La Matrescence

Clémentine Sarlat

La Matrescence c'est le podcast qui parcoure la vie des parents ou futurs parents pour leur donner des outils, des clés grâce à des interviews de professionnels & des témoignages de parents. La Matrescence est la contraction des mots maternité et adolescence pour expliquer pourquoi tant de changements arrivent au moment de donner naissance à un enfant. Créé par Clémentine Sarlat, journaliste dans le sport à la télé, mais aussi maman, partie du constat que trouver des informations claires et faciles sur ce que vit une femme et par extension un homme lors de la découverte de la parentalité, était plus que fastidieux. Ici, c'est simple, on se laisse bercer au son de la voix des invités/ Bonne écoute

Vous le savez peut-être, nous sommes en pleine semaine du Podcasthon! Pendant 7 jours, plus de 300 podcasteurs et podcasteuses se mobilisent pour mettre en valeur le monde associatif et ses valeurs! C’est une belle mobilisation et il était naturel que La Matrescence y participe! On en reparle en fin d’épisode mais dans ce contexte j'ai le plaisir d’inviter Nathalie Péchalat, ancienne patineuse artistique, double championne d’Europe avec son partenaire Fabian Bourzat en danse sur glace. Nathalie est aussi ancienne présidente de la Fédération Française des sports de glace.Mais surtout Nathalie est la nouvelle présidente de l’association Premiers de Cordée. Pourquoi j’ai choisi Premiers de cordée ? Parce que cette association est la combinaison des 2 choses qui me passionnent dans la vie, le sport et les enfants. Premiers de cordée permet aux enfants hospitalisés de pouvoir bénéficier d’une pratique sportive. Dans l’épisode on parle du parcours de Nathalie en tant que petite fille qui s’est mise au sport, on parle de sa carrière pro et de son engagement auprès des enfants qui est tout sauf anodin mais aussi de son rôle de maman. Parler de cette association c’est aussi vous sensibiliser aux projets concrets que mènent Premiers de cordée au quotidien.L’association est parrainée par des grands noms du sport, comme Kylian Mbappé, Thierry Omeyer ou encore Marion Rousse. Mais c’est le travail quotidien des bénévoles au sein des hôpitaux qui permet aux enfants de s’extraire de leur quotidien de soin. Pour ça ils ont aussi besoin de vos dons, alors n’hésitez pas à aller sur le site www.podcasthon.org
En 2024 être père n’a plus tout à fait la même signification qu'auparavant. On attend des pères aujourd’hui qu’ils partagent les tâches ménagères, qu’ils s’investissent dans le soin porté aux enfants et qu’ils prennent une partie de la charge médicale et éducationnelle à leur compte. Sauf que dans la réalité, il existe encore des écarts pour arriver au 50/50, notamment à cause des différences de salaires dans les couples hétérosexuels. Si les rôles genrés ont encore un peu la peau dure, une petite minorité tente de faire bouger les lignes!Selon l’INSEE, 1,5% des pères n’ont pas d’activité professionnelle et se consacre à l’éducation des enfants, contre 14% des femmes. Samuel Clot, auteur du livre Père au foyer, comment la parentalité positive a changé ma vie, vient apporter son regard sur cette paternité qui a bouleversé sa vie. Vous le connaissez peut-être via les réseaux sociaux, où Samuel s'efforce de casser les clichés autour de sa paternité, de son rôle au sein du foyer et de la masculinité. Dans l’épisode, Samuel, raconte son parcours d’étudiant en médecine qui abandonne en 3e année pour s’occuper de son fils.Il n’a alors que 21 ans mais est très à l’aise avec le fait de mettre sa vie pro en pause pour accompagner Gaspard les 3 premières années de sa vie. Samuel lève le voile sur une réalité peu connue, raconte ses difficultés et les réticences auxquelles il a été confronté. Et si être père au foyer devenait un choix assumé, une norme acceptée au sein de la société ? Pour ça il faut des exemples et c’est ce que fait magnifiquement bien Samuel. Je vous souhaite une très bonne écoute. RejoignezLa Matrescence, faites partie des cercles surPatreon, et suivez les newsInstagram&Tiktok. LIENS UTILES : Invité : Samuel Clot Livre du Podcast : Père au foyer : Comment la parentalité positive a changé ma vie ? Samuel Clot
Avant de démarrer cet épisode, sachez que l’on vous a concocté un guide basé sur ces 3 principes mais adapté aux parents et à la réalité de vos quotidiens, pour vous aider à vous reconnecter! Le lien est dans les notes, n’hésitez pas. Dans cet épisode je reprends 3 des 7 grands principes du Dr John Gottman concernant les couples amoureux. J’en ai déjà parlé la semaine dernière dans l’épisode 169, John Gottman est un psychologue américain, professeur émérite de l'Université de Washington et co-fondateur avec sa femme, du Gottman Institute. Cet institut, unique en son genre, étudie les couples dans un environnement qui ressemble à un appartement, qu’il appelle le love lab. C’est comme le loft, il y a des caméras partout, pour les étudier, mais la grande différence, c’est que les 2 personnes présentes sont réellement en couple et sont branchées sur des électrodes et tout un tas de capteurs pour regarder en live leurs mesures physiologiques. Oui, parce que Gottman, ne se contente pas de données psychologiques, il a récolté des datas précises sur les conséquences physiques de conflits que l’on peut vivre au sein des couples. Spoiler alerte, même si les réseaux ne le montrent pas, tous les couples s’embrouillent. Ça n'existe pas de vivre au quotidien avec une personne sans que des tensions apparaissent ou que des visions sur des valeurs fondamentales divergent. Et pourtant on peut vivre heureux malgré ça. Comment ? Et bien Gottman a suivi des milliers de couples depuis plusieurs dizaines d’années et a réussi à extraire 7 lois qui font la différence dans une vie de couple. J’ai choisi d’en aborder 3 extraits du livre : Les couples heureux ont leurs secrets. Pour vous laisser le loisir d’aller acheter le livre et de découvrir par vous même les autres. Je vous souhaite une bonne écoute. LES LIENS UTILES Les épisodes du Podcast : Épisode 169 – Baby clash, pourquoi tant de décalage entre hommes et femmes ? Les livres du Podcast : Les couples heureux ont leurs secrets – les sept lois de la réussite. John Mordechai Gottman Autres liens : LE WORKBOOK The Gottman Institute
On est toutes et tous d’accord pour dire qu’être parents est le taff le plus difficile du monde… ce qui veut dire, que ça s’apprend ! Si vous suivez ce podcast vous le savez bien. Pour la deuxième fois dans ce podcast, je reçois Céline Syritellis. Céline est docteure en science du langage et propose de la guidance parentale. Elle vient d’écrire un livre qui s’intitule “Ca ne peut plus durer”! Notre quotidien familial, quand on s’embourbe dans une spirale négative, peut vite devenir difficile. Mais pas de panique, il existe des solutions que Céline nomme des lignes de conduite qui peuvent nous sortir de nos tourments de parents. Dans cet épisode on ne vous propose pas de solution miracles, mais bien de comprendre les comportements de nos enfants, pour adapter au mieux les possibilités que l’on a de les emmener avec nous vers une autre route. Retrouver un quotidien plus fun, plus serein et plus joyeux, ça vous tente ? Alors venez avec nous, on vous embarque pour 3 exemples concrets, de l’impolitesse, manque de respect, aux repas difficiles pour finir dans l’entre du bain et du soin du corps. Sortir des luttes de pouvoir ? C’est possible. Je vous souhaite une très bonne écoute LES LIENS UTILES L’invité : Céline Syritellis Les podcasts : Episode 115 – 5 tips pour aider la gestion de la frustration & les transitions chez nos enfants – Céline Syritellis, coach parental Les livres : Ça ne peut plus durer ! 35 lignes de conduite pour changer les comportements difficiles de nos enfants, Céline Syritellis
Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici ! Ca vous est déjà arrivé d’avoir la sensation de n’avoir “rien” fait de la journée, parce que vous étiez occupé à élever, prendre soin et dorloter votre bébé ? Ca vous est déjà arrivé de penser que le monde tournait sans vous pendant que vous preniez le temps d’être présente pour votre enfant ? Si oui, alors vous n’êtes pas seule. Comme des millions de parents, l’arrivée d’un bébé bouscule notre perception du temps et de notre contribution à ce monde. En 2019, Céline Chadelat sortait son premier livre Le mois d’or, un livre dédié au premier mois après l’arrivée d’un enfant, déjà elle nous expliquait les bénéfices du temps long pour cette période si sensible. 5 ans plus tard, Céline revient avec un nouvel opus centré sur les incroyables pouvoirs de la parentalité. Parce que oui, en tant que parents vous avez le pouvoir de changer le futur de la société. Céline dépeint avec habilité la société d’aujourd’hui où se mêlent individualisme, consumérisme et rendement, à l’opposé des préoccupations des parents et des besoins des enfants. Pour changer cette vision de la rentabilité de la parentalité et surtout pour redonner du pouvoir aux parents, Céline propose des pistes percutantes dans cet épisode. Prêt à reprendre votre cap pour vous nourrir de confiance et d’apaisement? C’est parti LES LIENS UTILES : Les podcasts : Episode 35 : Le Mois d’Or Les livres : Le mois d'or - prendre soin de soi et de votre bébé après l'accouchement, Céline Chadelat,Marie Mahé-Poulin Le mois d'or : bien vivre le premier mois après l'accouchement, Céline Chadelat,Marie Mahé-Poulin Les incroyables pouvoirs de la parentalité, Céline Chadelat, Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok.
POUR DECOUVRIR MEME PAS CAP ET TROUVER VOTRE VOIE PRO. Aujourd'hui, on va parler postpartum. Et pour vous accompagner dans cet épisode, nous vous avons concocté un petit guide avec Morgane qui a été corrigé par une partie de la Team Patreon. Un grand MERCI à elles, elles ont apporté leurs idées, leurs corrections. Donc c'est un guide en quatre points qui suit évidemment les quatre conseils à mettre en place pour plus de sérénité dans ce postpartum. Vous pouvez le télécharger ICI, surtout n'hésitez pas à le faire et à en parler autour de vous. Alors dans quelques jours, ma dernière fille June aura deux ans et c'est fou, on va pas se mentir, comment avec un troisième enfant le temps défile bien plus vite. En février 2022 donc, j'ai vécu mon dernier postpartum et je voulais vous partager les quatre points clés que j'ai identifiés pour vous aider à vivre cette transition au mieux. Alors avec le recul de mes propres expériences, oui c'est sûr, mais surtout avec toutes mes recherches, toutes les interviews et les lectures que j'ai pu faire, moi j'ai pu dégager plusieurs points indispensables pour vivre un postpartum de manière préparée. Et vous avez bien entendu, je n'ai pas dit de manière réussie mais bien de manière préparée et la nuance elle est très importante dans cette période de vie qui est assez chamboulante. On se retrouve vendredi, Prenez soin de vous. LES LIENS UTILES : Le guide : Préparer son post-partum Les épisodes : Episode 25 : Comment soigner son post-partum ? Julia Simon Naturopathe Episode 35 : Le Mois d’Or Les livres : The First Forty Days: The Essential Art of Nourishing the New Mother Les associations : Maman Blues SOS Préma
Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici. Depuis la France, on prend souvent l'exemple du Québec en matière d'éducation et de parentalité. Mais est-ce qu'il y a vraiment tant d'écarts ? Est-ce que la façon de considérer les enfants est différente ? Est-ce que la prise en charge maternelle est à la hauteur de ce que méritent les femmes ? Est-ce que réussir sa vie pro et perso est possible ou en tout cas encouragée au Québec ? Ce sont les thèmes que l'on a abordés avec le duo de podcasteuses nord-américaines Dre Lory Zephyr, et la journaliste Jessika Brazeau. Elles ont toutes les deux créé un podcast qui s'intitule « ça va, maman ? » pour sortir les mères de leur solitude et de leur questionnement face à la parentalité. C'est vraiment intéressant d'avoir leur regard depuis le continent nord-américain qui est influencé par l'Europe, mais donc aussi par les États-Unis. Dans cet épisode, on parle également du concept de mom rage, le terme anglophone qui signifie la rage maternelle, et Lory Zephyr, qui est docteur en psychologie, vous guide pour comprendre ces accès de colère soudains, qui ne nous ressemblent pas vraiment, mais qui caractérisent un pan de notre maternité. Moi, je le ressens de temps en temps, pour être honnête, quand je pète les plombs avec des guillemets, évidemment, je sais que je suis dérégulée, que je ne suis pas alignée avec moi-même, et cet état me fait souvent flipper et culpabiliser, et je sais que c'est un état qui fait peur à mes enfants. Mais pas de panique, Lory va vous donner des clés. Allez, je vous souhaite une très bonne écoute. Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici ! LES LIENS DE L'EPISODE Invitées du Podcast : Dre Lory Zephyr, psychologue Jessika Brazeau, journaliste Episodes mentionnés dans le Podcast : Épisode 146 – Peut-on tout avoir quand on a 3 enfants en bas-âge ? Le Podcast : “Ca va maman” Épisode - Parents sécurisants, enfants sécurisés avec Marc Pistorio Autres liens : Marc Pistorio, Docteur en psychologie clinique CVM Formation Formation Dre Nicole Reeves,Ph.D., psychologue : Devenir parent : entre enchantement et détresse
Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici. Aujourd'hui, on va parler d'un livre et on va parler éducation. Comme vous le savez, je lis énormément énormément de livres, j'adore ça. Et ces derniers temps, je me suis penchée sur un ouvrage qui m'a particulièrement touchée sur la parentalité. Son autrice, c'est Docteur Becky Kennedy, véritable phénomène sur les réseaux sociaux. Le Times d'ailleurs l'a surnommé celle qui murmure à l'oreille des millennials, alors c'est moi, j'ai 36 ans, les millennials, peut-être que c'est pas vous, mais en tout cas je suis sa cible et donc c'est une psychologue américaine qui a été formée à l'université de Columbia à New York entre autres. On la surnomme Docteur Becky. J'aime profondément le travail de cette psychologue qui raconte s'être totalement remise en question après plusieurs années de pratique dans son cabinet. En gros, avant, elle proposait aux parents de ses patients de pratiquer le time-out. Vous savez, c'est ce moment où on isole seul l'enfant dans sa chambre. Elle dit qu'elle proposait aux parents de pratiquer les systèmes de punitions, de récompenses et toutes les manières un peu plus traditionnelles d'élever les enfants. Et puis un jour, elle a dit stop, stop parce qu'elle ressentait au plus profond d'elle-même que ce n'était pas ce qu'elle voulait pour ses patients et leurs parents. Alors elle s'est remise en question, magnifique qualité, elle a creusé d'autres apprentissages, elle s'est penchée sur la théorie de l'attachement, et de toutes ses ramifications et puis elle s'est aussi penchée sur le système intérieur, le système familial intérieur pardon on dit l'IFS qui a été modélisé par l'américain Richard Schwartz et enfin elle s'est aussi intéressée aux relations à travers la coopération. Et enfin elle s'est aussi intéressée aux relations aux autres à travers la coopération que l'on peut retrouver dans les ouvrages notamment très connus de Faber et Mazlish. Alors grâce à toutes ces recherches elle a pu concocter un guide pour les parents super pertinent et pratique. Et je vais vous en parler. Le titre français, parents attentifs, ne reflète pas assez bien à mon goût la volonté du livre que l'on peut en revanche comprendre avec le titre anglais qui s'appelle Good Inside. Toute la philosophie du livre de Dr. Becky repose sur ce postulat de la bonté intérieure que vous et votre enfant, vous êtes une bonne personne au fond de vous, malgré vos comportements. Et je vous explique pourquoi dans quelques instants, parce que ça fait l'objet de la première raison pour laquelle j'ai aimé ce livre. Donc dans cet épisode, j'ai choisi cinq points qui m'ont personnellement aidé avec mes enfants et j'espère que peut-être ça pourra vous aider vous aussi dans votre parentalité. On se retrouve vendredi ! Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici ! Les liens de l'épisode : Livres : Parler pour que les enfants écoutent - écouter pour que les enfants parlent, Adèle Faber(Auteur),Elaine Mazlish Parler pour que les ados écoutent, écouter pour que les ados parlent ****Adèle Faber(Auteur),Elaine Mazlish Frères et soeurs sans rivalité - manuel de survie pour une famille plus, Adèle Faber(Auteur),Elaine Mazlish Parents attentifs : un guide pour privilégier l'empathie envers l'enfant... et envers soi,Becky Kennedy Good Inside - A Guide to Becoming the Parent You Want to Be, Becky Kennedy Episode : Épisode 136 – 5 raisons de se déconnecter en tant que parents Autrice du livre : Docteur Becky Kennedy Etude : Le système familial intérieur Richard Schwartz
Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici ! Les chiffres autour de l’exposition des enfants, aux contenus pornographiques sont ahurissants et alarmants. D’après un rapport du Sénat, intitulé : Porno l’enfer du décor, un enfant sur trois a déjà vu des images pornographiques avant l’âge de 12 ans, et deux sur trois avant l’âge de 15 ans. 50% des garçons de 12 et 13 ans y vont tous les mois. Le phénomène est inquiétant et doit nous préoccuper. Parce qu’en 2024, les enfants et adolescents ont accès facilement bien trop librement à ce contenu délétère pour leur santé mentale et leur cerveau en construction. Face à la détresse des parents et des enfants qu’elle reçoit en consultation, Thérèse Hargot tire la sonnette d’alarme pour qu’enfin le problème soit pris au sérieux. Thérèse est thérapeute de couple et sexologue, elle vient de sortir un livre intitulé : Tout le monde en regarde ou presque. Dans cet épisode vous comprendrez pourquoi le porno est une drogue, quels sont les mécanismes employés par l’industrie du porno pour que depuis le plus jeune âge les enfants y soient addicts. A travers notre conversation vous obtiendrez des outils pour accompagner au mieux et surtout essayer de protéger au mieux nos enfants à cette exposition! Cette conversation est importante, n’hésitez pas à la partager autour de vous! Je vous souhaite une très bonne écoute ! Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici !
Saison 6 - Épisode 157 - 30/01/2024
Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici. Aujourd'hui, on va parler d'un sujet un tout petit peu touchy et on va mettre les deux pieds dans le plat. Ça fait du bien de temps en temps d'avoir un petit peu plus d'éléments concrets sur un sujet pas hyper simple à aborder ici, en France, soyons très honnêtes. Janvier touche à sa fin et avec l'effervescence autour de Dry January, vous avez peut-être tenté l'expérience cette année ou il y a quelque temps déjà, ou alors vous vous êtes peut-être demandé si ça valait la peine d'essayer. En tout cas, si vous écoutez cet épisode, c'est que le sujet vous intéresse, vous vous posez des questions, ou alors vous avez envi d’avoir un retour d’expérience de la part de quelqu’un qui a arrêté de boire de l’alcool, et bien c’est mon cas. Je vous partage mon ressenti face à ca et vous remercie d’avoir écouté cet épisode. On se retrouve vendredi ! Je vous donne 5 boissons pour remplacer l’alcool Le bon vieux Champomy French bloom Mocktail Club Gimber Everleaf N’oubliez pas de vous abonner à la newsletter, le lien est dans la bio. Sources citées dans l'épisode : https://www.lemonde.fr/societe/article/2024/01/23/les-francaises-pratiquent-de-plus-en-plus-l-alcoolisation-ponctuelle-importante_6212352_3224.html https://sante.gouv.fr/prevention-en-sante/addictions/article/l-addiction-a-l-alcool#:~:text=La%20consommation%20d'alcool%20repr%C3%A9sente,des%20maladies%20et%20d%C3%A9c%C3%A8s%20pr%C3%A9matur%C3%A9s. https://academic.oup.com/alcalc/article/35/5/417/206575?login=false https://www.santepubliquefrance.fr/presse/2017/alcool-et-grossesse-des-francais-de-plus-en-plus-conscients-des-risques-mais-la-vigilance-reste-de-mise https://www.niaaa.nih.gov/alcohols-effects-health/alcohol-topics/health-topics-alcohol-and-brain https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10462228/ https://www.inserm.fr/actualite/alcool-oestrogenes-et-memoire-mariage-trois-risque/
INSCRIPTION A LA NEWSLETTER ICI Je me souviens très bien, dans cet hôtel de Saint Lary Soulan, dans les Pyrénées, tenir entre mes mains une brochure de l’association PIE, qui mettait en avant une année à l’étranger dans un lycée américain. Mon déclic ! Mon rêve venait de prendre forme, sur ce prospectus. J’avais 14 ans, à peine. J’ai toujours eu l’envie de voyager, de partir. J’avais le goût de l’aventure et surtout aucune peur à l’idée de partir une année entière loin de mes proches. De toute façon je pense que c’est indispensable, sinon tu ne survis pas à ce type d’expérience. Depuis que j’ai 14 ans, donc, je tannais mes parents pour partir. Ça a pris près de 3 ans pour concrétiser ce projet. A l’époque mes parents n’avaient pas les finances nécessaires pour m’envoyer. L’année coûte à ce moment-là 7500 euros. Je patiente et je sais que c’est un grand privilège de pouvoir compter sur ses parents pour pouvoir partir. Mais cet investissement que mes parents ont accepté de faire a changé ma vie. (Merci papa et maman de m’avoir fait confiance et d’avoir écouté ce désir profond que j’avais). Ce podcast n’aurait clairement jamais vu le jour si je n’étais pas partie aux USA pendant une année scolaire, en terminale. Alors comment une année en 2006/2007 a pu, à ce point, transformer le parent et la femme que je suis ? Je vous explique tout. Quand je suis arrivée à Minneapolis en août 2006, je ne connaissais rien de cette ville, ni de l'État du Minnesota. Heureusement en 2006 y’avait quand même Wikipédia donc j’ai pu me renseigner et comprendre que l’hiver il y faisait -40. A part ça, c’était le flou complet. J’ai eu l’immense chance de tomber dans une famille d’accueil exceptionnelle. Et c’est cette famille qui a tout changé pour moi. J’y ai découvert le yoga, la méditation, les sauna, les bains froids, le hockey sur glace, les réunions de famille où chacun pouvait exprimer ce qu’il voulait et aider à l’amélioration de la vie familiale. Peu de personnes connaissent le Minnesota mais c’est un état magnifique, on l’appelle l’Etat des 10 000 lacs. De la nature à perte de vue et un rapport à l’outdoor qui m’a marquée. (Oui je vous pousse à aller visiter le MN quand vous allez aux USA, vous ne le regretterez pas). C’est un état du midwest mais très progressiste par rapport au reste du pays. Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter
Saison 6 - Épisode 153 - 16/01/2024
POUR DECOUVRIR MEME PAS CAP ET TROUVER VOTRE VOIE PRO : https://www.memepascap.fr/bilan-competences-mpc?source=MATRESCENCEPODCAST C’est la nouvelle année et je vous ai concocté une petite surprise !! Nous vous avons préparé un super guide pour démarrer cette année 2024 en beauté ! J’avais besoin d’un coup de pouce et je suis sûre que vous aussi. Bonne année de vive voix… et bienvenue dans ce podcast si vous nous rejoignez ! 2024 pour moi ça signifie une belle page blanche. Je peux enfin mettre dans le rétro les premiers mois extrêmement difficiles de 2023. J’ai donc plein d’envie, d’ambitions, de projets et de pep’s pour attaquer 2024. Si vous ne ressentez pas du tout cette excitation de la nouvelle année, sincèrement je compatis, j’ai eu exactement la même sensation que vous en 2023. En revanche, sachez qu’au printemps j’ai eu un regain énorme d’énergie et de motivation. On est cyclique, ne l’oubliez pas ! Alors prenez votre temps pour hiberner, ralentir et nourrir des idées que vous pourrez mettre en application au printemps. Et justement cet épisode va vous guider et vous aider à lever un peu de brouillard en vous. Surtout si vous êtes encore en postpartum ou que vous en sortez à peine, cet épisode vous sera utile! De mon côté, j'aborde vraiment 2024 avec une pêche inouïe, je viens de couper 2 semaines entières et c’est fou la sensation de respiration et de motivation que cela m’a donné. Moralité, ralentir permet forcément de reprendre sa respiration et d’y voir plus clair. Mes enfants commencent à mieux dormir et je sens qu’il y a des effets! 6 ans de sommeil haché, on ne le dira jamais assez, ça perturbe. Ok cette année, je relève le défi de vous proposer un épisode personnel le mardi et un épisode le vendredi où j’interviewe un ou une experte, chaque semaine. Il y aura donc 8 épisodes de la Matrescence chaque mois pour vous aider à vous sentir moins seule et à traverser la parentalité de manière à vous sentir plus alignés avec vous-même! Je vous propose aujourd’hui, dans cet épisode, de vous pencher sur 3 questions très importantes en ce début d’année, autant pour vous que pour votre famille. Site web : www.lamatrescence.fr Patreon : www.patreon.com/clementinesarlat
Si un jour j’avais pensé pouvoir dire que je kiffe mon cycle, j’aurais absolument rigolé! J’ai eu mes règles à 11 ans, aucun tabou chez moi donc rien de traumatisant, mais en revanche j’ai commencé à vomir le jour de mes règles avec l’impossibilité de sortir du noir de ma chambre… Sympa quand t’es ado de ressentir que ton corps te dit merde, à ce point, le premier jour de tes règles. 25 ans plus tard, me voici en pleine possession de mes moyens, avec aucune douleur ni avant ni pendant mes règles, à part la fatigue habituelle, parce qu’aujourd’hui je connais mon corps et son fonctionnement. Gaelle Baldassari, est la fondatrice de Kiffe tes règles! C’est une magicienne qui te permet de mieux comprendre tout ce que ton corps traverse dans cette période particulière. Gaëlle t’embarque avec elle dans cette vague qui est ton cycle menstruel pour que tu en ressorte avec des notions solides pour changer ton regard sur tes règles. On reprend les basiques, et ça fait jamais de mal, on explore tous les aspects alors si tu es un papa qui a des filles et que tu veux comprendre, cet épisode est pour toi, si tu es une jeune fille et qui tu veux apprendre, cet épisode est fait pour toi, si tu es une femme à qui on a tout caché et qui ne s’est jamais posé de questions, cet épisode est aussi fait pour toi et si tu es un jeune garçon qui s’y intéresse, merci et bienvenue ! C’est parti. Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter
Bienvenue dans La Matrescence, vous écoutez l’épisode 123 de la saison 5 Aujourd’hui on va parler microbiote et donc de caca… Un petit sujet tabou qui va vous fasciner et qui est primordial pour une vie optimale. De plus en plus, les recherches en médecine font le lien entre notre alimentation, les maladies auto-immunes, notre état de santé général et notre santé mentale. D’ailleurs au 21e siècle, on n’a rien inventé, puisque Hippocrate disait déjà : “Que ton alimentation soit ta première médecine” Dr Julien Scanzi a écrit un livre : “Incroyable Microbiote, voyage au cœur des pouvoirs étonnants de l’intestin” pour démocratiser le savoir autour de nos intestins, notre deuxième cerveau. Dans cet épisode, on s'intéresse à nos microbes, aux conditions de la naissance, aux effets des antibiotiques, à l’allaitement, aux prébiotiques et aux probiotiques, pour vous donner les outils nécessaires à la compréhension du bon fonctionnement de votre corps. C’est passionnant !!! C’était Dr Julien Scanzi, gastro-entérologue et auteur du livre Incroyable Microbiote Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci! Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.fr A la semaine prochaine Prenez soin de vous ! Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter
Bonjour à toutes et à tous Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 131 de la saison 5 Nous sommes beaucoup de parents à nous intéresser aux relations sociales de nos enfants. Lorsque notre enfant est bien intégré dans la cour de récré ou au sein de la crèche, nos inquiétudes s’envolent, mais que se passe t-il quand notre enfant rapporte des problématiques d'exclusion, d’isolement, de moqueries et donc de grandes souffrances ? Emmanuelle Piquet est psychopraticienne, autrice, conférencière et spécialiste du harcèlement scolaire. Depuis plus de 20 ans elle s’intéresse aux mécanismes du harcèlement en accompagnant des enfants de tous horizons pour les aider à gérer cette situation douloureuse. A travers sa formation de l’école Palo Alto, dont elle explique les fondements dans l’épisode, Emmanuelle, avec son humour franc, raconte comment les enfants ont toutes les ressources en eux pour changer de posture face à leurs harceleurs. Elle nous explique aussi, comment nous, en tant que parents, pouvons avoir une incidence néfaste, malgré nos bonnes intentions, en voulant intervenir sans outiller nos enfants pour leur apprendre à se défendre. Dans son dernier livre Votre enfant face aux autres, aux éditions Les Arènes, Emmanuelle vous donne des cas très concrets pour accompagner au mieux votre enfant dans sa vie sociale quelqu’elle soit. Je vous souhaite une très bonne écoute C’était Emmanuelle Piquet, psychopraticienne et autrice du livre Votre enfant face aux autres. Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci! Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.fr A la semaine prochaine Prenez soin de vous ! Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter
POUR RECEVOIR LA NEWSLETTER DU PODCAST : INSCRIS-TOI Les livres recommandés : Dr Amen : Plus heureux en 30 jours (fr). You happier, 7 neuroscience secrets based on your brain type (en) Catherine Gray : The Unexpected joy of being single (en) Lindsay C. Gibson : Se construire avec des parents immatures (fr) Nicole Lepera : Guéris tes blessures (fr). How do to the work (en) Michelle Dempsey-Multack : Moms moving On (en) Robert Waldinger : The Good life (fr) Dr. Mindy Pelz : Fast like a girl (en) Dr Libby Weaver : Le syndrome de la femme pressée (fr). The rushing woman syndrome (en) Lien pour le test du type de cerveau : https://brainmd.com/blog/which-of-the-16-brain-types-are-you/ - https://brainhealthassessment.com/consent - Brain Type Test: This Is Why You Do What You Do! (brainmd.com) Article - Comment booster la sérotonine et améliorer son humeur? Mon mot pour 2024… STABILITÉ En cette fin d’année 2023 je voulais revenir sur le mot qui a accompagné mon année : BRILLER. Je vous encourage à le faire si vous avez envie. Au lieu de vous fixer des objectifs, choisissez un mot qui définit votre année. Ça peut être : puissance, paix, lâcher prise, lumière, limites, repos, ou encore liberté, sororité, care ou fun! J’avais donc choisi le mot briller et, sans le savoir à ce moment-là, briller allait être le révélateur de mon année. Pour briller, il faut d’abord accepter la part d’ombre présente en nous et ensuite vouloir aller rallumer la lumière à l’intérieur de soi. Je n’avais pas anticipé que ma situation personnelle à ce moment-là, précis, allait se dégrader et que j’allais être diagnostiquée en dépression sévère 2 semaines plus tard. Je n’en n’ai jamais parlé ouvertement, j’avais envie d’avoir un peu de recul sur cette période. Ça va bientôt faire un an et je me sens capable de le faire aujourd’hui. Si vous avez déjà été diagnostiquée en dépression vous connaissez cette sensation de vide, de noirceur, d’incapacité à vouloir évoluer. Cette tristesse profonde qui peut vous envahir. Là du noir, de l’ombre, du dark, il y en a! Donc pour réussir à briller, je partais de très loin. J’ai commencé un traitement d’antidépresseurs, fin janvier. Les premiers temps, je vomissais tous les matins, la molécule ne me convenait pas. Ma médecin m’en a prescrit un autre avec une dose plus légère, et là, c’était le bon fit! J’ai passé 3 mois complets sous antidépresseurs et 1 mois où j’ai arrêté progressivement. Ça fait donc 8 mois que je ne prends plus rien du tout. Ni xanax ni anti-dépresseurs. Je sais que ce n’est pas recommandé de le faire si rapidement, mais j’étais accompagnée par ma psy et ma médecin. Je me sentais extrêmement bien et je savais que je serai capable d’être heureuse et sereine même sans médicaments. Pourquoi je vous raconte un peu de ma dépression ? Parce que c’est, en partie, grâce à mes lectures que j’ai sorti la tête de l’eau. Et attention je ne parle que de moi, pour certaines personnes il faut des années de traitements médicamenteux et des suivis psy, surtout si vous êtes en postpartum, faites vous suivre, c’est important. Pour moi je savais que c’était un coup de pouce dont j’avais besoin sur le moment, mais j’avais la profonde conviction que j’allais aller bien, SI je faisais attention à certains aspects de ma vie. Nous n’avons pas tous et toutes la même capacité de résilience face à l’adversité et ni de sensibilité face ce qui nous plonge dans le noir. Alors si vous êtes dans le dur, dans une période extrêmement sombre, soyez indulgent et indulgente envers vous-même. Vous faites comme vous pouvez, au rythme qui vous convient, il n'y a pas de course quand il s’agit de santé mentale. Je vous parle donc des 8 livres exactement qui m’ont vraiment amené à avoir une grande réflexion sur moi pour avancer et rejoindre la lumière. Ces livres et épisodes m’ont redonné du pouvoir. Oui, nous avons du pouvoir sur notre santé physique et psychique. ( Pour lire la suite, rdv sur le site : www.lamatrescence.fr Le premier livre qui m’a aidé s’intitule You Happier, 7 neuroscience secrets based on your brain type. L’auteur est Dr Amen, psychiatre depuis 30 ans et neuroscientifique, il a scanné plus de 250 000 cerveaux. Je l’ai découvert via le podcast de Jay Shetty, On Purpose. Dans son livre qui est traduit en français, Dr Amen vous explique le pouvoir de votre pensée, de la gratitude, de la façon dont on se parle, le pouvoir du sport, de la nutrition et du sommeil. Il détaille les 16 différents types de cerveaux qu’il a identifiés et les réactions que l’on peut avoir en fonction de la structure de notre cerveau. Je suis type 3, vous pouvez faire le test, le lien est à la fin des notes. Le type 3 c’est : “Brain Type 3 Individuals with Brain Type 3 are often tenacious, persistent, and sometimes stubborn. They tend to struggle with worry, have trouble sleeping, and like things to be done a certain way. Those with Brain Type 3 often have increased activity in the front part of the brain called the anterior cingulate gyrus (ACG). The ACG influences your ability to “go with the flow.” When the ACG is overactive, probably due to low activity of serotonin, people can have problems shifting attention. People with Brain Type 3 don’t need more stimulation. In fact, caffeine and diet pills tend to make them worse.” D’après le magazine Santé : La sérotonine fait partie des 4 hormones dites du bonheur avec l’ocytocine, la dopamine et les endorphine. La sérotonine est un produit chimique qui peut affecter l'humeur. Présente dans le cerveau, le sang, le tube digestif et les tissus conjonctifs du corps humain (...), elle provoque la contraction des vaisseaux sanguins, aide à transmettre l'information dans tout le système nerveux central et joue un rôle dans le fonctionnement cérébral. Ce messager chimique est aussi responsable de la stimulation des zones du cerveau contrôlant le sommeil et l'éveil chez l'être humain. La sérotonine est liée au stress et clairement, être mère de 3 enfants en bas-âge, ça me procure du stress, sachant que j’ai une tendance à être anxieuse. Donc ça a du sens pour moi de faire attention à cet aspect là. La bonne nouvelle c’est que je n’ai jamais bu de café ou pris de stimulants… Dans ce livre il y a 3 choses que j’ai retenues pour mon quotidien. La première : finir ma journée par me dire ce qu’il s’est bien passé aujourd'hui. Il explique que plus le cerveau fait la connexion avec des pensées positives, plus on aura tendance à confirmer nos biais et mettre des lunettes de la gratitude au lieu de voir la vie à travers des lunettes de la défiance. Le 2e point parle de nos pensées, encore. Il écrit de manière assez drôle “ne crois pas tout ce que ton cerveau te raconte”. Nous pouvons prendre du recul sur ce que l’on se raconte au quotidien, quand tout semble dérailler. Parfois ce sont nos peurs qui parlent, nos blocages, nos mécanismes de défense et pas la réalité. Par exemple, quand on a la sensation d’être nulle et de décevoir tout le monde, on peut réussir à changer d’optique en se disant “ Cette journée, ne me définie pas, je ne suis pas nulle, c’est faux, je traverse une difficulté, je vais y arriver.” Et enfin, c’est la première fois que je lisais des études dédiées aux effets de l’alcool sur les capacités cognitives et le cerveau. Je n’ai jamais beaucoup bu, j’ai toujours été la Sam des soirées. C’est dû à mon histoire perso, mais j’ai dû être vraiment bourrée moins d’une dizaine de fois dans ma vie. Là, en ayant enchaîné 3 ans de grossesses et allaitement, clairement l’alcool ne faisait plus partie de ma vie et lire son livre m’en a convaincu. Je ne bois plus du tout. L’alcool perturbe le sommeil, nos connexions neuronales, mais aussi notre système digestif et nerveux. Je vous assure qu’on peut quand même faire la fête et s’amuser en trinquant à l’eau ou au Champomy ;-) Le 2e livre : Les joies insoupçonnées du célibat (il n’existe qu’en anglais). Bon clairement, ce livre j’en ai eu besoin quand je vivais une séparation très douloureuse. J’avais besoin de lire qu’être célibataire ne voulait pas dire être seule. Ce livre écrit par la journaliste anglaise Catherine Gray, est un booster d’énergie et vient questionner nos besoins d’être en couple pour se dire heureuses/heureux. Elle a un angle très féministe et dégomme le patriarcat qui nous a vendu le model de l’amour hétéro comme la fin en soi. J’ai vraiment aimé ce livre plus léger mais qui aborde des sujets fondamentaux pour retrouver l’amour que l’on a pour soi avant tout. Le reste vient après. Si vous vivez une séparation douloureuse, je vous le recommande. Et si vous avez été en couple toute votre vie, je vous le recommande encore plus. C’est intéressant de se poser des question sur nos schémas familiaux et sociétaux sur ce thème. Le 3e livre s’appelle : Se construire avec des parents émotionnellement immatures Dr Lindsay Gibson, psychologue clinicienne. Ouh celui là est un bijou pour plusieurs raisons. J’ai découvert la Dr Gibson dans le podcast 10% happier. La conversation m’avait bluffée… Comme souvent j’écoute un auteur ou une autrice dans un podcast et ensuite j’achète le livre. Le livre est très complet et nous fait nous interroger sur l’enfance que l’on a eu. A quel type de parent on a eu affaire? Comment était l’ambiance à la maison ? Comment réagissait nos parents en fonction de leur immaturité? Elle y décrit 4 types de parents immatures dans ce livre avec des caractéristiques bien précises. Le parent émotif, le parent débordant, le parent rejetant et le parent passif. Pour être honnête, ce livre nous fait aussi réaliser qu’on est toutes et tous un peu immatures émotionnellement, à certains moments de nos vies. Mais en avoir conscience aide à mieux se comprendre. Bref un must have, vraiment si vous êtes en conflit avec vos parents ou votre éducation ou si vous avec un ou une personne de votre entourage proche émotionnellement immature! Le 4e livre, vous m’avez entendu en parler depuis 6 mois, c’est le premier livre du Dr Nicole Lepera, psychologue holistique, elle en a écrit 2 de plus depuis : How to do the work (bonne nouvelle il est traduit en Francais : Guéris tes blessures). Ça a été une révélation. Parfois les livres arrivent dans vos mains au moment où vous en avez le plus besoin. Il a eu une résonance particulière pour moi et m’a permis de changer ma façon d'interagir avec le monde. Mais aussi, parce qu’avant ça j’avais largement commencé à me documenter sur tout un tas de sujets et notamment les liens d’attachements. How to do the work (lien en EN) vous permet de reprendre du contrôle sur votre vie intérieure et votre état émotionnel. Son approche holistique, c'est-à-dire qui englobe plusieurs aspects de notre santé est primordiale. Son livre m’a donné les clés dont j’avais besoin pour revenir à moi. Je l’ai lu deux semaines après avoir été diagnostiquée en dépression. Il a été vital. Pour plus de détails, vous pouvez écouter les épisodes 120/124/130 C’est grâce à ce livre que j’arrive à calmer rapidement mon anxiété, que je termine mes douches par de l’eau froide, systématiquement pendant 1 min ou plus. (ma fille de 6 ans le fait avec moi) que j’arrive à prendre de la distance sur les réactions des autres et que j’ai ENFIN compris que je suis la seule responsable de mon bonheur, que je peux faire une seule et unique chose, c’est contrôler ce que moi je ressens. Ce livre a eu le pouvoir de changer ma vie pour le meilleur. Le 5e livre s’intitule Moms Moving On, il n’est pas traduit en français. Si vous maîtrisez bien l’anglais, il est facile à lire. Pourquoi il est important pour moi ce livre, pour 2 raisons, la première c’est que son autrice Michelle Dempsey ne néglige aucun aspect de la séparation du couple, avec des enfants. C’est comme une amie qui te prend la main, et qui te dit, tu vas te relever, ça va être dur mais je suis là pour te guider. Si vous êtes en plein dans le tumulte de vous séparer de votre co-parent, ce livre intelligent vous donne la marche à suivre pour que cette transition soit la plus douce et constructive possible pour vous et vos enfants. Dans la plupart des cas, ce sont les femmes qui prennent la décision de partir, c’est ce qu’elle a fait quand sa fille avait 2 ans et elle raconte son parcours. La deuxième raison c’est parce qu’elle dit une phrase ultra importante à mes yeux : Aime tes enfants plus que tu ne détestes ton ex. Je la répète, aime tes enfants plus que tu ne détestes ton ex. Bien sûr on peut appliquer ce mantra dans une relation où le co-parent est sain et qu’il y a simplement des tensions d’adultes normales. Cette phrase m’a transformée et m’a aidée à faire baisser la colère que je ressentais depuis des mois. Il y a beaucoup d’espoirs dans cet ouvrage. La vie qui vous attend va être belle. Son autre mantra important : Il suffit d’un parent raisonnable dans une situation déraisonnable. A vous de vous faire votre idée. Le 6e s’appelle The Good Life. Je l’ai lu cet été, c’est un pavé assez impressionnant. Il est en français et raconte les résultats de l’étude scientifique la plus longue jamais réalisée dans le monde, menée par l’université d'Harvard, sur le bonheur de manière générale. Pendant 80 ans, des chercheurs ont suivi 724 individus et leurs 1 300 descendants aux Etats-Unis pour en tirer des conclusions sur ce qui fait le bonheur de la vie. Le livre est passionnant et le résultat sans appel : notre entourage est l’élément, le facteur, le plus important de notre vie pour déterminer notre échelle de bonheur. Dans le livre on retrouve les histoires de certains participants mais aussi l’analyse des résultats par 2 chercheurs actuels qui ont continué cette étude. Argent, santé, relations amicales et amoureuses, trajectoire de vies, études, tout est passé au crible pour disséquer notre capacité à vivre heureux. Le 7e livre est celui de Mindy Pelz : Fast Like a Girl. J’ai adoré ce livre mais j’ai un bémol, parce qu’elle n’est pas médecin et il est difficile de savoir si tout ce qui est écrit, a été vérifié. Elle cite beaucoup d’études et je trouve que les explications sont très claires. J’ai commencé le jeûne intermittent et j’ai adoré. J’ai adoré comment mon corps répond à cela en fonction de mon cycle hormonal. Mais voilà je ne ne veux pas vous envoyer vers un livre dont l’autrice n’est pas claire à 100% sur son background qui n’est pas médecine. Le dernier dont je voulais vous parler est le livre de Dr Libby Weaver, qui est spécialiste de micronutrition. Dans son livre le syndrome de la femme pressée, elle explique comment notre mode de vie toujours plus stressant et rapide vient perturber notre équilibre hormonal en tant que femme. Nous sommes dans une ère où le droit au repos n’est pas valorisé ou le manque de productivité est assimilé à de l’échec, où la todo list qui n’en finit plus peut nous mettre dans des états de stress important. En tant que parents, nous sommes encore plus affectés par cette charge mentale. Et c’est notre santé qui trinque. Dr Libby Weaver nous parle de café, d’alcool, de sédentarité, de repas avalés à la va-vite et non dégustés, de nos hormones, et de la gestion de l’anxiété. Elle propose un questionnaire au début de son livre pour voir si vous rentrez dans la catégorie de la femme pressée. Au début j’avais la sensation que non, et puis au fur et à mesure des questions je me suis rendue compte que je laissais parfois mon quotidien dicter ma relation au stress au lieu de le gérer. A toutes les femmes pressées de ce monde, je vous souhaite de ralentir et d’arriver à être ancrée dans le moment présent. Voilà pour mes 8 lectures capitales de cette année. En ce qui concerne les podcasts je les écoute seulement en anglais. Donc je ne vais pas les détailler mais je vous les donne : Jay Shetty The Mel Robbins podcast Diary of a CEO The Goal Digger Podcast Les livres recommandés : Dr Amen : Plus heureux en 30 jours (fr). You happier, 7 neuroscience secrets based on your brain type (en) Catherine Gray : The Unexpected joy of being single (en) Lindsay C. Gibson : Se construire avec des parents immatures (fr) Nicole Lepera : Guéris tes blessures (fr). How do to the work (en) Michelle Dempsey-Multack : Moms moving On (en) Robert Waldinger : The Good life (fr) Dr. Mindy Pelz : Fast like a girl (en) Dr Libby Weaver : Le syndrome de la femme pressée (fr). The rushing woman syndrome (en) Lien pour le test du type de cerveau : https://brainmd.com/blog/which-of-the-16-brain-types-are-you/ - https://brainhealthassessment.com/consent - Brain Type Test: This Is Why You Do What You Do! (brainmd.com) Article - Comment booster la sérotonine et améliorer son humeur? Mon mot pour 2024… STABILITÉ Je vous souhaite une très bonne écoute! Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter
POUR RECEVOIR LA NEWSLETTER DU PODCAST : INSCRIS-TOI En 2023 on continue de percevoir les enfants via notre regard d’adultes supérieur, on continue de décrédibiliser leur parole, il n’y a qu'à voir comment on prend en compte les cas de violences sexuelles, on continue à leur demander de faire moins de bruit en permanence, à se faire petit… et quand je dis on, je m’inclus dans cette société qui a du mal à repenser les relations entre enfants et adultes. La France évolue, mais lentement. Notre vision de l’enfance reste très unilatérale. Nous avons le savoir et eux doivent écouter. Laelia Benoît est pédo psychiatre, chercheuse au Child Study Center à l’université de Yale, aux Etats Unis. Elle est également chercheuse à l’Inserm associée au Centre de recherche en épidémiologie et santé des populations. Dans un essai publié en 2022 aux éditions du Seuil, intitulé Infantisme, elle questionne grandement la place que l’on fait aux enfants dans notre société et pourquoi les écouter à leur juste place nous met si mal à l’aise. Laelia prône une vraie éducation aux émotions, qui favorise un respect mutuel entre adultes, adolescents et enfants. Le concept est séduisant, mais est-ce qu’il est possible et surtout comment le mettre en place au quotidien? Vous verrez ses idées sont supers intéressantes. Je vous souhaite une très bonne écoute ! Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter
POUR RECEVOIR LA NEWSLETTER DU PODCAST : INSCRIS-TOI Je vous vois venir, vous avez lu le titre et vous vous êtes dit : “c’est quoi ça, La Matrescence, qui promeut la chirurgie esthétique au lieu de nous apprendre à accepter nos corps.” Bon c’est pas tout à fait vrai. Nos corps changent à mesure que la grossesse progresse, nos corps changent en donnant la vie, nos corps changent quand l’allaitement s'arrête, si allaitement il y a, nos corps changent parce qu’on est fatiguées, nos corps changent parce qu’on vieillit tout simplement. Et donc on se pose tout un tas de questions sur ces changements! Qui ne s’est pas retrouvée devant le miroir en regardant les stigmates d’après grossesse en étant au mieux émerveillée, au pire découragée? Moi j’ai été les 2 sur ce spectre…Et comme beaucoup j’ai cherché des solutions pour m’accepter ou pour changer! Dr Frédéric Lange est chirurgien esthétique, très présent sur les réseaux sociaux, avec une approche à l’opposé de ce que l’on peut attendre d’un pro de l’esthétisme. C'est -à -dire une approche holistique, qui passe par la nutrition, la qualité du sommeil, la gestion du stress et l’épigénétisme. Alors on trouve quoi dans cet épisode ? On y trouve des explications claires sur le mélasma, les vergetures, la peau distendue, la séparation des abdos et les bouleversements qu’une femme traverse immédiatement en postpartum. On parle des remèdes miracles, s'ils en existent vraiment, spoiler alert… NOPE et enfin on parle du fait de vieillir dans les meilleures conditions possibles de manière saine, pour accompagner nos enfants et petits enfants le plus longtemps possible! Je vous souhaite une très bonne écoute. Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter. RESSOURCES MENTIONNÉES Netflix : 100 ans de plénitude : Les secrets des zones bleues.
