre « Les conquistadors » de Fernando Cervantes (Perrin).

Jean-Christophe Buisson reçoit Christophe Bourseiller pour « Le complotisme, anatomie d’une religion » (Les éditions du Cerf) et Patricia Bouchenot-Déchin pour « J’ai l’énergie d’une lionne dans un corps d’oiseau » (Albin Michel). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre « Pasteur » de Annick Perrot et Maxime Schwartz (Tallandier).

Jean-Christophe Buisson reçoit Marie-Laure Buisson pour « Femmes combattantes » (Les Presses de la Cité) et Éric Alary pour « Histoire des enfants » (Passés Composés). Avec la chronique d’Éric Pincas consacrée au dossier du mois d’Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit Romain Sardou pour « La France du temps des cathédrales » (Armand Colin) et Alexandra Danet pour « Charles Quint » (Perrin). Avec la chronique de Nicolas Carreau consacrée au livre « Inattendu que … Tour du monde des curiosités juridiques » de Raphaël Costa (Les éditions du Trésor).

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de cœur : Stéphane Courtois pour « Les suicidés de Demmin » de Emmanuel Droit (Gallimard) ; Eugénie Bastié pour « Surcouf » de Michel Vergé-Franceschi (Passés Composés) & « Surcouf » de Dominique Le Brun (Tallandier) ; Nicolas Chaudun pour « Le design pour tous », exposition du 2/12/2021 au 15/05/2022 au Musée des Arts décoratifs.

Jean-Christophe Buisson reçoit Claude Gauvard pour « Jeanne d’Arc » (Gallimard) et Charles-Éloi Vial pour « Le siècle des chutes » (Perrin). Avec la chronique d’Éric Pincas consacrée au dossier du mois d’Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit Vincent Bernard pour « La guerre de Sécession » (Passés Composés) et Guillaume Zeller pour « Violette Szabo » (Tallandier). Avec la chronique d’Eugénie Bastié consacrée au livre « Albert Camus et la guerre d'Algérie. Histoire d'un malentendu » d’Alain Vircondelet (Les éditions du Rocher).

Jean-Christophe Buisson reçoit Stéphane Courtois pour « Histoire du Parti communiste français » (PUF) et Lucie Malbos pour « Harald à la Dent bleue » (Passés Composés). Avec la chronique de Romain Clément consacrée à la BD « Talleyrand » de Marie Gloris Bardiaux-Vaïente, Andrea Meloni & Emmanuel de Waresquiel (Glénat BD Fayard).

Jean-Christophe Buisson reçoit Alexandre Jevakhoff pour son livre « De Gaulle et la Russie » (Perrin) et Jean-Christophe Brisard pour son livre « Le dernier Mandchou » (Fayard). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée au livre « Marie-Antoinette et la musique » de Patrick Barbier (Grasset).

Jean-Christophe Buisson reçoit Christophe Barbier pour la pièce « Élysée » au Théâtre du Petit Montparnasse, Brigitte Krulic pour son livre « Flora Tristan » (Gallimard) et Éric Pincas d’Historia pour sa chronique mensuelle.

Jean-Christophe Buisson reçoit Marie-Hélène Baylac pour « La peur du peuple » (Perrin) et Frédéric Morvan pour « Du Guesclin » (Fayard). Nicolas Carreau chronique « Les raisins de la colère » de John Steinbeck (éditions des Saints-Pères).

Jean-Christophe Buisson reçoit François-Guillaume Lorrain pour « Scarlett » (Flammarion) et Mathilde Brézet pour « Le grand monde de Proust » (Grasset). Nicolas Chaudun chronique l’exposition « Marcel Proust, un roman parisien » au Musée Carnavalet jusqu’au 10 avril 2022.

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean Lopez pour « Kharkov 1942 » (Perrin – Ministère des Armées) et « La guerre antique » (Perrin – Guerres & Histoire), Pierre Cosme pour « Histoire romaine » (Fayard). Eugénie Bastié chronique « Une énigme française » de Jacques Semelin et Laurent Larcher (Albin Michel).

Jean-Christophe Buisson reçoit Éric Pincas d’Historia pour sa chronique mensuelle et les chroniqueurs Isabelle Schmitz, Romain Clément et Nicolas Chaudun pour leurs « coups de cœur ».

