OVNI's

Ovni Capital

OVNI's, le podcast qui vous permet d’en devenir un vous aussi. Retrouvez-nous chaque semaine pour découvrir les coulisses de la création de notre fonds d’investissement, mais également les secrets de la réussite d’entrepreneurs, artistes et sportifs que nous apprécions et avec lesquels nous collaborons. A travers nos panels d’invités, nous vous faisons entrer dans notre univers sans filtre et notre quotidien de gérants financiers.

Dans ce nouvel épisode Arnaud Laurent (ovni) reçoit Alain Roubach, un entrepreneur et investisseur chevronné, qui partage son parcours inspirant et les leçons qu'il a apprises au fil des ans. Alain a commencé sa carrière dans le secteur de la restauration après avoir travaillé dans une entreprise familiale. Son aventure entrepreneuriale a pris son envol avec la création de restaurants de hamburgers, qui a ensuite évolué en une entreprise de distribution de produits surgelés. Cependant, c'est avec la chaîne de restaurants Léon de Bruxelles qu'il a connu un succès significatif, introduisant la société en Bourse et en ouvrant 40 établissements. Alain Roubach souligne l'importance de la liberté dans sa vie, une valeur qu'il chérit profondément et qu'il associe à sa capacité à suivre ses passions sans être entravé par des contraintes.En tant qu'investisseur, Alain Roubach met l'accent sur le facteur humain comme clé du succès entrepreneurial. Il partage des anecdotes sur ses investissements dans la tech, notamment avec des entreprises comme Teads (voir épisode avec Gilles Moncaubeig) et Ogury (Jean Canzoneri), où il a misé sur des entrepreneurs prometteurs plutôt que sur des projets spécifiques. Il évoque également sa philosophie d'investissement, préférant les relations directes et enrichissantes avec les entrepreneurs plutôt que de simples rendements financiers. En outre, il parle de l'importance de transmettre non seulement un patrimoine financier, mais aussi des valeurs, telles que l'amour de la liberté, à ses enfants. Enfin, il met en avant l'importance de prendre des décisions réfléchies et de suivre son intuition, des compétences qu'il a développées grâce à ses passions pour les sports aériens et la montagne.A la fin de l’épisode, Arnaud & Alain racontent comment ils se sont rencontrés 8 ans plus tôt par pur hasard, à 4 000 mètres d’altitudes dans un pilatus à Gap Tallard lorsqu’ils pratiquaient tous les deux leur passion du parachutisme sportif. Vous avez dit sérendipité ?[00:00:00]: Introduction et contexte de la rencontre[00:01:18]: Présentation d'Alain Roubach[00:01:55]: Débuts entrepreneuriaux et influence familiale[00:02:57]: Succès et expansion de Léon de Bruxelles[00:07:50]: Introduction en bourse de Léon de Bruxelles[00:13:37]: Importance de la liberté pour Alain Roubach[00:17:24]: Transition vers l'investissement dans la tech[00:18:10]: Investissement dans Tids et le rôle de Jean Canzoneri[00:22:17]: Anecdote sur Love and Green et le rôle de la chance[00:26:05]: Exemple d'investissement réussi avec Vibe et stratégie d'investissement
Dans ce nouvel épisode, Matthieu Stefani reçoit Thierry Picq dans le cadre du partenariat PwC & OVNI. Thierry est un ex Cadre de Microsoft qui a passé 28 ans au sein de l'entreprise. En commençant par l'époque du lancement de Windows 95, Il décrit comment Microsoft a su pivoter et s'adapter à l'ère d'Internet, notamment via MSN, réseau initialement fermé à un portail d'accès à Internet. Notamment sous l'impulsion d’un certain Bill Gates. Thierry souligne l'importance de la paranoïa positive dans les grandes entreprises pour survivre et prospérer face à des concurrents comme Google et Netscape. Il détaille également ses diverses responsabilités chez Microsoft, allant de la gestion des développeurs et des startups à la création de partenariats, tout en soulignant l'importance de l'innovation et de l'adaptabilité dans un environnement technologique en constante évolution.Dans la deuxième partie de l'entretien, Thierry discute de son rôle actuel chez PwC, où il s'efforce de créer des ponts entre les startups et les grandes entreprises. Il explique comment PwC cherche à intégrer l'innovation externe en collaborant avec des écosystèmes et des acteurs comme OVNI Capital. Il reconnait les défis liés à l'alignement des temporalités et des objectifs entre les startups et les grandes structures. Thierry met en avant l'importance d'une approche collaborative et de la création de valeur partagée, en insistant sur l'importance de la confiance et des relations humaines dans ces processus. Il termine en évoquant les enjeux actuels liés à l'IA et à la souveraineté numérique, soulignant l'importance de l'innovation continue pour rester compétitif dans un monde en rapide évolution.[00:00:00]: Introduction et carrière chez Microsoft[00:00:46]: Lancement de Windows 95 et virage Internet[00:01:56]: Résilience et transformation de Microsoft[00:04:06]: Rôles et expériences chez Microsoft[00:08:27]: Développement du cloud et écosystème startups[00:14:36]: Dépendance au cloud et multi-cloud[00:21:34]: Intégration des startups dans les grands groupes[00:32:02]: Défis de collaboration entre startups et grandes entreprises[00:39:22]: Importance de la focalisation et proposition de valeur[00:47:28]: Impact de l'IA et souveraineté technologique
Dans cet épisode, Mathieu Tarnus, PDG du groupe Positive, discute de l'évolution de son entreprise, anciennement connue sous le nom de Sarbacane. Au micro de Matthieu Stefani, il explique comment l'entreprise a commencé en 2001 en tant que logiciel natif pour Windows et comment elle s'est progressivement transformée pour adopter un modèle SaaS en 2009, lui permettant de croître même pendant les périodes de crise financière. Il évoque également les défis et les opportunités rencontrés en matière d'internationalisation et de croissance externe, soulignant l'importance de s'adapter et d'innover pour rester compétitif dans le marché numérique en constante évolution.Mathieu partage également des anecdotes personnelles sur son parcours entrepreneurial, notamment son expérience de travail avec son père et les leçons apprises au fil des années. Il discute de l'importance de l'email comme canal de communication privilégié et des nouvelles opportunités offertes par les technologies de messagerie. Aujourd'hui, avec 35 000 clients en Europe, il envisage une expansion future vers les États-Unis et vise à atteindre 100 millions de revenus d'ici 2026, tout en soulignant l'importance de rester agile et d'investir dans de nouvelles technologies.[00:00:00]: Rencontre et présentation du groupe Positif[00:00:36]: Evolution de la marque Sarbacane[00:01:40]: Expansion internationale et changements de marque[00:02:58]: Conflit avec Google et diversification des activités[00:05:23]: Investissement personnel et projets d'avenir[00:06:25]: Dynamisme entrepreneurial dans la région de Lille[00:07:43]: Histoire familiale et débuts de Mathieu dans le marketing[00:10:50]: Transition de l'ère Minitel à Internet[00:17:20]: Débuts de Sarbacane et création de Datalist[00:39:08]: Croissance et stratégie de Sarbacane face à la