Merci à Morphée de soutenir La Matrescence ! Avec le code MATRESCENCE profitez de 10€ de réduction pour l'achat d'une box Mon Petit Morphée surMorphée.co! LA PREMIERE NEWSLETTER DU PODCAST EST PRETE : INSCRIS-TOI J’ai souvent parlé d’accouchement à la maison dans ce podcast. Une première fois en 2019, en interviewant ma sage-femme Isabelle Deputier (épisode 18) et en racontant mes propres accouchement (épisode 66 & épisode 105). Accoucher à la maison, j’en ai personnellement fait l’expérience deux fois dans ma vie avec la conviction profonde que c’était le meilleur choix pour moi et mon bébé. Nous avons toutes et tous un rapport très personnel à la sécurité, lorsqu’il s’agit de mettre au monde notre enfant. Pour moi, c’était en dehors de l’hôpital. Pour être la boss, souveraine de ce moment, dans mon cocon. Lorsque l’on accouche chez soi accompagnée d’une sage-femme qui est formée, nous accumulons du savoir, de la connaissance de notre corps, de nos capacités. Mais nous mesurons également les risques pris. Le sujet n’est pas éludé dans la préparation. Depuis 2018, Floriane Stoffer Obrecht, sage-femme libérale, compile les datas des sages-femmes qui accompagnent les femmes et les familles dans ce parcours encore très singulier en France. Depuis 5 ans donc, Floriane traite les infos remontées par ses consœurs qui sont entre 60 et 100 chaque année à pratiquer. Quels sont les résultats ? Que dit le rapport de l’APAAD (l’association de professionnelles de l’accompagnement des accouchements à domicile.) concernant les risques ou non de choisir de donner la vie à son domicile, en France, pour la mère ou pour le bébé à venir? Avant d’écouter, nous voulons toutes les deux spécifier que cet épisode sort dans un moment où le sujet est sensible et à nouveau au cœur de débat, au vu de l’actualité récente. Et c’est bien normal. En novembre, une mère et son bébé sont décédés lors d’un transfert entre le domicile et l'hôpital. Un cas extrêmement rare lors d’un accouchement à domicile. Et Floriane l’évoque. Cet épisode vient donc remettre des datas fournies et étayées concernant une pratique qui génère beaucoup de fantasmes et de débats. Rappelons, avant de démarrer, qu’un sondage de l’IFOP en 2021 révélait que 36% des femmes âgées de 18 à 45 ans pouvaient envisager l’accouchement à domicile! La demande est là… à vous de vous faire une idée! Je vous souhaite une très bonne écoute. Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok. Si vous voulez recevoir la newsletter, c'est par ici : https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter. Ressources de l’épisode : Livre de Floriane : “C’est mon accouchement” ** EXTRAIT ARTICLE DU MONDE : “Les pro-AAD peuvent aussi s’appuyer, désormais, sur la méta-analyse d’une chercheuse en obstétrique canadienne, Eileen Hutton, prenant en compte un échantillon de 500 000 naissances à domicile étudiées dans dix pays industrialisés (Pays-Bas, Etats-Unis, Royaume-Uni, Nouvelle-Zélande, Suède, Canada, Australie, Japon, Islande, Norvège) entre 1990 et 2018. Publiée en 2019 par la revue scientifique The Lancet, ****l’enquête conclut, sans ambiguïté : « Le risque de mortalité périnatale ou néonatale n’était pas différent quand l’accouchement était prévu à la maison ou à l’hôpital. » ** Association : APAAD ** ENTRETIEN IFOP : "IL Y’A UNE RÉELLE DEMANDE DE LA PART DU PUBLIC, CE QUI CONSTITUE UN MAGNIFIQUE ARGUMENT À PRÉSENTER AUX ÉLUS ET AUX INSTANCES”
REJOIGNEZ NOTRE NOUVELLE NEWSLETTER ! https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter Bienvenue dans La Matrescence, vous écoutez l’épisode 147 de la saison 6 La sexualité est omniprésente dans notre société. Pourtant, nous faisons souvent l’impasse sur cet aspect de leur éducation en nous privant d’en parler avec nos enfants. Par peur, pour les protéger, par gêne ou par croyances ancrées en nous. Aujourd’hui il devient urgent d’expliquer à nos enfants comment leurs corps fonctionnent et pourquoi ils et elles peuvent expérimenter certaines sensations liées au plaisir. Le but ? Les informer, les outiller, les armer pour qu’ils et elles sachent différencier les abus, des comportements normaux vis à vis de leur corps. Ce sont elles et eux les maîtres à bord. Myriam Félix est consultante en sexualité infantile, elle s’est formée en constatant qu’il existait très peu d’accompagnement sur cette thématique. Au fil de l’épisode elle vous donne des astuces pour commencer à parler avec vos enfants de ce thème, vous donne des cas précis, et vous embarque dans l’empouvoirement des enfants face à leurs corps. Comme elle aime à le rappeler, au-delà de l'éducation à la sexualité, c’est avant tout de l’éducation au corps et aux sensations. Cet épisode est important mais peut être difficile si vous avez été victime d’abus ou si on vous a manqué de respect sur ce thème quand vous étiez enfant. Prenez votre temps si c’est nécessaire. Je vous souhaite une très bonne écoute. Rejoignez La Matrescence, faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok.
REJOIGNEZ NOTRE NOUVELLE NEWSLETTER !!! https://lamatrescence.myflodesk.com/newsletter Aujourd’hui j’avais envie de vous parler de ma réalité. Je reçois constamment des messages pour savoir comment on gère 3 enfants en bas-âge. Si on prend un gros risque parce qu’on fait plusieurs enfants rapprochés… J’avais donc envie de prendre le temps de vous raconter MA réalité de mère active de 3 enfants, bien trop actives elles aussi… et souvent malades… et qui a mis au monde 2 êtres humains pendant la pandémie. Je voudrais tout de suite mettre fin au mythe selon lequel on pourrait tout avoir, en tant que mère et femme, dans cette société. Je pense sincèrement que c’est faux. On peut tout avoir mais sûrement pas en même temps. Il y a des sacrifices à faire, des parties de sa vie à prioriser. Accepter ce paramètre enlève beaucoup de culpabilité dans les premières années intenses de vie de nos enfants. J’en ai d’autant fait l’expérience que j’ai eu 3 enfants en 4 ans et demi dont les 2 dernières en 17 mois. Si on fait le calcul, j’ai eu le temps de reprendre mon souffle entre ma première et ma deuxième, puisqu’elles ont pile 3 ans d’écart et pourtant c’était déjà difficile à l’époque. Mais ensuite, j’ai enchainé. J’allaitais toujours Jasmine quand je suis tombée enceinte de June, ma dernière. Si ça vous intéresse je raconte mes 2 accouchements à la maison dans les épisodes 105 et 66 ainsi que mon 3e postpartum dans l’épisode 106. Mes 2 dernières filles donc, ont 17 mois d’écart, je suis tombée à nouveau enceinte 8 mois après mon deuxième accouchement. Ce qui fait que de Décembre 2019 à Octobre 2022 j’ai soit été enceinte, soit j’ai allaité. Cela fait donc, seulement, un an que je commence petit à petit à me réapproprier mon corps. Mais si on prend en compte la définition d’Anna Roy du postpartum qui dure 3 ans, je suis encore en plein dedans! Ce qui a du sens. Je le sens. Maintenant regardons les chiffres des familles avec 3 enfants en France. Une famille sur 5 est une famille nombreuse, c'est-à-dire + de 3 enfants. Ce sont un peu moins d’un million d’enfants mineurs qui vivent dans des familles de 3 enfants en 2020. En baisse depuis 1990. A titre de comparaison, 45% des familles sont composées d’un seul enfant : en 2020 il y a 3 592 900 enfants qui sont enfant unique. Et ils sont près de 3 millions à avoir 1 frère ou une sœur au sein de leur fratrie. Autre statistique très intéressante, elle concerne le taux d’emploi des mères en fonction du nombre d’enfants : en 2020, alors que le taux d’emploi des mères d’un enfant s’élève à 70,2 %, celui des mères de deux enfants est de 65,5 % et celui des mères de trois enfants ou plus, chute à 36,2 %. Je fais donc partie de la minorité qui travaille avec 3 enfants en bas-âge. Sauf que la première année de vie de ma dernière fille, je n’ai quasiment pas travaillé, ou alors de manière sporadique. C’était trop intense, j’étais épuisée et il m’était impossible de tout conjuguer. Donc si vous avez 3 enfants et + , sachez que statistiquement seules 4 femmes sur 10 travaillent les premières années de vie de leurs enfants. Les chiffres évoluent et s’inversent une fois que le/la dernière a 3 ans, puisque 66% des femmes sont à nouveau sur le marché du travail à partir de ce moment-là. C’est vraiment une donnée à prendre en compte quand on veut comprendre pourquoi cela reste difficile d’avoir 3 enfants en bas-âge. Je précise encore une fois, je parle de mon exemple, j’ai des ressources financières conséquentes ce qui me permet de pouvoir travailler à mi-temps quand j’en ai envie sans que cela n’impacte trop mes revenus, mais cela impacte la progression de ma carrière. Donc revenons à nos moutons maintenant que l’on sait qu’avoir 3 enfants petits, peut impacter votre carrière. J’aimerais vous parler d’abord des difficultés avec son lot de galères d’élever 3 enfants et ensuite des bonheurs incroyables et où ils se logent. Devoir se diviser en 3 quand on a des enfants qui ont des demandes normales et légitimes vu leur âge, peut rendre fou. J’en ai fait l’expérience. Si je devais résumer : avec un enfant j’étais assez calme, avec 2 enfants j’ai commencé à crier, avec 3 enfants je me suis mise à hurler… C’est violent dit comme ça, mais c’est la réalité malheureusement. La première raison c’est le manque évident de sommeil. Tous les enfants n’ont pas le même rapport au sommeil. Dans notre famille, nous venons de traverser 3 années sans, quasiment, une nuit complète. Au même moment nous avons accueillies nos 2 dernières filles, traversé une pandémie mondiale, l’hospitalisation pendant 15 jours de notre dernière et pendant 5 jours de notre 2e et ensuite la découverte des asthmes sévères des 3, avec traitements lourds quotidien… voilà le contexte. Donc des enfants malades, extrêmement souvent. Il y a eu des mois entiers où j’étais incapable de travailler tellement la fatigue était immense. J’ai fait comme j’ai pu mais il a fallu que je me rende à l’évidence, je n’étais pas en capacité de fournir un travail intellectuel à ce moment-là et pourtant mes filles étaient toutes gardées ou à l’école. Je dirai que la première année de June a été la plus difficile et intense de ma vie, en termes de demande émotionnelle et de fatigue. Si vous ajoutez à ça le fait que j’ai été maman solo pendant 9 mois, c’était le cocktail parfait pour que mes comportements envers mes enfants ne soient pas à la hauteur. Je ne pensais pas pouvoir être une mère qui pète les plombs et qui décharge sa colère, tristesse et frustration sur ses enfants. Et pourtant, c’est ce qu’il s’est passé ces derniers mois. J’ai fait du mal à mes enfants, je le sais. J’ai vu l’impact de ma dureté envers elles et j’ai d’autant plus la conviction qu’accompagner nos enfants vers une éducation respectueuse est la meilleure façon pour qu’ils soient heureux. J’ai été poussée dans mes retranchements, dans des moments sombres de ma parentalité. Et le changement a dû venir de moi et pas de mes enfants, elles n’y étaient pour rien. A partir du moment où j’ai pris bien mieux soin de moi, où j’ai fait un travail intense en thérapie pour comprendre mes émotions et mon enfant intérieur, mes comportements se sont apaisés et sont revenus à une presque normalité. Aujourd’hui je suis beaucoup plus calme, les demandes de mes filles sont plus gérables aussi et nous sommes 2 parents en permanence à la maison. Cela change tout. Être en sous nombre est une vraie difficulté avec des tout-petits. Il faut le reconnaître. Quand on se retrouve parfois à avoir 1 ou 2 enfants, on se dit que c’est tellement facile la charge que ça demande. La dernière difficulté dont je voulais parler est celle d’être le Parent par défaut. Peu importe qu’on soit la mère ou le père, c’est tellement dur d’être leur safe place. D’être la seule qu’elles veulent la nuit. Ça amène de grosses frustrations dans le couple et chez l’autre qui peut se sentir rejeté. Moi, je me sentais surtout en trop plein de demandes. Mon rythme de vie + la séparation a aussi joué sur le fait que j’étais leur safe place en permanence. Et c’est EPUISANT ! On n’a plus la force ni l’énergie de répondre à leurs demandes correctement. Il y a des périodes avec plus ou moins d’intensité sur ce schéma de parent par défaut. Parfois la semaine est équilibrée et parfois, elles ne veulent que moi. Je sais aussi que ça passe et c’est très agréable quand l’autre peut prendre le relais et qu’elles se sentent en sécurité. Cela fait 20 mois maintenant que l’on a 3 enfants et personnellement je trouve que ça devient génial. Je me souviens qu’avant m on accouchement ma sage femme nous avait dit : “ ça va être dur la première année, faut serrer les dents, après ça sera plus simple”. Je l’ai ressenti. A 12 mois postpartum, June devenait un peu plus autonome et le rythme était moins soutenu. Maintenant, nos filles jouent beaucoup ensemble et sont sur le même rythme de vie, pour les 2 plus petites. C’est un gros kiffe. Je peux le dire, même si le sommeil est encore chaotique, la joie que ça apporte au quotidien d’avoir cette petite soeurerie. Avoir plusieurs enfants, ça amène des conflits entre elles, c’est vrai, mais on ne parle pas du tout du fait qu'elles jouent énormément entre elles et qu’elles sont donc moins sollicitantes. Elles font leur vie et apprennent à vivre entre elles. Il y a une vraie complicité qui nait de leur trio. C’est beau à voir, à observer. Elles apprennent l’une des autres. C’est aussi super intéressant en tant que parents de découvrir des traits de caractère différents et de se rendre compte que tel ou tel comportement n’a rien à voir avec leurs âges mais bien leur propre identité qui se forme. Voir à quel point son enfant est différent de l’autre, ça remet tout en perspective. Et ça ajoute à la complexité de les élever on ne va pas se mentir haha Dans un trio c’est assez drôle de voir la grande être très très proche de la petite, en mode maman, la petite admirer la moyenne, et la moyenne s’épanouir à être la grande qui montre l’exemple à la petite. Elles s’autorégulent émotionnellement aussi. Quand une pleure, y’en a forcément une des 3 qui va aller la voir et lui faire un calin, c’est super chou. Quand elles sont séparées, elles demandent en permanence où sont les autres et expriment très clairement être triste de ne pas les voir. Je dirai qu’aujourd’hui les bénéfices d’avoir 3 enfants sont plus importants que les sacrifices. Mais parce qu’elles grandissent et que l’intensité s’amenuise. Parce qu’aussi je me sens redevenir moi-même au fur et à mesure. Parce que La Matrescence que j’ai vécu intensément depuis 6 ans colle avec celle que je suis aujourd’hui. Je suis à l’aise dans mes baskets. Je suis en phase avec ma vie, que je trouve géniale. Pour résumer, je dirai que la plus grosse difficulté est le sous nombre et l’attention que l’on est capable de donner. Je pense aussi que si vos enfants dorment bien cela change tout. Je réalise aussi qu’avoir 3 enfants petites, c’est accepter que l’on doit ralentir sa carrière un moment. Je le dis en tant que femme, simplement parce que votre corps a enchainé pendant des années et que reprendre tranquillement vous permettra sur le long terme de mieux gérer. Et parce que vous le méritez. Ca ne règle pas les inégalités dans le couple hétérosexuel, c’est sûr. Mais il faut aussi penser à soi, à sa santé physique et mentale. J’ai fait l’erreur de reprendre vite, de croire que c’était gérable de tout faire. De mon point de vue, ça ne l’est pas. A vouloir être partout, c’est notre santé qui trinque et nos enfants qui souffrent de notre nervosité. Je trouve que ça ne vaut pas le coup. Donc faire 3 enfants, c’est dur, c’est un immense travail et bonus à la clé, ça te renvoie à tes blessures d’enfance que tu ne voulais pas affronter, cadeau! Et au final, l’équilibre fini par arriver, il faut être patient et indulgent avec soi-même. Maintenant j’ai la sensation qu’une deuxième partie de ma parentalité s’ouvre pour être plus à l’aise sur ce fil d’équilibriste. Merci de m’avoir écoutée. Pour retrouver les données citées dans l’épisode. Les livres mentionnées par Clémentine : Le syndrome de la femme pressée - l'impact des to-do-lists infernales sur votre santé, Dr. Libby Weaver Fast like a girl, Dr. Mindy Pelz Rejoignez La Matrescence et faites partie des cercles sur Patreon, et suivez les news Instagram & Tiktok.
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 145 de la saison 6 ! En France, selon les derniers chiffres, seuls 4% des pères restent à la maison pour élever leurs enfants, contre 14% chez les mères. Ce chiffre est en baisse depuis plusieurs années. A contrario, les pères ne prennent pas plus de congé prolongé pour rester avec leurs enfants dès la petite enfance. Un déséquilibre qui se ressent dans la société où la charge parentale repose encore trop souvent sur la mère dans un couple hétérosexuel. Le dernier livre de Sophie Adriansen “Qui s’occupe des enfants” raconte ce parti pris inverse au sein de sa famille. Avec son conjoint, ils ont décidé, qu’il resterait à la maison à élever leurs 2 garçons et qu’elle poursuivrait sa carrière dans l’écriture. Une tendance à l’inverse des normes sociétales qui soulèvent beaucoup de questions, notamment financière mais aussi du regard que l’on porte sur soi-même en tant que parents. Sophie raconte sa première DPP non diagnostiquée, elle raconte cette culpabilité qu’elle porte en permanence d’avoir fait ce choix “différent” face à la parentalité pour s’épanouir dans sa vie. J’ai adoré discuter avec Sophie et remettre en perspective toutes ces normes qui nous empêchent de vivre comme on le veut! Je vous souhaite une très bonne écoute. C’était Sophie Adriansen autrice de plus 50 ouvrages et notamment une super BD La remplaçante. Le livre mentionné dans le Podcast : Qui s’occupe des enfants ?
Saison 6 - Épisode 140 - 20/10/2023
Le titre de l’épisode peut paraître brutal et réducteur, mais les statistiques sont là, malheureusement. Selon l’association Nous Toutes, en moyenne chaque année sur la période 2011-2018, 213 000 femmes âgées de 18 à 75 ans ont déclaré avoir été victimes de violences physiques ou sexuelles de la part d’un conjoint (concubin, pacsé, petit ami) ou d’un ex-conjoint. Parmi ces victimes, 29 % sont âgées de 18 à 29 ans. La violence concerne toutes les strates sociales, toutes les origines, toutes les confessions Mais en 2021, les hommes représentent encore 82% des mis en cause par la justice, tous délits et crimes confondus. Dans cet épisode, Mathieu Palain, journaliste et auteur du livre “Nos pères, nos frères, nos amis : dans la tête des hommes violents” raconte son aventure qui dure depuis 4 ans, au sein des groupes de paroles d’hommes condamnés pour violence envers leurs conjointes. Son enquête est passionnante et pointe du doigt la part systémique dans cette violence, le déni des concernés, le cycle de la violence, l’éducation reçue et le rapport de ces hommes avec le sexe féminin de manière générale. Mathieu est passionnant. Il dit tout haut ce que beaucoup de femmes savent. La violence qui émane des hommes n’arrive pas que dans une ruelle dans le noir, mais plus majoritairement au sein des foyers. Quelle pistes pour l’éradiquer, à quoi servent ces groupes de paroles, quelle place pour les pères violents dans ces histoires ? Ce sont les thèmes que l’on aborde. Je vous souhaite une très bonne écoute.
LIEN MEME PAS CAP https://www.memepascap.fr/bilan-competences-mpc?source=MATRESCENCEPODCAST C’est la rentrée et ça fait du bien de vous retrouver et de lancer une nouvelle saison du podcast ! Aujourd’hui débute la 6e saison, je sais qu’elle va vous plaire! Dans l’épisode du jour on va parler déconnexion et pourquoi c’est intéressant en tant que parent. Mi-juillet j’ai blagué en disant à ma sœur que c’était sympa de discuter avec elle, à table, vu qu’elle était sur son téléphone. Elle m’a renvoyé direct bouler, et elle a eu raison, en me disant que c’était plutôt moi qui étais tout le temps dessus… Elle n’avait pas tort… ça faisait plusieurs jours que je me sentais mal, un peu prise dans une spirale où je scrollais indéfiniment sans m’arrêter. Je me suis dit allez, stop! Tu désinstalles et tu verras plus tard quand tu reprendras. Je ne me suis fixée aucune date les premiers temps, je voulais voir la sensation que ça me procurait. Il faut quand même plusieurs jours avant que nos doigts oublient d’aller instinctivement sur le petit carré d’Insta. La détox a été progressive et a entraîné d’autres envies de se déconnecter. Au total je suis restée près de 6 semaines sans avoir accès à aucun réseau social et en coupant tous mes mails. Je précise qu’Instagram est en partie mon travail, donc couper pendant les vacances c’est aussi m’offrir une pause loin de mon travail. Je vous raconte en 5 étapes les effets que ça a eu sur moi et pourquoi j’ai trouvé qu’observer des périodes de déconnexion presque totale est bénéfique pour nous en tant que parents 1.Detox réseaux J’ai donc désinstallé Instagram en juillet. Il faut vraiment le faire pour arriver à ne plus y aller. Sinon la tentation reste malheureusement trop forte et trop présente. Et pourtant je fais partie de celles qui ont instauré une limite de temps pour mon utilisation des réseaux. Temps limité à 2h par jour. Mais 2h c’est toujours trop pour le cerveau. Donc plus de insta, qu’est ce que fait mon cerveau d'addict… il en redemande, parce que la première sensation qui émerge, c'est le manque. Et ça fait mal de le réaliser. Le manque d’un monde virtuel, le manque d’être abreuvé d’infos en tout genre. D’un coup on est privé d’un brouhaha permanent et on se sent perdu. Notre cerveau est malin, il veut sa dose, et pour l’avoir il m’oblige à aller passer beaucoup trop de temps sur Facebook. Parce qu’au final tu te rends compte que ce n’est pas tant l’objet du réseau social le problème mais bien les stratégies employées par ces derniers pour te faire rester le plus longtemps possible sur l’application… Il a donc fallu, au bout d’une semaine, que je me résigne à supprimer également Facebook!! Si on m’avait dit ça un jour, que j’allais être à nouveau addict à Facebook! Une fois ces deux applis supprimées, tu te sens à nouveau perdue… Mais arrive vite la sensation d’apaisement et de sérénité. Ca parait fou de se dire qu’on oublie à quoi peut ressembler une vie sans sur stimulation, sans infos anxiogènes ou sans angoisses liées à un mauvais commentaires, dans mon cas. On réalise assez rapidement que c’est de la folie de suivre la vie d’autant de gens qu’on ne connaît pas, que notre cerveau est en surchauffe de traiter autant d'informations en même temps. Et puis on se dit, mais comment je peux perdre 2h par jour de mon temps sur cette application, qu’est-ce que ça m’apporte ? C’est là que ça devient complexe et nuancé. Parce que pendant ma déconnexion je profite à fond de savourer ma sérénité retrouvée mais je suis aussi capable de reconnaître que les réseaux sociaux m’ont permis d’apprendre à mieux me connaître, à me dé-construire, à fonder une communauté autour de ce podcast, à me sentir moins seule et à m’éduquer sur un grand panel de sujets. Sauf que l’autre versant des réseaux sociaux c’est aussi beaucoup d’anxiété pour ma part. Je n’apprends à personne si je dis que les réseaux sociaux peuvent aggraver l’anxiété et générer beaucoup de frustrations et de culpabilité. Ça peut, en fonction de qui on est, et de l’usage qu’on en fait. Je fais donc partie de la catégorie de personnes pour qui ça peut aggraver mon anxiété. Je vous partage un extrait d’une étude francophone réalisée sur le sujet Si consulter Facebook est le premier geste du matin pour 48 % des 18-34 ans, l’usage des RSN, censés apporter divertissements et satisfaction, semble être l’objet d’un étonnant paradoxe. Plus les gens sont actifs sur Facebook, sans forcément en être « addicts », et plus leur humeur est négative après les usages du RSN (Sagioglou, Greitemeyer, 2014). La genèse de ces affects négatifs est bien liée à Facebook car ils n’apparaissent pas lors d’activités de durée similaire effectuées sur Internet en dehors de ce RSN. Cette constatation n’est pas uniquement liée à Facebook puisque des résultats similaires ont également été remarqués avec Instagram (Lup et al., 2015). Plus grave, une association positive a même été mise en évidence entre l’usage de ce RSN et des symptômes de dépression. Les préadolescents et adolescents semblent particulièrement sensibles. Marie-Pierre Fourquet-Courbet et Didier Courbet Ces études datent d’il y a plusieurs années déjà, avant la pandémie. Depuis 2020, l’utilisation des réseaux sociaux a augmenté chez beaucoup de personnes. Déconnecter devenait donc vital pour retrouver un équilibre durant l’été, j’avais besoin de tester pour mieux me retrouver et vivre loin des likes, des commentaires et des vues. Sortir des réseaux sociaux pendant quelques temps c’est aussi apprendre à nouveau à vivre dans le moment présent, à apprécier ce que l’on a et qui l’on est 2. Présente pour ses enfants La première conséquence visible quand on déconnecte c’est la présence que l’on a pour ses enfants. Pour ma part, je me suis sentie bien plus en lien avec elles en retirant les réseaux sociaux de mon quotidien. Plus aucune distraction liée à mon téléphone et donc toute mon attention dirigée vers mes enfants. C’est super banal ce que je raconte et pourtant on est combien à être facilement distrait parce qu’on regarde notre téléphone et que sans le vouloir on rend nos enfants transparents. Ça a créé moins de tensions pour elles aussi et moins de frustrations pour moi. En psychologie avec les enfants on parle souvent de temps précieux. Le temps précieux c’est généralement se focaliser sur un enfant pendant une période de 20 minutes où on est 100% dispo pour eux. Là, quand tu enlèves la distraction de ton téléphone, tu réussi à créer un plus grand nombre de temps précieux sans t’en rendre compte. Moi je peux me faire aspirer par le contenu de mon téléphone très rapide et vite perdre de longues minutes à scroller et à me détester de faire ça. Là pendant mes vacances, je me suis sentie sereine et en paix de manière plus régulière. Il faut aussi l’avouer, en se sortant des réseaux sociaux, il y a une dimension, surtout pour nous les mères, de relâchement de tension par rapport à ce que font les autres parents et pas nous. On existe dans notre parentalité sans toutes les injonctions qui existent sur les réseaux. Et je le dis avec la lucidité que mon podcast et mon compte ajoutent surement à ce charge éducationnelle. Donc je comprends ce que tout le monde peut ressentir un jour ou l’autre dans sa parentalité 2.0 Moi j’ai personnellement kiffé mon JOMO. Vous connaissez peut-être le FOMO, FEAR OF MISSING OUT, la peur de rater quelque chose, un évènement important, une news extraordinaire, un message…bref la peur de ne pas être au courant. Ben l’inverse de ce sentiment c’est le JOMO. JOY OF MISSING OUT. La joie de rater des choses. Et franchement, ça fait du bien de vivre avec la joie d’être pleine présente et de s’en foutre complètement de ce qui se passe dans le monde virtuel. J’avais vraiment conscience que mon taux d’anxiété était au plus bas cet été et que pour la première fois depuis longtemps je n’ai pas subi mon été. Oui mes filles grandissent donc c’est plus simple mais ne pas aller sur les réseaux sociaux m’a empêché d’être constamment ramené au fait que je ne peux pas encore tout faire avec mes enfants parce qu’elles sont petites et parfois c’est très frustrant. Donc pas d’écran = pas de frustrations. Le 3e point crucial c’est le sommeil 3. Le sommeil Les écrans nous font du mal au cerveau et nuisent à notre sommeil. Je crois qu’on le sait toutes et tous et pourtant on peut passer une soirée entière à scroller de manière irrépressible sans comprendre ce que l’on fait et fermer votre écran en étant énervé contre nous même d’avoir perdu ce temps précieux. Ben là, boom, pas d’écran et un champ de possibilités s’offrent à toi le soir. Genre lire un livre… Ou avoir une conversation avec un autre être humain et tout simplement se coucher plus tôt. Ca faisait très longtemps que je n’avais pas eu une aussi bonne qualité de sommeil. Si on met de côté mes enfants qui se réveillent encore pas mal la nuit, mais ça c’est une autre histoire… Le sommeil est pour le coup vraiment plus serein. On n’est plus pollué par tout le contenu que l’on a vu dans la journée ou soirée. Notre cerveau n’ a a traiter que les informations qu’il a vécu au cours des dernières heures et quel soulagement. On ne va pas se mentir, quand on dort bien on est de meilleurs parents. Pas de miracles. Testez rien que le weekend d’enlever les réseaux sociaux et vous verrez. La dernière partie dont je voulais vous parler c’est qu’en me déconnectant du virtuel j’ai eu encore plus envie de me connecter au réel et donc à la nature. 4. La connexion à la nature J’ai réussi en à peine 2 semaines à motiver 4 de mes amies, à partir en rando bivouac dans les Pyrénées pendant 3 jours…. C’était magique, beau, doux, plein de rires, de sororité, de plongeons dans les lacs froids, de montage et de démontage de tentes… bref c’était l’aventure et ça fait un bien fou. Si vous écoutez cet épisode et que ça vous a toujours trotté dans la tête de le faire, foncez. Je suis partie sans mes enfants mais ce type de rando ça peut se faire avec des kids, faut bien s’organiser. Mais là je parlais surtout de partir avec quelques copines dans un endroit isolés dans des conditions sommaires et de profiter d’elles et de leurs énergies. C’était tellement puissant comme moment. J’ai juste mesuré la chance que j’avais d’avoir des femmes incroyables autour de moi. Toutes n’étaient pas mères et on s’en fout. on était ensemble dans la galère parfois et j’en suis ressortie en étant plus en paix avec moi/. On a toutes regretté de ne pas avoir fait 3 nuits d’ailleurs. Si vous pouvez vous échapper de votre quotidien et prendre le temps d’être vous, faites le. On est tellement vite absorbé par la lourdeur d’être parents qu’on en n’oublie d’être nous. Bon après il a fallu redescendre sur terre et c’était pas évident pour moi. j’ai toujours la nostalgie de ces moments forts, comme quand je partais en colo. Après 6 semaines de diet, j’ai ré-installé les RS. Et boom l’addiction est revenue au galop. Les conséquences, maux de tête direct, mauvaise qualité de sommeil, impossibilité parfois d’arrêter de scroller et cette relation je t’aime moi non plus avec les réseaux. J’adore l’outil pour communiquer et apprendre mais je déteste encore plus après cet été de pause, l’addiction que cela génère. Je vais donc désinstaller à chaque fois que je serai en weekend et que je ne bosserai pas. Pour retrouver ces moments de sérénité avec ma famille. C’était mon partage de la déconnexion au sens large. je vous encourage vraiment à tester, on vit dans un monde qui va trop vite, même si on s’adapte, ça va quand même bien trop rapidement pour arriver à tout traiter correctement. Merci de m’avoir écouté, on reprend les entretiens dès vendredis prochains. Prenez soin de vous. Etude francophone sur l’usage des réseaux sociaux et l’anxiété.