Jean-Christophe Buisson reçoit Francis Huster pour son livre « Dictionnaire amoureux de Molière » (Plon), Laure Dautriche qui chronique le livre « Saint-Saëns au fil de la plume » de Karol Beffa (Éditions Premières loges) et Stéphane Courtois qui chronique l’exposition « Picasso l’étranger » à voir jusqu’au 13 février 2022 au Musée national de l’histoire de l’Immigration.

Jean-Christophe Buisson reçoit Alain Blondy pour son livre « Pirates, corsaires et flibustiers » (Perrin) et Marie-Pierre Rey pour son livre « Le premier des chefs » (Flammarion). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée à l’exposition « Ilya Répine » à voir au Petit Palais jusqu’au 23 janvier 2022.

Jean-Christophe Buisson reçoit l’historien Jean des Cars, qui commente la panthéonisation de Joséphine Baker, et Hélène Delalex pour son livre « Marie-Antoinette. La légèreté et la constance » (Perrin - BNF). Avec la chronique d’Éric Pincas consacrée au dossier du mois d’Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit Michel Pastoureau pour son livre « Le corbeau » (Seuil) et Christophe Dickès pour son livre « Saint Pierre » (Perrin). Avec la chronique d’Eugénie Bastié consacrée aux livres « L’infini dans un roseau » de Irene Vallejo (Les Belles Lettres) & « Le Cabinet des antiques » de Michel De Jaeghere (Les Belles Lettres).

Jean-Christophe Buisson reçoit Cécile Berly pour « La légèreté et le grave. Une histoire du XVIIIe en tableaux » (Passés composés), Jonathan Siksou pour « Capitale » (Les éditions du Cerf) et Nicolas Chaudun pour « La nuit des aventuriers » (Plon). Nicolas Chaudun chronique par ailleurs l’exposition « Les Adam. La sculpture en héritage », au Musée des Beaux-arts de Nancy jusqu’au 9 janvier 2022.

Jean-Christophe Buisson reçoit Christophe Bourseiller pour « Ombre invaincue. La survie de la Collaboration dans la France de l’après-guerre 1944-1954 » (Perrin) et Christine Oddo pour « Mary Reynolds » (Tallandier). Avec la chronique d’Éric Pincas consacrée au dossier du mois d’Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit Olivier Grenouilleau pour « Christianisme et esclavage » (Gallimard) et François Reynaert pour « Roger, héros, traître et sodomite » (Fayard). Avec la chronique d’Isabelle Schmitz consacrée à l’exposition « Botticelli, artiste et designer » au musée Jacquemart-André du 4 septembre 2021 au 24 janvier 2022.

Jean-Christophe Buisson reçoit Loris Chavanette pour « Danton et Robespierre » (Passés composés) et Patricia Eichel-Lojkine pour « Marguerite de Navarre » (Perrin). Avec la chronique de Romain Clément consacrée à la BD « Le sang des Valois » de Didier Decoin, Jérôme Clément et Marc Jailloux (Glénat), avec un focus sur la BD « Pinard de guerre » de Philippe Pelaez et Francis Porcel (Éditions Grand Angle)

Jean-Christophe Buisson reçoit Maurizio Serra pour « Le mystère Mussolini » (Perrin). Avec la chronique de Laure Dautriche consacrée à l’exposition « Les animaux du Roi » au Château de Versailles du 12/10/2021 au 13/02/2022 et la chronique de Jennifer Kerner consacrée aux images numériques dans la transmission du savoir historique.

Jean-Christophe Buisson reçoit Laurent Theis pour « Charles le Chauve » (Gallimard) et Enora Peronneau Saint-Jalmes pour « Crimes sexuels et société à la fin de l’Ancien Régime » (Perrin). Avec la chronique d’Éric Pincas d’Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de cœur : Stéphane Courtois chronique « Œillères rouges. Complaisances intellectuelles avec les régimes totalitaires de gauche » de Hervé Hasquin (Les éditions du CEP) ; Eugénie Bastié chronique « Georges Bernanos, la colère et la grâce » de François Angelier (Seuil) et Nicolas Carreau chronique « Les maitres de la manipulation. Un siècle de persuasion de masse » de David Colon (Tallandier) & « La Bête du Gévaudan » de Jean-Marc Moriceau (Tallandier).

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean-Christian Petitfils pour son livre « Henri IV » (Perrin) et Sylvie Le Clech pour son livre « Femmes de la Renaissance » (Tallandier). Avec la chronique de Nicolas Chaudun consacrée au Musée Carnavalet.