Dans cet épisode du podcast OVNIs, Laurent Calendo nous parle de son parcours entrepreneurial, notamment de la création de l'entreprise SamBoat en 2014. Laurent raconte comment, avec son associé, ils ont lancé une plateforme de location de bateaux entre particuliers à un moment où l'économie collaborative était en plein essor. Il décrit les défis rencontrés, comme le développement technologique et la nécessité de trouver des assurances pour les bateaux, et explique comment ils ont surmonté ces obstacles pour finalement avoir un portefeuille de 50 000 bateaux dans 16 pays. Laurent évoque aussi les difficultés rencontrées, notamment lors de la pandémie de COVID-19, et la vente de SamBoat à Dream Yacht Charter, tout en soulignant l'importance de maintenir l'esprit et la culture d'entreprise pour favoriser l'innovation.Laurent partage également son expérience personnelle en tant qu'entrepreneur, soulignant la résilience nécessaire pour surmonter les moments difficiles et l'importance d'un bon entourage, tant professionnel que personnel. Il parle de son engagement actuel à aider d'autres entrepreneurs, fort de son expérience et du soutien qu'il a lui-même reçu à ses débuts. Il insiste sur l'importance de l'épanouissement personnel dans son travail, ce qui contribue, selon lui, à la réussite. Laurent conclut en exprimant son ouverture à de nouvelles opportunités, que ce soit en lançant un nouveau projet ou en continuant à coacher d'autres entrepreneurs.[00:00:00]: Rencontre entre Laurent et Arnaud[00:01:14]: Laurent, entrepreneur et aventurier[00:02:01]: Naissance de Sam Boat[00:03:01]: Modèle économique et évolutions[00:04:31]: Défis techniques et recrutement[00:05:41]: Moments difficiles et résilience[00:07:03]: Culture d'entreprise chez Sam Boat[00:09:01]: Concurrence et différenciation[00:12:23]: Fusion et adaptation post-acquisition[00:14:54]: Retour à la liberté et coaching d'entrepreneurs
Dans cet épisode du podcast OVNIs, Matthieu Stefani discute avec Aritz Zamakola, cofondateur de Resolve Stroke, une entreprise innovante dans le domaine de l'imagerie médicale. Aritz explique comment son entreprise utilise les ultrasons pour diagnostiquer et prévenir les AVC (accidents vasculaires cérébraux) de manière plus efficace et accessible que les méthodes traditionnelles telles que l'IRM et le scanner. Il souligne que leur technologie s'appuie sur les ultrasons pour faciliter le diagnostic, notamment grâce à l'intelligence artificielle et à des algorithmes avancés. Dans cet épisode, ils explorent les défis rencontrés par Resolve Stroke, notamment la nécessité de prouver l'efficacité de leur technologie et de convaincre les acteurs majeurs du secteur de l'intégrer dans leurs systèmes. Aritz mentionne l'importance d'avoir des leaders d'opinion crédibles pour promouvoir leur technologie et la stratégie de l'entreprise de s'étendre sur les marchés européens et américains. Ils terminent par une discussion sur le modèle économique de Resolve Stroke, qui repose sur un système d'exploitation pour échographes avec des applications tierces, et sur l'avenir potentiel de l'entreprise dans l'industrie des technologies médicales.[00:00:00]: Introduction et présentation des invités[00:00:20]: Origine basque et identité culturelle[00:01:34]: Rencontre et début de l'aventure OVNI[00:02:49]: Importance des échanges avec les investisseurs[00:03:11]: Présentation de Resolved Stroke[00:06:44]: Différences entre ultrason, IRM et scanner[00:09:07]: Innovation dans l'échographie[00:14:21]: Défis et réalisations de Resolved Stroke[00:19:41]: Utilisation de l'échographie pour prévenir l'AVC[00:44:49]: Futur et objectifs pour Resolved Stroke
Dans cet épisode bonus du Kite and Connect, Cyril Capitaine partage son expérience et sa philosophie de vie axée sur la puissance de l'âme et l'entrepreneuriat personnel. Il explique comment la conscience d'une seule vie précieuse peut être un moteur pour réaliser ses ambitions. En racontant son parcours personnel marqué par la perte de son frère, Cyril souligne l'importance de transcender les obstacles émotionnels pour trouver du bonheur et du succès. Il insiste sur le fait que l'émotion et la passion sont essentielles au-delà des compétences techniques dans la réussite entrepreneuriale, et encourage chacun à exprimer pleinement leur potentiel.Cyril se présente comme un coach passionné, accompagnant des dirigeants à travers le monde, tout en restant fidèle à sa philosophie de vie qui place le personnel avant le professionnel. Il partage l'idée que l'équilibre entre vie personnelle et professionnelle est crucial pour un épanouissement total. Il soutient l'association des Petits Princes, intégrant la contribution sociale dans son modèle de réussite, et encourage à devenir le capitaine de sa propre vie, tout en aimant ce que l'on fait, pour une réelle satisfaction et un impact significatif.[00:00:00]: Introduction et salutations[00:00:17]: La puissance de l'âme en entrepreneuriat[00:01:24]: Confiance en soi et expression du talent[00:02:37]: Bloquer et débloquer le potentiel intérieur[00:03:43]: Histoire personnelle et révélation[00:06:37]: Vie unique et importance des émotions[00:08:44]: Comprendre la psychologie dans le business[00:09:36]: Importance de l'action et de la contribution[00:12:07]: Rencontre avec Cyril Capitaine[00:14:44]: Parcours industriel et apprentissages
Arnaud a eu l'opportunité de s'exercer au podcast hors studio lors du dernier Summit organisé par Kite and Connect. C'est dans ce contexte qu'il a rencontré Lucile, fondatrice d'Arterya, et Augustin Navion, qui travaille avec Laurent Houitte. Dans cet épisode vous pourrez découvrir l'histoire de Laurent, de son club d'entrepreneurs Kite and Connect, qui combine entrepreneuriat et sports de glisse. Ouvert à des profils variés allant des dirigeants de supermarchés, chirurgiens, avocats, financiers, a connu un développement inattendu malgré les doutes initiaux.Lucile, la fondatrice d'Arterya, explique son parcours depuis ses études en ingénierie et marketing jusqu'à la création de sa start-up. Son entreprise développe un dispositif médical innovant pour aider les médecins à localiser les artères. L'idée est née d'un besoin exprimé par un médecin, et Lucile a pu lancer son projet grâce à un concours chez Sanofi, qui lui a permis de lever des fonds initiaux. Le parcours de Lucile est marqué par des levées de fonds successives, à commencer par la love money auprès de sa famille, suivie de financements régionaux et de la BPI. Elle partage ses défis, notamment celui de naviguer dans un secteur où la présence féminine est encore minoritaire, et son ambition de faire d'Arterya une référence mondiale dans la détection des artères. Lucile décrit également comment son expérience en tant que sauveteur en mer lui a enseigné la discipline, la rigueur et le travail d'équipe, des compétences qu'elle applique dans sa vie d'entrepreneure. Elle souligne l'importance de rester informée des innovations technologiques pour maintenir l'avance de son entreprise dans le domaine médical.Augustin Navion, quant à lui, est chef de projet au Kite and Connect, il partage son parcours atypique, passant de charpentier de marine à paysagiste avant de rejoindre Kite & Connect. Il raconte comment, après un moment de doute professionnel et un voyage sur le chemin de Compostelle, il a découvert son poste actuel grâce à une newsletter de Matthieu Stefani. Augustin apprécie particulièrement les connexions qu'il peut faire entre entrepreneurs de divers horizons, soulignant l'importance des rencontres dans son travail.