SUMMER BREAKLA MATRESCENCE REPREND LE 8 SEPTEMBRE !Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 122 de la saison 5.Ces derniers temps je me suis retrouvée à faire des découvertes basiques sur la psychologie humaine qui ont éclairées ma vie personnelle mais aussi ma parentalité.Dans ce podcast on avait déjà abordé la sécurité émotionnelle et donc le lien d’attachement mais jamais en profondeur.La théorie de l’attachement est fondamentale lorsqu’il s’agit d’évoquer les relations entre être humain. En tout cas c’est mon avis.Cette théorie mise en lumière par John Bowlby, psychiatre anglais, dès les années 40 après la seconde guerre mondiale, explique l’importance de la figure d’attachement dans le bon développement de l’enfant.Le ou la caregiver, reste le repère sécure pour que l’enfant grandisse de la manière la plus sécure possible.Mais cette relation, qu’est-ce qu’elle veut dire à l’âge adulte? Et si notre attachement n’est pas sécure, il est comment ?Toutes ces questions passionnantes amènent à des réponses qui expliquent en partie certains de nos comportements une fois adulte.Catherine la Psy, c’est son pseudo sur les réseaux sociaux nous livre une master class sur notre style d’attachement et son impact sur notre vie !Pour mieux comprendre cet épisode, je vous invite, si ce n’est pas déjà fait, à écouter l’épisode 116 qui traite des petits et grands Traumas avec Noémi Benhamou.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Catherine La Psy, psychologue et autrice du livre Bienvenue chez le PsyJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 116 de la saison 5Qu’on le veuille ou non, notre vie est jalonnée de traumatismes plus ou moins importants. Rare sont les êtres humains à n’avoir jamais vécu une expérience traumatisante au cours de leur existence.Les traumas avec un T peuvent parfois avoir été enfouis et rejaillir en devenant parents, les traumas avec un petit t peuvent eux, causer des dégâts sur la durée sans que l’on s’en aperçoive.Comme pour une blessure physique, ces bobos du mental peuvent guérir. Pour cela il faut être accompagné par des professionnels. Et certaines techniques en psychologie peuvent permettre de reprogrammer le cerveau pour arriver à vivre avec de manière sereine. C’est le cas avec l’EMDR, eye movement desensitization and reprocessing.Noemie Benhamou est psychologue spécialiste de la perinatalité et formée en EMDR.Dans cet épisode elle détaille l’éfficacité de l’EMDR pour les enfants, les femmes en postpartum qui ont vécu un traumatisme à l’accouchement par exemple.Nous parlons de violences sexuelles dans cette conversation, si le sujet est trop sensible ou douloureux n’hésitez pas à en parler à votre médecin.Noémi explique le déroulé d’une séance et l’impact sur le cerveau. Vous comprendrez la dissociation, le syndrome post traumatique mais aussi la fenêtre de tolérance.Je vous souhaite une très bonne écoute C’était Noémie Benhamou, psychologue spécialiste en périnatalité et EMDRJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles, vous abonnez sur votre plateforme d’écoutes ou à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà + de 115 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 102 de la saison 4Cet épisode, vous me le demandez depuis longtemps ! Un épisode pour aborder la question du genre dans l’éducation.C’est un sacré morceau auquel Manuela Spinelli, chercheuse et cofondatrice de l’association Parents et Féministes, s’est attaquée.Manuela est professeure à l’Université de Rennes 2 et elle a co-écrit avec Amandine Hancewicz : Eduquer sans préjugés “pour une éducation non sexiste des filles et des garçons” paru aux éditions Latès.Le genre est un concept qui se démocratise de plus en plus. En 2021, il devient difficile de nier que cette donnée a un impact sur la façon dont on mène notre vie.Mais quand on devient parents, tout un tas de questionnements viennent se bousculer dans nos têtes.Déjà est-ce vraiment possible d’élever des enfants, en 2021, sans préjugés de genre ?Ensuite, qu’est-ce que les études nous disent sur la façon dont nos enfants perçoivent le féminin et le masculin ? Comment faire pour éduquer des garçons à prendre conscience de leur privilège et à être des alliés dès la petite enfance?Voilà entre autres les thèmes que cet épisode aborde. Mais on y évoque aussi, les jouets, les habits et l’impact que nous en tant que parents avons sur nos enfants face au monde extérieur!Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Manuela Spinelli, chercheuse en genre et autrice. Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescence Vous pouvez aider financièrement ce podcast à se développer en participant sur Patreon, en échange de contreparties.Prenez soin de vous à la semaine prochaine
Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans la Matrescence. Vous écoutez l’épisode 113 de la saison 5Le développement de l’enfant continue de me fasciner, même 5 ans après l’arrivée de ma première fille.Plus j’avance dans mon expérience de mère, plus je me rends compte que comprendre mes enfants, c’est aussi et surtout me comprendre moi, en tant que parents.C’est exactement pour cette raison que Cindy Hovington, neuroscientifique canadienne a créé, Curious Neuron.Via sa plateforme et ses réseaux sociaux, Cindy, mère de 3 enfants transmet les dernières découvertes scientifiques, applicables à la parentalité, à des milliers de parents.Dans cet entretien, Cindy explore un pan peu discuté de l’éducation, les parents. Et oui, pour que nos enfants arrivent à développer,dans les meilleures conditions, leur cerveau  socio-émotionnel, c’est à nous parents, à apprendre à gérer nos émotions dans un premier temps.Pendant cette discussion, Cindy vous transmettra de nombreuses tips pour arriver à aider nos enfants à étendre leurs capacités d’auto-régulation.Ici vous apprendrez les termes de modèle tripartite, de ER et de processus interpersonnel.Cindy rappelle aussi, que c’est à travers les jeux, que nos enfants arrivent le mieux à comprendre les règles que contient notre monde !Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Cindy Hovington, neuroscientifique, créatrice de Curious NeuronJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles ou le partager sur les réseaux sociaux @ lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà plus de 110 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
SUMMER BREAK - LA FRATERIEBienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 84 de la saison 3.Devenir parents d’un enfant c’est un chamboulement pour la vie.Alors quand on prend la décision d’amener un autre être humain dans la famille, on fait face à des problématiques pas toujours simples à résoudre.Héloïse Junier est psychologue clinicienne, spécialiste de la petite enfance. Vous l’avez déjà entendu dans l’épisode 27 mais aussi dans 2 hors série. J’ai donc demandé à Héloïse qui vient de sortir une bd “Ma vie de bébé” aux éditions Dunod, de nous éclairer sur les fratries.Dans cet épisode on évoque l’annonce d’un nouvel enfant à l'aîné, les enjeux que cela provoque chez les tout-petits, l’écart d’âge idéal mais aussi les différents visages que peut prendre l’insécurité que ressent un enfant qui devient l’ainé.Héloïse vous donne des pistes pour les résolutions de conflits entre frères et sœurs.Elle vous guide sur cette corde périlleuse, de la gestion de conflits. Alors comment gérer les frustrations et la violence qui peuvent apparaître quand le besoin de sécurité émotionnelle n’est pas satisfait? Faut-il privilégier le tout petit sur le plus grand ? Quelles sont les astuces? Héloïse vous explique tout. On a aussi parlé du deuil au sein d’une fratrie. Quand un enfant perd son frère ou sa sœur, à quoi faut-il porter attention?Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Héloïse Junier, psychologue clinicienne et autrice de plusieurs ouvrages aux éditions Dunod.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt psiittRDV lundi pour le lancement de ma page Patreon...A la semaine prochainePrenez soin de vous 
Bonjour à toutes et à tous.Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 134 de la saison 5.Devenir parent solo par choix ou par défaut revêt une réalité souvent tue.Pourtant près de 2 millions de familles monoparentales composent le paysage français en 2023.Il y a un vrai changement dans la façon de faire famille aujourd’hui.Shane Love est la fondatrice du podcast le Tourbillon. Il y a quelques mois elle a créé un autre podcast, appelé Hello Solos.Un podcast qui met en avant les histoires de ces parents qui naviguent, seuls, à travers la parentalité.Shane vient aussi de sortir un livre dédié aux mères célibataires. Un ouvrage très pratique et passionnant qui retrace l’histoire des mères célibataires, malmenées depuis la nuit des temps. Il faut savoir que dans 84% des cas les enfants résident (ou résident principalement) avec leur mère. Shane se bat pour une meilleure reconnaissance des mères qui subissent de plein fouet la vie seule avec des enfants. Elle a d’ailleurs récemment rencontré des députés pour porter haut son message.Dans cet épisode, Shane, raconte son parcours perso de maman solo depuis la naissance, des forces mais aussi des difficultés qu’elle rencontre.Je vous souhaite une très bonne écouteJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !
Bonjour à toutes et à tous.Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 133 de la saison 5.L’été arrive, avec à l’horizon la rentrée en maternelle pour un de vos enfants… et là, le stress de la fin des couches.Pas de panique, Rokiyah qui est psychomotricienne et spécialiste de l’hygiène naturelle infantile, autrice du livre "se passer des couches dès la naissance", vous explique tranquillement les étapes pour accompagner votre enfant.Acquérir la propreté, ne plus porter de couches ne s’apprend pas en un week-end. (malheureusement)Il y a quelques étapes à respecter et surtout une communication à établir autour du sujet.Nos enfants ont leur propre rythme, à nous de respecter et de repérer les fenêtres pendant lesquelles ils sont disposés à s’y intéresser.Dans cet épisode, on axe beaucoup sur cette étape majeur de la continence, mais Rokiyah vous explique aussi, toute la physiologie qui concerne leur développement, on aborde également les petits accidents de nuits, aka l’énurésie.C’est une conversation avec plein de petits tips très pratique.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Rokiyah Hosen, psychomotricienne autrice du livre L’hygiène naturelle Infantile.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlatSi vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !
Code promo de 10% : MATRESCENCE valable jusqu'au 25 juillet minuithttps://shop.emma.fr/nJMvyHzo9pBonjour à toutes et à tous,Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 132 de la saison 5.On voit rarement, juste, en ce qui concerne l’histoire des personnes que l’on rencontre, ou en tout cas, on s’en fait une idée qui peut être à l’opposé de ce qu’ils ont vécu.C’est exactement ce qu’il s’est passé pour moi quand j’ai commencé à travailler avec Roger.Roger est un coach d’entrepreneur. Il les aide à développer leur business.Il a une approche que j’apprécie vraiment parce qu’il n’a pas une méthode toute faite pour tout le monde, il fait du sur mesure en fonction des besoins de chacun et chacune. Son accompagnement est vraiment tourné vers le positif pour tirer le meilleur de chacun et chacune.Au vue de sa capacité d’écoute, de remise en question et sa gentillesse, je n’aurais jamais pu penser qu’il avait vécu une enfance aussi violente.Dans cet épisode, il raconte la réalité d’un début de vie empreint de coups et d’humiliations.Il raconte comment, avec ses frères, ils ont puisé dans une résilience profonde pour ne jamais reproduire ce que ses parents leur ont infligé.En se livrant, Roger brise le silence sur les conséquences d’un début de vie vécu dans un environnement difficile.C’est assez rare que les hommes parlent publiquement des violences subies pour aider d’autres à s’en sortir et surtout à ne pas se laisser piéger dans la répétition.Aujourd’hui Roger est papa de 2 enfants. C’est en commençant sa formation de coaching, qu’il a pris le temps d’explorer pendant un an les conséquences de cette éducation dans sa vie. D’avoir eu un espace pour parler à cœur ouvert de cette violence a été salvateur et lui a permis d’envisager la paternité avec plus de tranquillité.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Roger Ormières, coach pour entrepreneur.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlatSi vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !
POUR UN BILAN DE COMPETENCEhttps://www.memepascap.fr/bilan-competences-mpc?source=MATRESCENCEPODCASTBonjour à toutes et à tous Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 131 de la saison 5Nous sommes beaucoup de parents à nous intéresser aux relations sociales de nos enfants.Lorsque notre enfant est bien intégré dans la cour de récré ou au sein de la crèche, nos inquiétudes s’envolent, mais que se passe t-il quand notre enfant rapporte des problématiques d'exclusion, d’isolement, de moqueries et donc de grandes souffrances ?Emmanuelle Piquet est psychopraticienne, autrice, conférencière et spécialiste du harcèlement scolaire. Depuis plus de 20 ans elle s’intéresse aux mécanismes du harcèlement en accompagnant des enfants de tous horizons pour les aider à gérer cette situation douloureuse.A travers sa formation de l’école Palo Alto, dont elle explique les fondements dans l’épisode, Emmanuelle, avec son humour franc, raconte comment les enfants ont toutes les ressources en eux pour changer de posture face à leurs harceleurs.Elle nous explique aussi, comment nous, en tant que parents, pouvons avoir une incidence néfaste, malgré nos bonnes intentions, en voulant intervenir sans outiller nos enfants pour leur apprendre à se défendre. Dans son dernier livre Votre enfant face aux autres, aux éditions Les Arènes, Emmanuelle vous donne des cas très concrets pour accompagner au mieux votre enfant dans sa vie sociale quelqu’elle soit.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Emmanuelle Piquet, psychopraticienne et autrice du livre Votre enfant face aux autres.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !
https://www.memepascap.fr/bilan-competences-mpc?source=MATRESCENCEPODCASTBienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 130 de la saison 5.Aujourd’hui j’aimerais vous parler de réussir à mettre des limites dans sa propre vie et comment cela change vos interactions avec le monde.Peut-être que pour vous c’est hyper facile de le faire, mais pour moi qui ai une tendance à vouloir que les gens m’aiment quoiqu’il arrive, décider de dire non dans ma vie privée ou de décevoir les gens, reste extrêmement difficile, parce que ça veut dire rompre le lien.Pendant toute mon introspection de ces derniers mois, j’ai pris conscience de cette tendance que j’avais : ne pas savoir me protéger pour protéger mes relations.C’est ma psy qui me l’a expliqué, en premier, au début de ma thérapie, que quand le bien-être de mes enfants était en jeu, je savais tout de suite mettre des limites et les protéger, ma fenêtre de tolérance pour elles est petite et tant mieux. Pour moi, avoir cette attitude avec mes enfants est naturel et je n’y ai jamais réfléchi plus que ça, je me fais confiance et j’écoute mon ressenti.Mais quand ça me concerne moi, je ne sais plus écouter mon intuition. Ma psy m’a expliqué qu'elle avait rarement vu quelqu’un capable d’encaisser autant. J’étais totalement inconsciente de ce phénomène, puisque pour moi, c’était ma normalité.Au fil des mes lectures, j’ai découvert le concept de “boundaries” en anglais qu’on traduit par limites. Chaque fois que je lisais un livre qui permettait de m’aider à me comprendre, un chapitre entier y était consacré.Je ne sais pas pourquoi le mot limite en français me gêne mais je préfère parler de barrière de protection. Parce que c’est exactement le concept. Savoir dire non pour protéger son bien-être, savoir refuser une opportunité pour prioriser sa santé mentale, savoir se libérer d’une relation toxique pour revenir à une stabilité dans sa vie.Parce que l’enjeu principal derrière ce concept, c’est avoir assez de force et de sérénité, pour considérer qu’on est la personne la plus importante de sa vie…Si on veut une définition plus académique des limites psychologiques c’est ça : La barrière de protection peut être définie comme les limites que nous fixons avec d'autres personnes, qui indiquent ce que nous trouvons acceptable et inacceptable dans leur comportement envers nous.Et si t’es comme moi, avec un attachement plutôt anxieux ou préoccupé (si tu veux comprendre ce que c’est tu peux écouter l’épisode 122) et que t’as été élevé dans un climat d’hypervigilance, ben penser que t’es la personne la plus importante, c’est un concept assez flou.Bien-sûr que je comprends la célèbre métaphore de mettre le masque à oxygène sur soi avant de s’occuper de quelqu’un d’autre sinon on meurt. C’est clair comme de l’eau de roche, mais là, on parle d’une situation extrême. Alors comment ça se passe dans la vie de tous les jours ? Comment on arrive à inverser cette tendance de “people pleasing” pour enfin exprimer qui on est réellement, sans paniquer à l’idée de décevoir ou de faire du mal ?Ces 2 questions je me les pose tous les jours. Et je pense que c’est le travail d’une vie. Pour certains et certaines, poser des limites c’est un jeu d’enfants, parfois c’est même trop et on n’arrive plus à laisser les gens entrer dans notre intimité, pour d’autres c’est impossible tellement on leur a enseigné que l’amour s’obtient en se sacrifiant.Et je voudrais revenir sur ce dernier concept qu’on peut mettre en lumière dans une société patriarcale.On est beaucoup de femmes à se retrouver dans ce cliché du sacrifice pour obtenir de la reconnaissance : parce que le care dans notre société est quasiment entièrement assuré par des femmes. Parce qu’au moment de devenir parents, ce sont les femmes qui se retrouvent dans la posture de caregiver sans réel soutien. Amen pour les 25 jours de congé paternité adoptés en 2021… mais on sait toutes et tous que c’est bien insuffisant pour rééquilibrer la balance.Et parce que pour nous femmes aujourd’hui, le message envoyé par la société depuis notre enfance reste : ne prends pas trop de place, ne parle pas trop fort et sois une gentille petite fille, on appelle ça le syndrome de la “good girl” en anglais.Le résultat ? On est conditionnées à vouloir plaire à tout prix, pas que physiquement, c’est encore un autre sujet, mais plaire dans le sens de correspondre aux stéréotypes de genre quitte à se sacrifier. Ne pas parler trop fort, ne pas être en colère, faire plaisir, s’occuper des autres et du foyer.Si je devais donner un exemple très concret sur ce thème, ça pourrait se résumer à la visite chez le coiffeur. Qui ne s’est jamais retrouvé à sortir de chez son coiffeur, dépitée mais sans avoir osé dire que l’on n’aimait pas ? Moi, ça m’est arrivé plusieurs fois par le passé parce que j’avais peur de dire ce que je pensais sincèrement et d’être claire avec mes envies.J’ai un autre exemple qui vient de ma personnalité.Peut-être que vous êtes comme moi, mais personnellement quand j’ai peur de la réaction de quelqu’un en face, au lieu de dire la vérité pleinement, je vais la modifier. Par exemple, si je sais qu’une tâche dans le travail va me prendre beaucoup de temps et que la personne en face a besoin que ce soit fait vite, au lieu d’être claire et de dire, c’est comme, c’est à prendre ou à laisser, je vais volontairement diminuer le temps réel pour faire plaisir à la personne en face. Ca s’appelle du sabotage et du sabotage dans toute sa splendeur, parce que je le sais au fond, que le résultat va frustrer la personne en face, mais sur le moment, je me sens soulagée de voir que la personne va accepter mon deal parce que j’ai voulu lui faire plaisir. Avec du recul je comprends que je me suis construite avec l’idée inconsciente qu’il faut que je fasse plaisir pour que mon niveau d’anxiété baisse, temporairement…Toutes ces injonctions reçues de manière inconsciente depuis l’enfance nous apprennent à nier nos ressentis et à ne plus savoir dire: ça j’accepte et ça ce n’est pas possible. Évidemment il y a beaucoup d’autres paramètres qui rentrent en compte et numéro 1 la façon dont on a été élevés, mais nier que l’on est très grandement affecté par les stéréotypes de genre qui jalonnent notre vie depuis l’enfance, c’est nier une partie du problème. D’ailleurs je vous invite à écouter l’épisode 102 avec Manuela Spinelli chercheuse qui parle des clichés de genre et des ses conséquences chez les enfants.Tout ça pour dire que se remettre au centre de sa vie peut être très difficile, tant on ne nous a jamais expliqué comment le faire et implicitement on n’a jamais reçu l’autorisation de le faire.Donc moi, dans cet épisode, je vous dis : c’est vital, primordial et NORMAL de vous remettre au centre de votre vie, surtout si vous avez des enfants et que comme beaucoup d’entre nous, vous vous êtes oubliées un temps.Créer sa barrière de protection c’est avant tout considérer qu’on en vaut la peine. C’est se dire que nos besoins sont aussi importants que ceux des autres au sein de notre famille.Pour les personnes comme moi qui acceptent beaucoup et ont du mal à poser des limites pour leur propre personne, la première chose à faire c’est de comprendre que les adultes autour de nous sont responsables de leurs propres émotions. Ce n’est pas parce que vous agissez de telle ou telle manière, que vous serez responsable de ce qu’il va se passer chez eux. Ça a été une découverte chez moi.Je vous le répète donc, au cas où : vous n'êtes pas responsables des émotions des adultes autour de vous, leur déception potentielle, leur colère, leur tristesse, ne vous appartiennent pas. Les adultes sont des êtres humains capables de gérer leurs émotions.Tout ceci va de pair avec le syndrome du sauveur ou de la sauveuse dont je suis la digne représentante. Et d’ailleurs ça ne doit pas être anodin si j’ai créé ce podcast pour aider les autres… On ne se refait pas.Ce syndrome de la sauveuse ou du sauveur pourrie vos relations personnelles parce que vous vous sentez en mission de devoir sauver les autres au lieu de vous occuper de vous et de comprendre ce qui est ok ou non.Avant je ressentais énormément de colère vis à vis de plein d’évènements et notamment sur la condition de la femme dans ce monde, ça me révolte toujours, mais j’ai appris que ma colère dit quelque chose de moi.Quand on est en colère, soit on cache une autre émotion, par exemple la tristesse, soit notre barrière de protection n'a pas été respectée et ça vient mettre en jeu notre sécurité émotionnelle et affective.Je me suis surtout rendue compte que ma colère, ressentie dans ma vie quotidienne, venait du fait que je n’avais pas créé de barrière de protection claire et précise et que j’en voulais aux autres de venir la franchir.Sauf que la seule personne responsable de ma colère, dans ce cas précis, c’était moi.A partir du moment où j’ai pris conscience de ça, je me suis libérée de beaucoup de frustration.Dire non, dire je n’accepte pas, peut faire extrêmement peur. Peur parce que l’enjeu c’est de perdre le lien. En apprenant à créer des limites, naturellement certaines personnes de notre vie ne vont pas aimer et se sentir rejetées.Le plus difficile une fois qu’on a su faire le tri dans les actions non négociables, c’est de tenir notre barrière de protection.Quand on n’a pas l’habitude de le faire, quand on est terrifié à l’idée de dire non, on va plutôt repartir dans nos habitudes et abandonner à nouveau nos propres limites et besoins pour soulager de manière temporaire notre stress.Apprendre à dire non et refuser tel ou tel comportement, reste une vraie compétence qui doit être répétée et mise à l’épreuve du temps.On a aussi, souvent, tendance à dire non et expliquer par A+B notre point de vue pour justifier notre refus. Parfois ce n’est pas nécessaire d'expliquer, de justifier, ça révèle plutôt notre besoin, encore une fois, de nous défendre pour nous soulager.Tout ce travail que j’apprends au quotidien a eu un impact dans mes relations. Je n’arrive pas toujours à le faire, mais je me sens plus moi-même. Quand je dis non je ne culpabilise plus. Je sais que je le fais pour mon bien-être. Il m’est arrivé de raccrocher en expliquant que je n’étais pas d’accord et que je ne continuerai pas la conversation parce que ça ne me convenait pas. Avant je me serais tue ou j’aurais donné beaucoup trop d'explications à pourquoi je raccroche.Pourquoi je parle de tout ça dans la parentalité, parce que je me suis rendue compte que mes filles regardent comment j'interagis avec le monde, avec les autres adultes. Et je me suis fait la promesse de leur montrer qu’on a le droit de se choisir, qu’on a le droit de dire non et d’être en phase avec cette décision.J’ai réalisé qu’avoir 3 filles me donnaient une grande responsabilité en tant que parent, pour ne pas qu’elles se sentent responsables de mes émotions ou d’un autre adulte de leur entourage.Merci de m’avoir écoutée, encore une fois, si vous êtes perdue, n’hésitez pas à consulter un ou une professionnelle de santé.Cet épisode parle de moi, dans mon contexte de vie. Je sais pertinemment que tout le monde ne peut pas se retrouver dans mon expérience, qu’il y a beaucoup de paramètres de vie, parfois dire oui c’est aussi une question de survie physique parce qu’on peut se mettre en danger sinon.Ce sont donc des notions compliquées, mais si il faut retenir une chose, se choisir, ça reste le plus important.A la semaine prochaine.Prenez soin de vous !
Avant de devenir parents, on ne réfléchit peut-être pas assez à l’impact de l’arrivée d’un enfant pour la vie d’un couple. Devenir parents implique, au final, d’avoir une envie commune pour l’avenir de nos enfants, mais aussi un projet commun pour nous, en tant que couple parental.Que se passe-t-il lorsque le couple parental se dissout ? Comment trouver un nouvel équilibre ? Par quoi cela passe ? Qu’est-ce qui est le plus important pour préserver les enfants ?Noémie Khenkine-Sonigo est ancienne avocate en droit des familles. Elle a fondé récemment une application qui s’appelle TeamParents pour aider les familles, quelle que soit leur configuration, à traverser les aléas des épreuves de la vie.TeamParents intervient pour donner des conseils de parentalité et orienter de manière précise en matière de droit, les parents séparés.Ici on parle équipe parentale, outils de communications, exercice à faire ensemble, la meilleure solution quand il y a un conflit exacerbé.L’épisode est très concret et peut s’écouter même si vous n'êtes pas séparés, puisque l’objectif de Noémie est de redonner du pouvoir aux équipes parentales!Je vous souhaite une très bonne écoute.Voici les livres mentionnés dans cet épisode :Moms Moving On.Putting Children First.Rester parent après la séparation.Pour compléter cette écoute, vous pouvez redécouvrir l'épisode 98 – Rester parents après une séparation – Sabrina De Dinechin, médiatrice familiale & autrice.
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 128 de la saison 5.C’est un sujet qui peut s’inviter sur la table de toutes les configurations familiales, accueillir un ou une Au Pair.Concrètement, il vous faut quoi pour héberger chez vous un ou une AuPair ?Selon le pays de provenance, vous devrez donner entre 80 et 120 euros d’argent de poche à l’AuPair par semaine, avec 2 jours de repos. Cette personne qui vient vivre chez vous ne devra pas dépasser un quota d'horaires que vous définirez ensemble et que vous devrez déclarer légalement.Les pré-requis? Qu’elle ait une chambre pour elle avec son espace privé mais elle peut en revanche partager la salle de bains et les toilettes avec les enfants.Ca, c’est pour l’aspect technique/pratique.Mais pourquoi s’aventurer à héberger une personne étrangère, chez soi ?Qu’est-ce que peut apporter l’AuPair dans votre quotidien parce que cela reste un investissement qui n’est pas forcément donné à tout le monde.Alison Cavaillé, est la fondatrice de la marque de vêtements d’allaitement, Tajinebanane, elle a été une de mes premières invitées, si ça vous intéresse, c’est l’épisode numéro 6.Depuis 3 ans maintenant, Alison et Rafa, accueillent chez eux une AuPair. Lucy, qui est américaine est leur 5e au Pair.Dans cet épisode, Alison vous embarque dans les coulisses d’une vie avec une AuPair, elle vous raconte son rapport à l’AuPair, pourquoi ils ont choisi cette configuration plutôt qu’une nounou, comment s’offrir les services d’une AuPair lui permet d’être une meilleure cheffe d’entreprise, de se reconnecter avec son futur mari ou d’avoir un vrai temps de qualité avec ses enfants.A la fin de cet épisode, j’ai interviewé Lucie, qui vit chez Alison et Rafa en ce moment. Cela dure 5 minutes et c’est en anglais, mais c’est très enrichissant d’avoir son retour.Après cette écoute, je vous garantis que vous saurez si vous êtes fait ou non pour l’aventure AuPair.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Alison Cavaillé, fondatrice de la marque TajineBanane qui a accueilli plusieurs jeunes filles au Pair.Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.fr.A la semaine prochainePrenez soin de vous !=> Le site recommandé pour trouver un jeune au pair - Code promo : cloudiies5 (5€ sur l'inscription Premium Compact)
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 127 de la saison 5.L’inceste reste un fléau qui détruit beaucoup de vies mais aussi de familles.Ces dernières années une lumière a été faite sur les violences sexuelles au sein de la cellule familiale avec des chiffres terrifiants : selon la Civise dirigée par le juge Edouard Durant il y aurait entre 5 et 6,5 millions de français et françaises victimes d’inceste. Ce qui équivaut à 1 personne sur 10.On avance parfois le chiffre d’un enfant sur 5…Ce mal qui ronge de l’intérieur toute victime qui y est exposée, reste une déflagration à plusieurs niveaux.Hélène Romano est psychologue spécialiste du trauma et de l’inceste. Elle a co-écrit : Inceste, quand les mères se taisent avec Karine Dusfour. Ensemble, elles se sont intéressées à ce mécanisme complexe qui ajoute au premier traumatisme. Le silence et le déni de la figure d’attachement reste parfois la plus grande violence pour les victimes.Dans cet épisode nécessaire qui met en lumière ces mères qui ne savent pas protéger, ces mères qui n’ont pas réussi à devenir maman, Hélène Romano explique avec beaucoup de clarté et d’intensité la difficulté pour les victimes à se relever et à comprendre un monde dans lequel le repère censé être sécurisant ne les a pas protégés.Nous parlons des mères ici parce que + de 90% des agressions sont commises par des hommes.  Cet épisode peut évidemment être difficile, parce qu’il remue et nomme des horreurs que notre société refuse de voir. Prenez votre temps pour l’écouter.Peut-être, envoyez-le, à quelqu'un qui aurait besoin de l’écouter.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Hélène Romano, psychologue et autrice du livre Inceste, quand les mères se taisentJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !
POUR DECOUVRIR MEME PAS CAP ET FAIRE LE POINT SUR VOTRE VIE PRO https://www.memepascap.fr/bilan-competences-mpc?source=MATRESCENCEPODCASTBienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 126 de la saison 5Lucie est une de mes meilleures amies. On s’est rencontrées il y a quasiment 20 ans quand on vivait aux USA pendant notre année d’échange. Véridique, c’est via Skyblog qu’on a fait connaissance et depuis nos vies se sont toujours croisées.Elle est venue vivre à Bordeaux il y a quelques années avec son amoureux Guillaume et ensemble ils ont eu Ezékiel, né à la maison, grâce au suivi de ma sage femme Isabelle.Après l’arrivée de leur fils, ils décident de répondre à l’appel de l’océan et déménagent vers La Rochelle.L’été dernier Lucie tombe enceinte pour la 2e fois. Mais cette grossesse n’a rien du chemin paisible qu’elle a vécu avec son fils…Dès le début Lucie comprend qu’il se passe quelque chose d’anormal. Mais elle s’accroche à l’espoir que sa fille va s’en sortir.Le 25 janvier 2023, Lucie accouche de sa petite Tennessee, sans vie, atteinte du Syndrome de Di Georges et d’une malformation cardiaque.C’est un choix qu’ils ont fait ensemble avec Guillaume, le choix le plus difficile de leur vie, l'Interruption médicale de grossesse. Nous sommes 3 mois après le décès de sa fille et Lucie avec beaucoup de lucidité et d’émotions raconte son parcours depuis. C’est l’histoire de Tennessee mais aussi de la résilience incroyable de sa maman, de la beauté de l’existence même de Tennessee.Cet épisode met en lumière la force salv atrice des groupes de paroles menés par Sophie qui a créé @aurevoir.podcast Merci ma Lucie pour ta confiance, merci d’avoir accepté de parler.A tous les parents endeuillés, cet épisode intervient 4 ans après la création du podcast, parce qu’avant ça je n’étais pas capable d’accueillir ces émotions. Je vous prie de m’excuser si cela vous a affecté.Je pense fort à vous toutes et tous, vous êtes incroyables.Merci ma Lucie, cet épisode est pour Tennessee et Ez, tes enfants à jamais. C’était Lucie Veltz, maman de 2 enfants, Ez et Tennessee.   
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 125 de la saison 5Aujourd’hui je vais vous parler de ma relation avec le reparentage.Ce que j’ai mis en place, chez moi, pour continuer mon travail thérapeutique. Pour rappel, ceci est mon expérience, mon parcours de vie, il n’y aucune injonction ici, à vous de trouver votre propre chemin si cela vous intéresse. Le reparentage, c’est quoi ? Ça vient du mot anglais : reparenting.On classe le reparentage en psychologie dans la thérapie des schémas.  Le reparentage peut se définir de deux manières : la première est celle que l’on pratique en thérapie. Elle se déroule sous la surveillance d’un ou d’une professionnelle formée qui va vous accompagner pour vous permettre de vous retrouver à l’état conscient de votre moi enfant.Avec le ou la psychologue, vous vous replongez dans une situation particulière pour vous aider à libérer votre moi enfant des traumas de son passé. Ce travail démarré en thérapie permet ensuite de pouvoir continuer chez soi sur le même thème, d’où la 2e définition. On parle d’ailleurs de reparentage dans l’épisode 122 avec Catherine La Psy.La deuxième manière de définir le reparentage s’appelle le self-reparenting et elle a été identifiée par Muriel James en 1974.https://journals.sagepub.com/doi/10.1177/036215377400400307J’ai personnellement creusé le self reparenting, grâce au livre du Dr Lepera, “How to do the work” ou Guéris de tes blessures en français.Elle explique que le reparentage est le fait de nous donner ce que nous n’avons pas pu recevoir en tant qu’enfant. Il faut imaginer que vous avez plusieurs parties à l’intérieur de vous-même, dont, une adulte, celle qui prend vos décisions raisonnées, celle qui sait vous protéger, et une autre, enfant. Le travail du reparentage, c’est d’être l’adulte dont vous auriez eu besoin petit ou petite. L’adulte qui est capable d’être votre ancrage et d’assurer votre sécurité.Pour comprendre ce qu’elle décrit il faut avoir conscience que nos comportements d’aujourd’hui sont pour la plupart du temps conditionnés (inconsciemment) par nos expériences passées et notre éducation.Sauf si l’on fait un travail actif pour réellement briser nos schémas générationnels, hérités de nos familles et de nos parents qui ont fait du mieux qu’ils ont pu avec leur propres traumas à gérer.Ici il n’est pas question d’accuser ou de pointer du doigt le comportement toxique ou non de nos parents, leur immaturité émotionnelle probable ou non d’ailleurs. Le reparentage permet justement de reprendre le pouvoir sur notre enfance/adolescence et sur ce qui nous garde prisonniers de notre passé. Le reparentage que l’on peut donc pratiquer chez soi, tourne autour de 4 piliers :La Discipline, le Self-care, La Joie et le travail de Régulation Émotionnelle. 
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 124 de la saison 5Cédric Rostein a créé le podcast Papatriarcat en 2020 afin de porter des sujets autour de la parentalité en tant que père, mais aussi pour déconstruire les stéréotypes de genre et défendre une vision de l’éducation non violente.Pour Cédric, qui a longtemps été manager dans un grand groupe français, les questions d'éducation se répercutent ensuite dans le monde de l’entreprise. A l’époque il était déjà dans une démarche de comprendre pourquoi tels ou tels comportements sexistes pouvaient prendre place au travail.Alors quand il est devenu papa d’une petite fille il y a 4 ans, Cédric s’est plongé encore plus dans toutes ces questions avec l’envie d’être un porte voix pour donner d’autres visions de la paternité, détachées du patriarcat habituel.De toutes ces réflexions est né aussi un livre : Tu vas être papa avec Blachette pour parler directement aux pères.Cédric nous raconte son cheminement personnel, les obstacles, les questions auxquel il a fait face pour devenir un père le plus à l’écoute possible et surtout un père qui ne perpétue pas la culture sexiste et violente de notre société.Si vous avez des hommes dans votre entourage, c'est un épisode à leur mettre dans les oreilles.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Cédric Rostein, podcasteur et auteur du livre Tu vas être papaJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !
Bienvenue dans la matrescence, vous écoutez l’épisode 123 de la saison 5Aujourd’hui on va parler microbiote et donc de caca… Un petit sujet tabou qui va vous fasciner et qui est primordial pour une vie optimale.De plus en plus, les recherches en médecine font le lien entre notre alimentation, les maladies auto-immunes, notre état de santé général et notre santé mentale.D’ailleurs au 21e siècle, on n’a rien inventé, puisque Hippocrate disait déjà : “Que ton alimentation soit ta première médecine”Dr Julien Scanzi a écrit un livre : “Incroyable Microbiote, voyage au cœur des pouvoirs étonnants de l’intestin” pour démocratiser le savoir autour de nos intestins, notre deuxième cerveau.Dans cet épisode, on s'intéresse à nos microbes, aux conditions de la naissance, aux effets des antibiotiques, à l’allaitement, aux prébiotiques et aux probiotiques, pour vous donner les outils nécessaires à la compréhension du bon fonctionnement de votre corps.C’est passionnant !!!C’était Dr Julien Scanzi, gastro-entérologue et auteur du livre Incroyable MicrobioteJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Pour soutenir le podcast, rendez-vous sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlat Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 122 de la saison 5.Ces derniers temps je me suis retrouvée à faire des découvertes basiques sur la psychologie humaine qui ont éclairées ma vie personnelle mais aussi ma parentalité.Dans ce podcast on avait déjà abordé la sécurité émotionnelle et donc le lien d’attachement mais jamais en profondeur.La théorie de l’attachement est fondamentale lorsqu’il s’agit d’évoquer les relations entre être humain. En tout cas c’est mon avis.Cette théorie mise en lumière par John Bowlby, psychiatre anglais, dès les années 40 après la seconde guerre mondiale, explique l’importance de la figure d’attachement dans le bon développement de l’enfant. Le ou la caregiver, reste le repère sécure pour que l’enfant grandisse de la manière la plus sécure possible.Mais cette relation, qu’est-ce qu’elle veut dire à l’âge adulte? Et si notre attachement n’est pas sécure, il est comment ?Toutes ces questions passionnantes amènent à des réponses qui expliquent en partie certains de nos comportements une fois adulte.Catherine la Psy, c’est son pseudo sur les réseaux sociaux nous livre une master class sur notre style d’attachement et son impact sur notre vie !Pour mieux comprendre cet épisode, je vous invite, si ce n’est pas déjà fait, à écouter l’épisode 116 qui traite des petits et grands Traumas avec Noémi Benhamou.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Catherine La Psy, psychologue et autrice du livre Bienvenue chez le PsyJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.frA la semaine prochainePrenez soin de vous !Livre de Catherine La Psy
POUR DECOUVRIR MEME PAS CAP ET TROUVER VOTRE VOIE PRO :https://www.memepascap.fr/bilan-competences-mpc?source=MATRESCENCEPODCASTBienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 121 de la saison 5Et si on changeait de regard sur la naissance, si au lieu d’anticiper la douleur, la difficulté, les complications (qui existent évidemment) on mettait nos lunettes de la confiance pour débuter cette aventure incroyable du bon pied?Au fil de 3 BD vraiment drôles et passionnantes, Lucile Gomez, dessinatrice et autrice de la série La Naissance en BD, vous donne un aperçu un peu différent de la capacité de votre corps à donner naissance.Avec son chat, son petit animal sarcastique, qui remet tout en question, comme le fait la société, Lucille, avec des infos scientifiques sourcées et étayées, vous donne le coup de boost dont vous aviez besoin avant d’entamer le grand parcours de la naissance.Lucille est douce et drôle, elle vous embarque dans ce monde plein de beauté de la mise au monde d’un enfant.Un petit shoot d’ocytocine gratos, ça ne fait jamais de mal !Je vous souhaite une bonne écouteC’était Lucile Gomez, autrice et illustratrice de BDJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous, d’ailleurs d’après Spotify, La Matrescence fait partie des 1% de podcasts dans le monde, les plus partagés via whatsapp notamment, alors un grand merci!Si vous cherchez un épisode, rdv sur www.lamatrescence.fr et si vous voulez aider ce podcast à grandir, rdv sur Patreon www.patreon.com/clementinesarlatA la semaine prochainePrenez soin de vous !
5 tips qui m’ont aidée à (tenter) de traverser une période difficile !Aujourd’hui pour clore cette année 2022, je prends le temps de parler d’un sujet sensible : comment traverser une période difficile quand on est en postpartum ou en tout cas quand on a des enfants, parce que souvent dans ces cas-là, on n’a pas d’autres choix que d’être “forte” pour eux/elles.J’écoute énormément de podcast sur le développement personnel et je trouve que jamais les solutions proposées ne sont tout à fait envisageables pour les parents de très jeunes enfants qui ont un sommeil haché. Ou en tout cas la plupart des recommandations sont difficilement applicables avec des touts-petits et le rythme que cela impose.Voila dans cet épisode je vous embarque avec moi pour 5 astuces qui m’ont vraiment aidé à maintenir en partie la tête hors de l’eau quand je me suis retrouvée face à une situation personnelle très difficile. Je ne rentrerai pas dans les détails de ma situation, ce n’est pas le but de l’épisode.Prendre un cahier et écrireLa toute première chose que j’ai faite, c'est d'attraper le premier cahier vierge que j’ai trouvé chez moi et d’écrire. Je n’avais jamais fait ça avant, en anglais on appelle ça journaling. J’avais besoin de sortir les pensées qui m'arrivaient par milliers et d’y trouver un sens. Comme je ne savais pas par où commencer, j’ai d’abord répondu à une question : comment je me sens, à décrire en 3 mots.J’ai écrit tous les jours pendant les 3 premières semaines. A chaque fois des mots différents me venaient pour expliquer mon ressenti et à partir de ces 3 mots j’arrivais à écrire. J’ai été et je le suis encore très anxieuse et de voir les mots s’imprimer sur mon cahier m’aidait à faire baisser la tension en moi. J’ai relu plusieurs fois mon journal et cela fait beaucoup de bien de voir l’évolution. Parce que les gens de votre entourage auront beau vous dire que ça ira, quand on est dans le dur, le comprendre c’est impossible. En revanche, en relisant mon journal je voyais les minis progrès, je voyais les rechutes, les moments d’espoirs et les moments de gros bad. Il y a des choses qui font mal dans la tête mais moins sur un papier.Alors quand faire ça ?Pas simple de trouver un temps à consacrer à l’écriture quand on a un job, des enfants et une vie remplie.Evidemment pour moi le matin c’était impossible, donc je le fais régulièrement le soir après le coucher et après avoir rangé. J’ai un rituel, ça m’aide. J’allume une bougie, je mets un faux de feu de cheminée à la télé et une playlist relaxante. Ce n’est que mon exemple mais ça me prend 15 minutes. J’ai écrit avec plein de couleurs différentes, et quand ça n’allait vraiment pas j’ai remarqué que je choisissais toujours la couleur noire…La pratique d’écrire dans un journal a de nombreux bénéfices, une étude de 2018 a montré qu’écrire un journal en ligne pendant 12 semaines avait fait baisser l’état d’anxiété des participants et surtout avait augmenté leur bien-être général.Voilà pour la première chose, à vous de jouer si ça peut vous aider !Et pour moi, on va être honnête, mon podcast est parfois mon journal pas si intime qui m’aide à clarifier mes ressentis et à avancer. Donc merci à vous d’être présents, vous m’aidez au quotidien par votre soutien.  https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6305886/Télécharger une application de méditationJ’ai toujours voulu apprendre à méditer, mais avec 3 enfants en bas-âge, ça ne correspondait pas avec mon emploi du temps et ma fatigue. Partout dans les sphères du développement personnel on entend que méditer, devrait être la première chose à faire pour se sentir mieux, dès le matin. J’ai envie de dire, oui mais… mais on fait comment quand on a des enfants qui dorment avec vous, voire sur vous ? On fait comment quand on a pas une seconde à nous dès le réveil ? Parce que, perso, au vu de mon manque gigantesque de sommeil, je ne pourrai pas me lever plus tôt pour méditer, tant que mes nuits sont si chaotiques.J’ai quand même voulu me lancer, donc j'ai téléchargé une application et j’écoute tous les jours ma méditation qui dure 7 minutes avec mes filles. C’est en anglais, elles ne comprennent pas mais c’est pas grave. Je le fais, ce n’est clairement pas aussi efficace que de le faire seule tranquille, mais pour le moment c’est la seule façon que j’ai trouvé de le faire. Et je me dis que je commence ma journée avec un mini mini temps pour moi et elles autour de moi qui vivent leur vie d’enfants, qui boivent leur biberon ou qui demandent 150 fois mamans! Je leur ai aussi expliqué ce que c’était et on fait ensemble les respirations qui sont demandées pendant le temps de l’écoute.Et parfois quand c’est trop galère, je prends mes écouteurs et j’en mets un seul dans mes oreilles et je suis multi-tâches.Ça m'arrive aussi de le faire avant de dormir mais j’ai plus de mal, je suis une fille du matin pour ce type d’exercices.Ecouter des podcasts sur les relations intimes/personnelles + lire des livresSans surprise la 3e chose que j’ai faite c’est d’écouter des heures de podcasts et lire des livres! J’ai dû écouter quasiment tous les épisodes du podcast de Jay Shetty, On Purpose. Jay Shetty est anglais, il a mon âge et c’est un ancien moine bouddhiste. Il parle énormément des relations humaines et intimes dans ces podcasts et je trouve qu’ils sont fascinants et très accessibles. Son podcast se focalise énormément sur la santé mentale et comment en prendre soin. Le seul point négatif c’est qu’il n’est pas parent et je pense que parfois c’est une dimension importante qui manque à son approche. Mais sincèrement, ses podcasts ont été un vrai révélateur pour moi. J’ai aussi découvert le podcast français "Deuxième vie” de Fab Florent et Mai Hua, qui a déjà été mon invitée. Ils y parlent tous les deux de leur 2e vie après la séparation et j’ai trouvé ça super intéressant. Donc en fonction de la période difficile que vous traversez, trouvez un thème de podcast qui vous correspond pour apprendre, et mieux vous connaître. Ensuite les livres ont été essentiels pour moi. Pendant les premières semaines je n’ai quasiment pas été sur les réseaux sociaux, cela me coûtait trop d’énergie… L'avantage c’est que j’avais du temps qui s’est libéré pour lire!J’ai donc commencé par un livre sur le cerveau qui s’appelle “The 7 Neuroscience Secrets of Feeling Good Based on Your Brain Type” écrit par le Dr Daniel Amen, un psychiatre neuroscientifique. Il y parle des différents types de cerveaux qui existent et en fonction du nôtre ce que l’on peut faire. Je vous recommande son test, c’est assez intéressant. Il y parle de nutrition et de l’impact des carences que cela peut avoir sur notre cerveau.Une chose que j’ai appliqué tous les jours depuis avoir lu son livre c’est de me dire tous les matins “Aujourd’hui va être une belle journée” et le soir avant de dormir de me demander ce qui a été positif dans cette journée même quand elle a parfois été atroce. C’est un super exercice pour tenter d’aider notre cerveau à voir le positif et à ne pas sombrer dans le négatif en permanence.J’ai aussi lu un livre qui s’appelle "Conscious uncoupling" qui a été une véritable bouée de sauvetage au début pour m’aider à comprendre ce que je pouvais ressentir. Il a été écrit par la psychologue Katherine Woodward et surtout ce concept a été rendu célèbre par Gwyneth Paltrow et Chris Martin au moment de leur séparation. Sortir, bouger, faire du vélo, du sportJe ne sais pas si vous vous souvenez mais en avril dernier j’avais lancé le challenge “75 jours pour bouger” parce que j’en avais marre d’être sédentaire. J’avais besoin de retrouver le mouvement. Je m’y suis tenue pendant une longue période. Et ce que j’ai gardé de ce challenge c’est d’emmener mes enfants à l’école ou à la crèche en vélo. Je m’y tiens quasiment tous les jours et au moins, je me dis que si je suis restée une journée entière à rien faire, ce n’est pas grave, j’aurais un peu bougé.Parce que oui, il y a des jours où je suis incapable de travailler ou de faire quoique ce soit d’ailleurs. Il y a des jours où j’ai un regain d’énergie et ça va mieux. Mais rien n’est linéaire quand on vit une expérience très dure ou traumatisante, cela vous vide de votre énergie et vous empêche d’être à 100%. Donc aucune culpabilité si vous n'êtes pour l’instant capable de rien. En revanche je me suis rendue compte que dès que je faisais du sport j’allais beaucoup mieux d’un coup. Effet des hormones, immédiat, sur mon corps.Maintenant c’est devenu automatique quasiment dès que je suis dans le dur, je sors marcher et je vais dans la forêt pour emmagasiner l’effet apaisant des arbres ou alors je m’oblige à aller en vélo faire des courses ou autre.Je ne prends plus jamais la voiture pour aller en ville par exemple, seulement le vélo, je me suis imposée cette règle pour ma santé mentale et je sais aussi que c’est bon pour la planète.Aujourd’hui mon objectif c’est de trouver une activité physique en dehors de chez moi pour voir du monde et sortir de ma bulle. C’est en cours…Mantra it’s hard until it’s easyReconnecter à ses amies, famille (voyage Minneapolis) + thérapie médecin traitantLa dernière chose et surement une des plus importantes c’est la connexion à moi-même et à mon entourage… Nous sommes des êtres sociaux, nos cerveaux sont formatés pour le contact humain et le sentiment d’appartenance… alors dans des moments aussi complexes, le cerveau est en demande +++ de ses semblables.Premièrement ma soeur a été ma plus grande aide. Dans les moments aussi difficiles, avoir un entourage solide est un privilège et je les en remercie. Ma soeur a vraiment vraiment été mon roc. Et plus largement ma famille, mon père et ma mère qui se sont mobilisés comme toujours et tous mes cousins/cousines. J’ai une grande famille et je suis chanceuse de ce point de vue là.Cette épreuve que je traverse, je la vis aussi un peu comme une matrescence, ça m’a obligée à me demander qui j’étais maintenant. Je savais que j’avais négligé mes amitiés en devenant mère, là au moins, me tourner vers elles a été une évidence et elles ont été formidables. Merci les filles, merci merci, merci de m’avoir hébergé, de m’avoir écouté me plaindre et d'être triste, de m’avoir fait rire, de m’avoir soutenue, d’avoir pris de mes nouvelles quotidiennement pour ne pas que je sombre… je sais que vous vous reconnaitrez.J’ai aussi une immense chance, d’avoir une amie médecin qui m’a tout de suite suivie. Ça arrive en dernier, mais surtout si vous allez mal, allez consulter un ou une médecin à la hauteur. Merci Laura.Il y a eu quelque chose de fondamental dans toute cette expérience, c’est que j’ai choisi de partir pendant 9 jours à l’étranger. J’ai choisi d’aller respirer ailleurs. Je ne vous dis pas de prendre un billet pour aller à l’autre bout du monde, mais simplement de changer d’air, pour vous laisser le temps de vous retrouver.Ça a été très dur, surtout parce que partir à Minneapolis cela voulait dire laisser mes filles pendant un long moment et je ne l’avais jamais fait. Mais j’en avais sincèrement besoin.Il m’aura fallu 3 enfants pour comprendre ce concept. Si je vais bien, elles iront forcément mieux.Je leur avait laissé des mots tous les jours, avec des coeurs numérotés pour leur expliquer quand je rentrais. J'appellais quasiment à la même heure tous les jours pour qu’il y ait une régularité et elles étaient très biens avec leur papa.Ce voyage dans le froid du Minnesota m’a reconnecté à des parties de moi que j’avais oubliées. Ça n'a pas été toujours rose simplement parce que d’un coup tu as du temps et de l’espace mental pour penser. Comme tu n’as plus à t’occuper d’autres être humain, il y a un silence qui s’installe et là, les pensées ont le temps d’émerger.Je suis heureuse d’y être allée, d’avoir été si bien entourée par ma famille de cœur. Je suis sortie de ma zone de confort en allant me baigner dans un lac à 1 degré et ça m’a donné une énergie folle. Ça n'a pas tout réglé, loin loin de là, mais ça m’a montré que la femme que je suis sans enfants, sans tous les titres qui me définissent, était encore là, cachée quelque part et que j’étais en train de lui faire de la place pour remonter. Je vous recommande sincèrement de pouvoir vous éloigner du chaos si vous en avez la possibilité, dès que vous le pouvez. C’est essentiel.Dernière chose, quand je parle de connexion dans ce 5e outil, je parle aussi évidemment du travail psy que j’ai entamé. J’y vais une fois par semaine et c’est essentiel à ma guérison. J’ai trouvé la perle rare et c’est un grand soulagement. Je sais que c’est un investissement et que tout le monde ne peut pas se le permettre, j’en ai bien conscience et j’espère qu’un jour cela changera.Voilà pour les 5 tips 👍1)Ecrire dans un journal2)Méditer comme on peut ou respirer3)Écouter des podcasts et lire des livres sur votre problématiques4)Bouger, faire du sport, sortir dehors en nature5) Se reconnecter à soi même et surtout aux autresJe vous laisse en vous souhaitant de merveilleuses fêtes mais surtout en vous souhaitant d’avoir la possibilité de vous reconnecter à vous même pour ne pas vous perdre. Si vous avez écoutez cet épisode c’est certainement que vous vivez des évènements similaires et que vous cherchez des solutions. Je n’ai malheureusement pas la solution miracle, mais j’ai essayé de trouver ce qui marchait le mieux pour moi. Et ce que m’a dit ma psy à ma première séance m’a beaucoup accompagnée : “maintenant il s’agit de remplir votre boîte à +++ donc faites TOUT ce qui vous fait du bien.”Merci d’avoir été aussi enthousiastes depuis la reprise. On se retrouve en 2023. En attendant prenez soin de vous, je le pense sincèrement !
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 118 de la saison 5Passer par la dépression du postpartum concernerait aujourd’hui une mère sur 5. Mais combien passe au travers des mailles du filet médical, combien sont mal diagnostiquées, combien récidive lorsqu’elles deviennent mères pour la seconde fois?Autant de questions qui n’ont pas de réponses et qui peuvent mener à des chemins dramatiques pour la mère et son bébé.Madeleine a créé le compte postpartum_tamère après une première expérience du 4e trimestre très difficile avec son fils Félix.Elle est alors jeune mère et ne sait pas que ressentir cette anxiété et toutes ces difficultés est anormal.A l’arrivée de son 2e fils, Alban, Madeleine décompense. C'est-à-dire qu’elle fait une rechute. Mais cette fois, l’intensité est d’un autre niveau et quelques mois après son accouchement elle est admise en Unité Mère Enfant au Kremlin Bicêtre.Ces unités encore beaucoup trop peu répandues en France ont fait leur apparition dans les pays anglo-saxons dans les années 60.A cette époque, on comprend que séparer le nourrisson/bébé de sa mère lorsqu’elle éprouve des difficultés psychiques n’est pas la meilleure solution.Depuis ces lieux, pensés spécialement pour les maladies mentales liées au fait de devenir mère ont intégré le paysage français.Sauf que le manque est énorme, seuls 100 lits seraient disponibles en France, quand plus de 700 000 femmes donnent naissance chaque année…Ces lieux essentiels, sont des lieux ressources, pour permettre à la mère de se retrouver sans interrompre le processus du lien d’attachement avec son bébé.Merci infiniment Madeleine d’avoir témoigné de ton expérience dans ce lieu pensé pour les mères.C’était Madeleine Clays, créatrice du compte @postpartumtamereJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles, vous abonner sur votre plateforme d’écoutes ou à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà + de 115 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 117 de la saison 5J’ai découvert le best seller “Faites votre glucose révolution”, vendu à plus de 600 000 exemplaire et écrit par Jessie Inchauspé, au printemps dernier et ça a été une vraie prise de conscience pour ma santé.Ce livre, on peut le dire, a changé ma relation à mon corps, parce que, enfin, j’ai réussi à comprendre son fonctionnement de manière ultra simple.Jessie Inchauspé est biochimiste de formation et elle s’est intéressée de très près ces dernières années au glucose.Si vous aussi vous avez toujours cru que le glucose était réservé aux personnes diabétiques, vous n’êtes pas les seuls.Sauf qu’être capable de lisser sa courbe de glucose chaque jour apporte des bénéfices insoupçonnés. Ici on parle du syndrome des ovaires polykystique (SOPK), parce que oui, le glucose a un impact sur la fertilité, on parle de vieillissement de la peau, de fringales qui nous rendent fou, de comment réduire les crises émotionnelles de nos enfants en faisant attention au sucre donné.On évoque même une étude incroyable qui parle du glucose et du couple.Bref en 10 conseils ultra simples, votre vie va changer!Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Jessie Inchauspé, biochimiste et autriceJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles, vous abonnez sur votre plateforme d’écoutes ou à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà + de 115 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
POUR SOUTENIR LE PODCAST RENDEZ-VOUS SUR WWW.PATREON.COM/CLEMENTINESARLATBienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 116 de la saison 5Qu’on le veuille ou non, notre vie est jalonnée de traumatismes plus ou moins importants. Rare sont les êtres humains à n’avoir jamais vécu une expérience traumatisante au cours de leur existence.Les traumas avec un T peuvent parfois avoir été enfouis et rejaillir en devenant parents, les traumas avec un petit t peuvent eux, causer des dégâts sur la durée sans que l’on s’en aperçoive.Comme pour une blessure physique, ces bobos du mental peuvent guérir. Pour cela il faut être accompagné par des professionnels. Et certaines techniques en psychologie peuvent permettre de reprogrammer le cerveau pour arriver à vivre avec de manière sereine. C’est le cas avec l’EMDR, eye movement desensitization and reprocessing.Noémi Benhamou est psychologue spécialiste de la périnatalité et formée en EMDR.Dans cet épisode elle détaille l’efficacité de l’EMDR pour les enfants, les femmes en postpartum qui ont vécu un traumatisme à l’accouchement par exemple.Nous parlons de violences sexuelles dans cette conversation, si le sujet est trop sensible ou douloureux n’hésitez pas à en parler à votre médecin.Noémi explique le déroulé d’une séance et l’impact sur le cerveau. Vous comprendrez la dissociation, le syndrome post traumatique mais aussi la fenêtre de tolérance.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Noémi Benhamou, psychologue spécialiste en périnatalité et EMDRJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles, vous abonnez sur votre plateforme d’écoutes ou à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà + de 115 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
POUR SOUTENIR LE PODCAST RENDEZ-VOUS SUR WWW.PATREON.COM/CLEMENTINESARLATBonjour à toutes et à tous.Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 115 de la saison 5.Apprendre à devenir parents, c’est se poser 1000 questions sur la façon de faire, c’est s’adapter en permanence, c’est tenter des techniques improbables pour se faire écouter, c’est craquer, c’est crier, c’est s’excuser, c’est se dire que demain sera un meilleur jour… bref être parents c’est les montagnes russes, mais si vous écoutez ce podcast, c’est que vous le savez déjà!Et au final, c’est aussi chercher des infos pragmatiques sur les astuces qui marchent avec un enfant qui refuse d’écouter nos demandes.Céline Syritellis est coach parental, elle accompagne les parents en demande de guidance.Cet épisode n’est pas un concentré de recettes miracles, mais bien des tips ou outils pragmatiques qui donnent des pistes pour essayer de retrouver un climat le plus serein possible à la maison.Même si loin de nous, l’idée de vous mettre la pression si vous n’y arrivez pas.Chaque famille, chaque enfant a ses spécificités, il y a simplement des comportements communs qu’on peut essayer d’accompagner au mieux!Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Céline Syritellis, coach et accompagnante parentale Je suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles ou le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà 115 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
POUR SOUTENIR LE PODCAST RENDEZ-VOUS SUR WWW.PATREON.COM/CLEMENTINESARLATDevenir mère, dans un monde qui a oublié de nous prendre en considération, peut vite devenir un très gros fardeau. C’est exactement ce qu’a ressenti Astrid Hurault de ligny qui a créé le compte : le regret maternel, sur les réseaux sociaux.Regretter d’être mère n’est pas un thème nouveau, vous avez déjà sûrement entendu l’actrice Anémone en parler publiquement en 2011. Mais sa voix, à l'époque, n'avait pas forcément trouvé un écho auprès de la société.La sociologue Orna Donath a, elle, écrit un livre en 2015 sur son regret d’avoir été mère… Aujourd’hui la parole se libère petit à petit autour de ce thème et le tabou ultime d’avouer ne pas aimer ce rôle, commence à se dissiper.C’est exactement pour ça qu’Astrid, française vivant à Quebec a écrit cet ouvrage. Parler pour exorciser, parler pour visibiliser, parler pour ne pas devenir folle.A travers son livre on comprend que ce regret n’est surtout pas choisi, qu’il faut apprendre à vivre avec, que le regard que la société nous renvoie peut peser et qu’il faut apprendre à trouver des stratégies pour apercevoir la lumière dans ce qui peut être un tunnel de la maternité. Astrid raconte, décortique et pose un regard lucide sur la charge mentale qui est, selon elle, le facteur numéro 1 à ce regret auprès de nombreuses mères.Merci à elle pour son témoignage lumineux qui j’espère aidera celles et ceux qui en ont besoin!Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Astrid Hurault de Ligny, autrice.Je suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles ou le partager sur les réseaux sociaux @ lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà plus de 110 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
Bonjour à toutes et à tous, bienvenue dans la Matrescence. Vous écoutez l’épisode 113 de la saison 5Le développement de l’enfant continue de me fasciner, même 5 ans après l’arrivée de ma première fille.Plus j’avance dans mon expérience de mère, plus je me rends compte que comprendre mes enfants, c’est aussi et surtout me comprendre moi, en tant que parents.C’est exactement pour cette raison que Cindy Hovington, neuroscientifique canadienne a créé, Curious Neuron.Via sa plateforme et ses réseaux sociaux, Cindy, mère de 3 enfants transmet les dernières découvertes scientifiques, applicables à la parentalité, à des milliers de parents.Dans cet entretien, Cindy explore un pan peu discuté de l’éducation, les parents. Et oui, pour que nos enfants arrivent à développer,dans les meilleures conditions, leur cerveau  socio-émotionnel, c’est à nous parents, à apprendre à gérer nos émotions dans un premier temps.Pendant cette discussion, Cindy vous transmettra de nombreuses tips pour arriver à aider nos enfants à étendre leurs capacités d’auto-régulation.Ici vous apprendrez les termes de modèle tripartite, de ER et de processus interpersonnel.Cindy rappelle aussi, que c’est à travers les jeux, que nos enfants arrivent le mieux à comprendre les règles que contient notre monde !Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Cindy Hovington, neuroscientifique, créatrice de Curious NeuronJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles ou le partager sur les réseaux sociaux @ lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà plus de 110 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
Bonjour à toutes et à tous. Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 112 de la saison 5Est-ce que vous vous êtes déjà posé la question si vous vouliez ou non des enfants ? Est-ce que c’est un choix que vous avez fait en toute conscience ? Est-que depuis l’enfance, être parents est une évidence pour vous ? Toutes ces questions en fait, on se les pose plus ou moins à un moment de notre vie qu’on le veuille ou non. La pression sociale est tellement forte, surtout pour les femmes, de faire des enfants, que ces thèmes très intimes et personnels arrivent souvent dans des conversations non sollicitées.Pour les childfree, un mouvement né dans les années 70 aux Etats-Unis, qui représente un peu plus de 5% de la population française, ne pas vouloir d’enfants et l’assumer est devenue une vraie revendication et non plus une anomalie. En Allemagne, par exemple, où 25 % des femmes nées en 1968 sont sans enfants, les choses sont différentes. La culture des familles sans enfants est moins taboue.Les childfree, Bettina Zourli, en est une porte parole décomplexée. Elle a créé il y a 4 ans le compte @jeneveuxpasdenfants pour éveiller les consciences à ce sujet et surtout briser les tabous.Mais attention n’allez pas croire que Bettina est contre les enfants et leurs parents. Au contraire, à chaque prise de paroles, on sent que Bettina est une alliée des familles. Bettina vous parle dans cet épisode de la genèse de son non désir d’enfants, des regards autour d’elle, du poids du patriarcat dans cette décision, de son parcours pour stopper sa fertilité auprès du corps médical alors qu’elle n’a que 30 ans et du regard qu’elle porte sur ses amies qui sont en train de devenir parents. C’était Bettina Zourli, autrice et militanteJe suis Clémentine Sarlat, vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à mettre 5 étoiles ou le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceLe podcast vient de reprendre après une longue pause bébé, si vous cherchez un thème particulier, allez sur le site www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur et le mettre dans vos oreilles. Il y a déjà plus de 110 épisodes.Cet épisode a été produit par Mini MinoisPrenez soin de vousA la semaine prochaine 
Bonjour à toutes et à tous, et bienvenue dans La Matrescence. vous écoutez l’épisode 111 de la saison 5Il y a des matières à l’école dont on aurait bien aimé oublier l'existence, et puis, il y a celles qu’on aurait aimé pouvoir étudier pour mieux comprendre le monde qui nous entoure. Je pense par exemple à la gestion d’un budget ou tout simplement à l’étude des impôts… Vous savez les trucs qui nous servent VRAIMENT au quotidien…On n’a jamais abordé le thème de l’argent et de sa gestion ici alors je vous propose un épisode axé : money money money.On ne va pas parler crypto et bitcoins, mais bien d’épargne, de budget, d’économies pour nos enfants et leur future ou tout simplement qu’est-ce qu’une relation saine à l’argent quand on a une famille.Perso, j’ai reçu 0  éducation financière dans ma vie, j’ai dû me former sur le tas et encore, je ne suis pas certaine de bien tout maîtriser et c’est pour ça que j’ai demandé à Maeva la créatrice du compte Mon Budget Bento, de m’éclairer !      Avec l’ambiance économique actuelle et l’inflation, de plus en plus de françaises et français tentent de serrer les dépenses pour rentrer dans leur budget.Dans les faits et les stats :La Banque de France salue un comportement collectif « bien réfléchi » des français et françaises, puisque 83 % d’entre eux règlent leurs factures dans les temps et que 71% affirment suivre de près leur situation financière.Oui mais est-ce suffisant pour arriver à un équilibre? Que faut-il savoir avec des enfants ? Comment épargner efficacement ? Quelles sont les règles à savoir en cas de divorce? Si je suis femme au foyer, à quoi j’ai le droit ?Quoi prendre en compte quand on est une famille recomposée?Plein de questions qui touchent particulièrement les femmes qui sont les premières à s’appauvrir en devenant mère.Merci à Maeva du compte Mon Budget Bento, de nous avoir guidé avec bienveillance et clarté dans la jungle de la gestion financière!C’était Maeva, fondatrice du compte Mon Budget Bento. Je suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à en parler autour de vous, à mettre 5 étoiles et à le partager sur les réseaux sociaux @ lamatrescenceLe podcast vient de reprendre, si vous n’avez pas encore écouté les 3 derniers épisodes inédits, filez sur le site www.lamatrescence.fr pour découvrir une interview avec Aurélia Blanc sur le féminisme, un autre sur un nouveau modèle familiale, les Séparents et le 3e sur le Mommy Brain et ses superspouvoirs!Cet épisode a été réalisé par Mini Minois.A la semaine prochaine, prenez soin de vous.
Bienvenue à toutes et à tous dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 110 de la saison 5Qui ne s’est pas sentie dans le brouillard pendant sa grossesse et surtout en postpartum? Qui n’a pas eu la sensation d’oublier mille choses essentielles et de se focaliser sur des détails qui paraissaient avant, insignifiants?Si ça vous est arrivé, welcome dans le club du “Mommy Brain” ou cerveau maternel en français… on est d’accord ça sonne mieux en anglais!Avant on aurait pu vous dire que vous étiez folle ou que ça n’avait aucune importance, maintenant grâce à la neuroscience on sait que votre cerveau a de supers pouvoirs. En 2018 je découvre les travaux de Jodi Pawulski, neuroscientifique canadienne qui fait de la recherche à l’Université de Rennes.Ça fait 15 ans qu’elle s’intéresse aux cerveaux des mères. Elle vient de sortir un livre, le Mommy Brain, où vous pouvez retrouver toutes les dernières recherches sur le sujet. J’ai eu le plaisir de le préfacer!Dans cet épisode, Jodi vous parle de votre cerveau, des changements de l’instinct maternel, de la dépression du postpartum mais aussi des grands-parents!Profitez, c’est précieux de l’entendre.C’était Jodi Pawulski, neuroscientifique et autrice du livre Mommy Brain aux éditions Larousse.Je suis Clémentine Sarlat, votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode n’hésitez pas à en parler autour de vous, à mettre 5 étoiles et à le partager sur les réseaux sociaux @ lamatrescenceLe podcast vient de reprendre, si vous n’avez pas encore écouté les 2 derniers épisodes inédits, filez sur le site www.lamatrescence.fr pour découvrir une interview avec Aurélia Blanc sur le féminisme et un autre sur un nouveau modèle familiale, les Séparents!Cet épisode a été réalisé par Mini Minois.Pour acheter le livre "Mommy Brain" aux éditions Larousse :https://tidd.ly/3TzTE9ZA la semaine prochaine, prenez soin de vous.
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 109 de la saison 5On a toutes et tous grandi avec une certaine idée de la famille, enfermé dans des normes sociales qui voudrait que le papa et la maman, dans le couple hétérosexuel, continuent d’être amoureux et heureux jusqu’à la fin de leur vie.La réalité est plus complexe et nuancée. Aujourd’hui, en France, ce sont 4 millions d’enfants qui vivent avec des parents séparés.Quand la décision de la rupture est prise, trouver la bonne équation pour la famille reste un sacré défi, même en 2022.Depuis 2008 et sa crise économique de nouveaux modèles de famille prennent forme. Aux Etats Unis, la pression immobilière était tellement forte que de plus en plus de parents ont décidé de rester vivre sous le même toit malgré la séparation. Les sociologues les ont appelés les LTA : “Living together apart”.En France, Renaud Charles, a lancé une newsletter cette année, où il parle lui de “Séparents”.Deux adultes toujours parents mais plus amants qui continuent de vivre sous le même toit pour leurs enfants.Dans cet épisode, Renaud vous raconte l’organisation, la genèse de ce projet, les avantages et les inconvénients, l’acceptation parfois difficile pour les enfants et leur envie, à lui et son ex compagne de continuer à faire famille, malgré la disparition du sentiment amoureux.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Renaud Charles, journaliste et créateur de la newsletter les séparents.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous cherchez un épisode, n'hésitez pas à aller faire un tour sur le site www.lamatrescence.frCet épisode a été produit par Mini Minois A la semaine prochainePrenez soin de vous!
Merci à HelloFresh de soutenir le podcast ! Profitez d’une réduction allant jusqu’à 90€ sur la commande de vos 4 premières Box avec le code MATRESCENCE ou en cliquant directement sur ce lien : https://www.hellofresh.fr/lamatrescence » Bonjour à toutes et à tous, vous écoutez l’épisode 108 de la saison 5C’est le grand retour du podcast dans son intégralité après une très longue pause, bien méritée, pour accueillir ma 3e fille. J’ouvre cette 5e saison avec une question importante :Peut-on être mère et féministe ? Je provoque évidemment, mais, quand je suis devenue mère, ces deux entités mises côte à côte m’ont souvent donné l’impression d’une dissonance.Jamais je n’avais réussi à mettre des mots sur l’inconfort que je ressentais face à ces deux sujets complexes, moi qui avait toujours été féministe et qui tombait d’amour pour la maternité.Et puis j’ai lu le 2e livre de la journaliste Aurélia Blanc, “Tu seras une mère féministe!” et tout s’est éclairé.La maternité, a longtemps été un angle mort du féminisme de la première vague, comme l’explique Aurélia. Une anomalie dans le parcours des femmes qui trahirait le camp de celles qui défendent leur émancipation face au patriarcat.La réalité reste bien plus complexe et Aurélia nous emmène en voyage dans toutes ces interrogations qui pointent le bout de leur nez, quand on commence notre parcours dans la maternité.Dans cet épisode puissant, Aurélia apporte une vision historique et sociétale sur le féminisme.Ici on parle de prise de pouvoir, de nouvelle génération de femmes, mères en phase avec la 2e vague du féminisme, de révolution paternelle, de dépression du post partum, des mères célibataires qui trinquent, de la politisation des mères, de l’allaitement et du biberon et bien plus encore.Je vous souhaite une très bonne écoute et sincèrement merci merci d’être toujours au rendez-vous.C’était Aurélia Blanc, journaliste pour le magazine Causette et autrice du livre “Tu seras une mère féministe!”Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous cherchez un épisode, n’hésitez pas à aller faire un tour sur www.lamatrescence.fr pour trouver votre bonheur.Cet épisode a été produit par Mini Minois.A la semaine prochaine, prenez soin de vous. 
Merci à HelloFresh de soutenir le podcast ! Profitez d’une réduction allant jusqu’à 90€ sur la commande de vos 4 premières Box avec le code MATRESCENCE ou en cliquant directement sur ce lien : https://www.hellofresh.fr/lamatrescence » REDIFF en attendant que le podcast reprenne en octobreCet épisode, vous me le demandez depuis longtemps ! Un épisode pour aborder la question du genre dans l’éducation.C’est un sacré morceau auquel Manuela Spinelli, chercheuse et cofondatrice de l’association Parents et Féministes, s’est attaquée.Manuela est professeure à l’Université de Rennes 2 et elle a co-écrit avec Amandine Hancewicz : Eduquer sans préjugés “pour une éducation non sexiste des filles et des garçons” paru aux éditions Latès.Le genre est un concept qui se démocratise de plus en plus. En 2021, il devient difficile de nier que cette donnée a un impact sur la façon dont on mène notre vie.Mais quand on devient parents, tout un tas de questionnements viennent se bousculer dans nos têtes.Déjà est-ce vraiment possible d’élever des enfants, en 2021, sans préjugés de genre ?Ensuite, qu’est-ce que les études nous disent sur la façon dont nos enfants perçoivent le féminin et le masculin ? Comment faire pour éduquer des garçons à prendre conscience de leur privilège et à être des alliés dès la petite enfance?Voilà entre autres les thèmes que cet épisode aborde. Mais on y évoque aussi, les jouets, les habits et l’impact que nous en tant que parents avons sur nos enfants face au monde extérieur!Je vous souhaite une très bonne écoute
Merci à HelloFresh de soutenir le podcast ! Profitez d’une réduction allant jusqu’à 90€ sur la commande de vos 4 premières Box avec le code MATRESCENCE ou en cliquant directement sur ce lien : https://www.hellofresh.fr/lamatrescence » Cet épisode a été diffusé en février 2021 - En attendant ma reprise, je vous propose tous les vendredis un épisode à écouter à nouveau. A très viteAvez-vous déjà entendu parler de Burn-out parental?Si ce terme vous intrigue, vous êtes au bon endroit. Le burnout parental est un syndrome qui touche les parents exposés à un stress parental chronique en l’absence de ressources suffisantes pour compenser et respirer.Depuis 2015, Isabelle Roskam et sa collègue Moïra Mi ko laj czak étudient ce phénomène au sein de l’université de Louvain en Belgique.Isabelle Roskam est Docteur en Sciences Psychologiques et Professeure en psychologie du développement. Elle est également chercheuse en burn-out parental et mère de 5 enfants.En France il n’existe pas de chiffres concernant le burnout parental, en revanche en Belgique on sait que cela touche 8% des parents.Alors qu’est-ce qu’un burn out parental? Comment se manifeste ce syndrome ? Arrive-t-on à s’en sortir ?Dans cet épisode, Isabelle revient sur des notions fondamentales, elle explique que ce sont les femmes qui sont le plus touchées par le burn out parental et plus intéressant encore, ce sont les parents qui appliquent une éducation à l’écoute de l’enfant qui en subissent le plus les conséquences… Autrement dit, c’est le serpent qui se mord la queue, puisque les parents touchés par le burn out peuvent devenir violents physiquement et psychologiquement à force d’être épuisés.L’épisode est passionnant et plein de ressources, n’hésitez pas à le partager.Je vous souhaite une très bonne écoute
Merci à HelloFresh de soutenir le podcast ! Profitez d’une réduction allant jusqu’à 90€ sur la commande de vos 4 premières Box avec le code MATRESCENCE ou en cliquant directement sur ce lien : https://www.hellofresh.fr/lamatrescence » Le podcast reprend très vite, en attendant, je vous remets avec plaisir ce suberbe épisode avec Rafa, le compagnon d'Alison Cavaillé, la fondatrice de Tajinebanane. On y parle d'être beau-père.Episode diffusé initiallement en mai 2020Cela fait un moment que je m’interroge sur la place des beaux parents. Ceux qui n’ont pas encore connu la parentalité à travers leur propre expérience, mais ceux qui élèvent quand même des enfants.J’ai donc demandé à Raphaël Gillot Jouannet de me raconter comment il s’est senti quand il a accueilli Noam et Maali les deux enfants d’Alison quand ils se sont rencontrés.Raphaël est aujourd’hui papa d’un petit Lou, le 3e enfant d’Alison la fondatrice de TajineBanane.Raphaël et moi on se connait du rugby, ou en tout cas, j’ai toujours su qu’il était. Ancien rugbyman rien ne le prédestinait dans sa façon de vivre à partager son quotidien avec 2 enfants du jour au lendemain. Et pourtant c’est ce qu’il a fait sans se poser de questions.Alors comment on gère cette nouvelle paternité, pas tout à fait à 100%, comment on élève les enfants d’un autre, comment on trouve sa place dans un trio mère enfant? Comment on vit son histoire d’amour avec la maman quand il y a déjà d’autres enfants? Est-ce que ça change quelque chose d’avoir ensuite son enfant à soi?Bref tellement de richesse dans cet épisode. Je vous laisse avec la bonne humeur XXL de Raphaël
REPLAY DE L'ETE UN NOUVEAU SITE EST EN LIGNE SI VOUS CHERCHEZ DE NOUVEAUX EPISODES : www.lamatrescence.frC’est un aspect que je n’ai jamais abordé dans ce podcast : la motricité. Peut-être parce que je n’ai jamais été spécialement intéressée par ce sujet pour ma première fille, peut-être aussi parce qu’il faut ingérer tellement d’informations quand un bébé arrive dans nos vies que j’ai volontairement zappé cette partie!Mais maintenant que j’ai découvert ce monde, je le trouve fascinant.Les spécialistes de la motricité sont les psychomotricienn.es. Ce sont eux qui nous aident, nous aiguillent, interviennent parfois dans les écoles et tentent de nous réconcilier avec les gestes du quotidien.Pour les enfants, cette spécialité est très précieuse. Marion Leuger, est psychomotricienne sur la région de Toulouse et accompagne au quotidien des enfants et leurs familles.Dans cet épisode, je lui ai demandé de reprendre les bases, elle vous explique les réflexes archaïques, les étapes pour apprendre à marcher, les postures à éviter pour son bébé, la motricité libre et sa définition. Avec beaucoup de douceur, Marion apporte son regard de professionnelle pour parler des signes qui pourraient inquiéter les parents sur le développement.Et puis sur une note plus fun, on parle également des toboggans! Laissez vos enfants remonter les toboggans à l’envers, Marion vous explique pourquoi c’est important pour son développement.Si vous êtes jeunes parents et perdu sur l’éveil moteur, cet épisode est fait pour vous!