Jean-Christophe Buisson reçoit Nicole Bacharan pour son livre « Les grands jours qui ont changé l’Amérique » écrit avec Dominique Simonnet (Perrin) et Romain Slocombe pour son roman « L’inspecteur Sadorski libère Paris » (Robert Laffont). Avec la chronique d’Éric Pincas, rédacteur en chef d’Historia, sur la saga des Francs, à lire dans le numéro de septembre.

Jean-Christophe Buisson reçoit Laure Dautriche pour « Paganini » (Tallandier), Nicolas Chaudun pour une chronique consacrée à l’Hôtel de la Marine et Eric Pincas, rédacteur en chef d’Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit Eric Branca pour « Le Roman des damnés » (Perrin), Isabelle Schmitz pour une chronique consacrée à La Fontaine et Bruno Seillier pour « La Nuit aux Invalides ».

Jean-Christophe Buisson reçoit Philippe Le Guillou pour « Le mystère Richelieu » (Robert Laffont) et Jean Lopez pour « De la guerre » (Perrin - Guerres & Histoire). Eugénie Bastié chronique « Histoire du gauchisme » de Philippe Buton (Perrin).

Jean-Christophe Buisson reçoit Jérôme Fehrenbach pour « Jenny Marx. La tentation bourgeoise » (Passés composés) et Claudine Monteil pour « Marie Curie et ses filles » (Calmann-Lévy). Nicolas Carreau chronique « Voyages en France » de Robert Louis Stevenson (Arthaud).

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de cœur : Stéphane Courtois pour l’exposition « Les origines du monde. L'invention de la nature au XIXe siècle » au Musée d'Orsay, Jennifer Kerner pour le livre « Autopsie des fantômes. Une histoire du surnaturel » de Philippe Charlier (Tallandier) et Romain Clément pour la bande-dessinée « Suites algériennes 1962-2019 » de Jacques Ferrandez (Casterman).

L’armée française a craqué devant Sedan, les Allemands avancent si vite qu’ils provoquent une panique sans précédent dans la population civile. Des millions de réfugiés qui abandonnent tout, se replient vers la Loire en provoquant d’immenses embouteillages. Le chaos est tel que le gouvernement est pris de doute. Il se divise entre les tenants de la lutte jusqu’au bout et les partisans de l’armistice dirigés par un vieux maréchal mais au prestige inégalé : Philippe Pétain. Il va intriguer pour se faire nommer chef du gouvernement, en profitant de la panique qui règne sur les routes de France.

En moins de 4 jours, après une folle traversée des Ardennes, les Allemands arrivent devant la Meuse à Sedan. Tout va se jouer ici. Tant qu’ils ne l’ont pas traversée, la France peut encore stopper l’invasion surprise. Mais si les blindés allemands franchissent le fleuve, il n’y a plus aucune armée pour leur barrer la route de Paris…

Paris, 14 Juillet 1939. La république commémore les 150 ans de la Révolution Française. Un des personnages clé de l'incroyable tragédie qui commence prend la parole, le président de la république, Albert Lebrun. 45 jours avant l'entrée en guerre avec l'allemagne, la république s'offre un de ses plus beaux défilés.

Septembre 1938, la France est sur le point de déclarer la guerre à l’Allemagne pour protéger la Tchécoslovaquie. Mais à la toute dernière minute, les Anglais acceptent le principe d’une ultime conférence pour la paix à Munich. Faut-il y aller ou pas ? Doit-on toujours négocier avec les nazis ?

Deux ans après l’affaire de la Rhénanie, la France ne peut plus ignorer l’expansionnisme hitlérien. En mars 1938 l’Allemagne nazie annexe l’Autriche. Et elle vise ensuite la Tchécoslovaquie. Or Paris s’est engagé à la défendre. Et on l’a un peu oublié depuis mais la France a failli déclarer la guerre à Hitler dès septembre 1938.

Samedi 7 mars 1936 Hitler tente un coup de poker. Il remilitarise la Rhénanie, cette région proche des frontières françaises et belges. C’est une violation gravissime des traités internationaux. Si la France réagit et attaque, le Führer sait qu’il sera vraisemblablement battu en Rhénanie. Ce serait son premier grand échec politique et international. Face à la première armée d’Europe, il ne pèse alors pas lourd. Et pourtant la France ne bougera pas. Voici les vraies raisons d’une tragique passivité.