Dans ce nouvel épisode du podcast OVNIs, Arnaud Laurent reçoit Laurent Houitte pour partager son parcours entrepreneurial et ses réflexions sur le club Kite & Connect qu'il a fondé. Dès le début, Arnaud souligne leur première rencontre lors d'un événement en rapport avec les startups, notamment le "Pitch on the Beach", où les entrepreneurs présentent leurs projets dans un cadre détendu. Il exprime son admiration pour les valeurs véhiculées par Laurent et l'impact inspirant de ses discours.Laurent, quant à lui, se présente comme un entrepreneur passionné par les sports de glisse et animé par un désir de liberté et de plaisir. Ayant grandi en Normandie et passé une partie de sa vie à La Réunion, il explique comment sa passion pour les sports nautiques l'a conduit à créer Kite & Connect. Ce club combine rencontres entrepreneuriales et sports de glisse, bien qu'au départ, l'idée ait suscité du scepticisme parmi ses pairs. Laurent souligne l'importance de sortir des sentiers battus et de chercher l'authenticité, des valeurs qu'il s'efforce de promouvoir au sein de son club.Le développement de Kite & Connect n'a pas été sans défis. Laurent raconte comment il a dû convaincre ses premiers membres, souvent en faisant du porte-à-porte et en s'appuyant sur son réseau. Il insiste sur l'importance des early adopters, ces premiers clients qui ont cru en son projet et ont contribué à sa croissance. Il souligne également l'impact des discussions et des partages d'expériences entre membres, qui ont généré des millions d'euros de business au fil des ans.Au-delà des aspects purement commerciaux, Laurent met l'accent sur la création d'un environnement propice à l'épanouissement personnel et professionnel des membres de Kite & Connect. Il souhaite que les entrepreneurs se sentent libres d'explorer de nouvelles idées et qu'ils puissent intégrer leurs passions personnelles dans leur vie professionnelle. Le club devient ainsi un lieu d'échange et de réflexion, où les participants peuvent découvrir de nouvelles perspectives et renforcer leurs réseaux.Enfin, ils soulignent l'importance des "rewards" dans le parcours entrepreneurial, ces moments de plaisir et de détente qui permettent de recharger ses batteries. Ecoutez un épisode qui explique comment Kite & Connect parvient à marier business et émotion, en offrant aux entrepreneurs un espace pour se ressourcer et s'inspirer.[00:00:01]: Rencontre avec Laurent pour le podcast OVNI[00:00:24]: Pitch on the Beach et Summit Kite & Connect[00:01:42]: Présentation de Laurent et son parcours[00:03:18]: Début de l'aventure entrepreneuriale de Laurent[00:06:36]: Création de Kite & Connect[00:10:43]: Rencontre décisive avec Bill Tai[00:17:21]: Premier événement Kite & Connect[00:19:30]: Succès et chiffres clés de Kite & Connect[00:28:01]: Importance des émotions et du business émotionnel[00:41:38]: Impact écologique et vision pour l'avenir
Dans cet épisode, Mathieu Stefani reçoit Mathieu Nohet, cofondateur de la startup BaCta. Il discute ensemble de son parcours entrepreneurial et de son projet actuel axé sur la biologie industrielle. Après avoir vendu sa première entreprise spécialisée dans l'analyse de données pour les administrations publiques, Mathieu s'est lancé dans une nouvelle aventure avec BacTa, créée en janvier 2024. Bacta vise à produire du caoutchouc naturel à partir de micro-organismes et de matières premières renouvelables comme le sucre et le CO₂, avec l'objectif de remplacer les caoutchoucs synthétiques et naturels existants, qui sont souvent problématiques en termes de durabilité et d'impact environnemental.Mathieu explique comment il est passé de l'idée à l'exécution en se formant à la biologie synthétique grâce à des ressources en ligne et en collaborant avec un laboratoire de l'INSERM. Cette collaboration lui a permis de développer une preuve de concept pour la production de caoutchouc. Le projet se concentre sur la recherche et développement pour améliorer le rendement et la qualité du caoutchouc produit. Mathieu insiste sur l'importance de trouver des sources de carbone alternatives au sucre pour réduire les coûts et les impacts environnementaux.La discussion aborde également les défis de l'industrialisation et du financement de ce type de projet. Mathieu envisage de sous-traiter la phase pré-industrielle de production afin de minimiser les investissements initiaux avant de construire une usine de production à grande échelle. Il souligne qu'une production industrielle est cruciale pour atteindre des niveaux de rentabilité intéressants, étant donné que le marché du caoutchouc est basé sur des volumes très élevés.Mathieu évoque les obstacles liés à la réglementation stricte des OGM en Europe, ce qui peut freiner l'innovation dans le domaine de la biologie synthétique. Malgré ces défis, il estime que la biologie de synthèse a le potentiel de révolutionner la production de matières premières en rendant leur production plus durable et moins dépendante de ressources limitées. Il espère que BacTa pourra contribuer à cette révolution en fournissant une alternative écologique et économiquement viable au caoutchouc traditionnel.Le financement de BacTa a été assuré par une levée de fonds de 3 millions d'euros, incluant des contributions d'investisseurs comme OVNI. Cette somme est destinée principalement à la recherche et développement, avec l'objectif de prouver la viabilité industrielle du procédé de production de caoutchouc. Mathieu est conscient que le chemin est encore long avant de pouvoir commercialiser le produit à grande échelle, mais il reste optimiste quant aux perspectives de son projet.Le chef d’entreprise invite les auditeurs à contribuer au développement de BacTa via des partenariats commerciaux ou en rejoignant l'équipe scientifique.[00:00:00]: Introduction à la startup Bacta [00:00:21]: Parcours entrepreneurial de Mathieu [00:01:08]: Stratégies de vente B2B [00:02:41]: Transition vers un nouveau projet [00:04:33]: Présentation du projet Bacta [00:05:57]: Importance du caoutchouc [00:09:39]: Avantages du caoutchouc produit par Bacta [00:13:00]: Début du projet et recherche de laboratoire [00:17:38]: Défis de l'industrialisation [00:42:03]: Besoins futurs de Bacta
Dans cet épisode, Matthieu Stefani reçoit Romain Bessuges, le CEO et cofondateur AXEPTIO.Fondée en 2016, AXEPTIO se spécialise dans la gestion du consentement en ligne, en particulier en rapport avec le RGPD. L'entreprise a connu des débuts difficiles, incluant deux ans de pivots et de questionnements avant de trouver sa voie. Initialement composée de cinq cofondateurs aux compétences complémentaires, l'entreprise a levé des fonds avec l'aide du fonds OVNI, renforçant ainsi ses liens avec cet écosystème de startups.Le produit AXEPTIO se démarque par son interface de recueil de consentement, souvent perçue comme ennuyeuse mais nécessaire pour la conformité et la monétisation des sites web via la publicité. L'entreprise se positionne sur un marché concurrentiel où la conformité aux normes réglementaires est cruciale. AXEPTIO collabore étroitement avec Google, étant un partenaire Gold, ce qui est un atout majeur dans ce domaine. Le modèle d'affaires inclut aussi des partenariats avec des agences web, créant un effet réseau significatif.AXEPTIO équipe actuellement 70 000 sites internet et a mis en place des stratégies pour améliorer la visibilité et la monétisation des sites partenaires. Un des produits en développement, Taste, vise à automatiser le recueil de consentement selon les préférences des utilisateurs, rendant le processus plus fluide et moins intrusif. Ce produit pourrait potentiellement révolutionner la manière dont les consentements sont gérés, en apportant plus de transparence et de confiance entre les utilisateurs et les sites web.Dans l'épisode, Matthieu et Rolmain discutent également des enjeux du marché international et des stratégies d'acquisition potentielle pour AXEPTIO, qui pourrait ainsi s'étendre en Europe, en Amérique du Nord, et même en Inde. La question de la réglementation aux États-Unis est abordée, avec une anticipation d'un RGPD-like en cours de négociation, ce qui pourrait influencer la stratégie de croissance externe de l'entreprise.L'histoire d'AXEPTIO est marquée par des moments de crise, notamment une période difficile en 2018-2019 où la société a failli fermer. Cependant, la résilience des cofondateurs et des employés, combinée à une hygiène de vie stricte et une mentalité de sportif de haut niveau, a permis à l'entreprise de surmonter ces défis. Les efforts ont payé, avec une croissance soutenue et des levées de fonds réussies qui ont permis à AXEPTIO de se redresser et de prospérer.La mission d'AXEPTIO est de redonner aux utilisateurs le contrôle de leurs données et de leur expérience en ligne, en promouvant la transparence et la confiance dans les interactions digitales.