REPLAY DE L'ETEUN NOUVEAU SITE EST EN LIGNE SI VOUS CHERCHEZ DE NOUVEAUX EPISODES : www.lamatrescence.frIl y a des sujets qui sont difficiles à aborder ou appréhender pour des parents. Des sujets qui nous angoissent d’avance. Des sujets qui remuent peut-être en nous des douleurs très profondes.C’est ce qui peut arriver avec les violences sexuelles.Comment en parler avec ses enfants, comment évoquer ce fléau qui touche un enfant sur 5 en France ?Comment armer nos enfants pour que l’irréparable n’arrive pas. C’est tout le travail d’Andréa Bescond, réalisatrice du film Les Chatouilles qui parle de l’inceste de façon douleureuse mais aussi lumineuse.Andréa est danseuse, actrice, metteuse en scène mais aussi autrice. Elle a écrit une série de 3 livres qui s’intitulent “Et si on parlait?”Des livres adressés aux enfants en fonction de leurs âges, qui seront adaptés cet automne en podcast gratuits.Andréa a vécu l’horreur, elle a vécu les viols durant l’enfance. A travers sa résilience, elle veut aujourd’hui faire passer des messages.Andréa est passionnée et très impliquée, dans cet épisode, on évoque son vécu de maman, comment elle a réussi à dire à ses enfants ce qui lui était arrivé.Elle raconte les manquements de l'État français aujourd’hui face à l’ampleur de la pédocriminalité.Et prend le problème de façon plus large en expliquant qu’il va d’abord falloir croire les enfants, quand ils parlent, plutôt que de fermer les yeux.C’est un épisode qui peut peut-être réveiller en vous des souvenirs ou des difficultés.Faites vous aidez, n’hésitez-pas à demander une consultation ou du soutien.Ca parait assez dark dit comme ça, parce que le thème l’est, mais Andréa est réellement une personne qui transmet beaucoup d’énergie et de positivisme. Elle fait bouger les choses et pour y arriver, elle a besoin de vous, les parents.Je vous souhaite une très bonne écoute
Je suis en congé maternité à partir du 10 janvier 2022 pour accueillir ma 3e petite fille. Pendant les semaines qui arrivent, ce sont des rediffusions qui seront proposées sur le podcast de la Matrescence tous les vendredis. Sur 103 épisodes, vous en avez forcément manqué ;-) A très vite!En devenant parents, on comprend rapidement que les rythmes et les rituels vont devenir une part entière de notre quotidien...Mais on ne réalise pas l’importance pour un enfant et à fortiori pour un être humain, de respecter ces rituels qui cadrent leur journée.André Stern est un adulte resté enfant, comme il aime à se décrire.Jamais scolarisé, André Stern a appris en dehors tout carcan prédéfini, avec un axe, le jeu.Musicien, conférencier, journaliste et auteur, il est aujourd’hui initiateur des mouvements "écologie de l’éducation" et "écologie de l'enfance", et Directeur de l'Institut Arno Stern (Laboratoire d'observation et de préservation des dispositions spontanées de l'enfant).Dans son dernier livre : les rythmes et rituels de l’enfant, André Stern raconte comment nous sommes tous constitués de petites et grandes habitudes qui nous caractérisent, mais surtout qui nous permettent de nous sécuriser.Alors pourquoi est-ce si important d’observer les rythmes et rituels de nos enfants pour mieux les respecter ?Pourquoi un enfant s’épanouit à travers le jeu?Nous abordons aussi une question qui peut créer des tensions au sein des familles, les écrans. Et son regard est extrêmement intéressant.Je vous laisse découvrir la passion d’André pour les enfants et la simplicité avec laquelle il transmet un message essentiel… L'enfant est un géant.Je vous souhaite une très bonne écoute
Je suis en congé maternité à partir du 10 janvier 2021 pour accueillir ma 3e petite fille. Pendant les semaines qui arrivent, ce sont des rediffusions qui seront proposées sur le podcast de la Matrescence tous les vendredis. Sur 103 épisodes, vous en avez forcément manqué ;-) A très vite!Aujourd’hui je vous embarque avec moi dans le monde extraordinaire de la neuroscience.Mon invitée du jour est Nawal Abboub, elle est neuroscientifique spécialisée dans les mécanismes d’apprentissage des enfants et des tout-petits.En 2018, elle a reçu le prix des 50 femmes les plus inspirantes de la Tech et elle a cofondé Rising up, une start up qui déploie des solutions technologiques pour développer le potentiel d’apprentissage des individus et une association 1001 mots qui œuvre pour l'égalité des chances.Dans cet épisode, Nawal nous explique ce que nous dévoilent les dernières recherches sur le cerveau des tout-petits et notamment sur le langage. Avec elle nous décryptons une thématique plus large, les neurosciences n’ont de sens que si l’on prend en compte l’aspect sociétal et environnemental du développement d’un humain. C’est passionnant.  Et enfin, nous abordons avec Nawal, l’épineuse question des écrans et leurs impacts dans l’apprentissage.Comme tout parent vous vous posez des questions au sujet des écrans et c’est bien normal, ils font partie intégrante de notre quotidien, et nous mêmes, adultes, avons du mal à nous en défaire. Alors quelles sont les dernières découvertes scientifiques sur ce sujet? Que faut-il faire avec les écrans? Les écrans sont-ils vraiment mauvais?Nawal remet en perspective ce problème de société. Attention, c’est très déculpabilisant!Je vous souhaite une très bonne écoute
Je suis en congé maternité à partir du 10 janvier 2021 pour accueillir ma 3e petite fille. Pendant les semaines qui arrivent, ce sont des rediffusions qui seront proposées sur le podcast de la Matrescence tous les vendredis. Sur 103 épisodes, vous en avez forcément manqué ;-) A très vite!C’était il y a 2 ans presque jour pour jour.Dans le premier épisode, j’expliquais la genèse du projet de la matrescence et je glissais le nom d’une personne que je rêvais d’interviewer… Michel Odent.Pour beaucoup ce nom est inconnu mais pour les autres, il évoque un grand Monsieur qui a essayé toute sa carrière de faire changer les mentalités autour de la naissance.Michel Odent est d’abord chirurgien et c’est par ce biais qu’il tombe dans l’obstétrique. On en parle dans l’épisode de ses débuts dans les années 50.Il dirige pendant de nombreuses années la maternité de Pithiviers, précurseuse dans le respect des naissances, toutes les naissances.Michel Odent a écrit une dizaine d’ouvrages autour de la mise au monde avec un prisme très scientifique, ce qui rend ses travaux extrêmement précieux. Dans l’épisode d’aujourd’hui nous n’avons traité que la moitié des questions que j’avais prévu, je pense donc qu’il y aura un 2e volet.On y aborde des thèmes et pourtant essentiels : d’abord sa carrière, ensuite les conditions nécessaires pour qu’une naissance se passe bien, puis l’impact du microbiote sur les naissances et enfin nous détaillons les différents types de césariennes que Michel Odent a identifié au cours de sa carrière.  Avant de commencer l’épisode rappelez-vous que Michel est un monsieur de 90 ans, il parle lentement et fait des digressions pour toujours revenir au sujet, mais ça c’est sa façon de faire depuis toujours ;) Je vous souhaite une très bonne écoute !
Je suis en congé maternité à partir du 10 janvier 2021 pour accueillir ma 3e petite fille. Pendant les semaines qui arrivent, ce sont des rediffusions qui seront proposées sur le podcast de la Matrescence tous les vendredis. Sur 103 épisodes, vous en avez forcément manqué ;-) A très vite!J’ai découvert Isadora et Marisa, 2 sœurs jumelles entrepreneuses, il y a un peu plus de 2 ans maintenant à travers le podcast de Génération XX où elles racontaient la genèse de leur entreprise Snackies. J’avais été interpellé par leur enthousiasme et surtout leur franchise au regard de leur aventure professionnelle.A l’époque elles n’étaient pas maman et leur business tournait autour de snacks sains.Et puis… Isadora, d’abord, est devenue maman d’une petite Alba il y a 16 mois, avant que sa sœur Marisa ne la rejoigne en accueillant sa première fille Gemma en septembre 2020.Dans cette épisode, je voulais à la base parler d'entrepreneuriat et gestion du temps entre sa vie pro et perso. Et je me suis vite rendue compte qu’il y avait bien plus à creuser à travers leur profils. Marisa et Isadora sont différentes et pourtant elles ont la même configuration familiale, elles sont belles-mères avant d’être mère. On a donc évoqué ce sujet, mais aussi leur cheminement face à leur éducation parfois empreinte de violences éducatives et leur relation à leurs parents. Marisa, avec beaucoup d’honnêteté, raconte comment elle n’arrivait pas toujours à comprendre Isadora sur les thèmes de la maternité, avant de devenir elle-même maman. Et Isadora explique la pression qu’elle a pu ressentir face à sa sœur dans leur aventure professionnelle.En 2020, après plusieurs années passées à faire grandir Snackies, elles ont réfléchi à faire pivoter leur entreprise au moment où Marisa est tombée enceinte. A 32 ans, elles avaient envie de créer une entreprise plus alignée avec leur valeurs et leur nouveau mode de vie de maman entrepreneure. Intentions est né!Je vous souhaite une très bonne écoute
Je suis en congé maternité à partir du 10 janvier 2021 pour accueillir ma 3e petite fille. Pendant les semaines qui arrivent, ce sont des rediffusions qui seront proposées sur le podcast de la Matrescence tous les vendredis. Sur 103 épisodes, vous en avez forcément manqué ;-) A très vite!Le 30 septembre 2019, la vie de la famille de Sandie Tourondel bascule.Sandie est maman de jumeaux, Arthur et Jules.Ils sont nés grands prématurés mais jusqu’à leur 5 ans leur santé n’est pas une source d’inquiétude.Et puis ce 30 septembre 2019, Arthur est diagnostiqué d’un gliome infiltrant le tronc cérébral, un cancer du cerveau extrêmement rare et surtout incurable.Les médecins parlent d’une période de 9 mois à 2 ans avant qu’Arthur ne décède de sa maladie…Le monde de Sandie s’écroule…Mais Sandie est une battante, elle et son mari Alex, vont tout faire pour qu’Arthur vive les plus beaux derniers mois de sa vie.Sandie et ses amies, créent l’association Les étoiles filantes, pour que les enfants malades puissent réaliser leur rêves et notamment rencontrer leur sportifs préféré. Arthur a eu la chance de pouvoir passer quelques heures avec Killian Mbappé.Il y aura d’ailleurs une vente aux enchères en septembre 2020 pour aider l’asso. Allez faire un tour sur leur site.Cet épisode est plein de vie, d’espoir. Si Sandie raconte une histoire que tout parent redoute, elle lève également le voile sur ce qu’est la réalité d’accompagner un enfant en fin de vie et de gérer un autre petit garçon, Jules, le jumeau d’Arthur.Je vous souhaite une très bonne écoute.Merci du fond du coeur Sandie.
Je suis en congé maternité à partir du 10 janvier 2021 pour accueillir ma 3e petite fille. Pendant les semaines qui arrivent, ce sont des rediffusions qui seront proposées sur le podcast de la Matrescence tous les vendredis. Sur 103 épisodes, vous en avez forcément manqué ;-) A très vite!Cette semaine, on va parler ateliers à la parentalité.Anne Partridge, est animatrice Faber et mazlich, une méthode inventée par 2 mères canadiennes dans les années 70.Le livre support sur lequel on s’appuie, Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent, est une ressource incroyable d’outils simples à mettre en place à la maison.Anne anime des ateliers depuis 8 ans sur Bordeaux. Elle reçoit des groupes de parents, qui viennent suivre 7 séances qui durent 3 heures.Alors quel intérêt à ces ateliers? Qu’est-ce qu’on y apprend? Pourquoi franchir le pas et venir participer avec d’autres parents ?Pour contextualiser, j’ai assisté en début d’année 2019 à 7 ateliers, et j’en suis ressortir enchantée. Anne est d’une incroyable bienveillance et j’avais envie de connaitre son parcours, par où, elle, en tant que maman, était passée. Et vous allez réaliser que son parcours dans la parentalité est loin d’être simple et linéaire. Elle a donc cette capacité incroyable de connaitre ce que peuvent ressentir les parents qui tatonnent. J’espère que cet épisode vous donnera envie d’aller passer la porte d’un atelier, peu importe lequel, il y en a plein en France. Je suis persuadée que cela vous boostera et vous encouragera dans votre chemin. Très bonne écoute
Je suis en congé maternité à partir du 10 janvier 2021 pour accueillir ma 3e petite fille. Pendant les semaines qui arrivent ce sont des rediffusions qui seront proposées sur le podcast de la Matrescence tous les vendredis. Sur 103 épisodes, vous en avez forcément manqué ;-)A très vite!LAISSONS LES ENFANTS JOUER DANS LA NATURE - Diffusé en octobre 2019On a tous ce souvenir, petit, de nos sorties en forêt, de l’émerveillement ressenti à manipuler la nature. La joie en grimpant aux arbres, en découvrant les escargots, en construisant des cabanes.Malheureusement en l’espace d’une génération, ces expériences de bonheur profond et d’émerveillements à la nature ce sont petits à petits réduites pour laisser place à la vie à l’intérieur et devant les écrans.Selon une enquête de 2016 de l’institut de veille sanitaire, quatre enfants sur dix ne jouent jamais dehors pendant la semaine. Les colonies de vacances sont de plus en plus difficiles à organiser, tout comme les classes vertes.Cette déconnexion à la nature a des conséquences sur nos enfants et leur comportements, notamment sur le niveau de stress ressenti.Heureusement, dans le monde entier, des écoles dans la forêt fleurissent.Matthieu Chéreau est co-auteur du livre “Les enfants dans la nature, pour une révolution verte”.Avec Moina Fauchier Delavigne, journaliste au Monde, ils ont fait l’état des lieux de ces écoles magiques, qui enseignent en pleine nature.Le livre est passionnant, tout comme notre entretien.Bonne écoutehttp://matthieuchereau.com/https://www.reseau-pedagogie-nature.org/https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/05/04/on-a-coupe-les-enfants-de-la-nature_5294128_3232.htmlhttps://livre.fnac.com/a13526706/Moina-Fauchier-Delavigne-L-enfant-dans-la-nature?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&esl-k=sem-google%7cng%7cc294196405911%7cm%7ckpla366875966876%7cp%7ct%7cdc%7ca58200328279%7cg1553156614&gclid=Cj0KCQjwoqDtBRD-ARIsAL4pviCYzk6nMflDg4CuTDsu8-C8z3mgEtbWAh-PMU8B9jRL3ndhkaEOgYwaAuo-EALw_wcB&gclsrc=aw.ds
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 102 de la saison 4Cet épisode, vous me le demandez depuis longtemps ! Un épisode pour aborder la question du genre dans l’éducation.C’est un sacré morceau auquel Manuela Spinelli, chercheuse et cofondatrice de l’association Parents et Féministes, s’est attaquée.Manuela est professeure à l’Université de Rennes 2 et elle a co-écrit avec Amandine Hancewicz : Eduquer sans préjugés “pour une éducation non sexiste des filles et des garçons” paru aux éditions Latès.Le genre est un concept qui se démocratise de plus en plus. En 2021, il devient difficile de nier que cette donnée a un impact sur la façon dont on mène notre vie.Mais quand on devient parents, tout un tas de questionnements viennent se bousculer dans nos têtes.Déjà est-ce vraiment possible d’élever des enfants, en 2021, sans préjugés de genre ?Ensuite, qu’est-ce que les études nous disent sur la façon dont nos enfants perçoivent le féminin et le masculin ? Comment faire pour éduquer des garçons à prendre conscience de leur privilège et à être des alliés dès la petite enfance?Voilà entre autres les thèmes que cet épisode aborde. Mais on y évoque aussi, les jouets, les habits et l’impact que nous en tant que parents avons sur nos enfants face au monde extérieur!Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Manuela Spinelli, chercheuse en genre et autrice. Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescence Vous pouvez aider financièrement ce podcast à se développer en participant sur Patreon, en échange de contreparties.Prenez soin de vous à la semaine prochaine
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 101 de la saison 4S’occuper de jeunes enfants en maternelle et primaire c’est le cursus classique réservé aux instituteurs en France… Sauf pour un très faible pourcentage, qui choisit une autre voix, les instits en SEGPA.Rachid Zerrouki est professeur des écoles depuis 10 ans à Marseille et pourtant depuis 7 ans, il enseigne à des adolescents dans une classe appelée SEGPA.La SEGPA ou section enseignement général et professionnel adapté, représentait en 2018, 85000 élèves sur 12 millions d’enfants scolarisés de la maternelle au collège.Ces élèves que côtoient Rachid quotidiennement, sont rassemblés dans ce niveau pendant 3 ans pour reprendre les bases qu’il leur manque. Difficultés d’apprentissages, problèmes de comportements, soucis personnels qui empiètent sur leur scolarité, les raisons d’un placement en Segpa sont variées.Si l’intention de base est bonne, la réalité est toute autre. Rachid raconte dans un livre “Les incasables” comment depuis la Maternelle, le système scolaire français met dans des cases certains profils d’élèves pour les diriger dès 8-9 ans vers la Segpa… Une filière qui les empêchera de pouvoir choisir leur avenir avec toutes les cartes en mains.Dans cet épisode on plonge dans la dure réalité de l’échelle sociale qui ne fonctionne pas, Rachid raconte avec beaucoup de tendresse et d’admiration la vie de ses élèves… ces élèves à qui le champ des possibles va se refermer peu à peu.C’est un épisode fort, où Rachid l’instit, c’est son pseudo sur les réseaux sociaux, raconte son quotidien en tant que prof pour arriver à être en empathie sans jamais s’impliquer de façon démesurée, au risque de se brûler.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Rachid Zerrouki, instit et auteur…
Bienvenue dans ce seixième hors série de la Matrescence.Un mercredi par mois, un ou une expert.e répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la Matrescence pour poser vos questions sous le post concerné. Pour cette fin d’année, on aborde un thème toujours aussi tabou en 2021… la sexualité!Manon Bonnet est sexologue, elle accompagne principalement des femmes pour les aider à se reconnecter à leur corps et retrouver un rapport apaisé à leur sexualité. Dans cet épisode on évoque évidemment la temporalité pour reprendre les rapports, les douleurs, la gêne que l’on peut ressentir face à son ou sa partenaire, le regard que l’on porte sur son propre corps.On parle de l’allaitement, de cododo et de césarienne. Les questions sont dans la description de l'épisode!Je vous souhaite une très bonne écoute1) quand reprendre les rapports après l’accouchement? 2) L’allaitement a t il une influence sur la libido? 3) Comment accepter ce nouveau corps “flasque” qui n’aide pas à se sentir sexy? Comment l’assumer devant son partenaire? 4) Comment se sentir femme et accepter le côté “coquin”de la sexualité qui ne paraît plus normal, alors que le rôle de maman donne l’impression d’avoir pris toute la place? 5) Pourquoi les sensations et le plaisir peuvent être si différents après bébé? 6) Comment accepter la main de l’autre sur sa cicatrice de césarienne? 7) Comment faire pour vider son esprit, ne pas penser aux tâches à faire, au bébé, et vivre l’instant présent? Sexe et quotidien surchargé mentalement et physiquement? 8) Comment faire pour reprendre les rapports (quand on en a envie) en cas de douleurs, de problèmes de cicatrisation, etc? Quand ça dure des mois c’est compliqué… 9) Comment surmonter les douleurs ou la peur de la douleur en post partum? 10) Comment cesser de culpabiliser de ne pas avoir de désir? Et comment gérer les attentes du partenaire? 11) Sexe et cododo?
Saison 4 - Épisode 100 - 26/11/2021
LE 100E EPISODE :TOUTES VOS QUESTIONSCOMMENT FONCTIONNE LE CHOIX D’UN ÉPISODE + INVITÉ?Comment je choisis les invités et les thèmes abordés? combien de temps à l’avance je les contacte, est-ce que je les prépare ou leur donne les questions en avance ?Combien de temps pour préparer l’épisode ? Quel rythme de lecture, quand est-ce que j’ai le temps ?Est-ce que tu es plutôt de la team avec 3 épisodes d'avance ou plutôt dernière minute?As-tu également en tant que journaliste, un accès à des chiffres, études ou statistiques en particulier ? Je me demande es tu stressée avant d’enregistrer un épisodeEt aussi quand as tu le temps d'écouter tous les podcasts dont tu parles régulièrement, il y a tellement ! En gros, peut-être plus de billes sur ton organisation. Suite au mouvement #blacklivesmatter, j'ai beaucoup apprécié que tu aies fait intervenir des intervenant.e.s racisé.e.s. La représentation compte et la diversité est une richesse. Alors merci !!!- quels sont tes apprentissages, les bienfaits / opportunités, méfaits / contraintes liés à ses évolutions ?- penses-tu avoir changé et si oui, en quoi ?ORGANISATION VIE PRO / VIE PERSOAussi peut-être parler des choses auxquelles tu ne déroges pas pour ta santé mentale et ton bien-être (ex :  aller chercher ta grande fille à telle heure pour passer un moment ensemble, yoga time, sortie d'épisode podcast, vacances, participation conf, etc.). Comment as-tu cheminé de ton ancienne situation professionnelle à ajd ? Qu'est ce qui est moteur chez toi ? Quels sont les obstacles rencontrés ? Que représentent tes tâches au quotidien et ta charge de travail ?De mon côté j'aurais une question sur la manière dont tu vis la célébrité (ou du moins la notoriété) liée au podcast de la Matrescence. J'imagine que la visibilité n'est pas une nouveauté pour toi vu ton parcours de journaliste mais j'aurais aimé avoir ton retour plus spécifique sur l'univers de la parentalité.Je ne sais pas si c’est dans le thème mais je suis très intéressée de savoir comment tu t’organises avec tes grossesses : est ce que tu enregistres à l’avance pour faire une vraie  pause ? Ou tu travailles jusqu’au bout et tu reprends rapidement après ?SPONSORING + PATREONMoi j’aimerai en savoir plus sur les débuts du podcast, tes ambitions à l’époque, le rythme des publications, quand ça a pris, quand tu a pu mettre en place le système de sponsorisation, quand tu as pu commencer à en vivre. Et est-ce que tu as changé de matériel pour améliorer la qualité?Comment fonctionne le système de sponsoring/publicité qui est plutôt discret sur ton podcast ? As-tu aujourd'hui les moyens de développer le podcast, d'en faire ce que tu souhaites ? La publicité et la campagne Patreon suffisent-elles ? Est-ce qu'une exclusivité avec Spotify comme pour La Poudre est envisageable ?AVENIR DU PODCAST + PROJET FUTURJusqu’où as tu envie d’emmener la matrescence ? Aimeriez-vous faire un film ? Je trouve que l’histoire de la matrescence et son contenu serait la source d’un film documentaire absolument inspirant ! Siteweb : www.clementinesarlat.comPatreon : www.patreon.com/clementinesarlat 
Bienvenue dans la matrescence, vous écoutez l’épisode 99 de la saison 4Il y a 2 ans, en novembre 2019, je demandais à ma meilleure amie, Chloé si elle voulait bien répondre à mes questions…Pourquoi elle? Parce qu’à 33 ans et après avoir co-fondé une agence de communication et d’évènementiels, Chloé se posait énormément de questions sur son désir de maternité.Avant de faire le grand saut, beaucoup de femmes ressentent cette ambivalence extrême entre le désir de maternité et l’envie de préserver sa carrière, sa vie, son couple, tels quels…Chloé se livre à coeur ouvert dans cet épisode en 2 volets… Une première partie où elle explique pourquoi elle hésite, ce qui la freine dans son envie de faire un bébé avec Paul, son amoureux depuis 5 ans.Dans la 2e partie, nous sommes 2 ans plus tard, en novembre 2021…. et Chloé est devenue maman… d’une petite fille Jeanne, née le 30 août 2021.J’ai voulu mettre en valeur, toutes ces femmes qui cherchent ou attendent le déclic pour se décider à fonder une famille. Quand on a énormément de doutes, qu’est-ce qui nous fait sauter le pas?Pour Chloé, c’est la pandémie qui lui fera revoir ses priorités…On y parle d’anxiétés, d’être une femme chef d’entreprise et mère, de congé paternité, de peur très forte de l’accouchement, des centaines voir des milliers de questions que l’on peut se poser avant de mettre au monde un bébé et enfin de l’apaisement qui s’en est suivi.  Pour Chloé le postpartum va se révéler beaucoup plus doux et serein qu’elle ne l’aurait imaginé...J’ai enregistré cet épisode parce que je sais que Chloé a toujours cherché des témoignages qui ressemblaient à son histoire et je me suis dit qu’elle ne devait pas être la seule dans ce tiraillement…Je vous souhaite une très bonne écoute !Pour soutenir le podcast sur Patreon :www.patreon.com/clementinesarlat
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 98 de la saison 4Nous sommes un peu plus de 8 millions en France à vivre avec un enfant mineur au moins à la maison...Selon l’INSEE en 2020, une famille sur 4 est désormais monoparentale…contre 1 pour 8 en 1996.Le paysage familial évolue chaque année et tend à voir de plus en plus de séparations au sein du couple parental.Près de 2 millions d’enfants sont concernés par les familles recomposées. C’est donc une réalité pour de nombreux enfants avec un enjeu à la clé : le couple parental.S'il n’est plus un couple amoureux, il reste un couple parental tout au long de la vie.Alors comment rester parents après une rupture?C’est là, où Sabrina De Dinechin intervient. Elle est médiatrice familiale et autrice de plusieurs ouvrages sur la séparation. Sabrina reçoit quotidiennement dans son cabinet des parents désireux de faire au mieux pour leur enfant, malgré leur désaccord et l’amour qui s’est éteint.Dans cet épisode, on évoque la manière de parler de la séparation aux enfants, ce qu’il faut ou non faire, comment s’organiser…Sabrina parle des parents qui se séparent très prématurément dans la vie de l’enfant, de la garde alternée, de la gestion de la famille recomposée, des fraterie…On y évoque aussi les séparations qui se passent bien et pourquoi.Peut-on vraiment construire une relation de co-parent saine?Si il n’existe pas de réponse toute faite, il existe des clés que vous pouvez découvrir dans cet épisode.Vous êtes peut-être directement touché par cet épisode, n’hésitez pas à consulter un ou une professionnelle pour vous accompagner dans cette période difficile.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Sabrina De Dinechin, médiatrice familiale.Je suis Clémentine Sarlat vôtre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n'hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescenceÇa y est l’épisode  leur secret sauce est sortie : pour l’écouter rendez-vous sur le Patreon de la matrescence. Leur secret sauce c’est une histoire de couple, qui raconte les hauts et les bas depuis qu’ils ont des enfants. Et les petits trucs qui font que ça marche pour eux.Prenez soin de vousA la semaine prochaine
On pourrait croire avec cette petite musique très fleur bleue à la Amélie Poulain, que le couple, c’est simple, doux et sucré… Mais si vous écoutez cet épisode, c’est que vous vous doutez qu’il faut gratter un peu la surface d’une photo souriante pour comprendre les mécanismes d’un couple qui fonctionne!Parce que rester amoureux, c’est un travail quotidien... surtout si tu rajoutes à ça, des enfants qui viennent pomper ton énergie et mettre à rude épreuve ta patience et l’image que tu as de toi…Je suis donc très heureuse de pouvoir vous proposer cette nouvelle série, une fois par mois.LEUR SECRET SAUCE, ce sont des couples avec enfants qui viennent se livrer au micro de la Matrescence, pour partager un petit bout de leur intimité et raconter les aléas de la vie de famille.Cet épisode est disponible dans son intégralité et en exclusivité sur la plateforme patreon : www.patreon.com/clementinesarlatLes premiers à inaugurer cette série sont Anais et Oumar.Ils sont en couple depuis 12 ans et ont 3 enfants, Malia, Zacharie et Ismaël. Ils ont passé 5 ans en couple avant de se lancer dans l’aventure de la parentalité.Anaïs vous la connaissez déjà sûrement puisqu’elle a été une de mes premières invitées, épisode numéro 4!Avec 3 enfants, le temps à deux à drastiquement diminué et pourtant, comme le dit Anais, 12 ans après ils ne s'engueulent presque jamais… Pourquoi et comment y arrivent-ils ? Ce n’est pas grâce à un coup de baguette magique, mais bien parce qu’une grosse mise au point a été faite en amont…Dans cet épisode, on parle de religion, de charge mentale, de congé parentaux et d’équité. Leur secret sauce c’est maintenant…
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 96 de la saison 4En devenant parents, on comprend rapidement que les rythmes et les rituels vont devenir une part entière de notre quotidien...Mais on ne réalise pas l’importance pour un enfant et à fortiori pour un être humain, de respecter ces rituels qui cadrent leur journée.André Stern est un adulte resté enfant, comme il aime à se décrire.Jamais scolarisé, André Stern a appris en dehors tout carcan prédéfini, avec un axe, le jeu.Musicien, conférencier, journaliste et auteur, il est aujourd’hui initiateur des mouvements "écologie de l’éducation" et "écologie de l'enfance", et Directeur de l'Institut Arno Stern (Laboratoire d'observation et de préservation des dispositions spontanées de l'enfant).Dans son dernier livre : les rythmes et rituels de l’enfant, André Stern raconte comment nous sommes tous constitués de petites et grandes habitudes qui nous caractérisent, mais surtout qui nous permettent de nous sécuriser.Alors pourquoi est-ce si important d’observer les rythmes et rituels de nos enfants pour mieux les respecter ?Pourquoi un enfant s’épanouit à travers le jeu?Nous abordons aussi une question qui peut créer des tensions au sein des familles, les écrans. Et son regard est extrêmement intéressant.Je vous laisse découvrir la passion d’André pour les enfants et la simplicité avec laquelle il transmet un message essentiel… L'enfant est un géant.Je vous souhaite une très bonne écoute
Bienvenue dans La Matrescence, vous écoutez l’épisode 95 de la saison 4Ça fait un moment que je n’ai pas donné la parole aux pères dans ce podcast!Depuis le 1er juillet 2021, le gouvernement permet au deuxième parent de prendre un congé de 28 jours après la naissance de son enfant.Contrairement aux 11 jours qui étaient proposés.Oui, ce n’est pas assez, mais c’est un début il faut le noter.Dans ce contexte, Alexandre, @papaplume sur les réseaux sociaux, auteur du livre “Je ne m’attendais pas à ça” a pu bénéficier de ce congé pour son 2e enfant.Alexandre revient sur son engagement au sein d’un collectif de pères où ils ont défendu dans une lettre ouverte au gouvernement leur envie d’un allongement de ce congé.Si la voix des pères se fait entendre de plus en plus, elle est parfois soumise à la critique de certaines franges féministes qui se battent depuis des années pour cet allongement.Dans cet épisode, Alexandre répond sans langue de bois à toutes ces problématiques, raconte la genèse de son engagement, lui qui n’avait aucune conscience militante avant de devenir père.A travers son récit, il veut surtout encourager les papas à s’occuper de leurs enfants et à arrêter d’être spectateur de la vie de famille.Le chemin est encore long pour une équité au sein des familles hétérosexuelles, mais plus les hommes comme Alexandre, s’empareront du sujet, plus la société évoluera main dans la main avec les mères et dans le bon sens!Je vous souhaite une très bonne écoute
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 94 de la saison 4Dans ce podcast, j’aime beaucoup mettre en avant le métier de doula… Doula vient du grec et signifie “au service de”C’est un métier exclusivement féminin qui vise à accompagner les femmes et les familles dans diverses étapes de leurs vies.Ce métier est devenu très visible sur les réseaux sociaux ces dernières années. Pour autant, il manque encore de représentations réelles de la population. Comprenez c’est encore un métier majoritairement blanc.Dani Yuku Dogbé est doula et sophrologue à temps plein. Au fil des naissances de ses 3 filles, elle a écouté son coeur pour devenir doula.Avec Dani j’ai voulu évoquer l’accompagnement des femmes noires, des femmes issues de l’immigration ou de cultures et religions diverses.Notre société occidentale, et particulièrement la France, laisse encore peu de place à la pluralité. Dani raconte à travers ses expériences, ses apprentissages et son écoute ce qu’elle apporte aux mères qu’elle entoure.On y parle de circoncision, d’exiscion, de non jugements des us et coutumes d’autres cultures.Des traumatismes laissés par des siècles d’esclavage et de maltraitance envers les femmes non blanches.Dani aborde le thème de la transgénérationnalité qui impacte les femmes aujourd’hui. Comment arriver à faire la paix pour mieux vivre sa maternité.Merci Dani d’avoir accepté mon invitation et je le redis, je suis la première à devoir faire ce travail si important de représentativité dans ce podcast, pour qu’il soit une source d’informations précieuses pour tout le monde.Je vous souhaite une très bonne écoute.
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 93 de la saison 4.Il y a des sujets qui sont difficiles à aborder ou appréhender pour des parents. Des sujets qui nous angoissent d’avance. Des sujets qui remuent peut-être en nous des douleurs très profondes.C’est ce qui peut arriver avec les violences sexuelles.Comment en parler avec ses enfants, comment évoquer ce fléau qui touche un enfant sur 5 en France ?Comment armer nos enfants pour que l’irréparable n’arrive pas. C’est tout le travail d’Andréa Bescond, réalisatrice du film Les Chatouilles qui parle de l’inceste de façon douleureuse mais aussi lumineuse.Andréa est danseuse, actrice, metteuse en scène mais aussi autrice. Elle a écrit une série de 3 livres qui s’intitulent “Et si on parlait?”Des livres adressés aux enfants en fonction de leurs âges, qui seront adaptés cet automne en podcast gratuits.Andréa a vécu l’horreur, elle a vécu les viols durant l’enfance. A travers sa résilience, elle veut aujourd’hui faire passer des messages.Andréa est passionnée et très impliquée, dans cet épisode, on évoque son vécu de maman, comment elle a réussi à dire à ses enfants ce qui lui était arrivé.Elle raconte les manquements de l'État français aujourd’hui face à l’ampleur de la pédocriminalité.Et prend le problème de façon plus large en expliquant qu’il va d’abord falloir croire les enfants, quand ils parlent, plutôt que de fermer les yeux.C’est un épisode qui peut peut-être réveiller en vous des souvenirs ou des difficultés.Faites vous aidez, n’hésitez-pas à demander une consultation ou du soutien.Ca parait assez dark dit comme ça, parce que le thème l’est, mais Andréa est réellement une personne qui transmet beaucoup d’énergie et de positivisme. Elle fait bouger les choses et pour y arriver, elle a besoin de vous, les parents.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Andréa BescondJe suis Clémentine Sarlat
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 91 de la nouvelle saison, la saison 4 !C’est le retour! Après 2 mois et demi complets d'absence, le podcast est back dans les bacs!Un grand merci d’abord pour votre fidélité et d’être toujours aussi nombreux au rdv !Alors pour ce nouvel épisode, j’ai demandé à mon conjoint, mon futur mari en vrai, on se marie la semaine prochaine, de se joindre à moi pour parler couple et parentalité.En juin dernier j’ai fait un burnout que moi j’appelle un burnout patriarcal, un beau combo d’épuisement, de solitude et de répartitions des rôles complètement inadéquates dans notre foyer.Heureusement, avec Clément, on a réussi à trouver un semblant d’équilibre depuis cet été et on vous raconte comment. Dans cet épisode, je voudrais d’abord lui dire un grand merci d’accepter de participer, parce qu’on évoque forcément des moments de notre intimité où il n'apparaît pas à son meilleur jour.Mais c’est sa grande force, Clément sait m’écouter et se remettre en questions.Il y a quasiment 2 ans on avait enregistré un épisode ensemble sur le babyclash, donc si vous avez envie de commencer par là, c’est le numéro 31Aujourd’hui on aborde des thèmes comme les inégalités qui pèsent dans un couple hétérosexuel, où notre modèle me pénalise forcément dans ma carrière, on parle de sa vision de la paternité, de la colère que j’ai pu ressentir envers lui (et parfois toujours encore haah) du privilège que c’est d’être un homme dans une société patriarcale quand on est parents. Et on a aussi pas mal évoqué l’argent. Parce que c’est assez tabou mais c’est aussi central dans la vie d’une famille.Avant que vous écoutiez cet épisode je voudrais préciser, que nous nous positionnons comme un couple hétérsexuel, blanc et privilégié. Et c’est important de le dire parce que les problématiques que nous rencontrons ne sont pas forcément les mêmes en fonction de ces 3 critères là.C’est pour ça que cet épisode est le premier d’une série qui va s’intituler “leur secret sauce” où vous retrouverez des couples de tous horizons qui parleront de leurs astuces, leurs difficultés depuis qu’ils sont devenus parents. Ça sera à retrouver en intégralité sur Patreon, une fois par mois.Allez je vous laisse, et je vous souhaite une très bonne écoute!