Jean-Christophe Buisson reçoit Jérôme Cordelier pour « L’espérance est un risque à courir. Sur les traces des résistants chrétiens 1939-1945 » (Calmann-Lévy) et Sylvie Lindeperg pour « Nuremberg, la bataille des images » (Payot). Nicolas Chaudun chronique l’exposition « Hyacinthe Rigaud ou le portrait Soleil » au Château de Versailles jusqu’au 13 juin 2021.

En 1933 lorsque Hitler arrive au pouvoir en Allemagne, la France est encore une grande puissance. Elle est sortie victorieuse de la Grande guerre de 1914 contre les Allemands. Elle est la nation qui domine l’Europe continentale dans les années 20. Elle rayonne sur un gigantesque Empire qui s’étend de l’Afrique jusqu’en Extrême-Orient. Enfin elle dispose d’une armée puissante. En 1945 tout est à refaire. La France sort éreintée du deuxième conflit mondial. Battue en quelques semaines, occupée partiellement puis totalement durant 4 années, elle n’a dû son salut qu’à la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, l’Union soviétique et à un jeune général totalement inconnu : Charles de Gaulle. Comment en 12 petites années, la France passe-t-elle du statut de grande puissance à celle de petit pays meurtri ? La chute a été vertigineuse, la lutte pour sa Libération héroïque. Retrouvez dans ce podcast les ressorts les plus palpitants et les plus intrigants.

Jean-Christophe Buisson reçoit Stanis Perez pour « Pandémies. Des origines à la Covid 19 » écrit avec Patrick Berche (Perrin) et Claire Andrieu pour « Tombés du ciel. Le sort des pilotes abattus en Europe 1939-1945 » (Tallandier – Ministère des Armées). Avec la chronique d’Eric Pincas consacrée au dossier du mois « Pie XII et les archives du Vatican » à lire dans le magazine de juin 2021.

Jean-Christophe Buisson reçoit Michel Field pour « Paris émois » (Mialet Barrault) et Christine Kerdellant pour « La vraie vie de Gustave Eiffel » (Robert Laffont). Avec la chronique de Nicolas Carreau consacrée au livre « A la table des tyrans » de Christian Roudaut (Flammarion).

Jean-Christophe Buisson reçoit Philippe Costamagna pour « Les goûts de Napoléon » (Grasset) et David Chanteranne, commissaire de l'exposition « Napoléon : de Waterloo à Sainte-Hélène, la naissance de la légende » au Mémorial de la bataille de Waterloo 1815. Avec la chronique d’Eugénie Bastié consacrée au livre « Histoire des Sioux » de George E. Hyde (Les éditions du Rocher).

Jean-Christophe Buisson reçoit Martin Aurell pour « Excalibur, Durendal, Joyeuse - la force de l’épée » (PUF) et Francine-Dominique Liechtenhan pour « Catherine II » (Perrin). Avec la chronique d’Eric Pincas consacrée au dossier « Les 72 jours de la Commune de Paris » à lire dans Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de coeur : Stéphane Courtois pour "Charles de Gaulle et l’irruption hitlérienne" de Gilles Le Béguec, Jean-Paul Thomas et Jean Vavasseur-Desperriers (Presses Universitaires de Rennes), Jennifer Kerner pour le court-métrage "Traces" de Sophie Tavert Macian et Hugo Frassetto (Production Les Films du Nord) et Nicolas Chaudun pour "Les Iconophages, une histoire de l’ingestion des images" de Jérémie Koering (Actes Sud).

Jean-Christophe Buisson reçoit Lydwine Scordia pour son livre « Onze énigmes de Louis XI » (Vendémiaire) et Jérôme Carron, journaliste à Point de Vue, pour évoquer Elisabeth II. Avec la chronique de Romain Clément consacrée au roman graphique « Von Braun » de Robin Walter (Des ronds dans l’O).

Jean-Christophe Buisson reçoit Florence Quentin pour « Les grandes souveraines d’Égypte » (Perrin) et Nolwenn Le Blevennec, journaliste à L’Obs, à l’occasion des 50 ans du Manifeste des 343. Avec la chronique de Nicolas Carreau sur « Pionnières du risque » de Marie-Ève Sténuit (Les éditions du Trésor).