Dans ce nouvel épisode Mathieu Stefani reçoit Diane Ségalen, une chasseuse de têtes expérimentée qui a fondé Segalen et Associés. Diane explique qu'elle a toujours été passionnée par le recrutement, ayant travaillé dans le domaine depuis trente ans, et qu'elle a créé son entreprise après avoir introduit en bourse (NYSE) une précédente société. Elle précise que son entreprise se concentre sur le recrutement de cadres dirigeants pour diverses industries.Diane détaille l'importance de la clarté dans la description de poste et de l'alignement des équipes internes pour réussir un recrutement. Elle insiste sur la nécessité de prendre le temps pour bien choisir les candidats, ce qui prend en général entre deux et trois mois. Le processus inclut la création d'une liste de sociétés cibles, la présélection de candidats, des entretiens approfondis et des références.Elle précise que pour un bon recrutement, il faut être transparent avec les candidats sur les défis de l'entreprise et prendre des références pour éviter les mauvaises surprises. Diane partage également des anecdotes et des exemples de réussites et de difficultés rencontrées dans ses missions de recrutement, soulignant l'importance de la compatibilité culturelle et des valeurs.Diane aborde aussi l'importance de la prise de références et explique comment elle et son équipe maintiennent une communication continue et honnête avec les candidats tout au long du processus. Elle souligne que la prise en compte de l'instinct dans le recrutement est importante, mais qu'il doit être soutenu par un processus structuré et des conseils professionnels.Diane détaille les modalités de rémunération de son cabinet, qui représente environ un tiers de la rémunération annuelle du poste à pourvoir. Enfin, Diane conclut en soulignant que le bien-être des employés est crucial pour leur longévité dans l'entreprise. Elle encourage les entreprises à investir dans des recrutements de qualité pour assurer une bonne adéquation entre les candidats et les postes et créer ainsi un environnement de travail harmonieux et productif.
Dans ce nouvel épisode, Romain Sion (BLISCE) participe au podcast OVNI’s accueilli par Arnaud LAURENT (OVNI). Il raconte comment il a été initialement invité à prendre un café qui s'est transformé en une opportunité de parler de son parcours d'entrepreneur et d'investisseur, ainsi que de son livre « Génération impact» qu'Arnaud a lu récemment. Ils évoquent leur rencontre initiale liée à un investissement en 2016 d’Arnaud dans Music World Media et de celui de Romain en 2020. A ce moment Arnaud et ses associés ont eux décidé de céder leurs parts à des fonds liés à l’opération (ID INVEST & BPI). Romain partage ensuite ses impressions positives de cette première rencontre.Romain se présente comme un homme né à Grenoble, ayant grandi dans le nord de la France, et qui n'avait jamais envisagé une carrière dans la finance. Diplômé en ingénierie, il a commencé sa carrière chez Décathlon en Chine avant de retourner en France pour lancer un projet entrepreneurial. Ce projet n'a pas abouti, mais une rencontre avec Alexandre Mars l'a convaincu de rejoindre le monde du venture capital et de l'impact social via Blisce et Epic.Epic est décrit comme une startup sociale et/ou une fondation, financée par Alexandre Mars pour redistribuer les profits à des ONG. Blisce, de son côté, est un fonds d'investissement certifié B Corp, avec une forte orientation vers l'impact social et l'internationalisation des entreprises. Romain évoque les différentes phases de développement de Blisce, depuis le family office initial jusqu'à un fonds structuré avec 700 millions d'euros sous gestion.Romain parle également de son engagement personnel dans des projets humanitaires, consacrant 80% de son temps libre à aider des ONG sur le terrain. Il cite une expérience marquante avec une organisation au Cambodge, Friends International, qui forme des jeunes à des métiers en tension dans le pays, tout en étant financièrement autosuffisante. Romain souligne l'importance de s'assurer que son aide est véritablement bénéfique et bien accueillie par les organisations.Le livre de Romain, "Génération Impact", est un projet né d'une suggestion d'une journaliste et d'une collaboration avec une coach en écriture. Il explique que l'écriture du livre lui a permis de faire une rétrospective sur son parcours et de partager ses convictions sur l'alignement entre valeurs personnelles et professionnelles. Bien que ce ne soit pas un best-seller, le livre a servi de carte de visite et a ouvert des portes professionnelles.Pour conclure, Romain mentionne que Blisce s'efforce de soutenir les entrepreneurs qui cherchent à avoir un impact positif tout en étant économiquement performants. Il est fier de pouvoir accompagner ces entrepreneurs et de contribuer à des projets alignés avec ses valeurs. Arnaud remercie Romain pour son temps et son partage, soulignant l'importance de tels témoignages pour la communauté d'auditeurs du podcast OVNI.
Dans la lignée des épisodes qui sont sortis cet été et dans lesquels Thomas vous a fait découvrir des premiers employés de startup, Arnaud reçoit aujourd’hui Vincent Morin, un acteur clé d’IAD, une licorne française spécialisée dans l'immobilier et le marketing de réseau. La discussion commence par une introduction où Vincent évoque brièvement son parcours avec IAD qui a réalisé plusieurs levées de fonds significatives. Vincent décrit ensuite les débuts de son aventure qui débute en 2009, peu après la création par Jérome Chabin et ses associés en 2008. Il explique comment il a été recruté par les fondateurs et décrit la période initiale de développement de l'entreprise, marquée par une croissance autofinancée avant la première levée de fonds en 2012. Vincent souligne l'importance de la vision des fondateurs et leur capacité à convaincre et motiver leurs équipes.La conversation se tourne vers le modèle économique de IAD, basé sur le marketing de réseau et la digitalisation de l'immobilier. Vincent parle de son rôle dans le développement du réseau et de la manière dont il a réussi à construire une équipe de 2000 agents. Il explique les principes du marketing de réseau et comment il a recruté et formé ses premiers collaborateurs.Vincent mentionne aussi ses autres projets entrepreneuriaux, y compris la création d'une application de bouche-à-oreille rémunéré, vendue plus tard à IAD, et un cabinet d'expertise comptable spécialisé dans le marketing de réseau. Il partage sa capacité à gérer plusieurs entreprises en même temps et l'importance de l'équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle.La discussion aborde également les défis rencontrés au cours de son parcours, notamment la gestion des litiges et des relations humaines au sein du réseau. Vincent parle de l'importance de la vision et de la détermination pour réussir dans l'entrepreneuriat, tout en soulignant que l'argent n'a jamais été son objectif final, mais plutôt une conséquence de son travail acharné et de sa vision claire.Enfin, Vincent conclut en partageant des conseils pour ceux qui souhaitent rejoindre une start-up ou une scale-up. Il insiste sur l'importance de définir une vision claire et de trouver le bon véhicule pour atteindre ses objectifs. La citation de Sénèque utilisée en conclusion renforce l'idée que pour avancer efficacement, il faut savoir où l'onveutaller.