EPISODE BONUS : INTERVIEW DIFFUSEE DANS LE PODCAST INTENTIONS, OU MARISA, ISADORA ET MOI PARLONS DE MATERNITE ET D'ENTREPRENARIAT.Salut à vous! J'espère que vous passez un bel été.Ce mois de juillet, j’ai décidé de diffuser 3 interviews que j’ai donné sur d’autres podcasts.Ce sont 3 podcasts que j’aime beaucoup écouter.Ce premier épisode a donc été diffusé sur Intentions créés par Marisa et Isadora, elles sont entrepreneuses, fun et super transparentes sur leur aventure dans le monde du business.On y parle beaucoup de jongler entre deux entités : mères et entrepreneuses et vous comprendrez que l’équilibre est très périlleux. J'ai adoré discuter avec elles! Ah oui, et aussi elles sont jumelles, j’adore! BONNE ECOUTEDans le 2e épisode, j’ai choisi une discussion avec Cédric Rostein de Papatriarcat. C’est un podcast que j’écoute très souvent. Toujours très juste dans le choix des invités qui vous fait déconstruire la parentalité et le patriarcat. Et ce n’est pas une mince affaire! Ici on parle de sexisme et d’éducation des petites filles, entre autres!BONNE ECOUTEDans le 3e épisode j’ai repris l’échange que j’avais eu avec Kristelle Cardeur qui est doula et qui a créé un magnifique podcast Empowerment des mamas.J’y ai parlé de mon post partum immédiat pour la naissance de ma 2e fille et comment il a été beaucoup plus doux et simple que le premier. J’y ai expliqué ce que j’avais mis en place pour que ça se passe différemment!Bonne écoute
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 89 de la saison 3L’actualité parle malheureusement quotidiennement désormais de ce gigantesque problème qui tue presque chaque jour des femmes : les féminicides.Ces meurtres et ces violences abîment des familles entières. Aujourd’hui la terminologie a changé, on ne parle plus de violences conjugales mais bien de violences intrafamiliales.Parce que les victimes sont aussi les enfants qui vivent quotidiennement cette violence dans leur foyer.Marie-Clémentine Anouchian est avocate spécialiste des violences intrafamiliales. Elle a évolué au fil de sa carrière pour défendre aujourd’hui des dossiers qui concernent spécifiquement ce type de violences.Alors quels sont les enjeux derrière ces dossiers, comment la justice prend-elle en charge ces violences ? Est-ce que la formation est à la hauteur des enjeux ?Qui contacter ? Comment reconnaître une personne victime de violences au sein de son couple ? Comment les enfants sont-ils pris en charge?Quel est le rôle de l’avocate qui défend une famille victime de violences ? Marie Clémentine, répond à toutes ces questions dans cet épisode, elle vous recommande également si vous êtes victime de violences, d’appeler ce numéro : 3919 Mais aussi le 01 44 32 47 70 pour être en contact gratuitement avec des avocates spécialistes dans les violences intrafamiliales. La consultation est gratuite.Il existe également une application App Elle pour les femmes battues. N’hésitez surtout pas, pour vous ou une connaissance.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Marie Clémentine Anouchian, avocate spécialiste des violences intrafamiliales. Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, partagez le autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescence
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 88 de la saison 3.A 21 ans, Ann apprend qu’elle n’aura probablement pas d’enfants biologiques. Elle n’est pas en projet bébé, mais la nouvelle est un choc pour la jeune femme.Avant même de rencontrer son futur mari, Ann sait que son parcours pour devenir mère sera chaotique.Quand le choix de l’adoption se propose à eux, Ann et son conjoint n’ont pas encore 30 ans. C’est jeune. Et pas forcément un avantage aux yeux du monde complexe de l’adoption.Ann rêve secrètement d’une fratrie, de pouvoir avoir sa famille comme elle l’avait imaginé.Dans cet épisode, Ann raconte la ténacité qu’il faut pour devenir mère, un processus qui dure plusieurs années et non 9 mois. Elle explique pourquoi ils ont choisi un organisme privé, les critères requis qui sont demandés pour être autorisés à adopter. Elle raconte les hauts et les bas, les coups du sort, l’attente interminable mais surtout cette rencontre tant attendue avec ses 2 enfants, nés aux Philippines.A travers son récit, on voyage, on espère, on comprend une partie de ce que les parents traversent pour arriver à serrer leurs enfants dans les bras.Mais justement, une histoire d’adoption ne s’arrête pas là, elle commence également à la rencontre. Alors comment on tisse le lien ? Comment on communique avec des enfants qui ne parlent pas notre langue ? Comment on gère la famille qui veut elle aussi accueillir les enfants ? Comment vit- on sa matrescence quand on passe de 2 à 4 en quelques jours ? Comment c’est la vie d’après ? Est-ce qu’on est suivi?Bref Ann dévoile une partie de la vie des familles qui adoptent, l’amour qui les lie et le bonheur qu’elle ressent, plusieurs années après cette aventure incroyable. Et elle tenait à montrer que l'adoption, c'est aussi des histoires heureuses. Cet épisode est le 3e volet dédié à l’adoption. Pour retrouver les 2 précédents, écoutez les numéros 78 et 81.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Ann, maman de deux enfants adoptés et directrice d’école. Je suis Clémentine Sarlat, votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous et sur les réseaux sociaux @lamatrescence. Vous pouvez aider ce podcast en y contribuant financièrement sur Patreon.com/clementinesarlatA la semaine prochainePrenez soin de vous
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 87 de la saison 3C’est un aspect que je n’ai jamais abordé dans ce podcast : la motricité. Peut-être parce que je n’ai jamais été spécialement intéressée par ce sujet pour ma première fille, peut-être aussi parce qu’il faut ingérer tellement d’informations quand un bébé arrive dans nos vies que j’ai volontairement zappé cette partie!Mais maintenant que j’ai découvert ce monde, je le trouve fascinant.Les spécialistes de la motricité sont les psychomotricienn.es. Ce sont eux qui nous aident, nous aiguillent, interviennent parfois dans les écoles et tentent de nous réconcilier avec les gestes du quotidien.Pour les enfants, cette spécialité est très précieuse. Marion Leuger, est psychomotricienne sur la région de Toulouse et accompagne au quotidien des enfants et leurs familles.Dans cet épisode, je lui ai demandé de reprendre les bases, elle vous explique les réflexes archaïques, les étapes pour apprendre à marcher, les postures à éviter pour son bébé, la motricité libre et sa définition. Avec beaucoup de douceur, Marion apporte son regard de professionnelle pour parler des signes qui pourraient inquiéter les parents sur le développement.Et puis sur une note plus fun, on parle également des toboggans! Laissez vos enfants remonter les toboggans à l’envers, Marion vous explique pourquoi c’est important pour son développement.Si vous êtes jeunes parents et perdu sur l’éveil moteur, cet épisode est fait pour vous!
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 86 de la saison 3.Notre génération bouleverse les codes en matière d’éducation, nous avons accès à une multitude d’informations, nous remettons en questions une bonne partie des principes hérités de nos aînés, avec la conviction de faire au mieux pour nos enfants.Mais quel modèle suivre quand il n’y en a que peu de disponibles ? Comment élever ses enfants sereinement sans se perdre dans le flot d’injonctions ?Anne Raynaud est psychiatre et fondatrice de l’institut de la parentalité. Elle est aussi autrice, je l’ai déjà reçu deux fois dans ce podcast pour parler lien d’attachement, c’est l’épisode 30 mais également pour parler de PMA et de ses conséquences psychiques, c’est l’épisode 36.Elle vient de sortir un livre : “Enfant sécurisé, enfant heureux” aux éditions Marabout, que je vous recommande vivement.Dans ce livre, elle consacre une première partie aux bases du lien d’attachement et à ce sentiment de sécurité qui s’avère être la base de relations humaines sereines.Dans une deuxième partie, elle développe plusieurs cas concrets de difficultés que nous rencontrons tous en tant que parents.A travers cet épisode vous aurez des clés pratiques pour retrouver une ambiance plus apaisée à la maison. Je vous assure j’ai testé, ça a fait des petits miracles.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Dr Anne Raynaud, Psychiatre, fondatrice de l’institut de la parentalité et autrice d’enfant sécurisé, enfant heureux.Je suis Clémentine Sarlat, votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescence.Si vous découvrez ce podcast, allez faire un tour sur le site www.clementinesarlat.com pour écouter de nouveaux épisodes.Et désormais vous pouvez aider ce podcast à grandir en y participant financièrement sur le site Patreon : www.patreon.com/clementinesarlatMerci!Prenez soin de vous à la semaine prochaine
Saison 3 - Épisode 85 - 07/05/2021
Bienvenue dans la Matrescence vous écoutez l’épisode 85 de la saison 3Il y a 2 ans, je lançais ce podcast, je consacrais le premier épisode à la genèse du projet et mon deuxième, à cette jeune maman qui enseignait, sur les réseaux sociaux, des petits bouts de la langue des signes pour communiquer avec son bébé.Cette jeune maman, c’est Marie Cao, alias Littlebunbao, qui a bien grandi depuis 2 ans.L’an passé j’étais retournée la voir chez elle, à Mimizan, alors qu’elle était enceinte de sa deuxième fille. On avait parlé de son premier bébé June, décédée in utero, de ses peurs face à cette nouvelle maternité et de lâcher prise. C’est l’épisode 38 si ça vous dit.J’avais envie que ça devienne un rituel, qu’elle soit le témoin de l’évolution de ce podcast, alors je lui ai proposé à nouveau de l’interviewer. Aujourd’hui, Marie est maman de Bao et de Summer, elle vit toujours dans les Landes avec James son mari et est une entrepreneuse à succès.En juin dernier, Summer a pointé le bout de son nez.On a discuté de cette arrivée dans leur famille, de son accouchement ultra rapide, d’instruction en famille, parce que Marie et James ont fait le choix de faire l’école à la maison.Marie a raconté l’organisation de ses (très) longues journées dans son cocon et de son bonheur de pouvoir travailler de cette manière.Comment on évite le burn-out quand il faut tout gérer, qu’est-ce que l’école à la maison ça implique, est-ce que l’arrivée de Summer a chamboulé leur vie, comment on s’adapte quand sa carrière décolle au moment où ses enfants sont en bas-âge ? Toutes les réponses dans cet épisode.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Marie Cao, autrice, interprète en langue des signes et maman de Summer et Bao.Je suis Clémentine Sarlat, votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescence.Si vous découvrez ce podcast, allez faire un tour sur le site www.clementinesarlat.comEt désormais vous pouvez aider ce podcast à grandir en y participant financièrement sur le site Patreon : www.patreon.com/clementinesarlatMerci!Prenez soin de vous à la semaine prochaineEpisode du podcast Papatriarcat avec André Sternhttps://play.acast.com/s/papatriarcat/-13-discussionavecandrestern-lenfantestungeant
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 84 de la saison 3.Devenir parents d’un enfant c’est un chamboulement pour la vie.Alors quand on prend la décision d’amener un autre être humain dans la famille, on fait face à des problématiques pas toujours simples à résoudre.Héloïse Junier est psychologue clinicienne, spécialiste de la petite enfance. Vous l’avez déjà entendu dans l’épisode 27 mais aussi dans 2 hors série. J’ai donc demandé à Héloïse qui vient de sortir une bd “Ma vie de bébé” aux éditions Dunod, de nous éclairer sur les fratries.Dans cet épisode on évoque l’annonce d’un nouvel enfant à l'aîné, les enjeux que cela provoque chez les tout-petits, l’écart d’âge idéal mais aussi les différents visages que peut prendre l’insécurité que ressent un enfant qui devient l’ainé.Héloïse vous donne des pistes pour les résolutions de conflits entre frères et sœurs.Elle vous guide sur cette corde périlleuse, de la gestion de conflits. Alors comment gérer les frustrations et la violence qui peuvent apparaître quand le besoin de sécurité émotionnelle n’est pas satisfait? Faut-il privilégier le tout petit sur le plus grand ? Quelles sont les astuces? Héloïse vous explique tout. On a aussi parlé du deuil au sein d’une fratrie. Quand un enfant perd son frère ou sa sœur, à quoi faut-il porter attention?Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Héloïse Junier, psychologue clinicienne et autrice de plusieurs ouvrages aux éditions Dunod.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt psiittRDV lundi pour le lancement de ma page Patreon...A la semaine prochainePrenez soin de vous
Bienvenue dans La Matrescence, vous écoutez l’épisode 83 de la saison 3.L’accouchement reste (malheureusement) un champ peu exploré par les différents mouvements féministes.Pourtant, c’est un événement qui reste entouré d’une grande dose de patriarcat, même en 2021.Marie-Hélène Lahaye est juriste, féministe et autrice du blog “Marie accouche-là”. Depuis sa création, elle s’aventure dans l’univers épineux qui entoure l’accouchement pour en dénoncer les abus de traitements réservés aux femmes.Pour être honnête je suis très fière de la recevoir dans le podcast.Dans la foulée de son blog, elle a écrit un livre magistral, que toutes les personnes qui côtoient de près ou de loin l’univers de la grossesse devraient lire.“Accouchement, les femmes méritent mieux”. Le titre du livre est explicite et percutant. Et malheureusement encore trop d’actualité.Dans cet épisode, Marie-Hélène, remet le consentement à sa juste place, dans les mains des femmes et non des soignant.esElle décortique les droits fondamentaux qu’ont les parturientes, elle ré-explique la loi Kouchner, l’arrêt Perruche, elle y parle de péridurale et de féminisme. Et avant de lancer cet épisode, j’aimerais rappeler des chiffres, parce que les chiffres ont toujours raison : En France, 8,4 femmes meurent chaque année pour 100 000 naissances malgré des interventions à outrance de la part du personnel médicale dans les maternités…Au Pays Bas, où près de 20% des femmes accouchent à la maison, la mortalité est de 4,9 femmes pour 100 000 habitants.Soit quasiment 50% de moins…Il est GRAND temps que les pouvoirs publics se réveillent et réalisent l’immense gâchis que peuvent provoquer les violences obstétricales.Pour rappel, vous pouvez toujours signer la pétition que nous avons lancé avec Anna Roy qui s’intitule, 1 femme = 1 sage femme.Pour qu’un jour cet épisode ne fasse plus sens.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Marie-Hélène Lahaye, juriste et autrice du livre Accouchement, les femmes méritent mieux.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour de vous et sur les réseaux sociaux @lamatrescencePrenez soin de vousA la semaine prochaine
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 82 de la saison 3.Avez-vous déjà entendu parler de Burn-out parental?Si ce terme vous intrigue, vous êtes au bon endroit. Le burnout parental est un syndrome qui touche les parents exposés à un stress parental chronique en l’absence de ressources suffisantes pour compenser et respirer.Depuis 2015, Isabelle Roskam et sa collègue Moïra Mikolajczak étudient ce phénomène au sein de l’université de Louvain en Belgique.Isabelle Roskam est Docteur en Sciences Psychologiques et Professeure en psychologie du développement. Elle est également chercheuse en burn-out parental et mère de 5 enfants.En France il n’existe pas de chiffres concernant le burnout parental, en revanche en Belgique on sait que cela touche 8% des parents.Alors qu’est-ce qu’un burn out parental? Comment se manifeste ce syndrome ? Arrive-t-on à s’en sortir ?Dans cet épisode, Isabelle revient sur des notions fondamentales, elle explique que ce sont les femmes qui sont le plus touchées par le burn out parental et plus intéressant encore, ce sont les parents qui appliquent une éducation à l’écoute de l’enfant qui en subissent le plus les conséquences… Autrement dit, c’est le serpent qui se mord la queue, puisque les parents touchés par le burn out peuvent devenir violents physiquement et psychologiquement à force d’être épuisés.L’épisode est passionnant et plein de ressources, n’hésitez pas à le partager.Je vous souhaite une très bonne écoute C’était Isabelle Roskam, chercheuse et enseignante à l’université de Louvain. Vous retrouvez dans les notes le site web sur le burn-out parental!Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé ce podcast, n’hésitez pas à le partager autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescenceA la semaine prochainePrenez soin de vous https://www.parental-burnout-training.com/presentation/ 
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 79 de la saison 3Vous l’aurez compris dans ce podcast, l’arrivée d’un enfant ça chamboule.Ça chamboule le parent d’abord, mais ça chamboule parfois, voire souvent, le couple. Maïssa Leroy est thérapeute, coach en développement personnel et formée en PNL, programmation neuro linguistique. Elle a elle-même divorcé du père de ses 3 premières filles avant de se remarier et d’avoir une quatrième fille.Maïssa parle très souvent sur les réseaux sociaux de divorce, de relations toxiques, des expériences qu’elle a pu avoir et du chemin qu’elle a parcouru après la séparation d’avec son premier mari.Quand il n’y a plus d’amour, est-ce que le mieux est de rester ensemble, ou de trouver une entente respectueuse pour les enfants et les adultes? On a aussi longuement évoqué la toxicité dans les relations, comment la repérer, comment briser le cercle vicieux de deux partenaires qui se tirent vers le bas ?C’est une conversation riche, à cœur ouvert, qui fait se poser des questions sur l’intimité d’un couple et des profondeurs de chacun.En ces temps de pandémie particulièrement, la santé mentale est une affaire sérieuse, si vous avez des difficultés en tant que parents n’hésitez pas à consulter ou appeler ce numéro vert : 0 805 827 827Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Maïssa Leroy, thérapeute mère de 4 enfants.Je suis Clémentine Sarlat, votre hôte, si vous avez aimé ce podcast, n’hésitez pas à le partager autour de vous, ou sur les réseaux sociaux @lamatrescenceA la semaine prochainePrenez soin de vousSOURCES POUR NUMEROS SANTE MENTALE :https://webcache.googleusercontent.com/search?q=cache:cjKCfQ0fFIkJ:https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/242820/2561222+&cd=1&hl=fr&ct=clnk&gl=fr
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 78 de la saison 3.Ca fait longtemps que je voulais aborder ce thème des enfants nés sous le secret, les bébés communément appelés nés sous X.La France est un des rares pays à autoriser la mère biologique à ne pas laisser trace de son identité au moment d’accoucher.Entre 600 à 700 bébés naissent chaque année sous le secret.J’ai voulu savoir ce que deviennent ces bébés entre leur naissance et le moment où ils sont adoptés.Une de mes amies très proche est auxiliaire de puériculture au sein d’une structure qui accueille ces bébés mais aussi les enfants placés par la justice. On appelle ce lieu une pouponnière.Pauline y travaille depuis plusieurs années et nous raconte comment elle prend soin des bébés nés sous le secret, comment se passe la semaine de leur adoption, comment leur est racontée leur histoire, comment on donne un prénom à ces enfants et enfin, comment on gère le fait d’être la figure d’attachement d’un tout-petit qui n’est pas le nôtre, même de manière temporaire?Si vous avez regardé le film Pupille, vous connaissez alors déjà un peu le sujet, sinon, mettez votre casque sur les oreilles, pour découvrir un monde peu accessible où les bébés démarrent dans la vie avec certes un secret qui les entoure, mais aussi tout un système qui tente de les mettre dans les meilleurs conditions pour la suite.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Pauline, auxiliaire de puériculture, qui accompagne les bébés nés sous le secret.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescence ou à le partager autour de vous.A la semaine prochainePrenez soin de vous
C’était il y a 2 ans presque jour pour jour.Dans le premier épisode, j’expliquais la genèse du projet de la matrescence et je glissais le nom d’une personne que je rêvais d’interviewer… Michel Odent.Pour beaucoup ce nom est inconnu mais pour les autres, il évoque un grand Monsieur qui a essayé toute sa carrière de faire changer les mentalités autour de la naissance.Michel Odent est d’abord chirurgien et c’est par ce biais qu’il tombe dans l’obstétrique. On en parle dans l’épisode de ses débuts dans les années 50.Il dirige pendant de nombreuses années la maternité de Pithiviers, précurseuse dans le respect des naissances, toutes les naissances.Michel Odent a écrit une dizaine d’ouvrages autour de la mise au monde avec un prisme très scientifique, ce qui rend ses travaux extrêmement précieux. Dans l’épisode d’aujourd’hui nous n’avons traité que la moitié des questions que j’avais prévu, je pense donc qu’il y aura un 2e volet.On y aborde des thèmes et pourtant essentiels : d’abord sa carrière, ensuite les conditions nécessaires pour qu’une naissance se passe bien, puis l’impact du microbiote sur les naissances et enfin nous détaillons les différents types de césariennes que Michel Odent a identifié au cours de sa carrière.  Avant de commencer l’épisode rappelez-vous que Michel est un monsieur de 90 ans, il parle lentement et fait des digressions pour toujours revenir au sujet, mais ça c’est sa façon de faire depuis toujours ;) Je vous souhaite une très bonne écoute !C’était Michel Odent, chirurgien, obstétricien, auteur et conférencier autour de la naissance.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager autour                                                                                            de vous et sur les réseaux sociaux @lamatrescence.A la semaine prochaine,Prenez soin de vous 
Bienvenue dans la matrescence, vous écoutez l’épisode 76 de la saison 3Il y a des personnes qui sortent du lot et qui arrivent à faire passer un message capital au plus grand nombre. Audrey fait partie de ces personnes qui marquent par leur engagement et la force qu’elles mettent dans leur métier.  J’ai découvert Audrey Ndjave il y a 3 ans quand je cherchais une vidéo pour apprendre à moucher mon bébé, c’était une des premières à mettre en ligne du contenu fait par une professionnelle de santé.Autant vous dire que depuis 3 ans, Audrey a étoffé ce qu’elle propose sur internet, puisqu’elle est aujourd’hui à la tête d’un des premiers centres de périnatalité international, qui permet aux parents de consulter en ligne divers  spécialistes formé.es aux dernières données notamment en neurosciences et en sommeil.Via son centre happy mum and baby, elle a accompagné plus de 15 000 parents en recherche d’informations.Audrey habite au Québec et pose un regard intéressant sur le rôle de la santé en Amérique du nord.Dans cet épisode on évoque la formation, ce qu’elle propose aux parents, la santé sur les réseaux sociaux et de l’importance que les professionnel.les se positionnent, mais aussi un sujet qui me touche particulièrement, celui du changement de carrière au moment de devenir mère.Audrey apporte un regard hyper intéressant sur ce thème. Je vous laisse le découvrir en écoutant l’épisode.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Audrey Ndjave infirmière et fondatrice du centre périnatale Happy mum and BabyJe suis Clémentine Sarlat votre hôte, si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux et retrouver toute une communauté sur le compte @lamatrescence sur instagram.A la semaine prochainePrenez soin de vous
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 74 de la saison 3Et si on changeait d’angle? C’est le pari, réussi, de Fanny Vella, illustratrice et autrice de la BD éponyme.Mais de quel angle parle t-on ?Fanny croque à merveilles des scènes du quotidien, que nous vivons avec nos enfants, des scènes qui paraissent banales, ancrées dans nos modes d’éducation mais qui peuvent déclencher nos colères ou incompréhensions… Par exemple, couvrir son enfant parce qu’on a froid, mais pas lui… Demander à son enfant de prêter son jouet et ne pas comprendre sa réaction de refus…En dessinant ces scènes avec comme protagonistes, des adultes, Fanny nous fait ouvrir les yeux sur leur absurdité…En lisant sa BD, Fanny nous permet de prendre du recul sur les tensions qui peuvent apparaître au sein de nos foyers.Et ce n’est pas pour rien qu’on dit souvent qu'une image vaut 1000 mots…Sa BD en est la preuve.Alors je vous encourage vivement à vous procurer cette BD éditée aux éditions Ailes et Graines.Fanny parle dans cet épisode, de ce qu’il l’a poussé à être illustratrice, de son rapport à ses parents et des petites violences éducatives qui ont jalonnées son enfance.Fanny mène également un combat contre les violences faites aux femmes et les relations toxiques qui peuvent détruire une personne.Merci Fanny pour ta spontanéité et ton enthousiasme! C’était Fanny Vella, illustratrice et autrice de la BD et si on changeait d’angle.Je suis Clémentine Sarlat, votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à en parler autour de vous ou sur les réseaux sociaux @lamatrescencePrenez soin de vous, à la semaine prochaine!
Saison 3 - Épisode 73 - 29/01/2021
Il y a des annonces qui marquent. Et celle d’Emilie Daudin, le 1er novembre dernier sur son compte instagram, n’a laissé indifférente aucune femme.Emilie est influenceuse et maman de 2 enfants. Le 1er octobre 2020, le ciel lui tombe sur la tête, elle découvre qu’elle est atteinte d’un cancer du sein triple négatif, elle a 32 ans.Ce cancer est agressif. Il concerne 10 à 15% des personnes atteintes de cancer. Quand on cherche sur google ce mot, la première suggestion est : espérance de vie. Parce que oui, la mort approche de près celles qui développent ce type de cancer.Pour rappel 1 femme sur 8 est atteinte de cancer du sein, c’est la première cause de mortalité chez les femmes.Dans son post instagram, Emilie, avec beaucoup de sobriété, raconte se battre pour elle, mais aussi pour que nous, en tant que femmes, n’oublions pas de nous faire dépister. Alors si vous écoutez cet épisode, que vous avez un doute, n’attendez plus, prenez rendez-vous avec votre gynécologue ou votre sage-femme.Cet épisode est fort en émotion, j’ai voulu comprendre ce que peut ressentir une maman de jeunes enfants qui doit gérer, une chimiothérapie, son couple, ses peurs, son rapport au corps, son entreprise et cette lutte acharnée face à ce terrible crabe.Aujourd’hui Emilie n’est pas guérie, elle est en plein traitement, mais elle sait dors et déjà que l’insouciance c’est fini. Pour en savoir plus, je vous invite à découvrir le podcast qu’Emilie a lancé sur le sujet qui s’appelle @triplenégatif ou d’écouter l’épisode dans PowHer où elle raconte la découverte.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était Emilie Daudin, entrepreneuse et maman atteinte d’un cancer.N’oubliez pas, faites vous dépister au moindre doute.Je suis Clémentine Sarlat, la créatrice de ce podcast.Si vous avez aimé cet épisode, partagez le sur les réseaux sociaux @lamatrescence.A la semaine prochaine, prenez soin de vous
Saison 3 - Épisode 71 - 15/01/2021
Bienvenue dans la matrescence, vous écoutez l’épisode 71 de la saison 3Je ne sais pas si vous êtes d’accord avec moi, mais j’ai la sensation que nous faisons partie d’une génération qui soulève des questions, qui remet en perspective certaines idées et qui avance pour déconstruire. Cécile Doherty Bigara en est le parfait exemple. Elle est l’autrice du livre Nouvelle Mère, un récit autobiographique et poignant qui raconte sa maternité.A travers son livre, elle a voulu révéler toute l'ambiguïté de ce rôle si précieux mais si déstabilisant.Dans cet épisode, nous parlons beaucoup de transmission, de transgénérationnel et du poids de la famille.  On aborde également les thématiques liées à la honte et à ce sentiment d’inadéquation que ressentent beaucoup de mères.Pendant 2 ans, Cécile a noté ce qu’elle ressentait, ces moments de grande souffrance, au point où elle avoue, avoir cru mourir. Il lui aura fallu beaucoup de patience pour se reconstruire derrière cette maternité qui a balayé sa vie telle qu’elle la connaissait. Mais 3 ans plus tard, Cécile lève le voile sur ce tabou et raconte ce qui aujourd’hui, la nourrit profondément pour vivre plus sereinement sa maternité.Je vous souhaite une très bonne écoute. C’était Cécile Doherty Bigara, autrice du livre Nouvelle MèreJe suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé ce podcast, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescence, à laisser un commentaire et à mettre 5 étoiles.A la semaine prochainePrenez soin de vous
J’ai découvert Isadora et Marisa, 2 sœurs jumelles entrepreneuses, il y a un peu plus de 2 ans maintenant à travers le podcast de Génération XX où elles racontaient la genèse de leur entreprise Snackies. J’avais été interpellé par leur enthousiasme et surtout leur franchise au regard de leur aventure professionnelle.A l’époque elles n’étaient pas maman et leur business tournait autour de snacks sains.Et puis… Isadora, d’abord, est devenue maman d’une petite Alba il y a 16 mois, avant que sa sœur Marisa ne la rejoigne en accueillant sa première fille Gemma en septembre 2020.Dans cette épisode, je voulais à la base parler d'entrepreneuriat et gestion du temps entre sa vie pro et perso. Et je me suis vite rendue compte qu’il y avait bien plus à creuser à travers leur profils. Marisa et Isadora sont différentes et pourtant elles ont la même configuration familiale, elles sont belles-mères avant d’être mère. On a donc évoqué ce sujet, mais aussi leur cheminement face à leur éducation parfois empreinte de violences éducatives et leur relation à leurs parents. Marisa, avec beaucoup d’honnêteté, raconte comment elle n’arrivait pas toujours à comprendre Isadora sur les thèmes de la maternité, avant de devenir elle-même maman. Et Isadora explique la pression qu’elle a pu ressentir face à sa sœur dans leur aventure professionnelle.En 2020, après plusieurs années passées à faire grandir Snackies, elles ont réfléchi à faire pivoter leur entreprise au moment où Marisa est tombée enceinte. A 32 ans, elles avaient envie de créer une entreprise plus alignée avec leur valeurs et leur nouveau mode de vie de maman entrepreneure. Intentions est né!Je vous souhaite une très bonne écoute
Bienvenue dans La Matrescence, vous écoutez l’épisode 69 de la saison 3. Et le dernier de l’année 2020.Alors je vous souhaite une excellente année 2021. On en a besoin. Merci d’être toujours plus nombreux et aussi présent.e.s pour soutenir ce podcast.Pour le dernier épisode de l’année, j’ai choisi d’interviewer la personne qui a été la lumière dans ma maternité, celle qui a planté des graines en moi, sans même le savoir.Cet épisode est anglais, parce que c’est Nan, ma soeur américaine qui répond. Nan, je l’ai rencontré il y a 15 ans, quand je suis arrivée dans le Minnesota pour ma terminale. J’ai vécu dans une famille américaine et Nan est la femme de mon frère américain, Steele. J’espère que vous suivez :)J’ai partagé énormément de choses avec elle, même avec 8000 Kms de distance. Ce qui est sûr c’est que ce podcast n’existerait pas si elle n’avait pas fait partie de ma vie.Nan a été mon pilier, quand je suis devenue mère, c’est elle, par ses recommandations qui m’a fait découvrir le mot matrescence et tellement plus.Il y a 7 ans, elle a choisi d’accoucher à la maison, et depuis cette idée m’était restée dans la tête. Je suis très émue de vous faire partager cette conversation avec cette femme extraordinaire, mère de 2 petits garçons, Junah et Fields.Nan est professeure de yoga, mais surtout elle a fondé il y a 17 ans, Landscape Love, une entreprise de paysagisme qu’elle dirige avec son mari Steele, mon frère américain.Si vous voulez comprendre un peu mieux, vous pouvez aller dans mes storys permanente sur Instagram, j’y parle de ma famille plus en détails. Je vous souhaite une très bonne écoute
Aujourd’hui je vous embarque avec moi dans le monde extraordinaire de la neuroscience.Mon invitée du jour est Nawal Abboub, elle est neuroscientifique spécialisée dans les mécanismes d’apprentissage des enfants et des tout-petits.En 2018, elle a reçu le prix des 50 femmes les plus inspirantes de la Tech et elle a cofondé Rising up, une start up qui déploie des solutions technologiques pour développer le potentiel d’apprentissage des individus et une association 1001 mots qui œuvre pour l'égalité des chances.Dans cet épisode, Nawal nous explique ce que nous dévoilent les dernières recherches sur le cerveau des tout-petits et notamment sur le langage. Avec elle nous décryptons une thématique plus large, les neurosciences n’ont de sens que si l’on prend en compte l’aspect sociétal et environnemental du développement d’un humain. C’est passionnant.  Et enfin, nous abordons avec Nawal, l’épineuse question des écrans et leurs impacts dans l’apprentissage.Comme tout parent vous vous posez des questions au sujet des écrans et c’est bien normal, ils font partie intégrante de notre quotidien, et nous mêmes, adultes, avons du mal à nous en défaire. Alors quelles sont les dernières découvertes scientifiques sur ce sujet? Que faut-il faire avec les écrans? Les écrans sont-ils vraiment mauvais?Nawal remet en perspective ce problème de société. Attention, c’est très déculpabilisant!Je vous souhaite une très bonne écoute https://blog.risinguparis.com/jeunes-enfants-ecrans-apprentissage/ https://blog.risinguparis.com/emotion-et-intelligence/C’était Nawal Abboub, neuroscientifique spécialisée dans les questions d’apprentissages dès la vie in utero.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé ce podcast, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescence, à laisser un commentaire et à mettre 5 étoiles.A la semaine prochaine
Dans cet épisode nous allons parler de la perte d’un enfant. Le sujet est sensible, douloureux et terriblement tabou.C’est pour briser ce tabou que Betty se bat au quotidien pour que l’on n’oublie pas Nathan, son fils décédé il y a un an, le 10 décembre 2019.Betty est maman de 3 enfants, Nathan, Mélina & Loane.Quand Nathan meurt, elle est encore dans son postpartum. Sa dernière n’a que 3 mois. Pour survivre, Betty et Flo, sont très rapidement entourés de leurs amis et leur famille. Un véritable village se crée pour leur permettre de vivre leur deuil dans des conditions décentes et d’enclencher une procédure judiciaire difficile. Certaines allaitent Loane, quand Betty n'est plus disponible psychiquement pour son bébé. D’autres préparent à manger. Et vous le comprendrez dans cet épisode, leur rôle a été prépondérant.Dans cet épisode, nous parlons de Nathan, ce petit garçon au rire incroyable, nous parlons de sa maladie génétique, la sclérose tubéreuse de Bourneville, de la gestion de ses crises d’épilepsie, de ce fameux soir de décembre où Nathan n’a pas survécu à une crise d’épilepsie.A travers le récit de Betty, on comprend surtout que vivre après la perte d’un enfant n’a plus la même saveur, que le mode pilote automatique s’enclenche souvent, qu’avoir d’autres enfants permet de continuer à voir la lumière, mais que plus rien ne sera comme avant.Alors comment Betty et sa famille font vivre Nathan au quotidien dans leur vie? Comment Betty parle de lui à ses soeurs ? Quels impacts sur le couple?Beaucoup d’amour dans cet épisode.Merci sincèrement Betty pour ta confiance.Je vous souhaite une très bonne écoute, et si vous êtes sensibles des oreilles, ne soyez pas surpris, on entend à plusieurs reprises, les petits cris de Loane.C’était Betty Van Aken, maman de Nathan, Mélina et LoaneJe suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé ce podcast, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescence, à laisser un commentaire et à mettre 5 étoiles.