Jean-Christophe Buisson reçoit François-Guillaume Lorrain pour « Ces autres lieux qui ont fait la France » (Fayard) et Pierre Cosme pour « Les plus grandes batailles de Rome » (Armand Colin). Avec la chronique d’Isabelle Schmitz consacrée à Dante, à l’occasion du 700e anniversaire de sa mort.

Jean-Christophe Buisson reçoit Thierry Lentz pour « Pour Napoléon » (Perrin) et Charles-Éloi Vial pour « Histoire des Cent-Jours » (Perrin). Avec la chronique d’Eric Pincas consacrée au dossier « 1830-1902, la conquête de l’Algérie » à lire dans Historia.

Jean-Christophe Buisson reçoit Frédéric Mounier pour « Le siège de Paris. Une histoire française 1870-1871 » (Les éditions du Cerf) et Nicolas Chaudun pour « Le Brasier » (Actes Sud, coll. Babel). Avec la chronique d’Eugénie Bastié consacrée à « Soljenitsyne et la France » sous la direction de Georges Nivat (Fayard).

Jean-Christophe Buisson reçoit les chroniqueurs pour leurs coups de cœur : Nicolas Carreau pour « Pompéi » de Claude Aziza (Les Belles-lettres) et « Des couples tragiques dans l’histoire » de Jean des Cars (Perrin) ; Eugénie Bastié pour « Le rêve de l’assimilation » de Raphaël Doan (Passés composés) et « L’autre art contemporain » de Benjamin Olivennes (Grasset) ; Nicolas Chaudun pour « Les frères Morozov » de Natalia Semenova (Actes Sud).

Jean-Christophe Buisson reçoit Chantal Prévot pour « Mystères de Paris » (Les éditions du Cerf), Hervé Joly pour « À Polytechnique, X 1901 » (Flammarion) et Stéphane Courtois qui chronique « Sandormokh » de Irina Flige (Les Belles lettres).

Jean-Christophe Buisson reçoit Jean-Marie Rouart, de l’Académie française, pour son livre « Ils voyagèrent vers des pays perdus » (Albin Michel) et Franck Ferrand pour son livre « Portraits et destins » (Perrin).

Derrière la scène politique, des officines dirigent- elles la planète? En quoi consistent La Commission Trilatérale, le groupe de Bilderberg, ou le Council on Foreign Relations (CFR) ? S’agit-il des dirigeants suprêmes d’un monde qui ne les connait pas ?

Et si le rock’n’roll n’était qu’une invention perverse, un produit de laboratoire visant à nous abrutir ? Selon certains complotistes, les Beatles, les Rolling Stones et les autres ont été conçus par un mystérieux laboratoire situé à Tavistock, en Angleterre...

Qu’en est-il de l’expérimentation « MK Ultra », effectivement lancée par les USA dans les années 1950 ? A-t-on sciemment drogué des populations entières au LSD pour mieux les contrôler ? Est-ce encore le cas aujourd’hui ? La joueuse de tennis Serena Williams ou le couturier Marc Jacobs ne sont-ils que des « zombies » sous contrôle ?

C’est l’une des théories du complot les plus odieuses du XXe siècle. Les Juifs ont-ils menti sur le génocide ? Certains nient aujourd’hui les chambres à gaz, et la Shoah dans son ensemble. Qui sont-ils et d’où provient leur obsession ?

La rumeur court depuis le début des années 1950. La terre a-t-elle été envahie en douceur par des extra-terrestres qui ont pris le contrôle des gouvernements ? Nos dirigeants sont-ils des aliens affublés de masques ? Cette théorie conspirationniste n’en finit pas aujourd’hui de faire des adeptes.

On ne prête qu’aux riches. Le suicide tragique de Marilyn Monroe le 5 août 1962 a-t-il été mis en scène dans le cadre d’une conspiration impliquant les Kennedy ? A-t-on voulu faire taire celle qui fut peut-être l’amante de John Fitzgerald, tout autant que de Robert Kennedy ?

L’assassinat du président américain John Fitzgerald Kennedy à Dallas le 22 novembre 1963 n’en finit pas de susciter des scénarios complotistes. Mais par delà les délires des uns et des autres, incriminant tantôt la CIA, tantôt les Russes, tantôt la mafia, tantôt le milieu corse, y a-t’il eu un véritable complot ?

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