Dans ce nouvel épisode, Matthieu Stefani reçoit Julien David Nitlech (IRIS) JD partage comment il est devenu venture capitalist, notamment ses débuts dans le secteur de la tech et son passage chez Orange, où il a dirigé des activités liées aux terminaux mobiles. Il explique comment cette expérience lui a permis de développer des compétences en vente et en business développement, avant de rejoindre une startup américaine spécialisée dans le déploiement d'applications mobiles en mode cloud. JD raconte ensuite comment il a été approché par Iris Capital en 2013, alors qu'il cherchait à entreprendre. Il accepte finalement de rejoindre la société de capital-risque, où il a pu développer une thèse d'investissement axée sur les plateformes technologiques et les entrepreneurs ayant une bonne connaissance de leur marché. Au fil des ans, JD a financé et accompagné plusieurs entreprises à succès, notamment Shift Technology et Exotec, en appliquant cette thèse. En 2019, Iris Capital a entamé un processus de transmission de la société de gestion. JD, avec ses associés Court et Eric, a pris le relais des fondateurs en 2021. Ils ont rapidement levé un fonds d'early stage de 100 millions d'euros, démontrant leur capacité à attirer des investisseurs grâce à leurs performances passée et leur vision stratégique. JD souligne l'importance de la transmission et de la continuité dans la gestion des fonds pour assurer la pérennité de la société. JD discute également de l'évolution du marché du capital-risque et de l'entrepreneuriat au cours des dix dernières années. Il note que l'apparition de nouvelles technologies et la culture entrepreneuriale croissante ont permis à de nombreuses startups de se développer plus rapidement et de manière plus stable. Il évoque la professionnalisation du métier de VC, avec l'utilisation d'outils de sourcing automatisés et des plateformes d'accompagnement, ce qui a considérablement changé les règles du jeu. Matthieu et JD abordent ensuite la question des relations entre les fonds de capital-risque, soulignant l'importance de la réputation et de la confiance dans ce secteur compétitif. JD explique que ce sont les entrepreneurs qui choisissent leurs investisseurs et non l'inverse, et que la collaboration et la confiance sont essentielles pour réussir. Il partage également son point de vue sur les conflits d'intérêts potentiels lors des exits et la nécessité de trouver un équilibre entre les intérêts des investisseurs et ceux des entrepreneurs. Enfin, JD conclut en parlant des prochaines étapes pour Iris, notamment la levée d'un fonds growth de 300 à 500 millions d'euros. Il exprime son optimisme quant à l'avenir tout en reconnaissant les défis dumarchéactuel.
Dans ce nouvel épisode, Matthieu Stefani découvre de nouveaux souscripteurs du fonds OVNI Ventures qui sont désormais plus de 150. Cette fois-ci, c'est Caroline qui à l'occasion d'échanger avec lui de son parcours professionnel et personnel. Elle évoque l'aventure Via France partagée avec son premier mari et associé, et notamment les complications que cela a pu entraîner dans leur entreprise commune. Aventurière, elle a mis un pied dans cette société d'abord en tant que business angel avec seulement 30 000 euros d'économies. L'entreprise est ensuite devenue une référence parmi les bases de données françaises, puis européennes et mondiales, d'informations touristiques et événementielles. Caroline raconte les défis qu'elle a rencontrés, notamment la gestion des fournisseurs et la négociation des droits de contenus. Elle explique comment elle a optimisé les processus de production pour réduire les coûts et augmenter la valeur ajoutée pour ses clients. Via France a réussi à l'époque à vendre ses contenus à de grands acteurs comme Accor, Eurostar et Air France. Caroline explique que si leur duo avec son mari a été un moteur de création de valeur pour leur entreprise dans les premières années, elle est ensuite passée au bord du précipice car au moment de la vente, elle a dû surmonter des défis personnels mélangés aux professionnels : un divorce et des procédures juridiques nombreuses et complexes. Malgré ces obstacles, elle a réussi à vendre l'entreprise et maintenir une relation de confiance avec les associés, clients et salariés. Caroline revient également sur son investissement dans le fonds OVNI, pour lequel elle souhaite apporter son expertise en due diligence et/ou en tant qu'operating partner. Elle insiste sur l'importance de l'honnêteté et du respect dans les relations professionnelles et recommande deux livres : " À l'ère de l'intelligence artificielle " de Kai-Fu Lee et " Le Petit Prince " Livre recommandé => https://www.fnac.com/a13452637/Kai-Fu-Lee-I-A-La-Plus-Grande-Mutation-de-l-histoire
Dans ce nouvel épisode enregistré au lendemain de Vivatech (mai 2024), Arnaud Laurent a le plaisir de recevoir Maya Noël (France Digitale). Il exprime sa gratitude de pouvoir passer 45 minutes a échanger dans un format plus détendu et approfondi, loin des événements habituels où ils se croisent trop brièvement. Maya Noël, figure connue dans l'écosystème des startups, évoque son parcours d'entrepreneur et parle de son rôle actuel de directrice de France Digitale, une association représentant plus de 2000 startups et les investisseurs en capital-risque. Maya Noël revient sur son parcours et ses débuts comme chasseuse de tête avant de co-fonder une startup. Elle partage ses expériences en matière de recrutement, soulignant l'importance de la curiosité et de la capacité à poser les bonnes questions. Elle évoque également les défis rencontrés lors de son aventure entrepreneuriale, financée par le fonds d'entrepreneur ISAI, notamment la difficulté de trouver un modèle économique viable et la décision difficile de mettre fin à son projet. La discussion aborde ensuite l'importance de France Digitale dans l'écosystème des startups, en particulier son rôle de soutien et de mise en relation des entrepreneurs avec des investisseurs et des partenaires potentiels. Maya souligne la nécessité de créer un écosystème européen plus intégré pour permettre aux startups de se développer à l'échelle internationale, malgré les obstacles administratifs et culturels. Maya évoque également les défis spécifiques de l'expansion européenne des startups, notamment la fragmentation administrative et fiscale. Elle parle des efforts de France Digitale pour harmoniser les réglementations et faciliter le recrutement transfrontalier grâce à des mesures comme l'harmonisation des plans de stock-options. Elle souligne également l'importance d'un soutien gouvernemental pro-startup pour maintenir l'élan de l'innovation. Arnaud jette un pavé dans la marre en évoquant la multiplicité des structures d'accompagnement des startups en France. Ils reconnaissent ensemble qu'il peut y avoir des enjeux d'efficacité pour certaines d'entre elles, mais défendent l'idée que ces structures sont nécessaires pour massifier l'écosystème et créer des vocations entrepreneuriales. Maya insiste sur le besoin d'un accompagnement de qualité, notamment par des professionnels ayant une expérience directe de l'entrepreneuriat. Pour conclure, Maya partage sa vision pour l'avenir de France Digitale, soulignant l'importance de ne pas relâcher les efforts pour soutenir l'écosystème des startups. Elle exprime son souhait de voir la France et l'Europe produire des champions mondiaux de la technologie.