Ce hors série est rendu possible grâce au soutien de Tajinebanane.Tajinebanane est une marque qui rayonne et met le smile à toutes celles et ceux qui croisent sa route. Avec Tajinebanane vous pouvez allaiter partout tout le temps, pour les petites et grandes occasions mais aussi et surtout pour la vie de tous les jours!Cet automne découvrez la collaboration avec Karine et Jean André, tatoueur reconnu. Des hoodies, des couleurs vives et même des pyjamas pour vos enfants.Pour découvrir toute leur collection, rdv sur tajinebanane.fr.Bienvenue dans ce huitieme hors série de la Matrescence.Un mercredi par mois un ou une expert.e répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la Matrescence pour poser vos questions sous le post concerné. Quand on devient parents, il y a des sujets auxquels on ne pense jamais devoir s’intéresser, et puis, par la force des choses, on y est confrontés.Les freins de bouche, ça en fait partie! Et d’un coup, un monde nouveau s’ouvre à nous. Je plaisante à peine.J’ai eu le plaisir de rencontrer la chirurgienne dentiste, Noëlla Rajonson, qui dédie sa pratique aux freins buccaux.Dans cet épisode, elle vous explique, ce qu’est un frein, si les freins ne concernent que les nourrissons, pourquoi les freins concernent tout un pan de disciplines, l’impact à l’âge adulte et bien plus encore!Très bonne écoute  C’était Noëlla Rajonson, chirurgienne dentiste, pour ce hors série spécial frein de boucheA très vite Prenez soin de vous
Saison 3 - Épisode 66 - 27/11/2020
Dans cet épisode spécial, je vous raconte mon accouchement à la maison, le 24 septembre 2020.9 semaines, 9 semaines que je ressasse les images dans ma tête, que j’ai peur de les oublier, que j’aimerais m’en imprégner pour la vie!Il y a 9 semaines j’ai donné la vie pour la 2e fois. Mais cette fois, dans l’eau, dans l’intimité de notre salon, dans la douceur et la chaleur de notre maison.9 semaines sur un petit nuage. 9 semaines où, oui, je suis extrêmement fière de moi.e sLe timing est parfait puisque j’ai reçu il y a peu, les chiffres officiels français de l’aad, accouchement à domicile de 2019.Donc je vais pouvoir étayer mon récit de ces chiffres. C(Je ferai partie des chiffres de 2020 😊)Alors déjà, l’accouchement à domicile, ça représente 0,14% des accouchements en France.910 femmes ont accouché chez elles en France sur 753 000 naissances.tDonc clairement, c’est très très très peu.Merci à la sage femme @floriane_sf_aad  pour ce formidable boulot de collect de données.Si vous suivez ce compte depuis longtemps, vous savez que c’est un projet mûrement réfléchi (vous pouvez écouter les épisodes 50 et le hors série d’octobre pour comprendre). J’étais donc ultra préparée mentalement pour aller au bout de cette envie.Accoucher ce n’est pas anodin, c’est vrai. Mais ça peut aussi être merveilleux, puissant, extra-ordinaire et grandiose.reC’est un moment inoubliable.Pour avoir été celle qui accouche pour son premier bébé après 17h de travail difficile, je peux vous assurer qu’on aussi prendre un plaisir fou à donner la vie. Cet accouchement je le refais sans me poser de questions, demain, s’il le faut.La suite de l’histoire de cet accouchement maison, c’est dans le podcast d’aujourd’hui !Bonne écoute 🧡*N’oubliez pas de signer la pétitionS#noussommesmatraitees#noussommesmaltraites#jesuismaltraitante#jesuismaltraitantSi vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon site web est en ligne, allez y faire un tour pour trouver de nouveaux épisodes. Lien dans les notesA la semaine prochaineCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitées : Clémentine SarlatMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Saison 3 - Épisode 65 - 20/11/2020
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l'épisode 65 de la saison 3!Je crois qu’on peut toutes et tous être d’accord sur un point : sage-femme est le plus beau métier du monde.Oui, mais à quel prix?Le 11 novembre 2020, Anna Roy, sage-femme mais aussi chroniqueuse pour l’émission de la maison des maternelles, nous plonge dans son quotidien de manière brute, dans un post instagram devenu viral.Anna y met tout son coeur et surtout sa rancoeur face à un système qui brutalise tout le monde, les patientes, les familles et les soignantes.Etre sage-femme, dans ces conditions, résume Anna, c’est etre maltraitante.Le mot est lâché, il est fort.Quand Anna poste son texte, je la contacte dans la foulée, touchée par sa détresse. Nous échangeons et l’idée folle vient de naitre. On va se battre ensemble pour restaurer l’humanité des salles de naissances.Je demande à Alison Cavaillé, la fondatrice de Tajinebanane et aujourd’hui une amie, je demande à Clémentine Galey la fondatrice de Bliss, si elles sont prêtes à nous rejoindre pour faire bouger les lignes.Agathe Lecaron nous rejoint et nous voilà parties à écrire une pétition pour aider les femmes, toutes les femmes et les soignantes.Dans cet épisode, Anna vous raconte son quotidien, d’où lui vient sa passion et surtout, pourquoi il est urgent de faire bouger les lignes.Notre demande est simple.Une femme, une sage-femmeBonne écoute et surtout, partagez la pétition et SIGNEZ-là!https://www.change.org/jesuismaltraitante C’était Anna Roy, sage-femme, chroniqueuse et autrice. Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon site web est en ligne, allez y faire un tour pour trouver de nouveaux épisodes. Lien dans les notesA la semaine prochaine et surtout SIGNEZ LA PETITION!Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitées : Anna RoyMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Ce hors série est rendu possible grâce au soutien de Tajinebanane.Tajinebanane est une marque qui rayonne et met le smile à toutes celles et ceux qui croisent sa route. Avec Tajinebanane vous pouvez allaiter partout tout le temps, pour les petites et grandes occasions mais aussi et surtout pour la vie de tous les jours!Cet automne découvrez la collaboration avec Karine et Jean André, tatoueur reconnu. Des hoodies, des couleurs vives et même des pyjamas pour vos enfants.Pour découvrir toute leur collection, rdv sur tajinebanane.fr. Bienvenue dans ce septième hors série de la Matrescence.Un mercredi par mois un ou une expert.e répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la Matrescence pour poser vos questions sous le post concerné. Le 24 septembre dernier, Clément et moi avons accueillis notre deuxième fille, Jasmine, chez nous.Cet accouchement à la maison est le fruit d’une longue réflexion, et vous avez eu énormément de questions à la suite de cet évènement qui marquera notre vie à jamais. Alors c’est parti pour un question réponse, spécial, où l’on vous partage notre expérience.Pour rappel au retour du podcast après une pause pour mon congé maternité, j’enregistrerai un épisode dédié entièrement au déroulé de cet accouchement. Très bonne écoute, et n’hésitez pas à partager cet épisode si vous l’avez aimé.  C’était le 7e hors série, rendez-vous sur le site clementinesarlat.com pour plus d’épisodes!A très vite
Ceci est un épisode hors-série proposé par la Fondation Ronald McDonald. La Fondation Ronald McDonald, sous l’égide de la Fondation de France, soutient depuis plus de 25 ans les familles d’enfants hospitalisés. Grâce aux Maisons de parents, construites à proximité des hôpitaux, et à la Parenthèse, un espace de vie au sein même de l’hôpital, les parents peuvent rester au plus proche de leurs enfants pendant toute la durée de leur hospitalisation. Dans l’épisode précédent, le 63, Fanny nous racontait sa version de la naissance prématurée de son fils Lucas. Pour cet épisode, nous nous sommes réunis avec Fabrice Florent, le fondateur du podcast Histoire de Darons, pour donner la voix à ce couple.Ici vous entendrez Jérôme, le papa, livrer sa version de la prématurité avec sa femme. A leurs côtés nous avons voulu montrer qu’au sein d’un même couple, chaque individu vit et traverse les difficultés de la vie avec un regard parfois bien différent. Et pourtant jamais, et on le sent, ces deux êtres n’ont cessé de s’aimer. C’est une expérience enrichissante, que d’avoir 2 points de vue d’un même événement.Je vous souhaite une très bonne écoute.   « Cet épisode a été réalisé en partenariat avec la Fondation Ronald McDonald. Merci à Fanny et Jérôme pour  leur témoignage. Retrouvez tous les épisodes du podcast « Dans la Maison des Parents » sur vos applis de podcasts habituelles. Et pour plus d’informations sur la Fondation rendez-vous sur le site fondation-ronald-mcdonald.fr »Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon site web est en ligne, allez y faire un tour. Lien dans les notes
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 63 de la saison 3!  Ceci est un épisode hors-série proposé par la Fondation Ronald McDonald. La Fondation Ronald McDonald, sous l’égide de la Fondation de France, soutient depuis plus de 25 ans les familles d’enfants hospitalisés. Grâce aux Maisons de parents, construites à proximité des hôpitaux, et de la Parenthèse, un espace de vie au sein même de l’hôpital, les parents peuvent rester au plus proche de leurs enfants pendant toute la durée de leur hospitalisation.  Après 12 ans de PMA et plusieurs fausses couches, Fanny tombe enfin enceinte. Après 3 mois à retenir son souffle, son bébé s’accroche. Mais à la 23e semaine, première grosse alerte, Fanny, doit être hospitalisée à Bordeaux pour tenter de garder bien au chaud son bébé.Lucas, pointera le bout de son né à la 25e semaine… 25 semaines pour ceux qui ne visualisent pas, c’est la limite de la viabilité d’un foetus… Lucas pèse alors 600 grs.Jamais on ne leur dira que Lucas s’en sortira, ils doivent composer au jour le jour avec la peur de le perdre.Fanny et son mari vont passer 5 mois près de lui au CHU de Bordeaux.Grâce à la maison des parents qui leur offre une place et surtout un grand soutien avec la possibilité de dormir tous les jours près de leur bébé, Fanny et Jérôme, vont petit à petit sortir de l’angoisse pour enfin rentrer à la maison, à 3.Je vous souhaite une très bonne écoute et petite précision, les bruits de bip que vous entendrez au long de l’épisode, sont simplement, les bruits de la machine qui aide Lucas à respirer. « Cet épisode a été réalisé en partenariat avec la Fondation Ronald McDonald. Merci à Fanny pour son témoignage. Retrouvez tous les épisodes du podcast « Dans la Maison des Parents » sur vos applis de podcasts habituelles. Et pour plus d’informations sur la Fondation rendez-vous sur le site fondation-ronald-mcdonald.fr »Je suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon site web est en ligne,allez y faire un tour. Lien dans les notesCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Sandie TourondelMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 62 de la saison 3.L’ambivalence maternelle, peut-être l’un des sentiments les plus difficiles à apprivoiser lorsqu’on devient mère.Ce besoin de proximité avec son bébé mais aussi cette envie d’autonomie et de se retrouver soi peut bousculer n’importe quel être humain.C’est ce qui est arrivé à Sophie Ebrard, photographe et créatrice de l’exposition “I didnt Want to be a mum” qui s’est tenue à Amsterdam il y a un an.Sophie raconte sans fards qu’elle aurait aimé 10 ans de plus avant de devenir mère pour pouvoir vivre sa vie à elle. Mais à 36 ans, elle sent le tic toc envahir ses pensées… et se lance donc dans ce projet de faire un enfant.A l’arrivée de son fils Jules en 2013, Sophie réalise qu’elle a du mal à tisser un lien avec lui, qu’il manque quelque chose à leur relation, mais elle ne parvient pas à identifier l’origine de ce sentiment.C’est la naissance de sa fille, quelques années plus tard, qui vient tout chambouler sur son passage… Sophie découvre ce lien maternel si précieux et réalise le manque avec Jules.Dans cette exposition très forte, Sophie dédie une vidéo à cette matrescence et à son fils. J’ai personnellement pleurer en la regardant, elle est disponible sur mon compte instagram.Une 2e maternité qui répare la première, c’est le thème de cet épisodeJe vous souhaite une très bonne écouteCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitées : Sophie EbrardMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode 61 de la saison 3.On a toutes et tous fait le constat en tant que femmes ou en tant que parents, que face à certains soignants la bienveillance, l’écoute et la prise en compte de sa spécificité liée au genre ou à sa couleur de peau, n’était pas toujours respectée. L’association pour une MEUF, c’est à dire pour une Médecine Engagée Unie et Féministe, créé il y a 3 ans, a fait le même constat.Ces femmes, à l’origine de l’association, ne se reconnaissant plus dans le discours majoritaire du monde des soignants face aux patients, ont décidé de prendre les choses en main et d’agir à la racine du problème. C’est à dire dans les universités et auprès des soignants volontaires et adhérents de la démarche.  J’ai donc eu le plaisir d’interviewer Maya, orthophoniste et engagée depuis le début aux côtés d’autres membres d’une MEUF.Dans cet épisode on parle des actions menées par une MEUF, de la formation prodiguée, des polémiques autour de la liste des soignants mais aussi de sa posture à elle en tant que soignante et comment elle a changé face aux enfants notamment. On a évoqué l’autisme et le bilinguisme chez les enfants.Je vous souhaite une très bonne écouteCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitées : Maya, orthophonisteMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Bienvenue dans la Matrescence, c’est la rentrée, pour une nouvelle saison, vous écoutez l’épisode 60 de la saison 3! Pour cette rentrée, je reçois deux femmes, une mère et une fille.Deux femmes d’une même lignée maternelle qui composent avec leurs différences mais qui ont réussi à trouver le chemin, parfois difficile de la guérison mère/fille. Mai Hua est réalisatrice. Elle a 44 ans et pendant plusieurs années elle a filmé les femmes de sa famille d’origine vietnamienne. Sa grand-mère d’abord puis elle et sa mère, ainsi que sa fille. En est sorti un magnifique film documentaire que je vous recommande chaudement, intitulé : Les Rivières sur ces 4 générations de femmes puissantes. Avant de démarrer l’épisode, je vous encourage, à titre personnel, à visionner ce film d’une profondeur incroyable, afin de mieux comprendre nos échanges. Mai et sa mère Hong Loan qui est médecin, détricotent au fil des 6 années de tournage et de montage, leur relation tumultueuse où amour, incompréhension, honte, peur de la répétition du schéma familiale, divorce et résilience se mêlent.  Dans cet épisode, elles ont accepté de revenir, à 2, sur cette expérience cinématographique qui a changé à tout jamais leur relation et leur vie.Vous découvrirez comment on peut réussir à se reconnecter à sa propre mère, comment on peut pardonner certaines trahisons vécues en tant qu’enfant, comment le poids de la culture vietnamienne a influencé leur façon d’envisager la famille et ses liens et surtout comment les non-dits, la violence et l’inceste au sein du foyer peut se répercuter sur des générations avant que le cercle ne se brise.Ces 2 femmes sont une ôde à la famille, à la transmission et à l’amour.Je les remercie infiniment d’avoir accepté de parler de leur histoire, qui au final, est universelle.   Je vous souhaite une très bonne écoute Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitées : Mai Hua et Hong LoanMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode numéro 59 - le dernier épisode de la saison 2!Le 30 septembre 2019, la vie de la famille de Sandie Tourondel bascule.Sandie est maman de jumeaux, Arthur et Jules.Ils sont nés grands prématurés mais jusqu’à leur 5 ans leur santé n’est pas une source d’inquiétude.Et puis ce 30 septembre 2019, Arthur est diagnostiqué d’un gliome infiltrant le tronc cérébral, un cancer du cerveau extrêmement rare et surtout incurable.Les médecins parlent d’une période de 9 mois à 2 ans avant qu’Arthur ne décède de sa maladie…Le monde de Sandie s’écroule…Mais Sandie est une battante, elle et son mari Alex, vont tout faire pour qu’Arthur vive les plus beaux derniers mois de sa vie.Sandie et ses amies, créent l’association Les étoiles filantes, pour que les enfants malades puissent réaliser leur rêves et notamment rencontrer leur sportifs préféré. Arthur a eu la chance de pouvoir passer quelques heures avec Killian Mbappé.Il y aura d’ailleurs une vente aux enchères en septembre 2020 pour aider l’asso. Allez faire un tour sur leur site.Cet épisode est plein de vie, d’espoir. Si Sandie raconte une histoire que tout parent redoute, elle lève également le voile sur ce qu’est la réalité d’accompagner un enfant en fin de vie et de gérer un autre petit garçon, Jules, le jumeau d’Arthur.Je vous souhaite une très bonne écoute.Merci du fond du coeur Sandie.Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Sandie TourondelMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Saison 2 - Épisode 58 - 24/07/2020
Cette semaine j’ai donné la parole à la créatrice du compte instagram : parents toxiques.Qu’est-ce qu’un parent toxique : il est difficile de trouver une définition claire et précise. Mais un parent toxique peut se résumer en 5 points : il critique et se moque de son enfant, il culpabilise son enfant, il ne s’excuse jamais, il nie les émotions de son enfant en permanence et impose ses vues à son enfant. Un parent toxique c’est aussi un parent violent, sexuellement abusif, maltraitant et agressif. Vous l’aurez compris, chacun sa définition du parent toxique.En France, selon le site de la fondation de l’enfance, 14 % des Français déclarent avoir été victimes de maltraitances de la part d’un(e) adulte au cours de leur enfance60 % n’en ont parlé à personne. Pourtant, lorsqu’elle existe, l’aide apportée aux victimes a permis de mettre fin à la maltraitance dans 6 cas sur 10.En France, on compte plus d’1 million d’enfants maltraités.Avec son compte instagram, M qui a tenu à rester anonyme, veut donner la parole à ces victimes, pour qu’enfin le cercle vicieux se brise. Dans cet épisode, M raconte sa propre histoire, son cheminement et comment elle voit son compte. Pour elle tous les témoignages relèvent d’un grand courage et c’est ça qu’elle veut mettre en avant.Je vous souhaite une très bonne écoute.C’était M. - Fondatrice du compte instagram Parents ToxiquesJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon nouveau site web est en ligne, n’hésitez pas à y faire un tour. Lien dans les notesA la semaine prochaine, prenez soin de voushttps://www.laprocure.com/parents-toxiques-echapper-emprise-susan-forward/9782501084871.htmlCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : M. Créatrice de Parents ToxiquesMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Ce hors série est rendu possible grâce au soutien de Tajinebanane.Tajinebanane est une marque qui rayonne et met le smile à toutes celles et ceux qui croisent sa route. Avec Tajinebanane vous pouvez allaiter partout tout le temps, pour les petites et grandes occasions mais aussi et surtout pour la vie de tous les jours!3 nouveautés pour cet été, la collection Céré-mommy, mère-made et Ah l’été.On passe du maillot de bain, aux robes vaporeuses, du kid à la mama et de la gaz de coton à l’éponge!Pour découvrir toute leur collection, rdv sur tajinebanane.fr.Bienvenue dans ce sixième hors série de la Matrescence.Un mercredi par mois un ou une expert.e répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la Matrescence pour poser vos questions sous le post concerné.La douleur… ah ce mot qui a lui seul réveil une quantité de souvenirs parfois difficile. La douleur est un vrai sujet dans la maternité que ce soit pendant la grossesse au moment de l’accouchement ou en postpartum.Mais c’est un sujet trop peu abordé sous un prisme nouveau et éclairant.Nina Géneau est sage femme, professeure de yoga et enseignante universitaire. Elle a fait de sujet sa prédilection.Quand on gratte derrière ce mot, d’un coup un monde s’offre à nous.Dans cet épisode, on parle de définition du mot douleur, de la fameuse phrase enfanter dans la douleur, de la douleur des nourrissons et ce que l’on en sait, de la dépression pré natal, de notre rapport à cette douleur, de césarienne, d’allaitement et plein d’autres thèmes comme la mémoire du corps.Je vous souhaite une très bonne écoute
Saison 2 - Épisode 57 - 17/07/2020
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode numéro 57 - saison 2!Une des partie peut-être les plus agaçantes avec la maternité, ce sont les conseils non sollicités. Ils partent souvent d’une bonne intention, mais peuvent rapidement faire culpabiliser les nouveaux parents.Or on le sait, la transmission est importante… Alors comment trouver le juste équilibre?Ophélie Bourgeois a créé le compte instagram, devenu viral, Garde tes conseils, pour justement dénoncer les injonctions et les mots blessants que peuvent prononcer l’entourage proche.Dans cet épisode, Ophélie raconte, l’histoire derrière la page instagram, les enjeux avec les conseils, les conseils roudoudous, ou ceux qui requinquent un jeune parent.Et puis Ophélie nous explique comment elle a réussi à désamorcer en famille les moments où on ne peut plus gérer ces intrusions permanentes...C’était Ophélie Bourgeois - Fondatrice du compte instagram Garde tes conseilsJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon nouveau site web est en ligne, n’hésitez pas à y faire un tour. Lien dans les notesA la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Ophélie Bourgeois Musiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode numéro 56 - saison 2!Cette semaine je reçois Prisca Ratovonasy, la co-fondatrice du podcast Les enfants du bruit et de l’odeur.Prisca s’est lancée dans l’aventure du podcast après en avoir eu marre des discours racistes qu’elle entend encore aujourd’hui au sein de l’école. Elle a 2 filles, elle est née à Madagascar et elle pensait qu’en 2020, ses filles ne vivraient plus ce qu’elle a elle enduré en arrivant en France en 1991… Malheureusement la réalité l’a rattrapé et elle s’est dit qu’elle devait donner la parole à tous ses parents qui souffrent pour leurs enfants.Dans cet épisode, on aborde plein de thèmes variés, comme l’histoire de la colonisation, les micro agressions quotidiennes et ce qu’elles peuvent déclencher chez les enfants, la posture des enseignants et de l’école en général vis à vis d’un enfant racisé.La discussion est passionnante, Prisca connaît le sujet par coeur et amène des informations précieuses pour comprendre les enjeux de cette décennie face à nos enfants.Je vous souhaite une très bonne écoute C’était Prisca Ratovonasy, co-fondatrice du podcast les enfants du bruit et de l’odeurJe suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon nouveau site web est en ligne, n’hésitez pas à y faire un tour. Lien dans les notesA la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Prisca Ratovonasy Musiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
J’ai lancé mon site web, n’hésitez pas à y faire un tour pour trouver des épisodes que vous n’avez pas écouté. Tout y est! clementinesarlat.comAccoucher autrement… c’est le titre du film documentaire de Camille Teixeira, sorti en 2019.Pourquoi, autrement? Parce que Camille s’est intéressée à d’autres façons d’envisager l’accouchement en France, loin du discours parfois anxiogène autour de la naissance.Quelles sont les alternatives? Dans l'hexagone, une femme peut choisir d’aller à la maternité, d’aller en Maison de Naissance, sur un plateau technique ou à la maison…C’est la théorie puisque malheureusement aujourd’hui les femmes n’ont pas ce choix à leur disposition, tout dépend de leur lieu de résidence.A travers son magnifique documentaire, Camille intérroge plusieurs professionnels de la naissance, pour tenter de montrer qu’il est possible de changer notre regard sur ce “qu’enfanter” au 21e siècle veut dire.Très bonne écouteSi vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon nouveau site web est en ligne, n’hésitez pas à y faire un tour. Lien dans les notesA la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Camille Teixeira, réalisatriceMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Saison 2 - Épisode 54 - 26/06/2020
Fatimata Diagana est médecin de PMI. Un rôle particulier qui implique au delà de la médecine et qui demande de vraie compétences humaines. Dans sa pratique Fatimata soigne autant les bébés que les mamans. Mais est-on vraiment préparé à un si large panel en étude de médecine? A t-on la capacité de détecter réellement  les problématiques liées à la violence conjugale par exemple? Pas vraiment et Fatimata en a totalement conscience. Alors elle se forme de son côté et ajoute à sa palette de médecin plein d’autres atouts.Avec Fatimata on a aussi discuté de sa propre expérience de mère qui a transformé sa pratique. On a longuement évoqué le fait d'être une femme noire dans un milieu fermé et les récents évènements contre le racisme qui prennent place depuis quelques semaines.Je vous souhaite une très bonne écouteÊtre médecin de PMIC’était la docteure Fatimata Diagana.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon nouveau site web est en ligne, n’hésitez pas à y faire un tour. Lien dans les notesA la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Docteure Fatimata DiaganaMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Cela fait un moment que je m’interroge sur la place des beaux parents. Ceux qui n’ont pas encore connu la parentalité à travers leur propre expérience, mais ceux qui élèvent quand même des enfants.J’ai donc demandé à Raphaël Gillot Jouannet de me raconter comment il s’est senti quand il a accueilli Noam et Maali les deux enfants d’Alison quand ils se sont rencontrés.Raphaël est aujourd’hui papa d’un petit Lou, le 3e enfant d’Alison la fondatrice de TajineBanane.Raphaël et moi on se connait du rugby, ou en tout cas, j’ai toujours su qu’il était. Ancien rugbyman rien ne le prédestinait dans sa façon de vivre à partager son quotidien avec 2 enfants du jour au lendemain. Et pourtant c’est ce qu’il a fait sans se poser de questions.Alors comment on gère cette nouvelle paternité, pas tout à fait à 100%, comment on élève les enfants d’un autre, comment on trouve sa place dans un trio mère enfant? Comment on vit son histoire d’amour avec la maman quand il y a déjà d’autres enfants? Est-ce que ça change quelque chose d’avoir ensuite son enfant à soi?Bref tellement de richesse dans cet épisode. Je vous laisse avec la bonne humeur XXL de RaphaëlSi vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon nouveau site web est en ligne, n’hésitez pas à y faire un tour. Lien dans les notesA la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Raphaël Gillot-Jouannet Musiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Saison 2 - Épisode 52 - 12/06/2020
Cette semaine je reçois Marie Iris Dubois, sage femme, psychologue clinicienne et directrice de la recherche au sein de l’association edu ensemble.Marie Iris a porté ses recherches sur l’épigénétisme en lien avec la parentalité.L’épigénétique c’est quoi exactement ? C’est l’ensemble de l’expression de nos gènes et comment ils vont être utilisés par nos cellules. Mais cela pourrait surtout être résumé par le fait que l’environnement joue un rôle clé sur la façon dont nos gènes peuvent muter tout au long de notre vie et donc nous faire évoluer.Autant vous dire qu’il y a énormément de thèmes qui peuvent donc s’apparenter à la grossesse, l’éducation et nos évolutions en tant qu’être humain.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Marie Iris Dubois, directrice de la recherche au sein de l’association Edu ensemble.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!Mon nouveau site web est en ligne, n’hésitez pas à y faire un tour. Lien dans les notesA la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Marie-Iris DuboisMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
Bonne fêtes des mères à toutes, aux mamans solos, aux mamanges, aux 2e maman, aux mère adoptives, aux belles-mère aussi…Et bonne fêtes à ma maman d’amourAllez l’épisode :Partir plusieurs mois avec ses enfants, en vadrouille à l’étranger, ça peut faire peur…C’est pourtant ce mode de vie qu’a choisi Solen avec ses 2 jumeaux Andy et Noa et son chéri James.Solèn vit au Porge sur la côte atlantique où elle tient un club de surf et vit de manière saisonnière.6 mois sur la plage au travail, et 4 mois à parcourir le monde.Au travers de son histoire, Solen distille des conseils précieux pour voyager, raconte comment elle planifie et s’organise bien en amont pour passer 4 mois loin de son cocon avec ses jumeaux de 5 ans.Comment elle gère l’école quand, ses enfants sont absents, de janvier à avril…Bref ça donne déjà envie de partir avec eux!Très bonne écouteJe suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!J'ai un nouveau site web, tout beau! rdv sur clementinesarlat.com J’ai aussi ouvert un compte youtube avec des cours de yoga réservés aux femmes enceintes et aux nouvelles mamans. A la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Solen autrice du blog Trip and TwinsMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : Clémentine Sarlat Réseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Abonnez-vous
50e épisode. Un épisode spécial où je suis la seule à intervenir.Accoucher à la maison ça parait fou et pourtant c’est mon projet, notre projet pour notre famille et ce 2e bébé à venir.Dans une première partie je vous parle de mon cheminement pour envisager un 2e enfant.Et à partir de la 17e minute j’évoque le choix d’accoucher à domicile.Je vous mets toutes les références dont je parle dans cet épisode, un peu de manière désordonnée, à vous de piocher :Livres :1.Le Guide de la naissance naturelle, Ina May Gaskin, éditions mama. Indispensable pour comprendre le fonctionnement de son corps au moment de l’accouchement. Spoiler on parle de sexualité ;)2. La Naissance en BD découvrez vos supers pouvoirs, Lucile Gomez, éditions mama. Spoiler on parle de sexualité ;)3. Accoucher par soi-même. Laura Kaplan Shanley, editions mama. Spoiler on parle de sexualité ;)4. L’enfantement, entre puissance, violence et jouissance, Hélène Goninet, éditions mama. Spoiler on parle de sexualité ;) Episodes podcast la Matrescence Ep: 18 avec Isabelle DeputierEp: 10 avec ma mère qui parle de ses accouchementsEp: 31 avec mon chériEp : 43 avec Céline Lazorthe sur le Parental ActLes podcasts de Oui change ma vie, Clotilde Dusoulier et Deliciously EllaEpisode 81 de Bliss où je raconte mon premier accouchement.Contact professionnels :Dr Marion PoingtCabinet sage femmes de bordeaux Caudéran (Géraldine & Evelyne)Isabelle Deputier sur BordeauxFilms : Accoucher autrement, Camille TeixeiraBirth Story, Ina May Gaskin O renascimento do parto NetflixRemerciements à mes copines qui ont eu un grand rôle : Olivia, Leslie, et NanLien pour un article sur l’accouchement à domicile aux Pays Bas. https://www.lemonde.fr/societe/article/2016/08/22/aux-pays-bas-accoucher-a-domicile-n-est-pas-un-projet-alternatif-c-est-juste-normal_4986309_3224.htmlArticle : Quand les sages-femmes hospitalières assistent à des accouchements à la maisonhttps://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0266613820301273Je suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!J’ai aussi ouvert un compte youtube avec des cours de yoga réservés aux femmes enceintes et aux nouvelles mamans. A la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Clémentine SarlatMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence 
Il y a un temps pour tout et notamment pour le postpartum. En France on pourrait se sentir privilégiés d’avoir un congé pour les salariées de 10 semaines après l’accouchement. Sauf que la réalité d’une société qui jure par la performance, oublie les mamans sur la route.Le postpartum est une période sacrée, une période qui demande un entourage costaud et surtout une période où la maman devrait être le centre du monde.En post partum la plupart des nouvelles mères se sentent dépassées et n’ont pas les connaissances pour lâcher la pression et juste être avec leur bébé. Ce n’est pas (plus) la norme, il faudrait aujourd’hui que la “wonderwoman”, qui sommeille en nous, soit présente ou de retour, dès le lendemain de l’accouchement, pour tout gérer.Anne-Sophie Roquette, créatrice de la marque l’Atelier 13, s’en est rendue compte au fil de ses maternités. Elle a eu sa première fille il y a 10 ans et son petit dernier il y a 1 an. Sa tribu compte 4 enfants, 3 filles, Jeanne, Céleste, Anna et un garçon Oscar.Comment Anne-Sophie a t-elle vécu ce dernier postpartum, elle qui a désiré changer d’approche pour cette expérience?La réponse dans ce super épisode où Anne-Sophie n’a pas fait les choses à moitié et où on se rend compte que le 4e trimestre qu’elle a vécu devrait être la norme pour toutes les femmes.Très bonne écouteC’était Anne-Sophie Roquette Najda, maman de 4 enfants et créatrice de la marque l’Atelier 13.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!J’ai aussi ouvert un compte youtube avec des cours de yoga réservés aux femmes enceintes et aux nouvelles mamans. A la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Anne Sophie RoquetteMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube 
Il y a un an sortait un épisode intitulé “Qu’est-ce qu’une doula ?” car en mars 2019, cette profession était encore très méconnue des françaises… Aujourd’hui le mot circule de plus en plus autour de la maternité et j’ai pensé qu’il était nécessaire d’aller plus loin dans la discussion et d’évoquer en profondeur ce métier passion qui redonne du pouvoir aux femmes.Cette semaine je reçois Kristelle alias Karmamama sur les réseaux sociaux.Elle est doula depuis plusieurs années et accompagne au quotidien des familles et des mères dans cette incroyable aventure qu’est la maternité…On retrace son parcours, les bénéfices profonds qu’un accompagnement peut apporter, la transmission de femmes à femmes qui s’est perdue au fil des générations, son rapport aux sages-femmes et puis Kristelle explique en détail ce qu’est un Blessing Way… et pourquoi chaque doula a sa spécificité.Kristelle a également créé un podcast Empowerment des mamans pour mettre en lumière les doulas.Pour rappel le mot Doula a été inventé par Dana Raphaël, la même personne qui a inventé le mot Matrescence… il n’y a pas de hasards ;)Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Kristelle Cardeur, doula, et hôte du podcast Empowerment des mamans.Je vous mets en lien une liste de toutes les doulas de France qui ont bien voulu remplir cet annuaire que m’a gentiment donné Kristelle. Allez voir si une doula est vers chez vous…Je suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!J’ai aussi ouvert un compte youtube avec des cours de yoga réservés aux femmes enceintes et aux nouvelles mamans. A la semaine prochaine, prenez soin de vousAnnuaire des doulas :https://docs.google.com/spreadsheets/d/e/2PACX-1vT4Pc3XtprFhc8XVQPLTJgp3d-RGmXS6SZzT1jt5qxsG6p5PvKWVFhSESxMqYwcCVM4dE_x1TSe6KOK/pubhtml?gid=207979729&single=true&fbclid=IwAR2r3Zynqf1wGOXIgUWKMakqvGdcv5Cqj6GxNtkJ1qAYq31p3jFF4ZgIMZ8&urp=gmail_linkCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Kristelle CardeurMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube
Ce hors série est rendu possible grâce au soutien de TajinebananeTajinebanane si vous ne connaissez pas, est une marque de tshirt d’allaitement. Oui, mais pas n’importe quel tshirt d’allaitement. Des tshirts avec des coupes extrêmement intelligentes, qui te permettent d’allaiter partout tout le temps.C’est discret, design et surtout très pratiques.Et parce que cette marque est une marque inclusive, les pères et les mères non allaitantes ont aussi leur tshirt chez tajine banane.Pour découvrir toute leur collection, rdv sur tajinebanane.fr.Bienvenue dans ce quatrième hors série de la Matrescence.Un mercredi par mois un ou une expert.e répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la Matrescence pour poser vos questions sous le post concerné.Pour ce mois de mai, honneur à l’allaitement.Julie Longy est consultante en lactation certifiée IBCLC depuis 2010. Elle accompagne les parents à partir du projet d’enfant jusqu’au sevrage.En France, 70% des enfants seraient allaités à la sortie de la maternité mais ce chiffre chute drastiquement après un mois puisque seulement 1 enfant sur 2 continue d’être nourri au sein à partir de 4 semaines.Dans cet épisode Julie évoque plusieurs thèmes importants, la reprise du travail, l’allaitement après un cancer, le sevrage et le passage au biberon, les freins de langue ou de bouche, la douleur liée à l’allaitement, est-elle normal?Vous trouverez dans cet épisode beaucoup de réponses à vos questions et si ce n’est pas le cas, n’hésitez pas à consulter une professionnelle de l’allaitement!Très bonne écoute
L’alimentation des touts petits fait partie des premières préoccupations des parents. Comme vous le savez, il y a très peu d’éducation autour de ce sujet. Je crois qu’à la maternité on nous donne le carnet de santé, une prescription pour la Vitamine D et c’est tout.Candice Levy est naturopathe (vous l’avez peut-être écoutée dans l’épisode #39)Elle est spécialiste de l’alimentation des nourrissons et des enfants.Dans cet épisode nous abordons des thèmes importants qui vont de la maturation du système digestif, au RGO et on s’y attarde longuement , en passant par la diversification, au terrain familiaux, à la néophobie d’un aliment et le choix du lait infantile si il y n’y a pas eu d’allaitement, ou si vous êtes passé au lait en poudre. On s’est aussi intéressées aux parents vegan ou végétarien… Candice a écrit 2 livres sur le sujet, que je vous recommande, L’assiette de bébé et Quels laits pour mon bébé?C’était Candice Levy autrice de plusieurs livres sur l’alimentation du nourrisson et de l’enfant.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte.Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!J’ai aussi ouvert un compte youtube avec des cours de yoga réservés aux femmes enceintes et aux nouvelles mamans. A la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Candice LevyMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube : Clem Sarlat
Les questions d’éducation ne sont pas seulement liées à la famille. Pour que la société évolue il faut que le gouvernement et les associations prennent le pas. C’est ce qu’a fait Ensemble pour l’éducation de la petite enfance. Une association reconnue d’utilité publique qui a été fondé par Nathalie Casso Vicarini que je reçois aujourd’hui.Dans cet épisode on revient sur son parcours hors norme, elle qui a changé de vie, au moment de devenir mère, qui s’est inspirée de différentes cultures, pour arriver à créer une association qui a du sens et qui agit sur le terrain.Aujourd’hui Edu Ensemble est engagé dans le projet des 1000 premiers jours, une commission commandée par le gouvernement à la fin de l’année 2019 pour qu’enfin la petite enfance soit considérée par la société comme primordiale.On aborde des thèmes variés, mais surtout on explore les pistes pour arriver à ce que plus aucun enfant ne soit tapé, que tous les professionnels de la petite enfance soit formés à la hauteur des enjeux de leur métier.Je vous souhaite une très bonne écouteC’était Nathalie Casso Vicarini, la fondatrice d’Edu ensemble pour la petite enfance.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte. Si vous avez aimé cet épisode, n’hésitez pas à le partager sur les réseaux sociaux @lamatrescenceEt sinon, mettez 5 étoiles, ça aide vraiment, merci!J’ai aussi ouvert un compte youtube avec des cours de yoga réservés aux femmes enceintes et aux nouvelles mamans. A la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Nathalie Casso VicariniMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Youtube :
Il y a des trajectoires de fin de grossesse qui peuvent tourner à l’angoisse, prendre des proportions hors du commun.... Roma Perrier a dû affronter la peur de perdre son conjoint juste avant son accouchement.Le 30 avril 2019, Kevin Rolland, skieur freestyle français, médaillé olympique à Sotchi, tente un record du monde à la Plagne. Kévin pratique un sport à risques, Roma y est habituée, mais enceinte et à quelques jours de son terme, l’angoisse est présente.Kevin chute lourdement, son pronostic vital est engagé et il tombe dans le coma.L’horreur pour Roma, qui se met tout de suite dans une bulle, pour se protéger, elle et leur bébé Rio.Tous les plans de Roma sont bousculés, elle sait désormais qu’elle sera seule dans les premières semaines de vie de son bébé....Un postpartum difficile à gérer, entre colère, rancoeur, et bonheur de voir Kevin se réveiller... Elle doit assumer, seule, cette nouvelle aventure et s’occuper de Kevin qui reprend tout doucement son une rééducation…1 an après l’accident Roma raconte cette histoire de maternité incroyable… Kevin, elle et Rio vont bien et c’est le principal.En cette période de confinement, Roma a une pensée forte pour ces mamans qui accouchent seules…Très bonne écouteJ’ai aussi ouvert un compte youtube avec des cours de yoga réservés aux femmes enceintes et aux nouvelles mamans. A la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Roma PerrierMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence 
Bienvenue dans ce troisième hors série de la Matrescence.Ce hors série est rendu possible grâce au soutien de Tajine Banane.TajineBanane si vous ne connaissez pas, est une marque de tshirt d’allaitement. Oui, mais pas n’importe quel tshirt d’allaitement. Des tshirts avec des coupes extrêmement intelligentes, qui te permettent d’allaiter partout tout le temps.C’est discret, design et surtout très pratiques.Et parce que cette marque est une marque inclusive, les pères et les mères non allaitantes ont aussi leur tshirt chez Tajinebanane.Pour découvrir toute leur collection, rdv sur tajinebanane.fr.Un mercredi par mois un ou une expert.e répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la Matrescence pour poser vos questions sous le post concerné.Pour ce mois d’avril et avec le confinement, nous avons décidé de parler du sommeil. Thématique tellement délicate et préoccupante pour la plupart des parents.J’ai invité Florence Pinon, spécialiste du sommeil, qui a déjà participé au podcast, épisode numéro 32, pour répondre à vos questions.Florence a créé bébé au calme et accompagne les parents qui souhaite avoir une relation au sommeil de leur enfant plus apaisée.Dans cet épisode, nous allons aborder plusieurs thèmes :Les petites siestes des enfants, est-ce un problème?L’endormissement qui s’éternise… quel rituel?Quand l’arrivée du 2e perturbe l'aînéPour les bébés allaités, les problématiques liées à l’endormissement au sein,Faut-il laisser son bébé dormir avec nous…et d’autres thèmes...Bref l’épisode est completTrès bonne écoute