Au cours des prochains mois, OVNI vous propose de partir à la rencontre de ses confrères VCs, en commençant par Thierry Vandewalle (co-fondateur de Wind) qui est au cœur de l'actualité cette semaine. Il échange avec Arnaud Laurent sur son parcours entrepreneurial et son expérience dans le monde du capital-risque. Il raconte notamment ses débuts dans l'entrepreneuriat avec son associé Xavier Gury, la création de leur première entreprise en 1999, à une époque où Internet à offert son lot d'opportunités. Thierry raconte comment elle a ensuite été vendue quelques années plus tard à Publicis, en deux temps, via un earn-out particulièrement bien géré par les fondateurs. Thierry explique ensuite son passage chez Publicis en Asie, où il a contribué à l'acquisition de plusieurs petites agences pour renforcer la présence digitale du groupe. Il décrit également son expérience de business angel & développeur de l'Atelier Cologne, une startup de parfumerie qu'il a aidée à se lancer en Asie, notamment en Chine, avant de la revendre avec les fondateurs à L'Oréal. Cette période a été marquée par des défis culturels et logistiques, notamment familiaux avec la naissance de ses enfants à l'étranger. Après un passage d'un an aux US, Thierry explique qu'à son retour en France, il a décidé de rejoindre ISAI, un fonds de capital-risque dirigé par ses camarades Christophe Reynaud et Jean-David Chamboredon. Chez ISAI, Thierry a contribué à investir dans plusieurs startups prometteuses, tout en développant ses compétences en gestion de fonds institutionnels. L'idée de créer leur propre société de gestion a germé au fil des années et Wind II est né d'une volonté de se concentrer sur l'impact et la transition écologique. Ils ont annoncé cette semaine, un premier closing de 90 millions d'euros, avec un objectif final de 130 millions. Pour cela il se sont appuyés sur une communauté de 120 entrepreneurs et ont su attirer des investisseurs institutionnels comme BPI, BNP, et Sopra Steria. Leur stratégie d'investissement vise à soutenir des startups innovantes dans des secteurs tels que la mobilité, l'énergie, et le recyclage. Thierry souligne l'importance d'avoir des convictions personnelles et professionnelles dans le choix des investissements. Il insiste sur la nécessité de bien connaître les entrepreneurs et de comprendre leurs marchés potentiels, tout en s'entourant d'experts pour valider les aspects techniques des projets. Il estime que les futurs champions de l'innovation se trouvent dans la transition écologique, un secteur qu'il voit comme le prochain grand cycle d'innovation après celui de la transition numérique. En conclusion, Thierry encourage les entrepreneurs à se lancer malgré les défis et les échecs potentiels, en soulignant l'importance de l'optimisme et de la résilience. Il espère que son fonds, Wind II, pourra non seulement générer des rendements financiers mais aussi avoir un impact positif sur la société. Il invite les entrepreneurs à le contacter via LinkedIn ou par email pour discuter deleursprojets.
Ce nouvel épisode met en avant Alexandre Ducœur (45e souscripteur du fonds OVNI Ventures) qui est interrogé par Matthieu Stefani sur son parcours de«jeune» entrepreneur de 29 ans. Il a créé une entreprise appelée Studapart en 2013, une plateforme de réservation de logements pour étudiants et jeunes actifs. Il raconte comment il ont lancé cette entreprise avec son associé Amaury à seulement 18 ans pendant leurs études en école de commerce. Alexandre décrit les premiers défis rencontrés, notamment l'échec de leur première version du site et le pivot nécessaire pour répondre aux besoins du marché. Comment ils ont réussi à obtenir un 2e financement qui les as sauvés en participant à un concours organisé par Xavier Niel Jacques Antoine Granjon et Marc Simoncini. Alexandre explique que leur principal succès a été de signer des partenariats avec des écoles et universités, ce qui leur a permis de crédibiliser leur offre et de construire une marketplace efficace. Le modèle économique de Studapart repose sur une commission de réservation payée par les locataires et les professionnels de l'immobilier. Alexandre explique que la plateforme génère actuellement plus de 120 millions d'euros de revenus pour les loueurs, avec un chiffre d'affaires pour Studapart d'environ 12 millions d'euros. Il souligne également que leur solution offre des garanties aux propriétaires, ce qui renforce la confiance dans leur service. En janvier 2022, Studapart a été vendu à un groupe néerlandais, et Alexandre est actuellement dans une période de transition avant de quitter définitivement l'entreprise. Il mentionne que cette vente était une décision stratégique, en partie due aux limitations de croissance qu'ils percevaient en tant qu'entité indépendante. Alexandre prévoit de prendre du temps pour réfléchir à ses prochains projets, tout en s'occupant de sa famille. Alexandre parle aussi de son intérêt pour l'investissement, notamment en tant que business angel et en rejoignant des fonds comme OVNI. Il apprécie particulièrement l'approche d'OVNI, qu'il compare au fonds ISAI, pour son dynamisme et sa capacité à attirer des investisseurs avec divers profils. Alexandre souligne l'importance du réseau et de la crédibilité apportés par des fonds comme ISAI dans le développement de Studapart. Enfin, la discussion se termine sur des conseils pour les jeunes entrepreneurs, notamment sur l'importance de la posture lors de la levée de fonds Alexandre insiste sur le fait que les investisseurs et les entrepreneurs doivent se voir comme des partenaires égaux, chacun ayant besoin de l'autrepourréussir.
Dans cet épisode Arnaud reçoit Manu ARS, investisseur dans le fonds OVNI & responsable de la structure iFLY (simulateur de chute libre indoor) dans plusieurs pays. Ils évoquent les événements organisés à iFly Paris depuis quelques années, ou Arnaud & Augustin se sont rencontrés pour la première fois et où diverses personnes ont pu découvrir l’activité. Manu exprime son enthousiasme pour l’aventure OVNI et se dit ravi de participer au podcast. Il se présente ensuite en évoquant son parcours personnel et professionnel. Curieux et heureux dans sa vie actuelle, il explique avoir effectué ses études à l'Université de Technologie de Compiègne (UTC). avec notamment un mémoire sur un système expert de diagnostic en auto-apprentissage. Il partage son intérêt pour les avancées de IA et une certaine déception vis-à-vis des applications réelles à l'époque. Parallèlement à ses études, Manu à découvert le parachutisme, une pratique qui devient une passion et une carrière de huit ans dans le sport de haut niveau. Il parle de son expérience en vol relatif à huit, une discipline qui consiste à réaliser des figures en chute libre avec une équipe. Manu souligne l'importance du travail acharné et de la focalisation pour atteindre des objectifs élevés, malgré les défis financiers et personnels. La discussion se tourne ensuite vers les souffleries sportives, une activité que Manu a contribué à développer en France. Il évoque les difficultés initiales pour lancer ces projets, notamment en termes de financement, et l'impact positif des souffleries sur la formation des parachutistes et le grand public. Manu décrit les souffleries comme un moyen accessible de vivre l'expérience du vol, sans les risques associés au saut en parachute. Manu raconte un point de bascule dans sa vie en 2012, lorsqu'un accident de moto le conduit à deux ans de rééducation intensive. Malgré cette épreuve, il reste déterminé à développer les souffleries et applique les mêmes techniques de focus à long terme qu'il avait utilisées dans le sport de haut niveau. Il souligne l'importance du soutien de ses proches et de l'équipe médicale pour surmonter cette période difficile. Enfin, Manu partage ses réflexions sur l'innovation, son intérêt pour les projets qui ont un potentiel de transformation de la société et explique pourquoi il a choisi d'investir dans le fonds OVNI, attiré par leur mission de soutenir des projets technologiques ambitieux dèsleursdébuts. Pour ceux qui vont écouter jusqu'au bout : Code Promo : OVNI24 10% sur les commandes entreprises (5 pax) en semaine scolaire (lundi-vendredi) demande par email à entreprise.paris@iflyworld.com
Ncodin a annoncé ce mardi 28 mai une levée de 3.5m€ auprès d’Elaia, Earlybird & Ovni Capital. Son fondateur Francesco Manegatti, rencontre Matthieu Stefani pour discuter des innovations technologiques de l'entreprise. L’entreprise est spécialisée dans la miniaturisation des composants photoniques pour les processeurs. Leur technologie remplace les connexions en cuivre par des connexions optiques, ce qui permet des transferts de données plus rapides et plus efficaces. Francesco explique que la technologie développée par Ncodin est cruciale pour répondre à la demande croissante de puissance de calcul, notamment avec l'essor de l'intelligence artificielle. Les interconnexions en cuivre, bien que robustes et peu coûteuses, ne suffisent plus pour les architectures de processeurs de plus en plus complexes. Francesco explique qu'il a rencontrés ses co-fondateurs dans un laboratoire de recherche du CNRS et que leurs résultats prometteurs en recherche appliquée, les ont poussé à breveter leur technologie et à envisager une pré-industrialisation. Francesco explique à quoi va servir cette levée et souligne l'importance des partenariats stratégiques qu’il devront nouer avec de grands acteurs comme NVIDIA, Intel et Samsung pour réussir. Francesco explique pourquoi il doit adosser en tant que CEO le rôle de business developer, s'appuyant sur des formations complémentaires et son expérience terrain pour gérer les aspects commerciaux de l'entreprise. Il mentionne l'importance de recruter des talents pour renforcer l'équipe R&D et atteindre les objectifs fixés. Ncodin vise une commercialisation à grande échelle de sa technologied’ici2028.
Ce 19e épisode raconte le témoignage d'un des dixpremiers employés de Criteo :Philippe Bourcier.Entreprise emblématique de la tech française, elle a connu une phase d'hypercroissanceà l'international jusqu'à son introduction en bourse sur le Nasdaq. Philippe qui a quitté l'entreprise lorsqu'elle comptait près de 1000 collaborateurs y évoque sapréférence pour les entreprises de taille moyenne où il peut continuer à être polyvalent, impliqué dans l'innovation interne et maintenir une bonne cohésion d'équipe. Selon lui, la clef de Criteo a été detrouver les bonnes personnes pour assurer le succès, notamment lorsqu'ils ont passé le cap des 250 employés, et que la communication devenait moins fluide et qu'il pouvait exister des questions d'ego parmi les équipes. Philippe revient sur l'importance de la culture d'entreprise pour assurer son bon fonctionnement, partage des anecdotes sur les initiatives internes d'innovation, telles que le déploiement de la fibre optique dans les bureaux. Il évoque aussi son rôle d'operating Partner / CTO, met en avant son engagement en tant que Business Angel. Philippe partage son intérêt pour des initiatives telles que le French Network Operator Group (FRNOG) et son rôle dans la promotion de l'écosystème numérique en France. Sa participation active dans divers projets, qu'ils soient écologiques, technologiques ou communautaires, reflète son désir de contribuer positivement à la société et d'encourager l'innovation dans divers domaines.
Dans ce 18e épisode d'OVNIs, Gilles Moncaubeig partage son parcours entrepreneurial, notamment avec la création de Teads, mais également le fil rouge de sa vie : son engagement dans la musique. Il souligne l'importance de l'INSA à Toulouse, où il a développé ses premières passions pour la création musicale, l'informatique et la tech. Malgré les hauts et les bas rencontrés avec sa première entreprise Overblog, Gilles a toujours cru en la possibilité de créer un leader mondial et c'est avec Teads qu'il y parviendra. NDLR : Teads est une entreprise spécialisée dans la publicité en ligne, principalement via des vidéos natives intégrées de manière non intrusive dans le contenu éditorial. Elle utilise une plateforme de publicité programmatique pour automatiser l'achat d'espaces publicitaires. Collaborant avec un large réseau d'éditeurs de qualité, Teads propose aussi des services créatifs et des outils d'analyse pour optimiser les campagnes. Les principaux fondateurs & dirigeants de teads sont : Pierre Chappaz, Loic Soubeyrand, Loïc Jaures, Olivier Reynaud, Bertrand Quesada (..). L'entreprise a été cédée en mars 2017, à Altice pour 285 millions d'euros. Pour lui, le succès de Teads repose sur l'équipe de management et des collaborateurs engagés. Gilles évoque l'importance de la chance et de la persévérance tout au long de son parcours. L'importance du travail acharné, de l'entourage et de la confiance mutuelle dans la réussite professionnelle a été mise en avant lors de l'échange. En fin d'épisode, Gilles partage une partie de son processus créatif, les outils qu'il utilise aujourd'hui comme Ableton Live et historiquement (plugins VST). Gilles a le désir de promouvoir la deep house en France via son label : after now records. Il a également partagé son admiration pour l'artiste Laurent Garnier et son souhait de collaborer avec lui. En conclusion, les deux orateurs ont illustré l'importance de l'innovation, du travail acharné et de la communication pour réussir dans les domaines de l'entrepreneuriat et de la création musicale. Le parcours remarquable de Gilles Moncobé et sa transition réussie vers la musique ont démontré l'impact de la passion et de la persévérance dans la réalisation des projets professionnels. Les défis et opportunités de l'industrie musicale ont été explorés, soulignant la diversité des expériences qui façonnent le cheminement artistique et entrepreneurial d'un individu
Dans ce nouvel épisode, Matthieu Stefani & Augustin Sayer rencontrent pour la première fois un des souscripteurs du fonds OVNI : Thomas Grange. Ils abordent avec lui son parcours dans l'industrie audiovisuelle et des médias, mettant en avant l'importance de l'innovation et de l'adaptabilité. Ilsdécouvrent qu'en 1999, à l'âge de 16 ans, il a lancé son premier site web, ados.fr, comprenant un magazine, un forum, des blogs, des cartes virtuelles, des chats, des webradios et des interviews vidéo. Société qu'il vendra en 2005 à Doctissimo et travaillera pour eux à Paris, explorant de nouveaux concepts web et découvrant le SEO. Ils abordent ensuite les années 2010, où il entreprend à nouveau et fonde Ulule, une plate-forme de crowdfunding. Pour financer Ulule, ils fournissent avec son associé des services d'audit SEO et créent une nouvelle société Botify, une plate-forme d'optimisation de moteur de recherche. En 2012, Thomas décide de se consacrer entièrement à Botify, qui connaît une croissance rapide et réalise plusieurs levées de fonds, totalisant 82,2 millions de dollars en financement. Ces fonds permettent à Thomas d'élargir ses activités et d'innover davantage.Les échanges mettent également en lumière les défis rencontrés par les fondateurs d'entreprise, soulignant l'importance de l'expérimentation et de l'adaptation, notamment avec l'arrivée de l'intelligence artificielle qui rebat certaines cartes. Thomas se confie au cours de l'épisode sur les raisons qui l'ont amené à soutenir OVNI Ventures, notamment l'axe de l'investissement en région, le rôle de soutien aux entrepreneurs qu'incarne OVNI et la diversité des talents dans lesquels ils investissent.