Cet épisode fait suite à l’épisode 43, alors si vous ne l’avez pas écouté, allez-y avant ou après, peu importe. Tristan Champion est l’auteur du livre la Barbe et le Biberon. Un livre inspiré de sa propre expérience en tant que père français en Norvège qui a passé 5 mois en congé paternité avec sa fille.Sa compagne Louise est norvégienne et après avoir accueilli leur petit garçon Emile en France, la famille accueille Nora en 2017 dans le pays d’origine de Louise, la Norvège. Et c’est là que ça se corse pour Tristan 😉On connaît la réputation des pays nordiques et leur avance considérable en matière d’égalité... et bien là Tristan s’est heurté à un sacré choc culturel.Il a dû passer 5 mois, seul, avec leur fille Nora.Si l’idée ne l’a pas enchanté de prime abord,  la réalité vécue avec elle a transformé sa vision de la paternité.Aujourd’hui il est engagé et milite pour que la France bouge sur ces questions extrêmement importantes. Mais pour cela il faut comprendre le contexte dans lequel Tristan a évolué dans le pays des Vikings.Et on vous explique tout ça dans un entretien passionnantJe vous souhaite une très bonne écoute PS : J’ai aussi ouvert un compte youtube avec des cours de yoga réservés aux femmes enceintes et aux nouvelles mamans. A la semaine prochaine, prenez soin de vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvité : Tristan Champion Musiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence
Cette semaine, je reçois Céline Lazorthes. Céline a créé en 2009 la plateforme en ligne de cagnottes Leetchi. Elle détonne dans le milieu très fermé et masculin de la tech en affirmant ses positions d’égalité. Que ce soit au sein de l’entreprise ou dans les médias.Elle a notamment co-fondé le collectif Sista qui encourage et soutient les femmes dans la tech.Aujourd’hui, à 38 ans, Céline a pris du recul sur ses activités chez Leetchi et MangoPay.Il y a un an elle est devenue maman d’un petit garçon et cette naissance lui a fait prendre conscience des inégalités très fortes qui subsistent au sein de la société, notamment, par manque de congé du 2e parent digne de ce nom.Depuis janvier 2020, Céline Lazorthes, Isabelle Rabier et Thibault Lanthier ont créé ensemble le Parental Act.UN dispositif inédit qui permet aux entreprises de s’engager à rémunérer le 2 parent à 100% pendant 1 mois.A ce jour, en avril 2020, 302 entreprises ou jeunes start-up l’ont signé.Alors qu’est-ce que ça change concrètement pour les salariés et les entreprises?La réponse dans cet épisodeCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Céline LazorthesMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence 
Saison 2 - Épisode 42 - 03/04/2020
En juillet 2019, la France a (enfin) passé une loi interdisant les violences éducatives ordinaires faites aux enfants… Les VEO, inclut les fessées, les claques, les coups, mais aussi les humiliations, les moqueries et les insultes…La France devient ainsi le 56e État à bannir les violences éducatives ordinaires et se met en adéquation avec la Convention internationale des droits de l'enfant qu'elle a ratifiée il y a 29 ans.De son côté, la Suède, est le premier pays à avoir donné ces droits basiques à ses enfants. Cette (r)évolution s’est opérée il y a 41 ans.Marion Cuerq a vécu 7 ans en Suède, là bas, elle a pu être témoin de cette société apaisée qui regarde l’enfant avec un profond respect. Via son expérience de jeune fille au pair, elle décide de prendre sa caméra et de réaliser un premier documentaire… quelques années plus tard elle continue l’aventure et de là naît le film “Même qu’on naît imbattables” 1h40 que tout être humain devrait regarder.Malheureusement depuis quelques semaines, le documentaire n’est plus disponible… Marion est en conflit avec la maison de production qui n’a pas respecté ses droits les plus basiques.Pour l’aider vous pouvez participer à la cagnotte leetchi que ses amis ont mis en ligne et notamment le Dr Catherine Gueguen. Le lien est dans les notes.Très bonne écoutePetite précision, avec le confinement j’ai créé une chaine Youtube où j’ai commencé à mettre en ligne des cours de yoga pour femmes enceintes et en postpartum.Allez y faire un tour!A la semaine prochaine.Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Marion CuerqMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence
Saison 2 - Épisode 41 - 27/03/2020
Cette semaine, je reçois Julie Laussat.Julie est l’autrice de plusieurs livres et notamment Mon Noël écolo, et récemment elle a co-fondé le magazine Veir, le mag des néos jardiniers (je suis abonnée c’est canon).Dans une autre vie, Julie a été, juriste et sa fibre écolo l’a récemment poussé à changer de filière.Quel rapport avec les enfants et la maternité me direz-vous? Et bien figurez-vous que Julie s’est rendue compte qu’elle avait vécue une matrescence écologique à la naissance de sa fille il y a presque 7 ans. C’est à dire que sa conscience écologique s’est amplifiée et que d’un coup, s’intéresser à son comportement face aux enjeux climatiques, avait du sens.Dans cet épisode, on aborde un thème qui a envahit le débat publique ces dernières années, l’écologie et les enfants… Selon une infographie parue en 2018 sur l’AFP, ne pas faire un enfant, conduirait à beaucoup moins polluer… Julie donne son point de vue sur cette vision assez pessimiste de la vie…Et puis elle vous explique les petites choses que l’on peut mettre en place pour amener nos enfants et nous même à changer notre mode de vie.Et si on doit retenir une chose de cet entretien, ne culpabilisez pas, faites comme vous pouvez! Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Julie LaussatMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence https://www.francetvinfo.fr/decouverte/noel/video-naturel-artificiel-en-bois-comment-bien-choisir-sonsapinde-noel_3727641.htmlhttps://www.hachette.fr/livre/mon-noel-ecolo-9782019451837https://www.lexpress.fr/actualite/societe/environnement/moins-d-enfants-pour-moins-de-carbone-l-afp-s-explique_2039072.htmlhttps://www.bananapancakes.fr/arreter-de-faire-des-enfants-pour-sauver-la-planete/https://www.bananapancakes.fr/https://www.kisskissbankbank.com/fr/projects/veirmagazineVeir Magazine 
Bienvenue dans ce deuxième hors série de la Matrescence.Ce hors série est rendu possible grâce au soutien de TajineBanane.TajineBanane si vous ne connaissez pas, est une marque de tshirt d’allaitement. Oui, mais pas n’importe quel tshirt d’allaitement. Des tshirts avec des coupes extrêmement intelligentes, qui te permettent d’allaiter partout tout le temps.C’est discret, design et surtout très pratiques.Et parce que cette marque est une marque inclusive, les pères et les mères non allaitantes ont aussi leur tshirt chez tajine banane.Pour découvrir toute leur collection, rdv sur tajinebanane.fr.Chaque premier mercredi du mois un ou une experte répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la matrescence pour poser vos questions sous le post concerné.Pour ce mois de mars, Héloise Junier, psychologue autrice du livre “Le manuel de survie des parents” a choisi 10 questions parmi la centaine posée.On aborde la pression sociale, les colères, les tempêtes émotionnelles des parents, la question du 2e enfant comment expliquer à l’aîné l’arrivée d’un frère ou une soeur?Une question est revenue souvent concernant la musique et le fond sonore dans la maison, alors quid de la répercussion dans le langage?Et enfin on parlera du “parent préféré” avec des guillemets et de l’attitude à adopter face aux comportements des enfants.Très bonne écoute.Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Héloise JunierMusiques libres de droits :https://icons8.com/music Musique outro : https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence 
Saison 2 - Épisode 40 - 20/03/2020
Cette semaine, on va parler ateliers à la parentalité.Anne Partridge, est animatrice Faber et Mazlich, une méthode inventée par 2 mères canadiennes dans les années 70.Le livre support sur lequel on s’appuie, Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent, est une ressource incroyable d’outils simples à mettre en place à la maison.Anne anime des ateliers depuis 8 ans sur Bordeaux. Elle reçoit des groupes de parents, qui viennent suivre 7 séances qui durent 3 heures.Alors quel intérêt à ces ateliers? Qu’est-ce qu’on y apprend? Pourquoi franchir le pas et venir participer avec d’autres parents ?Pour contextualiser, j’ai assisté en début d’année 2019 à 7 ateliers, et j’en suis ressortir enchantée. Anne est d’une incroyable bienveillance et j’avais envie de connaitre son parcours, par où, elle, en tant que maman, était passée. Et vous allez réaliser que son parcours dans la parentalité est loin d’être simple et linéaire. Elle a donc cette capacité incroyable de connaitre ce que peuvent ressentir les parents qui tatonnent. J’espère que cet épisode vous donnera envie d’aller passer la porte d’un atelier, peu importe lequel, il y en a plein en France. Je suis persuadée que cela vous boostera et vous encouragera dans votre chemin. Très bonne écouteLes livres :Parler pour que les enfants écoutent, écouter pour que les enfants parlent Parler pour que les ados écoutent, écouter pour que les ados parlentParents épanouis, enfants épanouis, guide pratique pour une famille plus heureuse Frères et soeurs sans rivalités L'asso d'Anne :https://parlecouter.wixsite.com/bordeaux/qui-suis-jehttps://www.rezoanimation.com/animatrice-teur/anne-partridge/Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Anne PartridgeMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence ***** Si l'épisode vous a plus n'hésitez pas à mettre 5 étoiles
Saison 2 - Épisode 37 - 28/02/2020
Pour ce 37e épisode, je reçois Constance.Constance est maman de 4 filles dont des triplettes.Elle et sa femme rêvent d’avoir des enfants… La perspective du mariage pour tous en 2012, les encourage à tenter l’aventure de la PMA.Ca sera en Belgique et c’est Constance qui portera.Le parcours est semé d'embûches, mais l’envie d’un 2e enfant arrive rapidement.Et là, c’est la plus grosse surprise de leur vie : pour sa 2e grossesse Constance n’arrive pas à y croire, elle est enceinte de triplettes.Passé le choc, Constance encaisse et décide de mener à terme, cette grossesse à risque…Lorsque les triplettes naissent, Constance et Aude se débrouillent seule la plupart du temps et ne demande pas ou peu d’aide.Constance garde cette peur au fond d’elle qu’on lui enlève ses enfants, alors elle préfère ne rien solliciter de l’état. Le post partum devient alors encore une fois compliqué...En France, sur 750 000 accouchement, seuls 156 ont été des naissances de triplés en 2018, c’est vous dire la rareté de ce qu’a vécu Constance.Pour aider les autres couples dans sa situation, Constance a créé un chouette podcast : les enfants vont bien que je vous recommande.Très bonne écouteCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : ConstanceMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence 
Saison 2 - Épisode 36 - 21/02/2020
Dans ce 36e épisode, j’ai voulu mettre en lumière la PMA et les problèmes d’infertilité rencontrés par certains couples. En France, 150 000 couples entament chaque année un parcours de procréation médicale assistée. La première FIV, donc Fécondation In Vitro a été réussie en 1978 et c’est une petite fille qui est née en angleterre. Il faut attendre 4 ans de plus pour voir, en France, le premier bébé née d'une FIV. Aujourd’hui ces pratiques se sont démocratisées et sont rentrées dans les moeurs pour les couples hétérosexuels. Pour aborder tout l’aspect psychologique de la démarche j’ai demandé à la Psychiatre Anne Raynaud, spécialisée en périnatalité, d’évoquer ce thème encore tabou, autour de ce désir d’enfant qui peut déstabiliser de nombreuses familles. Alors quel part joue notre mental dans la fécondation, quels sont les blocages que l’on peut retrouver, comment gérer sa communication au sein du couple, peut-on parler de traumatisme de l’infertilité, il y a t’il une différence entre les hommes et les femmes face à l’infertilité, que faire de la culpabilité?… tant de questions et de thèmes que nous abordons dans cet épisode Très bonne écoute Vous pouvez écouter l'épisode numéro 30 avec le Dr Anne Raynaud si vous voulez découvrir les secrets du lien d'attachement, thème abordé dans cet épisode. Création originale : Clémentine Sarlat Production : Clémentine Sarlat Enregistrement : Clémentine Sarlat Invitée :Dr Anne Raynaud, fondatrice de l'Institut de la Parentalité à Floirac Musiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight Tonight Belair from Fugue Musique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlat Réseaux Sociaux : Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence
Bienvenue dans ce premier hors série de la Matrescence.Ce hors série est rendu possible grâce au soutien de TajineBanane.TajineBanane si vous ne connaissez pas, est une marque de tshirt d’allaitement. Ouais, mais pas n’importe quel tshirt d’allaitement. Des tshirts avec des coupes extrêmement intelligentes, qui te permettent d’allaiter partout tout le temps.C’est discret, design et surtout trop canon.Et parce que cette marque est une marque inclusive, les pères et les mères non allaitantes ont aussi leur tshirt chez Tajinebanane.Pour découvrir toute leur collection, rdv sur tajinebanane.fr Chaque premier mercredi du mois un ou une experte répondra à vos questions !Pour cela rien de plus simple, rendez-vous sur le compte instagram de la matrescence pour poser vos questions sous le post concerné.Pour ce mois de février, Héloise Junier, psychologue autrice du livre “Le manuel de survie des parents” a choisi 10 questions parmi la centaine posée.On aborde la nourriture, les colères, quels comportements adopter lorsque nos enfants tapent ou mordent.On parle également de gestion de la jalousie entre frères et soeurs.Bref c’est épisode complet.Je vous souhaite une très bonne écouteCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Héloise JunierMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique outro : https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence 
Si vous aimez ce podcast, n’hésitez pas à vous abonner, à laisser un commentaire et le must àmettre 5 étoiles.Dès mercredi 5 février sortira une nouvelle rubrique. Si vous ne l’avez pas vu passer sur les réseaux sociaux, facebook et instagram, allez-y. Je vous propose tous les premiers mercredi du mois un épisode Q&A où un.e experte répondra à vos questions.En février c’est Héloise Junier, psychologue, invitée de l’épisode 26, qui sera la première ambassadrice de la matrescence et elle sera à votre service.Cela faisait longtemps que je voulais aborder un thème qui me semble primordial : le sommeil de nos enfants.Florence a créé bébé au calme il y a 2 ans. Elle a été formée au Canada, d’ailleurs il y a des restes d’accent québécois... et elle accompagne de nombreuses familles pour les aider, lorsque le sommeil pose problème.Dans cet épisode, on parle du rythme de nos enfants et de ce qu’on peut mettre en place pour trouver une harmonie qui convienne à toute la famille.Ici il n’est pas question de méthode, de laisser pleurer bébé mais bien de comprendre ce qu’il se joue avec nos enfants.Le sommeil de 0-à 6 ans c’est tout une histoireBonne écouteC’était Florence, la fondatrice de bébé au calme.Je suis Clémentine Sarlat votre hôte.Pour plus d’informations sur le sujet du sommeil, nous vous conseillons ce merveilleux livre ; Dormir sans larmes https://livre.fnac.com/a10312616/Rosa-Jove-Dormir-sans-larmesSi vous voulez faire partie de la communauté, rejoignez-nous @lamatrescenceCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Florence fondatrice de bébé au calmeMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence 
Si vous découvrez le podcast après la vidéo de Brut, bienvenue.Je vous conseille de démarrer par le premier épisode pour bien comprendre, et ensuite le numéro 16 avec le Docteur Catherine Gueguen.Il y a 30 épisodes, si vous avez envie de piocher.Pour le 31e épisode, j’ai décidé, d’interviewer quelqu’un de très spécial, mon conjoint, le père de ma fille.Clément et moi on s’est rencontré il y a presque 6 ans sur un terrain de rugby. Il était joueur et moi journaliste.Aujourd’hui il est agent sportif, et son début de carrière a coincidé avec l’arrivée de notre fille. Quand je suis devenue maman la première chose que j’ai googlisée, c’est : le couple après bébé.J’étais perdue et j’avançais à tatons.On a mis TRES longtemps à trouver nos marques en tant que couple après l’arrivée de notre fille, on peut surement parler de baby clash…Heureusement pour nous, on s’aime très fort.Le couple après bébé. C’est maintenant. Et c’est à coeur ouvert.Très bon épisodeCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvité : Clément MarienvalMusiques libres de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom https://icons8.com/music Lien web : https://linktr.ee/clemsarlatRéseaux Sociaux :Instagram : Clem Sarlat + La Matrescence Est-ce que vous connaissez le site Capital Koala? C'est une façon très simple de commencer à épargner pour vos enfants.Vous vous êtes peut-être déjà demandé quel était le meilleur moyen de mettre de l'argent de côté pour eux. Ne cherchez plus j'ai la solution : Capital Koala vous rembourse en moyenne 5% de vos achats chez plus de 2000 commerçants. Ces remboursements sont directement placés sur le livret d'épargne de vos enfants. C'est utile et c'est malin, je recommande ! Et spécialement pour vous auditrices/auditeurs, Koala vous offre 4 euros sur le compte de votre enfant, en vous inscrivant avec le code "entreprise" MATRESCENCE sur CapitalKoala.com
Saison 2 - Épisode 29 - 20/12/2019
“L’univers a les oreilles bien ouvertes pour les désirs qui viennent du coeur”C’est le dernier épisode de l’année et forcément il est spécial.Cet épisode 29 vient clore l’année 2019.On ferme une décennie ensemble… une décennie où ma vie a changé.Je vous propose dans cet épisode, non pas un retour sur ma décennie, je vais vous épargner ça… mais plutôt mes coups de coeur 2019.Une façon de remercier tous les gens qui m’ont aidé à traverser cette période particulière de la matrescence. Là où j’ai trouvé mes ressources.Dans cet épisode, je vais vous parler des podcasts qui m’ont transformé, de livres, de comptes sur les réseaux sociaux, de films…C’est une revue non exhaustive de cette année.D’abord je voulais vous souhaiter de très belle fêtes et vous remercier.1 : Les podcasts En anglaisDeliciously EllaSecond LifeThe longest shortest dayEn français :Génération XXChange ma vie Des hommes violentsLes maternellesVlan2 : Les livres Préparation à l’accouchement en pleine conscienceJe le redis mais Ina May Gaskin le livre le guide de l’accouchement au naturelJe t’aime je te trompeNaissance d’hélène Druverthttps://www.librest.com/livres/naissance--decoupes-et-animations-pour-explorer-les-origines-de-la-vie-helene-druvert_0-6051191_9782732491493.html?ctx=eda8adff82667c0ac5bd53c89582d49cFaber et Mazlich :  Votre guide pour une famille plus heureuse Montessori in real lifeBalthazar et ses amisLes ateliers à la parentalité que j’ai suiviMes intentions pour 2020?Développer la Matrescence, avoir toujours plus d’intervenants experts dans leur domaine.Réussir à venir vous rencontrer.Terminer l’écriture de mon livreEt être heureuse
Pour ce 27e épisode, j’ai demandé au papa le plus écouté de France, de nous parler de sa vision de la paternité et de la parentalité.Benjamin Muller est le seul journaliste homme autour de la table de la maison des Maternelles, l’émission phare de France 5 sur la parentalité.Il est père de 3 enfants, 1 fille et 2 garçons, et il est passionné par tout ce qui touche à l’éducation et la parentalité.Benjamin raconte comment sa découverte de la paternité il y a 7 ans l’a éveillé au monde d’une autre manière.Depuis 3 ans, il a l’occasion de faire passer des messages importants en direct à la télévision. on a donc parlé d’égalité hommes femmes, de charge mentale, d’éducation des garçons… on a aussi évoqué les problèmes, que lui, personnellement, a dû affronter pendant une partie de sa carrière, de la discrimination de sa hiérarchie de l’époque aux remarques sexistes que sa femme entend, parce que lui, père et homme hétérosexuel travaille dans le milieu de la parentalité.C’est un épisode riche où on parle même un peu de sexualité et des tabous entre hommes…Très bonne écoute à vousCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée :Benjamin MullerJournaliste La Maison des MaternellesLivres : Le cahier du jeune papahttps://livre.fnac.com/a11573900/Benjamin-Muller-Le-cahier-Super-papa?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&esl-k=sem-google%7cng%7cc294196405911%7cm%7ckpla349573444465%7cp%7ct%7cdc%7ca58200328279%7cg1553156614&gclid=Cj0KCQiAz53vBRCpARIsAPPsz8UbHRueEASZ-8T4ATY-aFBqVIk0kT4RsLDWMMpdolSPW-8n-eTFiA8aApl8EALw_wcB&gclsrc=aw.dsLe cahier de l'éducation bienveillantehttps://livre.fnac.com/a13399052/Benjamin-Muller-Le-cahier-d-education-bienveillanteMusique libre de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom
Pour ce 22e épisode, j’ai voulu mettre à l’honneur des femmes de l’ombre. Comme je l’explique dans l’intro, je suis journaliste sportive.Je suis spécialiste du rugby et je couvre l’équipe de France la plupart du temps.Je connais donc très bien ce milieu et au fil des années j’ai souvent sympathisé avec les femmes qui partagent la vie des internationaux français.Nous sommes en pleine coupe du monde de rugby au Japon, j’ai donc pris le temps de donner la parole à Sophie Machenaud. Elle est mariée à Maxime Machenaud, demi de mêlée du XV de France.Je connais Sophie et Max depuis plus de 10 ans maintenant puisque j’étais au lycée avec Maxime.J’ai conscience que les moyens financiers qu’ont à leur dispositions ces familles n’ont rien de comparables.En revanche, le grand public ne sait pas ou très peu que les familles “sont séparées” pendant parfois 5 à 6 mois par an.La solitude est grande. Ces femmes, compagnes, amies, sacrifient une partie de leur vie personnelles pour faire en sorte que leur maris s’épanouissent.Sophie a une façon admirable de voir la situation. Elle sait que c’est temporaire, elle l’accepte, et pour autant la séparation est toujours aussi difficile.Je voulais donc rendre hommage à toutes ces familles qui vivent l’éloignement, que ce soit à cause du sport professionnel, à cause d’une carrière militaire, d’un métier qui demande beaucoup d’éloignement.Les clichés et la solitude font parti du quotidien de Sophie et c’est avec beaucoup de douceur qu’elle raconte son quotidien de maman de 2 enfants, Gaspard et AugustinBonne écoute
On a tous ce souvenir, petit, de nos sorties en forêt, de l’émerveillement ressenti à manipuler la nature. La joie en grimpant aux arbres, en découvrant les escargots, en construisant des cabanes.Malheureusement en l’espace d’une génération, ces expériences de bonheur profond et d’émerveillements à la nature ce sont petits à petits réduites pour laisser place à la vie à l’intérieur et devant les écrans.Selon une enquête de 2016 de l’institut de veille sanitaire, quatre enfants sur dix ne jouent jamais dehors pendant la semaine. Les colonies de vacances sont de plus en plus difficiles à organiser, tout comme les classes vertes.Cette déconnexion à la nature a des conséquences sur nos enfants et leur comportements, notamment sur le niveau de stress ressenti.Heureusement, dans le monde entier, des écoles dans la forêt fleurissent.Matthieu Chéreau est co-auteur du livre “Les enfants dans la nature, pour une révolution verte”.Avec Moina Fauchier Delavigne, journaliste au Monde, ils ont fait l’état des lieux de ces écoles magiques, qui enseignent en pleine nature.Le livre est passionnant, tout comme notre entretien.Bonne écoutehttps://www.lenfantdanslanature.org/http://matthieuchereau.com/https://www.hors-programme.com/https://www.reseau-pedagogie-nature.org/https://www.lemonde.fr/idees/article/2018/05/04/on-a-coupe-les-enfants-de-la-nature_5294128_3232.htmlOù acheter le livre :https://livre.fnac.com/a13526706/Moina-Fauchier-Delavigne-L-enfant-dans-la-nature?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&esl-k=sem-google%7cng%7cc294196405911%7cm%7ckpla366875966876%7cp%7ct%7cdc%7ca58200328279%7cg1553156614&gclid=Cj0KCQjwoqDtBRD-ARIsAL4pviCYzk6nMflDg4CuTDsu8-C8z3mgEtbWAh-PMU8B9jRL3ndhkaEOgYwaAuo-EALw_wcB&gclsrc=aw.ds
Accoucher à la maison, ça parait un peu fou, dit comme ça?Et pourtant, depuis 15 ans, Isabelle Deputier accompagne chaque mois 10 familles dans ce projet d’AAD.Pourquoi je vous parle d’accouchement à la maison? Un parce que je pense qu’il est important de sensibiliser à ce sujet et 2 parce qu’il est encore plus important de laisser le choix aux femmes et de leur donner les clés pour les faire en connaissances de causes.L’accouchement à la maison représente moins de 1% des naissances en France. Ce n’est absolument pas le cas aux Pays Bas par exemple, où il y a une véritable politique de natalité, avec un taux de 16% de femmes qui accouchent chez elle.  Cette pratique est pour le moment tellement confidentielle chez nous, qu’aucune étude n’avait été réalisée jusqu’ici.Heureusement début septembre, des chiffres officiels sont venus corroborer ce que toutes les sages femmes à domicile savaient déjà, accoucher à domicile, ne représente aucun danger quand il est bien encadré.Elles sont environ 80 en France à sillonner les différents départements. Je vous donne en résumé les conclusions de cette étude : La mortalité maternelle est nulle, tous les enfants sont nés vivants et surtout écoutez bien : les femmes en accouchement à domicile ont subi en proportion, 61 fois moins d’épisiotomies !!!Le taux d’allaitement maternel exclusif est de 97,8% dans la population AAD.Isabelle Deputier, fait figure d’exception en France, en suivant 10 femmes par mois, puisque la moyenne nationale est de 20 femmes par an.A travers son parcours vous allez comprendre pourquoi il est difficile d’accoucher où l’on veut, les obstacles que les sages femmes rencontrent, le montant exorbitant des assurances qui leur sont demandé, la pression ahurissante de la part du corps médical sur leur pratiques.LIVRES RECOMMANDES PAR ISABELLE :Le guide de la naissance naturelle Ina May Gaskin Mama EditionsJ'accouche bientôt : que faire de la douleur Maité TrélaunVivre sa grossesse et son accouchement Isabelle BrabantLe guide de la grossesse à l'usage des futurs parents Alain TortosaAccouchement, naissance : un chemin initiatique Martine texierIntimes naissances, choisir d'accoucher à la maison Juliette et Cécile CollongeBonus pour vos enfants : Quand je t'attendais Meritxell Marti x Xavier SalomoDocumentaire dans lequel elle a participé :Accoucher autrement Altra banda film réalisé par Camille TeixeraCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Isabelle DeputierMusique libre de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom
Bienvenue dans la Matrescence, vous écoutez l’épisode numéro 16.Cette semaine c’est un hors série que je vous propose, dédié à l’univers des maisons de la fondation Ronald McDonald. Ces maisons permettent aux parents de pour pouvoir être, quotidiennement, auprès de leurs enfants hospitalisés.Cet épisode et me tient particulièrement à coeurC’est un hors-série proposé par la Fondation Ronald McDonald. Cette fondation sous l’égide de la Fondation de France construit et permet de faire vivre des Maisons de parents à proximité des hôpitaux pour que plus aucun enfant hospitalisé ne soit séparé de sa famille.A cette occasion je suis allée à côté de Mulhouse, rencontrer Fabienne, maman de 2 adorables petites filles.Fabienne a décidé de faire un enfant toute seule à 36 ans, via une PMAElle découvre, au moment de la naissance de sa fille, Morgane, que son bébé est trisomique. Une partie de son monde s’écroule, elle est seule, et n’avait jamais envisagée être maman d’une petite fille handicapée. Et pourtant, Fabienne l’aime plus que tout sa fille, et met tout en place pour lui offrir la meilleure vie possible.A 14 mois, les médecins annoncent à Fabienne, que son bébé est atteint de Leucémie.Pour la 2e fois son monde s’écroule.Fabienne s’engouffre dans ce tourbillon sans réfléchir et passera 5 mois dans la maison des parents de Strasbourg où elle est hébergée . Un soulagement quand on habite à 100 km de l’endroit où est hospitalisé son enfant.Dans cet épisode elle nous raconte, la résilience qu’il lui a fallu, les forces insoupçonnées qu’elle a développé face à l’adversité, son envie de donner une soeur à Morgane… parce que oui, Fabienne a donné la vie une 2e fois malgré la bataille qu’elle menait à ses côtés. Elle a clairement choisi de voir la lumière dans cette expérience.Aujourd’hui Morgane a 8 ans et elle va bien. Et Julie sa petite soeur de 6 ans est en pleine forme.L’épisode est bouleversant et en même temps rempli de vie et d’espoir.Très bonne écouteMerci à Fabienne d’avoir accepté de se livrer, d’avoir mis des mots sur son expérience difficile et malgré tout, avoir cette foi en la vie.Cet épisode a été réalisé pour la Fondation Ronald McDonald et enregistré en Alsace pour la maison des parents de Strasbourg.Merci aux familles, bénévoles, soignants.Vous pouvez retrouver les épisodes des autres maisons de parents dans le podcast « Dans la maison des parents » sur vos applis de podcasts habituelles.Pour plus d’infos sur la Fondation rdv sur le site : https://www.fondation-ronald-mcdonald.fr/ Si l’épisode vous a plu, n’hésitez pas à le partager, et à mettre 5 étoiles sur Itunes, c’est la meilleure façon de faire connaître ce podcast.A la semaine prochaineCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Hercules ProductionEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : FabienneMusique libre de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom
Aujourd’hui, dans le chapitre 16 je suis très fière de recevoir la pédiatre Catherine Gueguen.Cette femme médecin, a démocratisé un savoir, encore inconnu il y a quelques années des parents, la neuroscience.A travers ses livres, ses conférences, ses apparitions télévisées, Catherine Gueguen, explique le comportement de nos enfants à la lumière des neurosciences. Révolutionnaire.C’est dans son appartement parisien que je l’ai interrogée sur le développement du cerveau des foetus, des nourrissons et des enfants.Saviez-vous que le cerveau d’un être humain n’est mature qu’à l’âge de 25 ans !?Saviez-vous que les 2 premières années de vie de nos enfants sont les plus précieuses dans leur construction cérébrale?Comment fonctionne notre cerveau, comment fonctionnent nos émotions, que faire en cas de crises ou de refus de nos enfants…Elle vous donne des pistes et des exemples très concrets et rentre en détails dans tout ce processus incroyable.A travers son discours, deux mots reviennent en permanence, la bienveillance et l'empathie. Mais ça veut dire quoi au juste?La réponse dans l'épisode qui suit.TEDX de Catherine Gueguenhttps://youtu.be/_8Hia3KRUwwDU Universitaire à Paris-Sorbonne https://medecine.sorbonne-universite.fr/les-formations/etudes-medicales/le-troisieme-cycle/les-formations-de-3e-cycle/accompagnement-de-la-parentalite/Passage aux Maternelles :https://www.youtube.com/watch?v=bpL-Nv-lQfUConférence sur l'apprentissagehttps://www.youtube.com/watch?v=7OZMvbSOl9gOù acheter ses livres ?https://www.fnac.com/Catherine-Gueguen/ia2922912Bibliographie :Pour une enfance heureuse 2014Vivre heureux avec son enfant 2015Heureux d’apprendre à l’école 2018Article interéssant... https://www.scienceshumaines.com/l-empathie-modifie-le-cerveau-des-enfants-entretien-avec-catherine-gueguen_fr_39317.htmlCréation originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Dr Catherine GueguenMusique libre de droits : https://icons8.com/music Musique intro : by  BELAIR Tonight TonightBelair from FugueMusique outro : Abloom
Pour cette saison 2, j’aborde un sujet qui me parle personnellement : faire un 2e enfant.A quel moment décide t-on de faire un 2e enfant et pourquoi?Quelles questions se posent-on? A t-on peur de perdre l’équilibre, d’aimer moins le 2e, quels impacts sur la famille?Quand je suis partie pour ma formation de yoga, on a eu des notions de thérapie en Ayurvéda et ce que prône l’ayurvéda concernant les écarts entre les enfants.A ma grande surprise, ils recommandent d’attendre 3 ans entre 2 grossesses, pour laisser se reposer le corps, loin du classique 2 ans d’écart où les femmes enchaînent 15 mois après leur accouchement.Et puis j’avais aussi dans la tête que les français avaient en moyenne 2 enfants...Et bien figurez-vous que pas du tout!En 2015, l’INED a mené une enquête pour connaître la composition des familles : 44% comportent 1 seul enfant tandis que 38,7% ont 2 enfants à leur charges.La question du 2e enfant est donc réellement une préoccupation pour beaucoup de foyers français.Pour parler de ce dilemme, j’ai rencontré Justine fondatrice de Trucs de Nana pour accompagner les femmes à travers le sport dans leur maternité. Justine a 2 enfants, Naélie 5 ans et Timothée 2 ans.Elle a vécu l’arrivée de son 2e avec des peurs face à son aînée, peur de la perturber, peur qu’elle se sente mise de côté.La gestion de 2 enfants dans les premiers mois peut parfois être remplis de frustration, frustration de ne pas être assez présente, culpabilité de ne pas pouvoir de dupliquer… bref ce nouvel équilibre à trouver n’est pas simple.Et puis il a fallu gérer la jalousie de Naélie face à Timothée.Justine raconte comment elle a réussi à solutionner ce problème. Et comment son coeur de maman explose quand aujourd’hui elle voit ses enfants complices.Création originale : Clémentine SarlatProduction : Clémentine SarlatEnregistrement : Clémentine SarlatInvitée : Justine Andanson Musique libre de droits : https://icons8.com/musicMusic by Belair from FugueVisuel : Clémentine Sarlat
Lorsqu’on conçoit ses premiers enfants, on imagine rarement devoir se séparer et reconstruire sa vie après. Pourtant les séparations de couples, après avoir eu des enfants, deviennent de plus en plus fréquentes.Si les histoires d’amours s’arrêtent, l’éducation des enfants, elle, continue. Aujourd’hui un peu plus de 10% des enfants vivent dans des famille recomposées, c’est 1.7 millions d’enfants concernés selon une étude de l’INSEE datant de 2017.Comment trouver l’équilibre avec son ex ? C’est déjà une première question difficile…Alors quand vient s’ajouter dans l’équation, les enfants de son nouveau partenaire, tout est à réapprendre.Céline est maman de 2 garçons qu’elle a eu avec son premier mari. Après une séparation, elle rencontre David, qui lui, a 3 garçons…Si vous suivez ça fait 5 garçons...C’est le coup de foudre et au bout d’un an ils décident d’emménager tous ensemble.Mais parce qu’ils sont un petit peu fou et surtout très amoureux, Céline et David décident de faire un dernier enfant ensemble… Côme, le trait d’union de leur famille.Les voilà avec 6 garçons à la maison!8 ans après, Céline a tiré les leçons de cette formidable expérience de vie et vous livre les erreurs et les réussites de cette belle famille recomposée.Vous connaissiez surement 7 à la maison, la série américaine, et bien dans ce podcast, je vous présente 8 à la maison!Bonne écoutehttps://plumeetcaramel.com/@celine_plume_et_caramel@lamatrescencehttps://plumeetcaramel.com/bonheur-et-famille-recomposee/
Saison 1 - Épisode 7 - 26/04/2019
Dans ce 7e épisode j'aborde un thème parfois encore tabou, l'aide à la parentalité. Peut-on vraiment apprendre à être parents?J'ai le plaisir de recevoir Nelly qui a co-créé avec Julien, Les Ptits Sages entre Bordeaux et Lyon.Leur entreprise permet aux parents, nouveaux ou non, de participer à des ateliers autour de la parentalité pour sortir de l'isolement.On parle peu du burn out parental, France 2 y a consacré un sujet il y a peu : https://www.francetvinfo.fr/sante/enfant-ado/video-burn-out-parental-envoye-special-a-partage-le-quotidien-de-parents-debordes_3218855.htmlMais être parents, soyons honnêtes et réalistes, c'est dur. Vraiment. Ca épuise, ça essore.Au fond on veut tous le bien être de nos enfants, mais comment faire, comment trouver les clés qui correspondent à nos familles et nos envies?Les ateliers à la parentalité sont là pour, justement, apporter ce soutien qu'il manque.Merci à Nelly pour son partage.J'ai aussi assisté aux ateliers Faber & Mazlich sur Bordeaux avec Anne. Il y en a partout en France si vous êtes intéréssés. Les recommandations lectures de Nelly :Elever nos enfants avec bienveillance : L'approche de la communication non violente, Marshall Rosenberg, Editions JouvenceL'enfant, Maria Montessori, Desclée De BrouwerLa Discipline Positive, Jane Nelsen, Marabout La Discipline un jeu d'enfant, Brigitte Racine, Editions de l'Hôpital Sainte-JustinePour une enfance heureuse : repenser l'éducation à la lumière des dernières découvertes sur le cerveau, Catherine GUEGUEN, PocketPour aller plus loin que la discussion concernant les professionnelles de la petite enfance, notamment les assistantes maternelles.En 2019, La durée de la formation reste la même, avec un total de 120h. Cependant, elle sera décomposée de manière différente, par rapport à ce qui est fait actuellement.Suite au nouveau décret du 23 octobre 2018, voici la répartition des heures de formation :80 heures de formation, dans les 6 mois à compter de la réception du dossier complet de demande d’agrément de l’assistante maternelle et avant tout accueil d’un enfant,40 heures de formation, dans un délai maximum de 3 ans, à compter de l’accueil du premier enfant par l’assistante maternelle.
Dans ce 4e épisode, Anaïs du blog Parisianavores aborde un thème passionnant et important : la charge mentale et la répartition des rôles à l'arrivée d'un enfant.Anaïs a 3 enfants, 1 fille et 2 garçons. C'est à leur arrivée qu'elle réalise l'injustice liée au statut de mère.Dans cette épisode on parle bouffe, voyages, sexisme, inégalités et prématurés.On rigole bien aussi. Un épisode qui touche au coeur pour toutes celles et ceux qui voudraient ré-inventer les rôles dans la famille.Ah oui, j'oubliais, on parle énormément de voyage et à quel point c'est important de voyager avec ses enfants.FoncezJe vous laisse avec le message d'Anaïs, très complet.Bonne écouteClemCrédits :Episode enregistré : en mars 2019.Invitée : Anaïs de ParisianavoresCréation : Clémentine SarlatMusique : libre de droitsMessage d'Anaïs:"Depuis un an et demi, j'ai écouté beaucoup de podcasts sur les thèmes de l'égalité ou plutôt des inégalités des genres et races. C'est à travers certains podcasts, documentaires et livres que j'ai construit une réflexion plus solide et construite sur ces thématiques, j'en étais déjà persuadée mais ces analyses et connaissances m'ont surtout permis d'avoir des éléments de réponses à apporter à certaines objections...LIVRES : Deux livres qui permettent de revoir notre vision et nos méthodes d'éducation et d'apprentissage en prenant en compte les dernières découvertes sur le fonctionnement du cerveau des enfants :- Pour une enfance heureuse. "Repenser l'éducation à la lumière des dernières découvertes sur le cerveau" > Dr Catherine Gueguen.- Les lois naturelles de l'enfant. Céline Alvarez.Un livre très accessible et très court, écrit comme une lettre de conseils. Simple et rempli de bon sens. C'est lui qui a suscité, chez moi, de nombreuses questions et aussi beaucoup de changements... Je le conseille vraiment pour commencer à se questionner.- Chère Ijeawele, ou un manifeste pour une éducation féministe: Un manifeste pour une éducation féministe. Chimamanda Ngozi Adichie Pour comprendre comment et pourquoi la quête de la parité passera aussi ou surtout par une autre éducation de nos fils. Un livre très accessible élaboré comme un manuel. - Tu seras un homme féministe mon fils. Aurélia BlancUn livre accessible pour comprendre les mécanismes et enjeux de la charge mentale et des inégalités prenant beaucoup plus d'importance dès lors que l'on devient parent : Libérées !: Le combat féministe se gagne devant le panier de linge sale. Titiou LecoqUn court ouvrage sur les mécanismes de la domination masculine qui m'a particulièrement ébranlé : King Kong Théorie. Virginie Despentes Docu Netflix : L'épisode "Pourquoi les femmes gagnent moins" de la série En Bref . Des statistiques et des explications pour comprendre en 19 minutes pourquoi encore aujourd'hui les femmes sont payées 20% de moins que les hommes. PODCASTS & Émissions radioL'épisode 4 du podcast "Un Podcast à Soi" intitulé "Papa où t'es ?" et puis je trouve qu'il est opportun d'écouter l'épisode suivant "Qui gardera les enfants ?" qui nous met face à la transition actuelle de la charge mentale dans les couples CSP+ : à défaut de parvenir à diviser les tâches domestiques entre les deux parents, souvent, la solution sera de les déléguer à des femmes souvent migrantes et racisées. Des femmes qui cumulent leur charge mentale personnelle et celle des personnes pour lesquelles elles travaillent. L'épisode "J'élève mon fils" du podcast "Les couilles sur la table" avec Aurélia Blanc, autrice de "Tu seras un homme féministe mon fils". L'épisode "Livres pour enfants, ce reflet déformant" du podcast Miroir Miroir". Dans un tout autre thème, je trouve cet épisode important. Je suis maman d'enfants métissés, couleur, culture et religion d'ailleurs. Et c'est certainement ça qui m'a amené à m'intéresser à la représentation ou plutôt la sous-représentation de personnages ressemblant à mes enfants dans les livres mes aussi partout ailleurs. La force de la représentation chez les enfants est je pense, sous-estimée d'où ma volonté de tenter de ne pas sur exposer certains modèles : princesse blanche aux cheveux raides et blonds et aux yeux bleus, en robe robe, attendant passivement son prince...Congé paternité, congé parental : faut-il tout repenser ? France Interhttps://www.franceinter.fr/emissions/le-debat-de-midi/le-debat-de-midi-18-juillet-2018