Dans cet épisode réalisé par Marjorie Paillon, l’invité Benjamin Schilz souligne l'importance de suivre son instinct dans sa vie professionnelle, de s'entourer d'équipes engagées et de maintenir une approche très entrepreneuriale. La discussion aborde l'évolution professionnelle de Benjamin passant par différentes collaborations et expériences, notamment chez Acorus Network qu’ils ont revendu avec Raphael Maunier a Volterra qui a lui même cédé à F5 pour 500m€ d’euros. L'accent est mis sur la nécessité de travailler avec des équipes de qualité et de maintenir une passion constante pour mener à bien un projet aussi ambitieux entre la France et les Etats Unis, jalonné de levées de fonds. Benjamin partage également sa nouvelle expérience actuelle en tant que CEO de Wire (200 collaborateurs), une entreprise axée sur la sécurisation des communications. La conversation explore leurs solutions de chiffrement et d'authentification robustes mises en place sur la plateforme Wire pour assurer la confidentialité des échanges, en particulier face aux menaces d'espionnage et d'interception des données. La plateforme est utilisée par divers acteurs, tels que des gouvernements, des entreprises et des particuliers. Le thème de la souveraineté numérique en Europe est abordé, mettant en avant l'importance d'accélérer les initiatives de régulation et d'investissement pour créer des champions européens dans le domaine numérique. Benjamin insiste sur la nécessité de renforcer les acteurs et les groupes européens pour rivaliser avec les géants mondiaux, tout en exprimant sa détermination à contribuer à la construction d'un écosystème numérique européen fort. La discussion se termine sur une note optimiste quant à la possibilité de créer un acteur européen puissant dans le domaine numérique, soulignant le besoin de sorties financières significativesenEurope.
Thierry Michel est une entrepreneur discret qui se prête rarement à ce type d’exercice. Mathieu Stefani le rencontre pour la première fois en studio et découvre son parcours comme cadre d’American Express, la fondation de sa startup SRD, spécialisée dans le rechargement de téléphones mobiles prépayés et son rôle dans l’aventure Compte Nickel & Onoff - ainsi qu’en tant que business angel dans une dizaine de startups. Thierry revient sur la fusion opérée entre SRD et Bimedia qui lui a permis une croissance rapide et la diversification des activités, notamment dans la monnaie électronique pour les jeux en ligne, renforçant ainsi sa position sur le marché. Il indique ne jamais avoir été redoutable dans les négociations car pour lui «tout le monde doit gagner en cas de succès». Au cours de l’épisode, il évoque la vente de son entreprise à Omnes, un fonds qui a ensuite cherché lui même à céder l’entreprise à la Française des Jeux. Thierry évoque la capacité qu’il faut avoir à se détacher affectivement des projets. On découvre que l’expertise de Thierry en finance, commerce de détail et stratégie d'entreprise a été clé dans le succès de ses aventures. Sa capacité à innover et établir des partenariats stratégiques est également illustrée. Mathieu apprend également que Thierry était le 3e homme derrière la création de Compte Nickel. L’occasion de souligner pour lui l'importance qu’une entreprise «gagne de l’argent » et si possible avec des revenus récurrents. En fin d’épisode, Thierry explique que sa collaboration avec OVNI, est liée à une collaboration personnelle avec les fondateurs depuis près de 10 ans, notamment avecArnaudLaurent.
Cet épisode met en avant l'histoire d'Édouard Menantaud, fondateur de WeFix, une startup retail spécialisée dans la réparation de smartphones.Edouard qui n'a jamais été salarié s'est lancé très tôt avec son associé Gaspard Konrad. Après 3 essais dans d'autres secteurs, ils lancent WeFix qui sera le bon projet. Grâce à une approche Lean, ils connaissent une croissance rapide, ouvrant de nombreux points de vente en France et en Belgique. Plusieurs levées de fonds pour un total de plus de 4 millions, auprès d’investisseurs expérimentés ont soutenu cette croissance, renforcée par une formation interne et un réseau social pour les employés. En 2018, Fnac Darty a acquis 51% de WeFix, un rachat maintenant l'autonomie opérationnelle de la structure.Cette collaboration a offert à WeFix des ressources pour renforcer son expansion dans un contexte de marché ou d’autres acteurs ont rencontré des difficultés. Le fondateur souligne l'importance de partenaires expérimentés pour surmonter les défis de croissance. La discussion met en lumière l’expérience acquise par Edouard en tant qu'entrepreneur, notamment lors de la vente de leur entreprise. Les défis de l'intégration dans un grand groupe et la nécessité de bien s'entourer sont également abordés. En fin d’épisode Edouard exprime sa gratitude d’avoir acquis autant d'expérience via son entreprise. Il souligne néanmoins la forte pression, le stress et les prises de risque liés a la création d’entreprise, la nécessité de savoir déléguer et accorder sa confiance à son équipe.Arnaud lui demande enfin quelle importance a joué la chance dans son parcours et ce qu’il feraitdifféremment.
Dans cette discussion entre entrepreneurs avec Jonathan VIDOR (JV Web) et Arbia Smiti (Rosaly), nous partageons nos expériences en tant que dirigeants d'entreprises en pleine croissance, abordant les défis, les succès et les stratégies mises en place pour atteindre nos objectifs. Arbia évoque son implication dans des initiatives telles que la French Tech, soulignant l'importance de l'implication dans l'écosystème entrepreneurial. Jonathan partage son approche du networking et de l'apprentissage à travers les rencontres avec d'autres entrepreneurs, mettant en avant l'importance de la curiosité et du partage d'expériences. Jonathan Vidor partage son évolution en tant qu'entrepreneur, exprimant sa fierté d'avoir créé une entreprise prospère depuis ses débuts modestes, tout en regrettant de ne pas avoir eu plus d'ambition commerciale dans les premières années. Il évoque également sa motivation à faire progresser ses collaborateurs et à explorer de nouvelles opportunités en dehors de son entreprise. Il exprime également son désir de voir l'entreprise devenir autonome sans sa présence constante, lui permettant de se concentrer sur des projets stratégiques et de découvrir de nouvelles perspectives en visitant d'autres entreprises. Ses réflexions offrent un aperçu de son parcours, de ses réalisations et de sa vision pour l'avenir de son entreprise. Jonathan explique également comment JV Web a mis en place une méthode Lean pour faire passer l'entreprise de 0 à 100 collaborateurs, en mettant l'accent sur l'importance de documenter les processus. Arbia partage son expérience sur la nécessité de documenter les bonnes pratiques au sein de l'entreprise, soulignant l'importance de l'écrit pour accélérer l'onboarding des nouveaux arrivants, surtout depuis le Covid.